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  • Elections européennes 2024 : les sondages

    Les Echos - Européennes 2024 : le risque de l'émiettement pour la gauche

    Les annonces de listes en vue des élections européennes du 9 juin prochain se multiplient. La gauche pourrait en pâtir, comme en 2019, lors de la répartition des sièges.

    Il y a quelques semaines, le président de la Fédération des chasseurs, Willy Schraen, a annoncé se lancer dans la bataille des européennes avec une liste composite, autoproclamée représentante de la « ruralité heureuse » . Une liste de plus, pourrait-on dire, alors que la gauche a annoncé partir en ordre dispersé et qu'il y aura, sans nul doute, une inflation de « petites » listes, des animalistes aux royalistes, en passant par les révolutionnaires d'extrême gauche.

    IFOP - Balise d’opinion #247 Les intentions de vote aux élections européennes de 2024

    A l’approche du scrutin européen, notre nouveau sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio révèle la dynamique suivante : la liste du Rassemblement National creuserait encore l’écart face à la majorité présidentielle et Marion Maréchal fait pour la première fois jeu égal avec la liste des Républicains.... A gauche, le Parti Socialiste conduit par Raphaël Glucksmann atteint les 10% d’intentions de vote et creuse l’écart avec la liste de la France Insoumise (7% d’intention de vote, moins deux points par rapport à octobre).

    France Info - Elections européennes 2024 : en hausse, le Rassemblement national est en tête des intentions de vote, selon un sondage

    A la deuxième place, la liste Renaissance affiche 20% d'intentions de vote, selon cette étude d'opinion publiée par "Le Monde".
    Un boulevard pour l'extrême droite ? Le Rassemblement national arriverait en tête avec 28% des intentions de votes aux élections européennes de 2024, selon un sondage réalisé par Ipsos et Sopra Steria en partenariat avec le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) et Le Monde, publié samedi 16 décembre. Un chiffre en hausse de quatre points par rapport à juin.
     
     
    La nouvelle édition de cette enquête, réalisée du 29 novembre au 12 décembre auprès de 11 691 personnes, confirme que le Rassemblement National s’installe largement en tête des intentions de vote à six mois des élections européennes. Elle révèle par ailleurs que le conflit entre Israël et le Hamas génère avant tout chez les Français des sentiments de tristesse et d’inquiétude et qu’il provoque, pour la grande majorité d’entre eux, une montée de l’antisémitisme en France.... L’enquête fait ainsi apparaître la très grande singularité des électeurs de la France Insoumise, y compris au sein de l’espace des gauches, et combien les évènements du 7 octobre ont ajouté une fracture supplémentaire au sein d’une Nupes déjà amplement fragilisée.
     
     
    Le Rassemblement National en tête, haut la main. À six mois des élections européennes, le Rassemblement National serait largement plébiscité par les Français selon un sondage Ifop Fiducial pour Sud Radio que nous vous dévoilons ce vendredi 15 décembre. Une liste conduite par Jordan Bardella recueillerait, en juin prochain, 30% des suffrages.
  • PS - Loi immigration : le déshonneur

    Loi immigration : le déshonneur

    – Mardi 19 décembre 2023

    Le Parti socialiste, le groupe Socialistes et apparentés de l'Assemblée nationale, le groupe Socialiste, écologiste et républicain du Sénat

    Ce 19 décembre 2023 restera comme une date sombre dans l’histoire de la République. Un projet de loi sur l’immigration, inspiré du programme historique de l’extrême-droite, vient d’être adopté par le Parlement avec les voix du Rassemblement national.

    Préférence nationale dans l'attribution des aides sociales, déchéance de nationalité, remise en cause du droit du sol, durcissement du regroupement familial, attaques contre les étudiants étrangers et les étrangers malades, exclusion des étrangers sans papiers de l’hébergement d’urgence… La minorité présidentielle avait fixé des lignes rouges, elles ont toutes été allègrement transgressées et ce sont désormais les lignes bleu marine qui sont franchies.

    Ils ont tout cédé. Leurs amendements, leurs articles, leurs valeurs, leur honneur. Cette loi Darmanin-Le Pen-Ciotti est une infâme loi raciste de police des étrangers. Elle demeurera comme le moment où le mandat d’Emmanuel Macron s’est vautré dans le déshonneur.

