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ps - Page 5

  • Fondation Jean Jaurès - Héritiers de l’avenir : Robert Badinter

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Robert Badinter, ancien président du Conseil constitutionnel, ancien Garde des Sceaux et ministre de la Justice, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Robert Badinter devient en 1981 ministre de la Justice de François Mitterrand dans le deuxième gouvernement de Pierre Mauroy. Proche du nouveau président depuis plusieurs années, il reste avant tout comme celui qui abolit la peine de mort dans notre pays. Dans cet entretien, au-delà de l’abolition, Robert Badinter revient sur sa relation avec le Parti socialiste, nous fait participer aux coulisses de la campagne présidentielle de 1981 et évoque aussi une autre réforme emblématique portée par la gauche au pouvoir, la dépénalisation de l’homosexualité. Il revient longuement sur sa présidence au Conseil constitutionnel et son action pour instaurer la question prioritaire de constitutionnalité (QPC).

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  • LCP - Raphaël Glucksmann bientôt tête de liste du Parti socialiste aux européennes, confirme Olivier Faure

    Ce lundi 29 janvier, lors de ses vœux le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Olivier Faure, a confirmé la nomination du co-président de Place publique, Raphaël Glucksmann, comme tête de liste du Parti socialiste aux élections européennes du 9 juin prochain....

    L’agroécologie au centre des politiques européennes

    Lors de ses vœux, le premier secrétaire du PS a fustigé “l’Europe du libéralisme” et a dénoncé une politique du “tout marché», à l’origine de l’exaspération des agriculteurs selon lui. S’il admet que les normes agricoles gagneraient à être simplifiées, il a néanmoins réaffirmé le rôle central de l’agroécologie dans les politiques européennes : “Faire du Green Deal le coupable, c’est éviter de traiter le problème à la racine”.

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  • Fondation Jean Jaurès, Jérôme Guedj - Loi immigration : préférence nationale et remise en cause des fondements de la Sécurité sociale

    La loi sur l’immigration votée en décembre 2023 prévoit qu’une grande partie des prestations sociales et l’APA soient soumises à une obligation de résidence de cinq ans en France ou à une durée d’activité professionnelle minimale. Jérôme Guedj, député et membre de la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, et le Collectif République sociale décortiquent le contenu de cette loi qui s’attaque à ce qui est au cœur de notre pacte social : notre système de protection sociale.

    Depuis le 19 décembre 2023, commentaires et analyses se sont multipliés sur la loi immigration. Mais, pour l’essentiel, ils se sont focalisés sur la signification politique du vote. Pas sur le contenu de la loi. Et pour cause, jusqu’au bout, il a évolué dans le huis clos d’une commission mixte paritaire (CMP) et des pré-négociations dans le bureau de la Première ministre… Les sénateurs – à 19 h – comme les députés – à 21 h 30 – ont eu à se prononcer sur un texte définitivement écrit à 16 h et comportant près de… 90 articles ! Au passage, on ne peut que constater l’aberration de cette procédure parlementaire, qui aboutit, au final, à ce que la plupart des parlementaires soient contraints de se prononcer par un vote sur un texte qu’ils n’ont pas lu… Il est donc essentiel de décortiquer les articles, et notamment ceux qui introduisent le ferment de la préférence nationale dans notre système de protection sociale. Au mépris de son histoire et surtout de ses finalités.

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  • Alexandre Ouizille - L'inflation, phénomène antisocial

    21 janv. 2024

    L’inflation est la préoccupation principale des français. La hausse des prix à la consommation grignotte sérieusement leur pouvoir d’achat. Dans cette vidéo, je vous explique pourquoi les français ont évidemment raison d’en faire le sujet de préoccupation numéro un. L’inflation que nous connaissons est triplement anti-sociale. D’abord, l’inflation que nous connaissons, c’est l’inflation importée.

    C’est la hausse de l’énergie et des matières premières, qui augmente tous les prix mais les salaires ne sont pas indexés sur l’inflation. Ensuite, l’inflation est antisociale car elle est injuste : 10 % des français subissent 7 % d’inflation - les plus modestes - quant 10% des français - les plus riches - subissent seulement 3 % d’inflation de sa consommation effective. Troisiemement, l’inflation importée a donné lieu à une grande hausse de la dépense publique avec le bouclier tarifaire et au retour de la voracité des superprofits par les grands groupes.

    Or, le Gouvernement a refusé de taxer les superprofits pour payer la dette générée par ce dispositif de protection. C’est donc la hausse des prix dans le futur et la hausse des taxes - dont celle de 10% en 2024 sur les prix de l’électricité - qui vont servir à payer la dette publique générée par les superprofits et la boucle prix-profits. Face à ce choc, nous, socialistes, défendons une idée simple mise en place dans plusieurs pays européens dont l’Espagne : une taxe sur les superprofits.

