Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lrem

  • Métropolitiques - Municipales 2020 : La République en marche au défi de l’ancrage politique local, par Rémi Lefebvre, le 06/02/2020

    Le mouvement d’Emmanuel Macron a désigné ses candidats aux élections municipales. Plus de la moitié sont des maires sortants issus d’autres formations politiques. Révélatrice du faible ancrage local du parti du président de la République, cette stratégie suscite selon Rémi Lefebvre dissidences et mécontentements.

    La République en marche (LREM) est avant tout une entreprise politique présidentielle qui porte les initiales d’un homme et ses ambitions, Emmanuel Macron. Elle a été créée pour appuyer sa conquête du pouvoir et pour soutenir l’exercice de la fonction présidentielle. Ce « mouvement » s’est construit contre les partis traditionnels (même s’il est un parti, sur le plan juridique au premier chef) : rejet des courants et des formes traditionnelles de la démocratie interne et du pluralisme partisans (désignation des cadres par les adhérents, primaires…), de la bureaucratie et des « féodalités » partisanes (Lefebvre 2018).

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Le meilleur de 2018/2019 - Fondation Jean Jaurès - Portrait-robot des sympathisants de La République en marche

    En s’appuyant sur les données du panel que le Cevipof et Ipsos ont lancé depuis novembre 2015, Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, présente une étude inédite qui dresse le portrait-robot des sympathisants de La République en marche. Cette étude, menée à partir d’un échantillon de près de 1700 personnes, permet de comprendre qui ils sont, ce à quoi ils croient et leurs positions sur les principaux enjeux politiques.

    Découvrez l’enquête : https://jean-jaures.org/nos-productions/portrait-robot-des-sympathisants-de-la-republique-en-marche

  • Fondation Jean Jaurès - LREM et RN : deux France que tout oppose

    Les dernières élections européennes montrent que le processus de recomposition politique initiée en 2017 est toujours en cours : à travers l’analyse des résultats du 26 mai – et particulièrement la domination de La République en marche et du Rassemblement national –, Jérôme Fourquet et Sylvain Manternach montrent les structurations d’un vote de plus en plus conforme avec la réalité socioculturelle et économique du pays

    Les élections européennes ont démontré que la séquence électorale de 2017 n’était pas un accident et que le processus de recomposition politique lancée à cette occasion n’était pas terminé. Conformément à l’idée défendue dans notre livre[1], nous assistons à la mise en conformité du paysage électoral avec la réalité socioculturelle et économique du pays. Après l’implosion du Parti socialiste en 2017, ce processus s’est traduit aux européennes par la désagrégation de la coalition sociologique que Jean-Luc Mélenchon était parvenu à rassembler derrière lui de manière éphémère et par la dislocation des Républicains.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Le Figaro - Municipales: le PS prone la fermeté face à LREM

    Olivier Faure n’exclue pas que les maires socialistes soient soutenus par d’autres forces traditionnelles.

    À la Maison de la Chimie à Paris samedi matin, devant un Conseil national socialiste quelque peu clairsemé, Olivier Faure s’est voulu très clair sur la stratégie de son parti aux municipales: «Nous ne soutiendrons à aucun endroit de France un maire qui soutiendrait la politique gouvernementale d’Emmanuel Macron». «Ce gouvernement, a insisté le premier secrétaire, ne peut en aucun cas et en à aucun prix recevoir notre confiance». Faure juge en effet impossible tout lien avec ceux qui vantent «un virage soit disant social et écologique, alors qu’il ne se passe une semaine sans que ce gouvernement soutienne les subventions toxiques sur la pêche ou provoque une régression colossale sur l’assurance chômage».

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • L'Obs - Elections européennes : un sondage inquiétant pour La République en Marche

    La formation d'Emmanuel Macron, qui ambitionne de réunir les pro-européens, reste en tête mais avec seulement 20% des intentions de vote.

    La fragmentation du paysage politique reste le meilleur atout d'Emmanuel Macron. Son parti La République en Marche reste ainsi en tête des intentions de vote, à l'approche du scrutin européen du 29 mai 2019. Mais avec tout juste 20% des voix...

    C'est une baisse de deux points par rapport à un précédent sondage réalisé il y a deux mois, avant l'été, selon un sondage Ifop-Fiducial réalisé pour "Paris Match", CNews et Sud Radio et rendu public ce mercredi 5 septembre. La République en Marche, alliée au MoDem de François Bayrou, affiche pourtant l'ambition de rassembler les pro-européens.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Le Parisien - Glyphosate : trois députées LREM votent contre l’interdiction... qu’elles avaient réclamée !

    « Pas besoin de légiférer pour l’interdire », justifie l’une de ces élues de la majorité.

    Engagement pris par Emmanuel Macron en novembre 2017, l’interdiction du glyphosate d’ici 2021 ne sera pas inscrite dans la loi. Ainsi en ont décidé 63 députés, dans la soirée de lundi, que vingt autres ne seront pas parvenus à convaincre.

    Parmi les opposants à l’amendement porté par l’élu LREM Matthieu Orphelin, on trouve 36 députés de son camp... dont trois qui avaient pris publiquement position pour l’interdiction du glyphosate !

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Europe 1 - Municipales : La République en marche lance déjà l'assaut contre les mairies PS

    Selon des informations d'Europe 1, le mouvement d'Emmanuel Macron a déjà identifié les villes à prendre lors des municipales de 2020 et celles avec lesquelles il peut envisager une alliance avec les majorités sortantes. Les bastions PS, en particulier, font partie de la première catégorie.

    C'est une situation inédite : le parti présidentiel ne compte aucune mairie issue des élections de 2014*, pour la simple raison qu'il n'existait pas encore à cette époque. Aussi, les deux années à venir jusqu'aux municipales de 2020 ne seront pas de trop à La République en marche pour se préparer. C'est ce que révèle Europe 1 jeudi : à partir des premiers objectifs fixés par la formation, la radio a réalisé une carte de France des villes dites "compatibles" de celles qu'il faudra aller conquérir.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • France Info - LREM : une centaine de "marcheurs" vont quitter le mouvement vendredi, à la veille du congrès

    Une centaine de "marcheurs" annoncent mardi qu'ils quitteront le mouvement à la veille du congrès de La République en marche. Ils dénoncent le manque de démocratie au sein de LREM.

    Une centaine de "marcheurs", dont des élus, annoncent mardi 14 novembre qu'ils quitteront le mouvement à la veille du congrès de La République en marche (LREM), prévu samedi 18 novembre à Lyon. Ils dénoncent le manque de démocratie au sein du mouvement.

    Les "100 démocrates" au front

    Les futurs démissionnaires sont pour la plupart de simples adhérents, mais aussi des élus, des animateurs de comités locaux ou encore des référents issus de toute la France.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________