    Les parlementaires socialistes saisiront le Conseil constitutionnel afin d’obtenir la censure de cette loi.

    En 2017 et en 2022, nous avons uni nos voix contre le Rassemblement National pour faire élire Emmanuel Macron. Ce temps est désormais révolu, puisque le gouvernement en est désormais le porte-voix. Le Président du barrage républicain est devenu celui du naufrage républicain.

  • Boris Vallaud - « C'est la fin du "en même-temps" et le début d'une cohabitation avec la droite d'Éric Ciotti. »

  • Olivier Faure - Loi immigration : "J'appelle le président de la République à ne pas promulguer cette loi"

  • PS - Conclusion de la convention « Le temps des femmes »

    Diffusée en direct le 9 déc. 2023 Samedi 9 décembre, à partir de 17h30, suivez la conclusion de l'événement de la convention « Le temps des femmes » en direct depuis Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).

    Avec : - Cécilia Gondard, co-pilote de la convention « Le temps des femmes », secrétaire nationale adjointe au Nouveau modèle de développement et aux Droits humains ; - Marie Le Vern, co-pilote de la convention « Le temps des femmes », secrétaire nationale aux Droits des femmes ; - Olivier Faure, Premier secrétaire.

  • PS : COP28 : une mention historique, mais pas un accord historique autour des « énergies fossiles »

    COP28 : une mention historique, mais pas un accord historique autour des « énergies fossiles »

    – Jeudi 14 décembre 2023

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Nathalie Sarrabezolles, secrétaire nationale à l’Environnement et la Protection des communs

    Bertrand Cavalerie, secrétaire national adjoint aux Biens communs

    Le Parti socialiste a pris connaissance du nouveau projet de décision présenté par la présidence de la COP28. S’il considère que ce texte comporte une avancée historique par rapport à la COP26 en mentionnant explicitement les « énergies fossiles », il ne le considère pas pour autant comme un « accord historique » puisque la mention de leur sortie n’y figure pas.

    Pourtant, les rapports scientifiques se succèdent pour nous indiquer que la limitation du réchauffement climatique à 1,5°C ne sera possible qu’à condition de sortir de l’ère des combustibles fossiles. Pour les socialistes, celle-ci devra s’organiser dans la justice et l’équité, notamment à l’égard des pays du Sud.

    La première version du texte de compromis était très faible et semblait surtout répondre aux exigences de l’Opep. C’est à l’initiative de Teresa Ribera, la ministre de la transition écologique espagnole, dont le pays assure la présidence tournante du conseil européen, et de John Kerry, l’envoyé spécial américain, qui ont su regrouper de nombreux États, qu’un nouveau texte a été présenté par la président de la COP28. Celui-ci fait notamment référence aux travaux du GIEC et mentionne la réduction de 43 % des émissions en 2030 par rapport au niveau de 2019, un objectif ambitieux.

    Nous pouvons également nous féliciter à ce titre que de plus en plus d’États partagent ces objectifs et que le texte issu de la COP28 réaffirme clairement la nécessité de limiter l'augmentation de la température mondiale à 1,5°C et que cela nécessite des réductions drastiques des émissions au cours de cette décennie.

    Pour la première fois, on reconnaît la nécessité de s’éloigner des combustibles fossiles – après de nombreuses années pendant lesquelles le débat sur cette question a été bloqué. On peut également se satisfaire de l’objectif annoncé de tripler la capacité de production d'énergies renouvelables et augmenter leur efficacité d'ici 2030.

    Mais alors que la COP28 a fait le premier bilan de l’accord de Paris sur le climat, pointant le décalage entre les engagements des États et ce qui serait nécessaire pour limiter le réchauffement climatique sous 2° et proche des 1,5, le texte ne va pas assez loin. Il appelle seulement les États à contribuer à des « efforts » et « chacun à sa manière ». Une incitation mais pas d’objectifs, des efforts mais sans contrainte, chacun pourra faire ce qu’il veut.

