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politique - Page 141

  • Le JDD - La nouvelle génération à l'assaut du PS

    Officiellement, personne n'est candidat à la tête du Parti socialiste. Mais certains y pensent comme Luc Carvounas, Olivier Faure ou, plus inattendu, Carole Delga.

    Si La France insoumise, La République en marche et Les Républicains vont changer leurs structures ou leur direction entre novembre et décembre, les socialistes, encore groggy, se réveillent peu à peu. La date exacte de leur congrès – fin février ou début mars – n'est toujours pas connue. Personne encore ne vise officiellement le poste de premier secrétaire mais certains font davantage qu'y penser, à l'instar des députés Stéphane Le Foll, Olivier Faure et Luc Carvounas. Les hypothèses Matthias Fekl et Najat Vallaud-Belkacem s'éloignent. Dans ce brouillard, un autre nom émerge, plus inattendu, celui de Carole Delga.

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  • Pour le gouvernement, supprimer l’ISF oui ! Sauver les politiques de solidarité, on verra…

    Le Parti socialiste déplore que le Gouvernement d’Edouard Philippe, si prompt à donner des gages aux plus riches en supprimant l’ISF, ne soit pas aussi efficace quand il s’agit de sauver le bouclier social français dont nos concitoyens les plus fragiles ont besoin.

    Devant les présidentes et présidents des départements de France réunis en Congrès à Marseille, le Premier ministre a esquivé le sujet du financement pérenne des Allocations Individuelles de Solidarités (RSA, APA, PCH), renvoyant à des groupes de travail ou des missions. Seule l’annonce d’un fonds d’urgence, au périmètre indéfini et au montant inconnu, peut faire office de lueur dans l’avenir sombre que le Gouvernement impose aux solidarités.

    Le Parti Socialiste rappelle que ces allocations individuelles, garantes du pacte républicain et de la cohésion sociale, doivent être financées par la solidarité nationale et ne pas reposer sur la fiscalité locale. Il faut arrêter de faire payer les moins favorisés pour les plus fragiles !

    Seul point positif, le Gouvernement s’inscrit dans la continuité des actions engagées par les précédents Gouvernements concernant l’accueil des mineurs non accompagnés (MNA). La prise en charge de la mise à l’abri et l’évaluation de la minorité est en effet nécessaire. Mais ici aussi, des solutions claires devront être formulées.

    Le Gouvernement sait pourtant être très clair quand il réaffirme sa volonté de réduire les dépenses publiques. Il veut imposer aux collectivités des contrats avec un taux directeur de dépense publique reniant ainsi le principe fondamental de libre administration des collectivités territoriales et l’essence même de la décentralisation. Et il l’a fait à Marseille, ville de Gaston Defferre, qui porta la grande loi de 1982.

  • Un peu d'histoire : Lorient : interview de Jean Yves Le Drian du Parti socialiste

    Interview de Jean-Yves LE DRIAN après son élection de député de la cinquième circonscription du Morbihan.

  • Un peu d'histoire - 25 ans de municipalité socialiste à Saint Brieuc (INA, 1987)

    Michel ROCARD est venu à Saint Brieuc fêter les 25 ans de gestion socialiste de cette ville dont le premier maire PS fut Antoine MAZIER élu en août 1962. Discours de Michel ROCARD ou il attaque le libéralisme.

  • Un peu d'histoire : Marie Noëlle Lienemann et le parti socialiste

    Thierry ARDISSON reçoit Marie-Noëlle LIENEMANN, ancienne minsitre du logement dans le gouvernement Jospin. Elle publie "Ma part d'inventaire" qui a provoqué quelques remous à l'Université d'été du PS car l'ex candidat à la présidentielle est devenu sa "tête de turc" suite à son retrait de la vie politique après le premier tour de 'élection.

  • Le Parti socialiste soutient les acteurs du logement social

    A l’issue de la manifestation organisée ce jour à l’appel de 40 organismes HLM, à laquelle ont pris part des élus et militants socialistes, le Parti socialiste réitère son opposition à la stratégie logement du gouvernement, encore défendue dimanche dernier par le Président de la République.
     