  • France Info - VRAI OU FAUX. Les revenus des actionnaires en France ont-ils augmenté dix fois plus vite que l’inflation, comme l'affirme Olivier Faure ?

    Le patron du parti socialiste Olivier Faure a affirmé sur France Inter que les revenus versés aux actionnaires du CAC40 ont été multipliés par quatre en vingt ans et qu’ils ont augmenté dix fois plus vite que l’inflation. C’est vrai, selon les derniers chiffres de la Lettre Vernimmen.net. 

    Le coordinateur national de la France insoumise, Manuel Bompart, le député LFI de Seine-Saint-Denis, Thomas Portes, ou encore le premier secrétaire du parti socialiste, Olivier Faure, la gauche s’insurge contre les revenus touchés par les actionnaires du CAC 40 en 2023. "97 milliards d’euros ont été distribués aux actionnaires dans l’année qui s’est écoulée pour le CAC 40, c’est dix fois plus que l’inflation en vingt ans et quatre fois plus que ce qu’on avait pu observer jusqu’ici", affirme Olivier Faure sur France Inter mardi 9 janvier. Est-ce vrai ?

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  • Olivier Faure - « Le pouvoir est à l'Élysée et Jupiter ne partage pas ! »

    9 janv. 2024

    Mardi 9 janvier 2024, Olivier Faure était l'invité de Sonia Devillers dans la matinale de France Inter. Retrouvez cet entretien en intégralité !

  • France Inter - Paul Magnette : "Le nationalisme, c'est le fléau que subit l'Union européenne aujourd'hui"

    5 janv. 2024

    Paul Magnette, bourgmestre de Charleroi et président du Parti Socialiste belge, est l'invité du Grand Entretien, à l'occasion de la sortie de "L'autre moitié du monde" (Edition La Découverte)

  • Le meilleur de 2023 - Libé : Comment la Nupes a explosé en seulement dix jours

    La position des insoumis sur l’attaque du Hamas en Israël semble être l’étincelle qui fait lentement exploser la Nupe. Charlotte Belaïch et Sacha Nelken, journalistes politiques à Libération, analysent les dix jours qui ont achevé l'union lancée par Jean-Luc Mélenchon. #nupes #mélenchon #gauche

  • PS - Décès de Jacques Delors : nous perdons aujourd’hui un immense camarade, la France l’un de ses plus fidèles serviteurs, l’Union Européenne l’un de ses fondateurs

    Décès de Jacques Delors : nous perdons aujourd’hui un immense camarade, la France l’un de ses plus fidèles serviteurs, l’Union Européenne l’un de ses fondateurs

    Mercredi 27 Décembre 2023

    Le Parti socialiste apprend avec une profonde tristesse la disparition de Jacques Delors qui avait rejoint les rangs socialistes en 1974 dans l'espoir “d'être utile”. Il restera l’un des grands constructeurs de l’Europe contemporaine.

    Syndicaliste épris de justice sociale au sein de la CFTC, puis de la CFDT, adepte de la contractualisation qu’il mit en application au secrétariat au plan, Jacques Delors était un réformiste humaniste.

    Compagnon de route de François Mitterrand, il se voit confier le suivi des dossiers économiques. Devenu ministre, il se fait connaître comme un réaliste, animé par la volonté de faire baisser l’inflation qui frappe d’abord les classes populaires et de réformer le pays dans la justice, tout en tenant compte des réalités économiques et financières.

    C’est à la tête de la Commission européenne où il est nommé en 1985, que le talent et la vision de Jacques Delors prennent une nouvelle dimension. Il défend alors l’économie de marché tout en pourfendant la société de marché. Il prône l’affirmation d’une Europe puissance, seul espace capable selon lui de rivaliser dans la mondialisation avec les blocs régionaux qui se constituent. C’est en ce sens qu’il soutient la réunification allemande après la chute du mur de Berlin et fait de la monnaie unique l’une de ses batailles, de même que celle de l’Europe de la culture, de l’économie sociale et de la connaissance.

    Homme de conviction plus que d’ambition, il renonce à se présenter à l’élection présidentielle de 1995 alors que les sondages lui étaient favorables, ouvrant ainsi la porte à une nouvelle génération de socialistes derrière Lionel Jospin.

    Nous perdons aujourd’hui un camarade, la France l’un de ses fidèles serviteurs et l’Europe l’un de ses fondateurs.

    Le Parti socialiste adresse ses plus sincères condoléances à sa famille et un message affectueux à Martine Aubry.