    Il ne retient pas non plus l’idée de « sortir » des énergies fossiles, comme nous pouvions l’espérer, mais seulement de « s’en éloigner ». Aucun objectif quantitatif, aucun calendrier, aucun critère contraignant n’est mentionné pour mettre un terme à la production et à la consommation de ces énergies fossiles.

    Elles pourront donc continuer à être utilisées, notamment pour fabriquer du plastique. Rappelons que la France d’Emmanuel Macron, qui appelle officiellement à ne plus financier les centrales au charbon, consacre en 2023 plus de 15 milliards d’euros de la dépense publique aux énergies fossiles selon les estimations du Réseau Action Climat. Faites ce que je dis, pas ce que je fais…

    Enfin, les financements ne sont pas à la hauteur des besoins, que ce soit pour le déploiement d’alternatives aux énergies fossiles, pour l’adaptation, pour les pertes et dommages qui permettent dans les pays fragiles de reconstruire post-catastrophe. En tout, 400 millions de dollars, soit le montant des salaires des « trois footballeurs les mieux payés au monde » comme le rappelait ce matin sur France inter Valérie Masson-Delmotte, la spécialiste du climat.

    Au final, la décision issue de la COP 28 apparaît surtout comme un exercice d’acrobatie diplomatique pour obtenir un consensus autour de la mention des énergies fossiles, non pas pour programmer leur fin, mais pour les conserver encore un peu. Comme le rappelait António Guterres, le secrétaire général de l’ONU, « que cela vous plaise ou non, l’élimination progressive des combustibles fossiles est inévitable. Espérons que cela n'arrive pas trop tard ».

  • PS - Table-ronde : le point de vue de la société civile

    Diffusée en direct le 9 déc. 2023

    Samedi 9 décembre, à partir de 17h00, suivez la deuxième table-ronde de l'événement de la convention « Le temps des femmes » en direct depuis Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) : « Le point de vue de la société civile ». Animation : Laure Botella, secrétaire nationale adjointe à la Lutte contre les violences faites aux femmes et aux Politiques d’égalité, membre du comité de pilotage de la convention « Le temps des femmes » Avec : - Corinne Hirsch, experte de l’égalité profesionnelle ; - Céline Thiebault-Martinez, présidente de la CLEF (Coordination française pour le lobby européen des femmes) ; - Elsa Labouret, porte-parole d'Osez le Féminisme ; - Flora Bolter, codirectrice de l’Observatoire LGBTI+ à la Fondation Jean-Jaurès, membre de HES LGBTI+.

  • L'union de la Gauche et des écologistes. Où en est-on ? (revue de presse mise à jour le 6 décembre)

    Politis - De quoi le tweet de Jean-Luc Mélenchon contre Ruth Elkrief est-il le nom ?

    Le patron des insoumis use des réseaux sociaux pour dominer le débat public. Une stratégie non sans risques pour sa crédibilité et celle de LFI.

    Le serial-twitteur Jean-Luc Mélenchon a encore frappé. Le patron de LFI a déclenché une nouvelle tempête politico-médiatique dimanche en ciblant la journaliste Ruth Elkrief, la qualifiant de « fanatique » qui « méprise les musulmans », suite à un échange des plus vifs entre la journaliste et Manuel Bompard sur LCI. La petite phrase fait l’effet d’une bombe. LFI se retrouve à nouveau soupçonnée d’antisémitisme par toute l’éditocratie, d’Apolline de Malherbe (BFM) à Pascal Praud (News) ou encore Frédéric Haziza (Radio J), ce dernier allant jusqu’à le comparer à Jean-Marie Le Pen. Un réquisitoire qui ulcère le premier cercle de Jean-Luc Mélenchon : « Critiquer le travail d’une journaliste, c’est être antisémite, désormais ? Jean-Luc n’a jamais été condamné, contrairement à Jean-Marie Le Pen, c’est ignoble de faire ce lien », s’indigne son entourage, sollicité par Politis.

    France Info - "On en a marre, on n'est pas là pour ça" : des militants de la Nupes embarrassés par les derniers tweets de Jean-Luc Mélenchon

    En pleine polémique sur les propos de Jean-Luc Mélenchon sur la journaliste Ruth Elkrief, des militants de gauche rencontrés lors d'un meeting affichent un certain embarras.
     
