Ils en ont souvent conscience : leur adhésion ne tombe pas sous le sens. À Blois, de jeunes sympathisants de gauche ont décidé de prendre leur première carte d’adhérent au parti socialiste. « Beaucoup diraient que c’est un choix bizarre. Après le score du PS à la présidentielle, ça peut être surprenant », concède Pierre, 22 ans, nouvelle recrue du parti depuis quelques semaines seulement.