Actualités socialistes - Page 1215
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Hélène Geoffroy : «Les adversaires du vivre-ensemble ne gagneront pas»
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L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Épisode 5
Chaque début de semaine, Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, dresse une analyse de la situation politique actuelle.
Cette semaine, le Premier secrétaire condamne l’attentat survenu dans une boîte de nuit fréquentée par la communauté LGBT d’Orlando, dans la nuit du samedi 12 au dimanche 13 juin. Il renouvèle son soutien et sa solidarité envers les victimes et leurs familles ainsi qu’au peuple américain.
À un autre niveau, Jean-Christophe Cambadélis dénonce également les violences perpétuées par les Hooligans à Marseille, lors de la rencontre Angleterre-Russie.
Il regrette que la France soit ainsi enlisée dans ce climat de tensions, entre les violences relatives à l’Euro 2016, celles engendrées contre le Parti Socialiste et les contestations envers la loi Travail. « Face à cela, la gauche doit être capable d’affronter les évènements de manière apaisée » conclue-t-il.
L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Épisode 5 par PartiSocialiste -
Romain Colas (PS) : « L’ultime mobilisation contre la loi travail avant la sortie de crise »
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Magnanville : Stéphane Le Foll confirme que "c'est un acte terroriste"
Magnanville : Stéphane Le Foll confirme que "c... par rtl-fr -
"Je rends hommage aux forces de sécurité et au ministre de l'Intérieur" J-C Cambadélis (13/06/2016)
"Je rends hommage aux forces de sécurité et au... par radioclassique -
L'actualité des socialistes du 3 au 9 juin
A LA UNE
Le blog de Thomas Piketty - Loi travail : un effroyable gâchis
Alors que les tensions sociales menacent de bloquer le pays et que le gouvernement s’obstine à refuser le dialogue et le compromis, la loi travail apparaît de plus en plus clairement pour ce qu’elle est : un effroyable gâchis, un de plus au sein d’un quinquennat raté, et peut-être le plus grave. Le gouvernement voudrait nous faire croire qu’il paie le prix d’être réformateur, et qu’il doit se battre seul contre tous les conservatismes. La vérité est toute autre : sur ce sujet comme sur les précédents, le pouvoir en place multiplie les improvisations, les mensonges et les bricolages.
MONTEBOUG
Boursorama - Montebourg (PS): sans primaire, 2017 sera "la chronique d'une élimination annoncée"
L'ancien ministre de l'Economie (PS) Arnaud Montebourg a estimé mercredi que sans primaire à gauche, 2017 sera "la chronique d'une élimination annoncée", et a admis avoir commis des "erreurs" en soutenant François Hollande en 2011 et en aidant Manuel Valls à succéder à Jean-Marc Ayrault à Matignon.
Le Figaro - Montebourg propose de tirer au sort les sénateurs
Arnaud Montebourg lance une série de propositions pour bouleverser les institutions. Au programme : réforme du Sénat, limitation du pouvoir de nomination du chef de l'État et responsabilité individuelle des ministres devant l'Assemblée.
HOLLANDELe président, qui voulait rassembler à tout prix, a pris acte du fossé qui le sépare désormais des écologistes et des frondeurs du PS. A un an de la présidentielle, il n'a pas d'autre choix que de brandir le drapeau du « réformisme ». Quitte à faire éclater la gauche.MACRONLe ministre de l’Economie accuse une forte baisse de de popularité chez les Français et notamment les sympathisants de gauche, dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ».PSLe premier secrétaire se bat pour préserver l'unité de son parti. Pour cela, il est persuadé de la nécessité d'une candidature présidentielle de François Hollande, l'organisation d'une primaire risquant d'entraîner une dislocation du PS.La recette n’est pas nouvelle, mais le Parti socialiste et le gouvernement ont décidé que le moment était venu de l’utiliser. La défense de la loi Travail, fortement contestée, a fourni le prétexte de cette tentative de contre-feu mise en scène au cours d’un meeting avec quatre protagonistes : Manuel Valls, Myriam El Khomri, Stéphane Le Foll et Jean-Christophe Cambadélis.Lors d’un meeting qui s’est tenu mercredi soir à Paris, les quatre orateurs - Valls, Le Foll, El Khomri et Cambadélis - ont voulu remobiliser leur camp avant l’examen du texte au Sénat et son retour à l’Assemblée nationale en juillet. -
Débat sur la loi travail #3 : faut-il craindre la flexibilité du temps de travail ?