    La gauche veut avancer loin des posts de Jean-Luc Mélenchon. Plusieurs meetings contre le projet de loi immigration sont organisés en ce moment, avant l'arrivée du texte à l'Assemblée nationale, lundi 11 décembre, le premier avait lieu lundi soir à la Bellevilloise, à Paris. Et en pleine polémique sur les propos du leader insoumis sur la journaliste Ruth Elkrief, plusieurs militants le disent clairement : ils veulent parler d'autre chose.
     
     
    Terrain de jeu favori de Donald Trump pendant son mandat, Twitter - depuis renommé X - est devenu l’arme communicationnelle de prédilection du leader de La France insoumise (LFI). Avec quelque 2,7 millions d’abonnés sur le réseau social, Jean-Luc Mélenchon provoque invariablement une déflagration médiatique à chaque nouvelle publication. La dernière en date a pris la forme d’un dénigrement ad hominem de la journaliste Ruth Elkrief
     

    Le leader de La France insoumise avait qualifié l’éditorialiste de LCI de « fanatique », l’accusant de mépriser les musulmans.

    Un post qualifié de « cible dans le dos », et des conséquences concrètes. Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé, lundi 4 décembre, avoir mis sous protection policière la journaliste de LCI Ruth Elkrief, accusée dimanche par Jean-Luc Mélenchon sur le réseau social X d’être une « fanatique » et de mépriser les musulmans.

     
     
     
    «Ce n’est pas de mon fait» s’il n’y a plus de Nupes, s’est défendu le leader de La France Insoumise ce samedi sur France Inter. Depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre, LFI est vivement critiquée par le reste de l’alliance de gauche pour ses prises de position sur le conflit entre l’organisation terroriste et Israël.

    HuffPost - Accusés par Jean-Luc Mélenchon d’avoir tué la NUPES, Olivier Faure et Marine Tondelier répliquent

    S’il a acté la fin de la NUPES, Jean-Luc Mélenchon estime qu’il n’en est point responsable. « Déni », lui répondent ses anciens alliés.

    C’est celui qui le dit qui l’est. Le patron du PS Olivier Faure et la cheffe des écologistes Marine Tondelier ont répondu ce samedi 2 décembre au leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon qui leur a imputé, ainsi qu’au Parti communiste, la responsabilité de la fin de la NUPES.

  • EN DIRECT | Webinaire : RN à Fréjus, un système en faillite ?

    Jeudi 23 novembre à 19h30, la commission nationale de lutte contre l'extrême droite organise une visioconférence avec Elsa Di Méo, ancienne conseillère municipale de Fréjus, intitulée : « RN à Fréjus : un système en faillite ? ». Sarah Kerrich et Ninuwé Descamps échangeront avec elle notamment autour de l'ouvrage de Camille Vigogne Le Coat : Les rapaces (Éditions les Arènes).

  • L'avenir de la NUPES (revue de presse mise à jour le 1er décembre)

    Le Figaro - «Il n'y a plus de Nupes» : Jean-Luc Mélenchon enterre officiellement l’alliance de gauche

    Le coordinateur de La France insoumise (LFI) Manuel Bompard déplorait ce mercredi le « constat du blocage » de la Nupes en raison de « désaccords stratégiques profonds ». Dès le lendemain, lors d’une réunion publique à Rochefort (Charente-Maritime), Jean-Luc Mélenchon a officiellement enterré la coalition en déclarant : «il n’y a plus de Nupes, alors on fait semblant qu’il y en a toujours une (...) Ce qu'on a construit est déjà détruit.» À peine un an après la conclusion de cet accord historique et à sept mois des Européennes, les relations entre Insoumis et les autres partis de gauche sont plus que jamais exécrables.

    La Dépêche - "Il est important que toute la gauche parle d'une seule voix" : la NUPES se réconcilie sur le dos de la loi

    Les quatre groupes de gauche se reparlent afin d'afficher un semblant d'unité durant les débats sur la loi Immigration. Mais sous le vernis, les divergences stratégiques sont toujours bien réelles.

    Après des mois passés à faire l'inventaire de ses points de désaccord, la NUPES vient de se trouver à nouveau un combat commun : le projet de loi de Gérald Darmanin sur l'immigration. « Une saloperie sans nom », nous lançait la semaine dernière Julien Bayou.

