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lrem - Page 3

  • Lyon Mag - À Lyon, “on est plus chez Collomb que chez En marche”

    Laminé à la présidentielle et aux législatives, le Parti socialiste lyonnais est en perdition. La faute à un Gérard Collomb tout-puissant qui, un temps socialiste, a entrainé tous ouailles avec lui vers le parti d'Emmanuel Macron.

    Ce n'est un secret pour personne. La République en marche a obtenu coup sur coup deux victoires politiques cinglantes. Même si l'abstention a atteint des records pour cette présidentielle et les législatives qui ont suivi, le jeune parti d'Emmanuel Macron est parvenu à écraser toute concurrence.

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  • Législatives : après sa débâcle, "le PS n'a plus d'espace politique, plus de base électorale, et plus d'avenir"

    Interrogé par franceinfo, le chercheur Gérard Grunberg, spécialiste de la gauche, estime que "la synthèse sociale-démocrate réalisée auparavant par le Parti socialiste ne fonctionne plus". 

    Le quinquennat de François Hollande terminé, le PS subit de plein fouet la déferlante En marche !. Déblâcle de Benoît Hamon à la présidentielle, défaite historique lors des élections législatives, avec seulement 29 sièges préservés… Le Parti socialiste apparaît plus mal en point que jamais, pris en tenaille entre les forces d'Emmanuel Macron sur sa droite et La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon sur sa gauche. 

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  • Gérard Collomb juge que les Français doivent voir des résultats "en l’espace de deux ans"

  • "Les défaites de Marisol Touraine et Najat Vallaud-Belkacem n'ont rien à voir " explique O.Mazerolle Reposter RTL par RTL 5,7K 10 vues


    "Les défaites de Marisol Touraine et Najat... par rtl-fr

  • Le "flou" de la politique d'Emmanuel Macron oppose N. Vallaud Belkacem et Bruno Bonnell

  • Libé - PS : une génération en marge

    Particulièrement ciblés par la stratégie électorale de La République en marche, les jeunes candidats socialistes ont essuyé de sévères défaites dimanche, au point de compliquer considérablement la restructuration du parti.

    Ils avaient beau venir d’horizons socialistes différents, on les appelait la «génération Hollande». Tout un paquet de députés âgés de 30 à 40 ans qui avaient fait leur entrée à l’Assemblée en 2012 se retrouvent aujourd’hui sur le carreau, victimes de la vague En marche. L’hécatombe est tellement massive au PS que toutes les catégories d’élus - éléphants ou jeunes pousses - sont fortement touchées. Mais pour nombre de socialistes, La République en marche (LREM) a particulièrement ciblé ceux qui pouvaient être appelés à jouer un rôle de premier plan dans les cinq ans qui viennent. Histoire de creuser un fossé générationnel et de se dégager la voie pour le quinquennat et bien au-delà.

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  • Le Figaro - Luc Rouban : « Derrière l'illusion du renouvellement, on se dirige vers une Assemblée élitiste»

    Si les élections législatives annoncent une majorité parlementaire LREM confortable pour Emmanuel Macron, Luc Rouban, directeur de recherche au CNRS (Cévipof), estime que la représentation nationale présente un risque de décalage face aux attentes réelles du pays. Le spectre d'une législature élitiste se dessine. Explications.


    Directeur de recherches au CNRS-Cevipof, Luc Rouban est aussi l'auteur de Quel avenir dans la fonction publique? (éd. la Documentation Française, 2017). L'enquête de Luc Rouban intitulée «Le profil des candidats investis par La République En Marche: un renouveau limité» est consultable sur le site du Cévipof.

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  • Libé - Dans son bastion de Lille, le PS au bord du gouffre

    Dans la première circonscription du Nord, fief socialiste historique, François Lamy, proche de Martine Aubry, est à la peine face aux candidats de LREM et de La France insoumise.

    «Les mammouths, leur tête est mise à prix.» Il le dit sans hargne, presque à regret. Place de la Solidarité, entre bistrots, bagnoles et scooters, à Wazemmes, quartier populaire de Lille, Naïm résume ce qui pourrait arriver à François Lamy, proche de la maire socialiste Martine Aubry : perdre le fief imperdable. Même dans la 1re circonscription du Nord (1), celle de Pierre Mauroy et de Bernard Roman, et avant eux de Roger Salengro, les socialistes sont une espèce menacée.
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  • Libé - Société civile, modernité ou poudre de perlimpinpin ?

    Axe fort de la politique macronienne, la promotion de responsables qui ne sont pas issus du sérail politique permet d’afficher un renouvellement des têtes et des pratiques. Mais si le principe est louable, les personnalités qui l’incarnent dessinent une élite très proche des professionnels de la politique.

    «Issu de la société civile» : l’expression est à la mode, à tel point qu’elle est presque devenue un label. Le président de la République, Emmanuel Macron, en a d’ailleurs fait un argument central de sa campagne victorieuse : avec lui, la «société civile», autrement dit les non-professionnels de la politique, entrerait au gouvernement et serait massivement représentée dans les candidats de La République en marche (LREM) aux élections législatives.

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  • Libé - 526 candidats LREM, un miroir déformant de la France

    Si le renouvellement promis par Macron permet l’émergence de nouveaux visages, les profils des candidats ne reflètent pas la réalité de la population française.

    Si les quatorze premiers noms de candidats LREM aux élections législatives ont été dévoilés face aux caméras de France 2 il y a plus d’un mois, la liste complète n’a visiblement pas été facile à boucler. Les six derniers sélectionnés sont tombés vendredi sur le fil : trois hommes, tous des élus, dont l’un affrontera le numéro 2 du FN, Florian Philippot, en Moselle ; et trois femmes, issues de la société civile. Au total, ce ne sont pas 577 mais seulement 526 candidats qui seront alignés pour défendre le programme d’Emmanuel Macron et, peut-être, lui offrir la majorité nécessaire pour voter ses réformes sur les bancs de l’Assemblée nationale.

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