Depuis plusieurs mois, le projet de loi El Khomri fait débat. Pour y voir plus clair, Le Monde.fr propose une série de trois débats sur des points précis du projet de loi : l’article 2, les licenciements et, ci-dessous, les heures supplémentaires.
Débat en plateau avec Stéphane Carcillo, professeur à Sciences Po Paris et Philippe Waechter, directeur de la recherche économique chez Natixis Asset Management.
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Débat sur le projet de loi travail #2 : Licencier va-t-il être plus facile ?
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Fondation Jean Jaurès - Les Accords Sykes-Picot : décryptage des crises au Proche-Orient
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Quels impacts doit-on attendre du CICE et du Pacte de responsabilité sur l’économie française ? par Bruno Ducoudré, Eric Heyer et Mathieu Plane
2 juin 2016
A la suite du Rapport Gallois de fin 2012, le gouvernement a décidé de privilégier une politique d’offre, basée sur la baisse de la fiscalité sur les entreprises, afin de lutter contre le chômage de masse et de faire face à la compétition accrue entre les partenaires de la zone euro, engagés dans des politiques de réformes structurelles et de déflation compétitive. Cette politique d’offre a pour but de rétablir la compétitivité de l’économie française et de dynamiser l’emploi, tout en maintenant le cap de réduction rapide des déficits publics structurels. Concrètement, cela a donné lieu à la mise en place du CICE, un crédit d’impôt égal à 6 % de la masse salariale correspondant aux salaires de moins de 2,5 SMIC, et du Pacte de responsabilité, correspondant à une baisse de cotisations sociales patronales pour les salaires compris entre 1 et 3,5 SMIC, ainsi qu’une baisse de la fiscalité sur les entreprises[1].
Or début 2016, soit huit ans après le déclenchement de la crise, l’économie française vient tout juste de retrouver le niveau de PIB par habitant qui prévalait au 1er trimestre 2008, et affiche un taux de chômage proche de 10 % de la population active, soit plus de 3 points de pourcentage au-dessus de son niveau d’avant-crise. Compte tenu de ce constat, l’évaluation de l’efficacité de cette politique d’offre constitue un enjeu majeur.
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Observatoire des inégalités - Quelle politique pour réduire les inégalités ?
7 juin 2016 - De l’école au monde du travail, en passant par l’accès aux soins ou au logement, la France, l’un des pays les plus riches au monde, a les moyens de s’attaquer aux inégalités. Encore faudrait-il en avoir la volonté politique. Par Louis Maurin et Nina Schmidt de l’Observatoire des inégalités. Extrait de l’ouvrage « Que faire contre les inégalités ? 30 experts s’engagent ».
Les inégalités sont à la mode. Qu’attend-on pour agir concrètement ? [1] Définir un programme politique n’est pas le rôle de l’Observatoire des inégalités. Ce serait d’ailleurs vain puisqu’en son sein même, des sensibilités diverses s’expriment. L’ouvrage « Que faire contre les inégalités ? 30 experts s’engagent » est une boîte à idées dans laquelle vous pouvez piocher. Fiscalité, éducation, santé, logement, égalité entre les femmes et les hommes, etc. : de nombreux domaines y sont abordés. À un an de l’élection présidentielle, il ne devrait pas être inutile. Sans tenter de faire une synthèse des contributions, au moins peut-on essayer de donner quelques pistes qui sortent des sentiers partisans traditionnels.
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