    Le Point - Coup de théâtre à gauche : le PRG prépare une liste anti-Nupes aux européennes

    Mécontent que le PS n’ait pas rompu avec Jean-Luc Mélenchon, le Parti radical de gauche entend monter sa propre liste, soutenue notamment par Bernard Cazeneuve.

    Guillaume Lacroix avait prévenu lors du congrès du Parti radical de gauche (PRG), en mars : si le Parti socialiste (PS), avec lequel il s'était allié aux dernières élections européennes, ne rompait pas clairement avec la Nupes, le PRG présenterait une liste lors de ce scrutin. Réélu à la tête du PRG au congrès avec cette promesse, Guillaume Lacroix devrait mettre sa menace à exécution samedi 25 novembre, lors d'une convention du parti. La liste pourrait y être annoncée. « Nous y travaillons, les discussions vont bon train, confirme-t-il au Point. Les élections européennes sont le dernier scrutin national avant la présidentielle, nous serions irresponsables si la gauche n'était pas rassemblée. »

    20 minutes - Au Parti socialiste, le grand brouillard après le « moratoire » sur la Nupes

    IMPASSE Entrainés très rapidement, et sans vraiment le vouloir, dans une rupture avec les insoumis, les socialistes pourraient se retrouver dans leur position flottante d’avant 2022....

    La question se pose alors : le Parti socialiste a-t-il les moyens de son moratoire ? « C’est une bonne question… », reconnaît le même. D’abord sur la forme : le Parti socialiste peut-il s’appliquer à lui-même ce qu’il réclame à la France insoumise, c’est-à-dire renoncer à sa liberté de parole comme parti et s’entendre d’abord sur chaque sujet avec ses partenaires ? Serait-il, par exemple, capable d’accepter sans broncher une coalition de gauche qui décide majoritairement de renoncer à l’autoroute Toulouse-Castres, pour laquelle la présidente PS de l’Occitanie, Carole Delga, se bat ? C’est très douteux.

    Slate - Jean-Luc Mélenchon est devenu celui dont (presque) toute la gauche veut se débarrasser

    Bâtie pour les législatives de 2022, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale devait être, en sous-main, un instrument au service du leader de La France insoumise. Las, la dislocation de ce cartel électoral met à mal cette stratégie.

    C'est peu dire que la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) est très mal en point. Depuis des mois, Jean-Luc Mélenchon, qui en fut l'instigateur dans le cadre de la préparation des élections législatives de juin 2022, après la réélection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, n'a de cesse de donner des coups de boutoir à son cartel électoral.

    Sud Radio (vidéo) - Marine Tondelier - "La Nupes est devenue une source de désespoir"

    Europe 1 - Quel avenir pour la gauche ? : «Aujourd'hui il n'y a plus de Nupes» atteste le politologue Dorian Dreuil

    Tous les samedis et dimanches à 18h17, Pierre de Vilno reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir Dorian Dreuil, politologue, expert associé à la Fondation Jean Jaurès.

    France "La Nupes, c'est terminé !" François Hollande veut enterrer l'alliance de gauche à la Fête de la Rose

    L'ancien chef de l'Etat a profité de la traditionnelle Fête de la Rose à Laguenne-sur-Avalouze (Corrèze) pour délivrer une violente charge à l'encontre de la Nupes et du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon.

    À la Fête de la Rose, il y avait comme une épine dans le pied que François Hollande a tenté d'arracher : la Nupes, l'alliance des partis de gauche depuis les dernières élections législatives. Une coalition menée par les députés de la France Insoumise, majoritaires dans le groupe de gauche à l'Assemblée nationale.

    France Info - Nupes : "Je questionne la stratégie de La France insoumise à l'heure actuelle", confie le député LFI Alexis Corbière

    "On me dit : il faut que le débat ait lieu à l'interne, on lave le linge sale en famille, raconte Alexis Corbière. Je cherche encore les lieux ou la pièce où ça se passe".
     
