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ps - Page 3

  • Le Parisien - Pesticides : un député socialiste, des agriculteurs et des consommateurs attaquent l’Etat en justice

    « Pouvons-nous continuer à consommer des produits agricoles ayant fait l’objet de traitements dangereux pour notre santé et interdits en France ou en Europe ? », écrit un collectif d’agriculteurs.

    Ils ne demandent pas à changer la loi mais simplement à ce qu’elle soit appliquée. Un collectif d’agriculteurs, des consommateurs et le député socialiste de l’Eure Philippe Brun attaquent l’Etat en justice pour « concurrence déloyale », afin de l’obliger à interdire l’importation de produits agricoles pour lesquels des pesticides ont été utilisés ou ne respectant pas les normes européennes.

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  • Rejet du congé menstruel au Sénat : "les femmes devront encore attendre", déplore Laurence Rossignol

    15 févr. 2024

    À l’occasion de leur niche parlementaire, les sénateurs socialistes défendaient la création d’un congé menstruel, permettant aux femmes atteintes de règles invalidantes de s’arrêter de travailler deux jours par mois. Une proposition de loi rejetée par la majorité sénatoriale et par le gouvernement, malgré les amendements de compromis déposés par les élus centristes.

  • Le Zap'Parlementaire : droit du sol à Mayotte, grand âge, fermeture de classes, DPE des logements...

    Pour voir ou revoir toutes les questions au gouvernement des socialistes au Parlement, regardez le Zap'Parlementaire !

  • Ubérisation : Emmanuel Macron, l’illusion perdue du progrès social en Europe

    Ubérisation : Emmanuel Macron, l’illusion perdue du progrès social en Europe

    – Vendredi 16 février 2024

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Olivier Jacquin, sénateur de Meurthe-et-Moselle, secrétaire national aux Mobilités et aux Transports

    Nora Mebarek, députée européenne, cheffe de la délégation française socialiste et écologiste

    L’Union Européenne avait cette après-midi une nouvelle fois la possibilité de concrétiser une grande avancée sociale pour plus de 4 millions de travailleurs européens. Fidèle à lui-même, Emmanuel Macron a pesé de tout son poids pour l’empêcher et arriver à ses fins.

    Depuis deux ans, le commissaire européen socialiste luxembourgeois Nicolas Schmit porte le sujet des droits sociaux des « ubérisés », ces travailleurs des plateformes numériques de travail.

    A plusieurs reprises le Parlement Européen et une majorité de gouvernements ont exprimé leur soutien à son projet de directive. Un premier compromis avait été atteint en fin d’année sous l’impulsion du gouvernement socialiste espagnol qui présidait alors l’UE. Il a été mis en échec par la France. Depuis le 1er janvier, la nouvelle présidence belge a repris le flambeau et obtenu un nouveau compromis, moins-disant que le précédent. La France vient une nouvelle fois de le refuser empêchant l’adoption de la directive.

    En agissant ainsi, Emmanuel Macron porte un coup fatal à la construction d’un socle de droits sociaux pour des millions de travailleurs qui en sont dépourvus.

    Avec ses parlementaires mobilisés au Sénat et à l’Assemblée nationale  depuis 2019, le Parti socialiste reste plus que jamais mobilisé pour contrer la plateformisation à outrance de notre économie en avançant des mesures concrètes : présomption de salariat, inversion de la charge de la preuve en matière de requalification (aux entreprises de prouver que les travailleurs sont des indépendants et non à ces derniers de faire valoir leurs droits), transparence des algorithmes des plateformes…

    A 100 jours des élections européennes, preuve est définitivement faite que le discours pro-européen des macronistes ne trouve son salut que dans le libéralisme. Ils n’ont que faire de la valeur du travail et préfèrent organiser la précarité des jeunes générations.

    Ce sujet primordial sera au cœur de la campagne européenne des socialistes dont l’ambition est de faire basculer l’Europe du néolibéralisme vers le socialisme écologique. Nous nous battrons pour obtenir par les urnes ce que nous n’avons pas obtenu d'Emmanuel Macron.

  • Le Parti socialiste s'oppose à la remise en cause du droit du sol

    Le Parti socialiste s'oppose à la remise en cause du droit du sol

    – Lundi 12 février 2024

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Olivier Nicolas, secrétaire National aux Outre-mer

    Confronté à une situation catastrophique à Mayotte, dont il aura bien trop longtemps sous-estimé l'ampleur et l’urgence, le Gouvernement fait le choix de la surenchère sécuritaire en annonçant l’amplification de mesures, qui jusqu’ici, n’ont guère fait leurs preuves.

    Destinée à marquer les esprits dans l’archipel, mais surtout, en réalité, au niveau national où le débat est d’ores et déjà instrumentalisé par la droite et l’extrême-droite, la suppression pure et simple du droit du sol défendue désormais par le Gouvernement, n’aura qu’une efficacité marginale dans la lutte contre l’immigration clandestine.

    Le durcissement des conditions d’acquisition de la nationalité adopté au Parlement en 2018 pour le seul territoire mahorais, marquant en cela une première dérogation au droit commun, n’a pas eu l’effet escompté. S’il a fortement et logiquement réduit le nombre d’accès à la nationalité française (divisé par 3 en 2021 selon le ministère de l’Intérieur), il n’a eu aucun impact notable sur les flux d’arrivées d’étrangers à Mayotte. Une nouvelle fois, sans avancer le moindre élément objectif ni la moindre évaluation, le Gouvernement décrète que la nationalité française constitue toujours une attractivité déterminante pour les migrants arrivant à Mayotte et qu’il faut aller encore plus loin.

