L’invitée du matin de ce lundi 20 décembre 2021 est Gabrielle Siry, maire-adjointe du 18e arrondissement de Paris et porte-parole du Parti socialiste.
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RFI - G. Siry: «Le PS va continuer à faire en sorte qu'une primaire de gauche puisse se tenir en janvier»
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Vote définitif du budget 2022 - Intervention de Christine Pirès Beaune
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Ouest-France - PORTRAIT. Présidentielle 2022 : Anne Hidalgo, la candidate qui est là où on ne l’attend pas
La candidate socialiste à l’élection présidentielle secoue la gauche avec sa proposition de primaire. Retour sur le parcours d’une femme politique, maire de Paris depuis 2014, habituée des critiques et des railleries, qui s’est souvent retrouvée là où on ne l’attendait pas.
Enfin, on parle d’elle ! La candidate socialiste Anne Hidalgo, a créé la surprise en appelant, le 8 décembre, à une primaire de la gauche. Même si c’est par le mépris que les Jadot et Mélenchon y ont répondu, la proposition a, au moins, pour vertu, de relancer le débat sur une candidature unique pour l’élection présidentielle. La candidate socialiste aurait aimé porter ce rassemblement, et y croyait encore récemment. Pragmatique, face à une gauche émiettée avec sept candidats, elle s’est finalement résolue à proposer cette primaire, dont elle sait qu’elle a peu de chance de sortir vainqueur. Voilà qui vient remuer et même pimenter une campagne qui déroulait jusque-là son fil dans une certaine discrétion.
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Politis - La gauche et la question de l’unité
La panique semble s’être emparée d’Anne Hidalgo, dont les sondages ne décollent pas. Son problème est moins la division de la gauche que le fardeau hérité de Valls et de Hollande. Un bilan avec lequel elle n’a pas rompu.
Quelle voix mystérieuse venue d’ailleurs a interpellé Anne Hidalgo le 8 décembre, lui ordonnant d’aller, séance tenante, sauver la gauche ? Qui ? François Mitterrand ? Léon Blum ? Un appel du destin, en tout cas, assez puissant pour convaincre la candidate socialiste, qui était en chemin pour La Rochelle, de descendre du train à la première halte, et de faire demi-tour pour aller dire sur TF1 l’exact contraire de ce qu’elle avait affirmé le matin même sur France 2. Entendons-nous, ce n’est évidemment pas son invitation à une primaire de la gauche qui laisse pantois, mais l’impression d’improvisation et d’incohérence que donne cet épisode.
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Europe 1 - Stéphane Le Foll : «Il faut un nouveau parti socialiste après la présidentielle»
Invité au micro de Jean-Pierre Elkabbach ce matin sur Europe 1, Stéphane Le Foll, maire socialiste du Mans et ancien ministre d'Agriculture, a estimé que le PS n'existait plus et qu'il était nécessaire de penser à la création d'un nouveau parti socialiste après l'élection présidentielle.
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Les Echos - Disparition : Jacques Auxiette, ce socialiste qui aimait l'industrie
L'industrie, Notre-Dame-des-Landes, le ferroviaire et l'Erika furent les grands combats de celui qui fut, de 2004 à 2015, l'unique président de gauche à la région des Pays de la Loire.
Les hommages, à gauche comme à droite, n'ont pas manqué pour saluer Jacques Auxiette, ancien président socialiste de la région Pays de Loire, décédé vendredi à 81 ans. Professeur de mathématiques, proviseur du lycée Mendès France à La Roche-sur-Yon, ce Vendéen d'adoption devint maire de cette ville qui fut, de 1977 à 2004, un îlot socialiste dans un département très à droite.
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Olivier Faure sur RTL
Jeudi midi, Olivier Faure était l'invité de Amandine Bégot et Pascal Praud sur #RTLMidi. Retrouvez son interview en intégralité !
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Huffington Post - Présidentielle 2022: À Perpignan, Hidalgo se rebiffe et défend son "rêve" d'union
Offensive, pugnace... la maire de Paris a haussé le ton ce dimanche à Perpignan. Un discours pour l'union et contre les extrêmes qui aura conquis ses soutiens, élus ou militants.
POLITIQUE - Comment dit-on “j’ai fait un rêve” en catalan? Il ne manquait que cela à Anne Hidalgo ce dimanche 12 décembre pour définitivement faire chavirer le Palais des Congrès de Perpignan.
Il est 15h50 quand la candidate socialiste à l’élection présidentielle prend place dans l’arrière de cette salle aux fauteuils bleus, vers l’entrée des artistes. Elle patiente quelques minutes, écoute Carole Delga conclure son discours, et la voilà qui entre dans l’auditorium Charles Trenet où l’attendent quelque 1000 militants et autant de drapeaux tricolore, arc-en-ciel ou écolos.