    Alors que s’ouvre l’examen du projet de loi de finances 2018 à l’Assemblée nationale, son article 52 prévoit une baisse de l’APL et une réduction de loyer de solidarité (RLS). Si ces mesures permettraient à l’Etat d’économiser 1.7 milliard d’euros sur le montant des aides au logement, elles auraient des conséquences désastreuses pour le logement social.
     
    Le Parti socialiste rappelle que les premières victimes de cette politique du logement « low cost » seraient les locataires, car les bailleurs, privés de ces moyens financiers, devraient renoncer à réaliser des programmes de réhabilitation et d’entretien du patrimoine. Elle porterait aussi un coup d’arrêt brutal à la construction de logements neufs, rendant impossible les parcours résidentiels et la satisfaction des milliers de demandeurs de logement.
     
    Le Parti socialiste veut insister sur le rôle quotidien des équipes des bailleurs dans l’accompagnement des locataires les plus fragiles et dans l’animation de quartiers populaires que cette baisse massive de moyens pourrait remettre en cause en altérant le lien social et la cohésion territoriale.
     
    C’est pourquoi, le Parti socialiste demande au gouvernement d’abroger l’article 52 du PLF 2018, de convoquer une Conférence nationale sur le logement social pour réfléchir aux meilleurs moyens de gagner la bataille du « logement pour Tous ».  

  • Carine Petit : "Anne Hidalgo n'a pas applaudi des deux mains mais a compris mon choix de liberté"

    Après 22 ans de militantisme au parti socialiste, l’actuelle maire du 14e arrondissement de Paris vient de rendre sa carte pour rejoindre le mouvement de Benoît Hamon, le M1717. Quel(s) impact(s) sur la majorité parisienne ? Anne Hidalgo est-elle fragilisée par les divisions de la gauche et l’adhésion de certains socialistes au mouvement d’Emmanuel Macron ? Enfin, quel avenir pour le mouvement de Benoît Hamon ? Carine Petit est l’invitée de La Midinale.

  • France Info - Parti socialiste : une annonce pour la mise en vente du siège de Solférino publiée dans la presse

    Confronté à des problèmes financiers, le parti avait annoncé la mise en vente de son bâtiment du 7e arrondissement de Paris le 19 septembre.

    "Un ensemble immobilier exceptionnel à usage de bureau et d'habitation d'une surface de 3 389 m2." Une petite annonce concernant la mise en vente du siège du Parti socialiste, situé rue de Solférino dans le 7e arrondissement de Paris, est parue dans le journal Les Echos, mercredi 18 octobre. 

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  • SYRIE : le Parti socialiste salue la libération de Raqqa

    Le Parti socialiste salue la libération totale de la ville de Raqqa de l’organisation terroriste « État islamique ». Cette victoire de la Coalition internationale, en soutien aux forces kurdes, arabes et turkmènes regroupées au sein des Forces démocratiques syriennes, marque l’échec du projet politico-religieux et criminel de Daech.

    Au nom d’un islam dévoyé au service de la terreur, l’organisation « État islamique » n’a fait que piller, prendre en otage, asservir les populations locales et manipuler les consciences de milliers d’individus à travers le monde entier.

    Le Parti socialiste observe néanmoins que ce revers majeur infligé à l’organisation « État islamique » ne marque pas l’éradication intégrale de l’organisation terroriste en Syrie, et que ce théâtre de guerre est exploité pour favoriser la consolidation d’une présence durable de la mouvance Al-Qaida.

    Le Parti socialiste appelle à une pression internationale unifiée et renforcée pour que des négociations crédibles sous l’égide de l’ONU, et avec un rôle accru de l’Union européenne, reprennent sur la Syrie afin d’engager une transition politique. Responsable initial des centaines de milliers de morts et des millions de réfugiés et déplacés, le président syrien Al Assad devra, en tout état de cause, répondre de ses crimes de masse.