politique - Page 143
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Bernard Cazeneuve, sur le portait fait de Gérard Collomb dans son livre : "Un personnage roué, malin"
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Bernard Cazeneuve répond aux questions des auditeurs de France Inter
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Le Parti socialiste adresse ses félicitations à Audrey Azoulay, élue Directrice générale de l’Unesco
C’est une excellente nouvelle pour la France mais aussi pour l’UNESCO d’avoir désormais, Audrey Azoulay, comme Directrice Générale de cette emblématique agence spécialisée des Nations-Unies pour l’Education, les Sciences et la Culture.Après deux mandats où Irina Bokova a modernisé et redonné à cette institution un nouveau souffle, l’arrivée d’Audrey Azoulay, femme talentueuse aux convictions humanistes et à l’engagement constant pour la culture dans son universalité et sa diversité, va permettre de poursuivre une mise en œuvre active et résolue des objectifs de développement durable que défend l’organisation. Ces objectifs sont nombreux, tant en matière d’éducation et de sauvegarde du patrimoine mondial que de rayonnement, partout dans le monde, des sciences, de l’innovation et du dialogue des cultures.Chaque jour le démontre : dans un monde chaotique, où les êtres humains et parfois les peuples sont tentés par le repli sur soi, le dialogue des savoirs et des arts est un besoin vital, la réponse de l’intelligence humaine contre toutes les régressions. -
Un peu d'histoire : Les élections législatives : portrait de Gérard Collomb (INA, 1981)
Portrait en images de Gérard COLLOMB, député PS du Rhône.Agée de 34 ans, ce professeur de lettres enseigne dans un lycée de Lyon, membre du Parti Socialiste depuis 1971et conseiller municipal de Lyon depuis 1977 il a été élu député du Rhône dans la 2ème circonscription.Interview de Gérard COLLOMB qui incarne la nouvelle génération de député du Parti Socialiste.
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Laurence Rossignol: «Mélenchon est à la tête d’une formation politique très confuse»
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Reuters - L'exécutif interpellé de tous côtés pour plus de justice sociale par Elizabeth Pineau
PARIS (Reuters) - De la CFDT au Parti socialiste en passant par le MoDem et même La République en marche (LREM), l'exécutif français est invité à infléchir vers davantage de justice sociale une politique perçue dans l'opinion comme oublieuse des plus fragiles.
Les tentatives de mise en lumière des choix d'Emmanuel Macron, notamment fiscaux, n'ont jusqu'ici guère atténué les attaques contre un président vu comme le défenseur d'une élite dont il est issu, voire méprisant avec les défavorisés.
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Projet de loi « hydrocarbure » : le Parti socialiste salue l’adoption d’un texte amélioré par les débats parlementaires
Le Parti socialiste se félicite de l’adoption par l’Assemblée nationale du projet de loi relatif à la fin de la recherche et de l’exploitation des hydrocarbures en France et salue le travail des députés socialistes qui ont largement contribué à l’enrichir à travers leurs amendements en commission et en séance publique.
Ce texte s’inscrit dans la continuité de la loi « de transition énergétique pour la croissance verte » de 2015 et de l’accord sur le climat adopté en décembre 2015 à Paris. Il met en cohérence notre ambition avec les recommandations du GIEC qui prescrivent de conserver 80% des hydrocarbures dans le sous-sol pour lutter contre le réchauffement climatique.
Mettant fin à un vide juridique, il permettra d’éviter la multiplication des dossiers de contentieux qui coûtaient cher aux contribuables et apportera des réponses claires aux élus et aux habitants des territoires concernés.
Ce projet de loi se fixe pour horizon 2040, c’est-à-dire qu’il faut dès à présent engager le travail pour accompagner la transition des territoires dans lesquels des entreprises et des emplois sont, directement ou indirectement, liés aux filières pétrolières. C’est pourquoi nous veillerons à la mise en place des contrats de transition écologiques et solidaires.
Ces 22 ans devront aussi être utiles pour remédier à certaines ambiguïtés qui subsistent dans le texte, que l’on pense à l’inscription de l’objectif « neutralité carbone » à l’horizon 2050, que nous avons proposé par amendement mais que le gouvernement a repoussé ou encore à la définition des techniques non conventionnelles. Nous serons enfin attentifs à la réforme du code minier, promis par le ministre Nicolas Hulot, et que nous avions engagée dans la précédente législature.
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Un peu d'hstoire : François MITTERRAND à propos de l'histoire du Parti socialiste et du socialisme (INA, 1977)
Claude LEFEVRE reçoit François MITTERRAND, premier secrétaire du parti socialiste, à l'occasion du prochain congrès du PS à Nantes. François MITTERRAND rappelle l'histoire de la création du parti socialiste, définit le socialisme et explique comment on adhère à cette idée.
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"Macron a un effet chasse neige et le Parti Socialiste ne doit pas se retrouver sur la bordure" Stéphane Le Foll (11/10)
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Conférence de presse - Rachid Temal et Jean-Jacques THOMAS
Présentation du collectif "Dignité et solidarité avec les emplois aidés" - 9 octobre 2017
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Catalogne : le PS plaide pour la négociation
En Catalogne, la situation politique est toujours extrêmement tendue. Suite au référendum interdit par le pouvoir central, Carlos Puigdemont, président séparatiste de la Catalogne, a affirmé devant le Parlement local que la région avait « gagné le droit d’être un Etat indépendant ». Mais il a toutefois suspendu le processus, en ne déclarant pas encore l’indépendance, afin de reprendre les négociations avec Madrid. Le gouvernement de Mariano Rajoy, menaçait lui d’utiliser l’article 155 de la Constitution, qui lui permet de suspendre l’autonomie d’une région en cas de force majeure.
Depuis le début de la crise, les socialistes plaident pour une négociation. Le Parti socialiste a condamné les nombreuses violences entraînant des centaines de blessés lors de heurts aves les policiers anti-émeute le jour du vote. Toutefois, « le nationalisme du gouvernement catalan ne peut pas continuer d’avancer à marche forcée vers son autodétermination et le gouvernement central madrilène du Parti populaire au pouvoir ne peut persister durablement sur une ligne d’intransigeance totale ».
Solution négociée
Le Parti socialiste soutient de fait le PSOE qui, y compris dans sa composante catalane, demande à ce qu’une solution négociée entre toutes les parties soit trouvée. C’est le seul chemin pour sortir d’une situation qui, depuis 2010 et les premières grandes manifestations indépendantistes n’a cessé de se dégrader.
Avant même le discours de Carlos Puigdemont, Pedro Sanchez secrétaire général du PSOE et chef de file de l’opposition au gouvernement conservateur avait prévenu : « Nous appuierons la réponse de l’Etat de droit face à toute tentative visant à rompre l’harmonie sociale ». Il avait également demandé au chef du gouvernement séparatiste catalan de renoncer à la déclaration d’indépendance.
Crainte en Europe
De son côté, l’Union européenne temporise. Une Catalogne indépendante sortirait de facto de l’UE et devrait candidater pour y rentrer. Après le Brexit, les conséquences d’une nouvelle défection pourraient être dramatiques. Et ce d’abord pour les Catalans qui payeraient économiquement au prix fort leur sortie du marché commun.