Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lrem - Page 2

  • Fondation Jean Jaurès - Clôture du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » : le discours de Gilles Finchelstein

    Le directeur de la Fondation Jean-Jaurès, Gilles Finchelstein, conclut les travaux du colloque « 2017, une révolution de velours ? » qui se tient les 6 et 7 septembre 2017 en partenariat avec Ipsos, le Cevipof et Le Monde.

  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : les législatives

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une sixième table ronde consacrée aux élections législatives, les intervenants sont Jérôme Jaffré, directeur du Centre d’études et de connaissance sur l’opinion publique (Cecop), chercheur associé au Cevipof, et Anne Muxel, directrice de recherches CNRS au Cevipof, pour une discussion animée par Patrick Roger, journaliste au Monde.

  • Challenges - Elections sénatoriales: vers une première gifle électorale pour Emmanuel Macron?

    Sans majorité ni réseau d'élu, la République en Marche aborde les élections sénatoriales dans une situation de grande fragilité.

    Après deux succès éclatants à l'élection présidentielle et aux législatives, La République en Marche (LREM) s'apprête-t-elle à vivre sa première déconvenue électorale? Sans réseau d'élus locaux ni majorité sortante, le parti d'Emmanuel Macron devrait logiquement s'incliner aux élections sénatoriales dimanche 24 septembre. La République En Marche pourrait même se retrouver en troisième position derrière Les Républicains et le Parti socialiste, les deux forces majoritaires au Palais du Luxembourg. Dans les locaux de la rue Sainte-Anne (2e arrondissement de Paris) où le mouvement présidentiel vient tout juste de poser ses cartons, l'heure est à la résignation. " C'est une élection qu'on aurait dû enjamber mais on y est quand même allé, regrette la sénatrice LREM de Paris Bariza Khiari. C'est très difficile: on n'a pas de grands électeurs hormis les députés élus en juin, on part de zéro. "

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Paris: un cadre du PS en "soins intensifs" après avoir été agressé par un député macroniste

    Le premier secrétaire de la fédération PS des Français de l'étranger, Boris Faure, est en "soins intensifs" après l'agression commise mercredi par un député REM, M'jid El Guerrab, a indiqué ce jeudi sa famille dans un communiqué.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

    France 24 - Le PS et REM "condamnent" l'agression d'un cadre PS par un député REM

    PARIS (AFP) - Le Parti socialiste et la République en Marche ont "condamné" jeudi dans des communiqués distincts les "actes de violence" commis à l'encontre du premier secrétaire de la fédération PS des Français de l'étranger, Boris Faure, par un député REM, M'jid El Guerrab.

  • Marianne - VIDEO - LREM tente-t-elle de faire revoter des amendements... jusqu'à obtenir le résultat escompté ?

    Le député PS Olivier Dussopt a reproché au groupe LREM d'intimider ses députés en demandant des recomptes de voix sur le projet de loi de moralisation de la vie publique. Penaud, le président de la commission de lois a mis en avant son statut de "novice".

    Coup de vice ou gaucherie de débutant ? Lors des débats sur le projet de loi de moralisation de la vie publique, ce mercredi 19 juillet, le vice-président macroniste de la commission des lois, Stéphane Mazars, a fait revoter plusieurs fois certains amendements très sensibles pour le groupe LREM, au point d'être accusé par le PS de tenter d'intimider certains députés.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet (revue de presse bi-mensuelle)

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet (revue de presse bi-mensuelle)

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 30 juin

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.