politique - Page 142
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Valérie RABAULT - Motion de rejet préalable au budget 2018 - 17/10/2017
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L'homme de... - Le billet d'Alex Vizorek
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Le Parisien - Paris : les Hamonistes du XIVe quittent le PS
Sept élus du XIVe claquent la porte du PS pour rejoindre le mouvement politique de Benoît Hamon.
Décidément, le paysage politique parisien est mouvant. Après le départ des élus qui ont soutenu Emmanuel Macron à la présidentielle, voilà que le PS perd aussi les Hamonistes. Pascal Cherki, ancien député frondeur, a annoncé qu’il quittait le parti socialiste pour rejoindre le mouvement du 1er juillet (M1717) de Benoît Hamon, l’ancien candidat PS à la présidentielle.
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France Inter : PS la génération perdue
On ne les entend plus, on ne les voit plus. Pire ! On ne les connaît même plus. Que sont les socialistes devenus ?
Par Jannick Alimi
Où sont passés ceux qui nous gouvernaient il y a à peine cinq mois ?
Soyons justes, tout d’abord. Le PS, on l’a dit ici même, a étonnamment résisté lors des sénatoriales de septembre dernier. Mais, what else ? On sait que la lumière va bientôt s’éteindre rue de Solférino, siège quasi historique du PS. On sait que l’appareil et les militants socialistes préparent leur Congrès de février prochain.
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Le Point - Le PS va se séparer de la moitié de ses effectifs
Selon "Le Monde", entre 50 et 70 personnes seront victimes d'un licenciement économique dans les jours qui viennent. Les difficultés financières continuent.
On savait le parti en grandes difficultés financières. La vente du siège historique du PS rue de Solférino avait d'ailleurs fait grand bruit il y a quelques semaines, révélant au grand jour les graves soucis d'argent depuis les multiples défaites électorales : municipales, départementales, régionales, présidentielle et législatives. La facture salée de la campagne de Benoît Hamon (arrivé en 5e position au premier tour de la présidentielle) avait même créé le malaise au sein du parti, certains ténors réclamant des explications sur les lourdes dépenses effectuées par le candidat : après son année électorale désastreuse, le Parti socialiste est passé de 28 millions d'euros de budget annuel à seulement 8 millions, rappelle au Mondele trésorier du PS Jean-François Debat. Surtout quand la masse salariale s'élève à environ 12 millions d'euros annuels.
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Perturbateurs endocriniens : le Parti socialiste se félicite du rejet de la définition de la Commission
Le Parti socialiste salue le travail des eurodéputés du groupe S&D qui ont largement contribué au rejet par le parlement européen de la définition des perturbateurs endocriniens proposée par la Commission.Ce vote, que nous appelions de nos vœux dès juillet dernier, est une triple sanction.Sanction contre la Commission, d’abord, qui a présenté une définition au rabais, insuffisamment protectrice face au risque sanitaire pour nos concitoyens.Sanction contre les lobbys de l’industrie chimique, ensuite, qui ont cherché à continuer la commercialisation de leurs pesticides tout en rendant impossible l’application du principe de précaution.Sanction contre le gouvernement Philippe, enfin, qui avait récemment permis à la Commission de trouver une majorité qualifiée sur sa définition inacceptable, alors-même que la France avait été exemplaire sur ce sujet délicat pendant le quinquennat précédent.Le Parti socialiste demande, à nouveau, une reprise des discussions au sein de la Commission européenne afin de construire une réglementation à la hauteur des défis posés en matière de santé-environnementale. -
Un peu d'histoire : Pierre Mauroy à propos de l'Internationale socialiste (INA, 1996)
Christine OCKRENT demande à Pierre MAUROY quel est l'utilité de l'Internationale Socialiste dont il est l'actuel président. Pierre MAUROY explique le rôle fédérateur de cette instance pour tous les socialistes du monde. Il parle du prochain congrès à New-York.
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Les 4 vérités - Olivier Faure
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Plan social au PS: Hidalgo déplore un parti "totalement par terre"
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PS - Somalie : condamnation de l’attentat et solidarité avec le peuple somalien
15 octobre 2017
Après l’explosion de deux véhicules piégés dans le centre de Mogadiscio, samedi 14 octobre, plus de 130 morts et 200 blessés sont à déplorer. Un bilan humain encore provisoire, mais qui fait de cet attentat l’un des plus tragiques ayant frappé le pays.
Alors que le président somalien, Mohamed Abdullahi Mohamed, a décrété un deuil national de trois jours, le Parti socialiste adresse un message de soutien et de solidarité au peuple somalien, déjà trop souvent meurtri par les conflits armés et les attentats.
Le Parti socialiste condamne avec la plus grande fermeté ces actes lâches et barbares. Il appelle à une réponse collective fondée sur l’engagement total de toutes les puissances régionales, avec le concours des Nations Unies et de son Conseil de sécurité.
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PS - Pour que la France réussisse, il faut de la justice et, en écoutant le président de la République, la justice manque
Pour la première fois depuis son élection, le président de la République répondait, dimanche 15 octobre, aux questions d’un panel de journalistes de télévision.
Si l’intervention d’Emmanuel Macron a révélé un président qui goûte peu les questions, deux rappels étaient nécessaires : sur la scène internationale, l’attachement de la France au multilatéralisme et au plan intérieur, la confirmation d’un retour de la police de proximité instaurée en 1998 par le gouvernement de Lionel Jospin.
La parole du chef de l’Etat était d’abord attendue sur les enjeux économiques et sociaux, ceux de l’emploi, du pouvoir d’achat, du soutien aux territoires. Alors que l’examen du budget 2018 débutera cette semaine au Parlement, il aurait été utile pour les Français que soit annoncé le retrait des mauvaises décisions gouvernementales. Il n’en a hélas rien été : maintenue, la réforme de l’ISF pour 170 000 foyers les plus riches ; maintenue, l’augmentation de la CSG pour 8 millions de retraités ; maintenue, la création d’une « flat tax » qui ramène l’imposition des revenus du capital en dessous de la première tranche de l’impôt sur le revenu ; maintenue, la diminution des APL pour 6,5 millions de ménages ; maintenue, la suppression de 120 000 emplois aidés qui fragilisent les services de proximité et la vie associative. Le président de la République souhaite « libérer et protéger » mais une majorité de Français constatent que sa politique aboutit pour l’heure à flexibiliser et précariser.
Le Parti socialiste appelle le président de la République à prendre la mesure de l’attente et des besoins des Français. Les députés socialistes, qui ont proposé un véritable contre-budget pour promouvoir une justice fiscale, sociale et territoriale, s’attacheront, dans les jours qui viennent, à défendre une autre vision pour la France, plus efficace pour l’économie et plus solidaire pour le pays.