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ps - Page 51

  • Regards - Hidalgo 2022 : le baroud de déshonneur socialiste

    Pourquoi Anne Hidalgo est-elle la candidate du Parti socialiste ? Pourquoi la débrancher si sa candidature est déjà morte ? Au nom de quoi, si ce n’est la survie du PS ? À ses risques et périls.

    Dans son entourage, on l’appelle « La Candidate ». Une marque de déférence, une sorte de « president-elect », comme une étape avant d’être appelée « La Présidente ». Tous ceux qui l’ont côtoyée à Paris le disent : Anne Hidalgo est une femme politique « autoritaire » et qui n’a pas un grand talent pour se faire des amis. On la dit rancunière. Mieux vaut l’avoir avec soi. Elle a surtout un mental d’acier. Rien ne l’arrête et jamais elle ne doute dans ses capacités à influer le cours de l’histoire. La légende raconte que sans elle, les JO 2024 n’auraient jamais été parisiens. Là où son prédécesseur, Bertrand Delanoë, avait échoué en 2010.

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  • Huffington Post - À Aubervilliers, Hidalgo et ses militants veulent "tenir bon" malgré les chaises vides

    POLITIQUE - Vaille que vaille. Éprouvée par les mauvais sondages et le feuilleton de la primaire populaire, la candidate PS Anne Hidalgo poursuit sa campagne tant bien que mal. Elle était ce samedi 22 janvier à Aubervilliers, dans la banlieue nord-est de Paris en Seine-Saint-Denis (93) pour son premier grand meeting parisien. Devant elle, la foule ne remplit pas la salle. Environ 700 personnes pour près de 1200 places, selon les calculs de notre reporter sur place. Loin des 1000 militants qu’elle espérait ou de la jauge à 1.500 places un temps annoncé. “Non, nous ne reculerons pas!” La candidate socialiste a d’abord tenu à remercier ceux présents. “Vous croyez toujours à nos valeurs, à nos projets, à nos réformes nécessaires au redressement du pays. Vous croyez toujours comme moi à l’avenir de la gauche et à l’avenir de la France contre les défaitistes et les résignés”, a-t-elle déclaré devant le parterre clairsemé. “Vous croyez à la fidélité, à l’amitié, à l’idéal... Alors honneur à vous, honneur à vous mes amis!”. Selon les informations de nos confrères de BFM TV, elle serait arrivée par un autre endroit de la salle que celui prévu, pour éviter les images de chaises vides. Malgré les circonstances, l’actuelle maire de Paris a déroulé un discours optimiste et déterminé. “Avec toute ma volonté de femme de gauche, républicaine et de militante, jamais, jamais...Non! Nous ne reculerons pas!”, a-t-elle affirmé au milieu des applaudissements. L’espoir des militants malgré tout Au premier rang, du côté de là où Anne Hidalgo est finalement arrivée, quelques poids lourds comme Patrick Kanner, le président du groupe socialiste au Sénat. Ou encore Olivier Faure, le premier secrétaire du PS. Mais ni Martine Aubry, ni Bernard Cazeneuve que l’on voit pourtant dans la vidéo d’introduction du meeting, comme le souligne une journaliste politique de L’Opinion. Si les figures de la gauche ne se sont pas toutes pressées aux côtés de la candidate, du côté des militants on tente de garder espoir et tête haute. “Avec enthousiasme, même si c’est difficile, je tracte, je boite”, déclare ainsi Nadine, motivée malgré tout. L’optimisme veut régner parmi les discours des militants PS que Le HuffPost a interrogé. Mais pour Michel, un sympathisant, les divisions et l’état de la gauche ne vont pas permettre d’aller bien loin. ”J’ai l’impression quand même que pour cette échéance-là cette année, ça va être très dur”, se résigne-t-il, attristé.

  • À l'air libre (189) Anne Hidalgo est face à Mediapart

    Émission spéciale : nous recevons la candidate du Parti socialiste à l’élection présidentielle, Anne Hidalgo. Avec la participation de Mathieu Dejean du pôle politique de Mediapart, Mickaël Correia du pôle écologie et Nejma Brahim du pôle international.

  • France Info - "Les socialistes ne se sont pas préparés comme ils auraient dû le faire" à la présidentielle : le "8h30 franceinfo" de Bernard Cazeneuve

    "Les socialistes ne se sont pas préparés comme ils auraient dû le faire à cette échéance" de la présidentielle, a déploré Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre et ancien ministre de l’Intérieur sous François Hollande, mercredi sur franceinfo. Cette "impréparation" explique pourquoi faire campagne "est plus difficile pour Anne Hidalgo [la candidate socialiste, qu'il soutient] que ça ne l'a été pour d'autres candidats socialistes, à d'autres époques", a-t-il estimé. "Pendant cinq ans, le travail sur le fond qui devait être fait, de réorganisation, de projection d'un projet, de mise en évidence de talents n'a pas été fait", a-t-il insisté. 

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  • Olivier Faure défend la proposition de résolution pour la reconnaissance du génocide des Ouïghours

    Jeudi 20 janvier, le groupe Socialistes et apparentés avait sa journée réservée dans l’hémicycle. Six textes inscrits à l'ordre du jour par les socialistes étaient débattus.

  • Clément Viktorovitch : Anne Hidalgo, prise à son propre piège

    Anne Hidalgo a présenté aujourd’hui le détail de son programme de gouvernement sur France Inter. Mais c’est la question de l’union de la gauche qui était au cœur du débat et elle s’est retrouvée prise à son propre piège Dans "Entre les lignes", rendez-vous quotidien de franceinfo, Clément Viktorovitch décrypte les discours, analyse les paroles des politiques qui font l'actualité.

  • BFM - Anne Hidalgo veut limiter les écarts de salaires dans les entreprises

    La candidate socialiste à la présidentielle prévoit de fiscaliser "entièrement" les salaires des cadres dirigeants supérieurs à 300.000 si les écarts de salaires dans l'entreprise vont au-delà de vingt.

    La candidate PS à la présidentielle Anne Hidalgo, qui veut limiter les écarts de salaires de un à vingt dans les entreprises, veut "entièrement fiscaliser" ceux des cadres dirigeants dépassant 300.000 euros annuels, a-t-elle expliqué ce mardi.

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    Anne Hidalgo sur LCI le 18 janvier