    La rupture d’égalité envisagée sur un principe fondateur de la République, ce n’est rien d’autre que le retour détestable aux droits différenciés de la nationalité qui étaient en vigueur à l’époque de la France coloniale. Et c’est en outre une porte ouverte à une inacceptable remise en cause du droit du sol à l’échelle nationale que l’extrême droite et la droite réclament de plus belle depuis les déclarations de Gérald Darmanin.

    Les socialistes continuent pour leur part de plaider pour une politique migratoire à Mayotte qui traite les conséquences mais surtout les causes de l’immigration en cours. Or, ces causes sont principalement à rechercher dans les déstabilisations économiques, sociales et bientôt climatiques qui sont à l'œuvre, aussi bien dans l’archipel des Comores que dans la région des grands lacs en Afrique, face auxquelles la promesse de « rideau de fer maritime » du ministre Darmanin apparaît comme une protection bien illusoire. C'est pourquoi nous affirmons que rien de pérenne et d'efficace ne se fera sans une politique ambitieuse de coopération et de co-développement dans la zone du canal du Mozambique et, en particulier, en direction des Comores où le manque de démocratie et un système de santé défaillant constituent les vraies motivations au départ.

    Les politiques de gestion des visas devra également être évaluée, en particulier celle des visas « territorialisés » qui condamnent Mayotte à gérer seule l’immigration régulière, et celle des visas Balladur qui ont profondément déstructuré les relations aussi bien économiques, culturelles et familiales entre Mayotte et les Comores.

    Et surtout, rien de pérenne ni d’efficace ne se fera sans redonner à la jeunesse mahoraise la perspective d’un avenir meilleur sur son territoire. C’est pourquoi nous en appelons à une action déterminée de l’État pour améliorer les conditions de vie quotidienne dans les domaines de la lutte contre la pauvreté, l’éducation, l’aide sociale à l’enfance, l’insertion et de la formation professionnelle, avec des services publics d’eau et d’assainissement enfin dignes de la République.

  • Fin du droit du sol à Mayotte : "Mayotte, c’est la France", réagit le socialiste Boris Vallaud

    12 févr. 2024

    Dimanche, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a annoncé une révision constitutionnelle destinée à supprimer le droit du sol à Mayotte. Le député socialiste des Landes Boris Vallaud s'y oppose.

  • Fondation Jean Jaurès - Héritiers de l’avenir : Robert Badinter

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Robert Badinter, ancien président du Conseil constitutionnel, ancien Garde des Sceaux et ministre de la Justice, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Robert Badinter devient en 1981 ministre de la Justice de François Mitterrand dans le deuxième gouvernement de Pierre Mauroy. Proche du nouveau président depuis plusieurs années, il reste avant tout comme celui qui abolit la peine de mort dans notre pays. Dans cet entretien, au-delà de l’abolition, Robert Badinter revient sur sa relation avec le Parti socialiste, nous fait participer aux coulisses de la campagne présidentielle de 1981 et évoque aussi une autre réforme emblématique portée par la gauche au pouvoir, la dépénalisation de l’homosexualité. Il revient longuement sur sa présidence au Conseil constitutionnel et son action pour instaurer la question prioritaire de constitutionnalité (QPC).

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  • LCP - Raphaël Glucksmann bientôt tête de liste du Parti socialiste aux européennes, confirme Olivier Faure

    Ce lundi 29 janvier, lors de ses vœux le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Olivier Faure, a confirmé la nomination du co-président de Place publique, Raphaël Glucksmann, comme tête de liste du Parti socialiste aux élections européennes du 9 juin prochain....

    L’agroécologie au centre des politiques européennes

    Lors de ses vœux, le premier secrétaire du PS a fustigé “l’Europe du libéralisme” et a dénoncé une politique du “tout marché», à l’origine de l’exaspération des agriculteurs selon lui. S’il admet que les normes agricoles gagneraient à être simplifiées, il a néanmoins réaffirmé le rôle central de l’agroécologie dans les politiques européennes : “Faire du Green Deal le coupable, c’est éviter de traiter le problème à la racine”.

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  • Fondation Jean Jaurès, Jérôme Guedj - Loi immigration : préférence nationale et remise en cause des fondements de la Sécurité sociale

    La loi sur l’immigration votée en décembre 2023 prévoit qu’une grande partie des prestations sociales et l’APA soient soumises à une obligation de résidence de cinq ans en France ou à une durée d’activité professionnelle minimale. Jérôme Guedj, député et membre de la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, et le Collectif République sociale décortiquent le contenu de cette loi qui s’attaque à ce qui est au cœur de notre pacte social : notre système de protection sociale.

    Depuis le 19 décembre 2023, commentaires et analyses se sont multipliés sur la loi immigration. Mais, pour l’essentiel, ils se sont focalisés sur la signification politique du vote. Pas sur le contenu de la loi. Et pour cause, jusqu’au bout, il a évolué dans le huis clos d’une commission mixte paritaire (CMP) et des pré-négociations dans le bureau de la Première ministre… Les sénateurs – à 19 h – comme les députés – à 21 h 30 – ont eu à se prononcer sur un texte définitivement écrit à 16 h et comportant près de… 90 articles ! Au passage, on ne peut que constater l’aberration de cette procédure parlementaire, qui aboutit, au final, à ce que la plupart des parlementaires soient contraints de se prononcer par un vote sur un texte qu’ils n’ont pas lu… Il est donc essentiel de décortiquer les articles, et notamment ceux qui introduisent le ferment de la préférence nationale dans notre système de protection sociale. Au mépris de son histoire et surtout de ses finalités.

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