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Zap Parlementaire | Semaine du 6.12
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Le pari fou d'Hidalgo - Reportage #cdanslair 09.12.2021
Au terme d’une journée à rebondissements, la socialiste Anne Hidalgo a appelé hier soir à l'organisation d'une primaire pour désigner un candidat unique à gauche pour la présidentielle. "Cette gauche fracturée, qui aujourd’hui désespère nos concitoyens, doit se retrouver et se rassembler pour gouverner", a déclaré la maire de Paris sur le plateau du 20h de TF1. "Le temps est venu de ce rassemblement", a estimé la candidate du PS, à la peine dans les sondages depuis plusieurs semaines. Mais sa proposition à quatre mois de l’élection a déjà fait flop. Hormis le partisan de la Remontada Arnaud Montebourg qui avait fait un peu plus tôt dans la journée un appel similaire, en "offrant" sa candidature à "un projet commun", l’idée d’une primaire est loin de faire l’unanimité à gauche. "Anne Hidalgo ne peut pas nous proposer la machine à perdre que le PS a inaugurée en 2016", a déclaré sur franceinfo Eric Coquerel, député La France Insoumise de Seine-Saint-Denis. C'est la "proposition de la dernière chance pour elle", a également raillé la députée Insoumise Danièle Obono à l'AFP. "Participer à une primaire pour poser la question des personnes, ce n’est pas le choix que nous voulons faire", a réagi Fabien Roussel, le candidat du PCF. Même refus net aussi chez les écologistes. "Elle prend acte de l’impasse de sa candidature. Il y a une volonté de sortir de l’impasse par une proposition surprise, mais ce n’est pas le choix des écologistes", a déclaré le candidat écologiste sur Europe1. "Je ne participerai pas à une primaire de la gauche parce que l’élection c’est dans quatre mois et demi et il faut être sérieux", a-t-il ajouté. Difficile dans ces conditions d’imaginer un rassemblement. Pour autant, du côté des organisateurs de la Primaire populaire, on veut encore y croire. Lancée en juillet, cette primaire citoyenne vise à départager les différents candidats de gauche via un vote des citoyens et citoyennes initialement prévu du 13 au 16 janvier. Longtemps balayé, par les prétendants à l’Elysée et la candidate socialiste elle-même, malgré les appels du pied et la force fournie par les plus de 240 000 soutiens récoltés par l’initiative (dont 30 000 depuis le 1er décembre), ce projet, espèrent ses organisateurs, pourrait connaître un nouveau souffle après les déclarations de la candidate PS. Et ce alors que la gauche se retrouve aujourd’hui à un niveau très faible dans les sondages. L’addition des intentions de vote de tous les candidats situés à la gauche d’Emmanuel Macron atteindrait à peine 25 % dans les enquêtes d’opinion. Une réalité qui désole nombre de sympathisants de gauche, désabusés, mais que l’on entend bien exploiter du côté de la macronie. Pas encore officiellement candidat, le chef de l’Etat multiplie les déplacements ces dernières semaines pour répondre aux procès en déconnexion et en arrogance qui lui sont intentés depuis quatre ans et demi. Il s’est ainsi rendu mardi dans le Cher pour deux jours consacrés aux "problèmes du quotidien", notamment dans les villes petites et moyennes des départements ruraux. Une campagne dans les territoires avant de présenter ce jeudi les priorités de la présidence française du Conseil de l'Union européenne qui débutera le 1er janvier 2022, lors d’une conférence de presse. Sa deuxième, seulement, en quatre ans. Difficile, dans ce contexte, d’imaginer les journalistes ne pas saisir cette rare occasion pour interroger Emmanuel Macron sur des questions sanitaires et de politiques, notamment sur sa propre candidature. Invités : - Christophe Barbier, éditorialiste politique, directeur de la rédaction - Franc-Tireur - Carl Meeus, rédacteur en chef - Le Figaro Magazine - Soazig Quéméner, rédactrice en chef du service politique - Marianne - Frédéric Sawicki, politologue
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Stéphane troussel : Hidalgo propose une primaire à gauche : "Il fallait faire mouvement, prendre acte de la situation"
Anne Hidalgo propose une primaire à gauche : "Il n’y a pas un candidat de gauche qui se qualifie pour le second tour. Et on va observer ça les bras ballants jusqu’à quand ? Il fallait faire mouvement, prendre acte de cette situation", explique Stéphane Troussel, le porte parole de la candidate.