    "Je que - stionne la stratégie de La France insoumise à l'heure actuelle", confie jeudi 16 novembre sur franceinfo, Alexis Corbière, député LFI de la Seine-Saint-Denis. "Je pense que parfois nous-mêmes, nous créons les conditions pour que ce rassemblement [de la gauche au sein de la Nupes] ne soit pas simple", estime l'insoumis.
     
     
     
    Si le divorce n’est pas encore prononcé, la rupture est officiellement actée. Après un mois et demi de turbulences au sein de la Nupes, à la faveur de la guerre en Israël et le Hamas, le Parti communiste a décidé de prendre ses distances avec La France Insoumise. Il faut dire que les prises de position ambiguës du parti mélenchoniste sur le conflit au Proche-Orient et à l’égard du Hamas l’ont isolé dans la classe politique et la Nupes. Invité de RTL mercredi soir, le secrétaire national du PCF Fabien Roussel a indiqué que son parti «avait définitivement rompu avec LFI». «Nous avons fait voter une déclaration en Conseil national, votée à 93%, qui a fait le constat que la Nupes était une impasse et qu’il est urgent de reconstruire une union, un rassemblement de la gauche capable de gouverner demain», a ainsi proposé l’ancien candidat à la présidentielle. La main est donc tendue.

    Europe 1 - L'alliance de la Nupes ne pourra «pas reprendre», estime Jérôme Guedj (PS)

    Jérôme Guedj, député socialiste de l'Essonne, a déclaré ce mercredi que le Parti Socialiste (PS) ne prendra plus part au travail de coordination de la Nupes. Une décision liée à la prise de position de Jean-Luc Mélenchon sur la guerre opposant Israël et le Hamas. 

    "On ne pourra pas reprendre le travail de coordination" des partis de gauche au sein de la Nupes, a tranché mercredi le député socialiste Jérôme Guedj, enterrant définitivement une alliance mise à mal par les prises de position de Jean-Luc Mélenchon sur la guerre entre Israël et le Hamas. Le Parti socialiste avait décidé de suspendre sa participation à l'alliance le 18 octobre.

    Le Figaro - «J’ai juste envie de les claquer» : Ariane Ascaride et Robert Guédiguian ulcérés par la Nupes

    Invité de RTL lundi pour la promotion de leur nouveau film Et la fête continue, le couple du cinéma a dénoncé le comportement des représentants de la gauche dont ils ne supportent plus les divisions.

    BFM - Pour Clémentine Autain, "Jean-Luc Mélenchon n'est pas éternel"

    Ni la Nupes, ni La France insoumise, ne se réduisent "aux seuls propos de Jean-Luc Mélenchon", souligne Clémentine Autain sur BFMTV-RMC.

    "Frondeur"? Clémentine Autain n'aime pas trop ce terme auquel elle est associée au sein de La France insoumise, aux côtés d'autres députés comme François Ruffin, Raquel Garrido ou Alexis Corbière, non retenus, comme elle, dans la direction du mouvement en décembre 2022. Et auteurs de prises de distances régulières depuis.

    L'Express - Marche contre l’antisémitisme : l’absence des insoumis, le malaise au sein de la Nupes

    L’ensemble des partis politiques ont participé, dimanche 12 novembre, à la marche contre l’antisémitisme organisée par les deux présidents du Parlement. Tous, à l’exception de La France insoumise, qui provoque l’embarras au sein de l’alliance de gauche.

    Il est de tradition de faire savoir aux absents qu’ils ont toujours tort. Mais, dimanche 12 novembre, ce sont eux qui fanfaronnent et montrent du doigt les participants à la marche contre l’antisémitisme, organisée à l’initiative de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et de son homologue du Sénat, Gérard Larcher.

    TF1 - "La Nupes a vécu, c'est terminé" : Fabien Roussel confirme sur LCI son départ de l'alliance de gauche

    Fabien Roussel enterre définitivement sa participation au sein de la Nupes. L'alliance des partis de gauche, née avant les élections législatives 2022 de l'idée de Jean-Luc Mélenchon, est décidément largement remise en cause, notamment depuis le 7 octobre et le refus d'une partie de La France insoumise de qualifier le Hamas "d'organisation terroriste". Invité dans L'Événement du dimanche LCI, le député et secrétaire national du Parti communiste (PCF), Fabien Roussel, confirme qu'il quitte l'union.