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Hamon : "J'aurais préféré que Martine Aubry soit avec nous"
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L'actualité des socialistes du 6 au 12 avril (mise à jour)
A la une
Libé - Congrès du PS : quatre motions en lice
LE RÉCIT DE LA JOURNÉE DE SAMEDI
Les socialistes se sont réunis ce samedi pour rédiger leurs textes d'orientation en vue du congrès de Poitiers, au mois de juin.
11 et 12 avril
Le Monde - Congrès du PS : pourquoi le choc des motions n’aura pas lieu
Les congrès du PS produisent rarement des instants de sublimation de la pensée socialiste. Le 77e du nom, qui se déroulera à Poitiers du 5 au 7 juin, ne devrait pas échapper à la règle. L’impression qui se dégage à l’issue de la phase de dépôt des motions est paradoxale : alors que la gauche est en proie à une crise profonde après trois ans d’exercice du pouvoir, les éléments d’un congrès de réflexion sur l’identité et l’idéologie du PS ne sont pas réunis. Pour la simple et bonne raison que les différents acteurs, soit n’y ont pas intérêt, soit n’en ont pas les moyens.Le JDD - Au moins quatre motions en vue du congrès socialisteAprès l'accord trouvé vendredi entre Martine Aubry et Jean-Christophe Cambadélis sur un texte commun, le conseil national du Parti socialiste va entériner samedi après-midi au moins quatre motions concurrentes pour le congrès du parti à Poitiers en juin.
Le Parisien - Congrès du PS : la motion de Cambadélis ralliée par la gauche et la droite du parti
Jean-Christophe Cambadélis peut se montrer confiant pour le prochain congrès du PS. Le premier secrétaire du parti a su jouer les équilibristes avec sa motion en obtenant à la fois le soutien de l'aile droite et celui de Martine Aubry.
Libé - Congrès PS: et si la motion Cambadélis était vraiment aubryste?
Selon une version datée de vendredi soir et consultée par Libération, le texte de «rassemblement» du premier secrétaire demandait des «contreparties» au CICE et une réallocation des 15 milliards restant du pacte de responsabilité.
Libé - Aubry : pourquoi elle choisit «Camba»
Pour préserver ses proches et ne pas s'isoler, la maire de Lille n'a eu d'autres choix que de rallier la majorité du Parti socialiste, menée par Jean-Christophe Cambadélis, avant le congrès de Poitiers, début juin.
Libé - Des familles déchirées entre les différentes motions
C’est un phénomène politique situé entre la dérive des continents et l’érosion des sentiments. A chaque congrès du PS, on assiste à une migration des «éléphants» d’un courant interne à un autre. Depuis la primaire socialiste de 2011, certains ont beaucoup godillé avant de se trouver un port d’attache. Avec une motion majoritaire regroupant l’intégralité du gouvernement Ayrault - y compris les futurs frondeurs Arnaud Montebourg et Benoît Hamon - le congrès de Toulouse, en 2012, avait donné l’illusion d’une grande famille, si ce n’est heureuse, au moins réunie face à une aile gauche qui avait, mécaniquement, moins bien tiré son épingle du jeu. Pour le congrès qui se tiendra du 5 au 7 juin à Poitiers, une nouvelle physionomie a vu le jour.
Le Monde - Compte pénibilité : Rebsamen sème le trouble
Est-ce un malentendu ? Ou une « boulette », selon la formule d’un syndicaliste ? Le ministre du travail François Rebsamen a semé le trouble, jeudi 9 avril, en tenant des propos perçus comme un abandon partiel du compte pénibilité. Une intervention faite devant quelque 600 adhérents de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) réunis en assemblée générale à Paris.Martine Aubry aura fait du Martine Aubry : jusqu’à la dernière minute, la maire de Lille a fait durer le suspense sur ses intentions concernant le congrès PS prévu en juin à Poitiers.Le Monde - Martine Aubry rallie la motion Cambadélis pour le congrès de juin
Martine Aubry a fini par rompre le suspense. La maire de Lille a annoncé vendredi 10 avril, lors d’une conférence de presse, qu’elle se ralliait à la motion de l’actuelle majorité, représentée par Jean-Christophe Cambadélis. Le premier secrétaire du PS peut se prévaloir du soutien de Manuel Valls et de partisans de François Hollande.Martine Aubry va, sauf surprise, rejoindre la motion de Jean-Christophe Cambadélis en vue du congrès. L’aile gauche part unie. Pour Luc Carvounas, un proche de Manuel Valls, «ce congrès doit être la première marche vers la réélection de François Hollande en 2017».Après des semaines de tractations, la maire de Lille a annoncé officiellement qu'elle ralliait la motion majoritaire dite de «rassemblement», portée par Jean-Christophe Cambadélis.
L'Obs - Congrès PS : Aubry se rallie à la motion du premier secrétaire Cambadélis
"Je préfère être dedans pour me battre à l'intérieur", explique la maire de Lille. Elle assure signer "une motion commune que nous avons conçue ensemble".
Le JDD - Congrès du PS : Aubry se rallie à Cambadélis
Après avoir laissé planer le doute sur ses intentions, Martine Aubry a annoncé qu'elle se ralliait à la motion majoritaire portée par le premier secrétaire du PS? Jean-Christophe Cambadélis, en vu du congrès de Tours.
Le député frondeur est le premier signataire de la motion qui réunit l'aile gauche du PS. Il détaille au Monde sa stratégie et déclare vouloir instaurer un débat de politique économique.
Le Parisien - Congrès du PS : Martine Aubry pourrait soutenir la motion de Cambadélis
Et si finalement Martine Aubry jouait la carte du rassemblement ? Ce vendredi à 19h30, la maire PS de Lille convoque la presse pour dévoiler ses intentions en vue du congrès du PS, à Poitiers du 5 au 7 juin. Une rencontre programmée quelques heures avant le dépôt des motions -les orientations programmatiques-, fixée à vendredi minuit.
Le Figaro - Didier Guillaume juge «grave» que des frondeurs dirigent une motion
Chaque semaine, l'émission Parlement Hebdo, sur les chaînes parlementaires Public Sénat et LCP, en partenariat avec Le Scan, fait intervenir un invité politique sur l'actualité de la semaine. Aujourd'hui, le président du groupe socialiste au Sénat Didier Guillaume.
Libé, le 6 avril - Christian Paul «Le PS doit aller vers l’autonomie loyale»
Interview . Pour le député «frondeur» Christian Paul, il faut que la gauche se réforme et s’unisse.
Actualisation mardi 8 avril à 12 h 30. Ce sera donc lui le challenger. Christian Paul, 55 ans, élu de la Nièvre, sera la premier signataire de la motion rassemblant les sensisibilités les plus à gauche du PS. Cet ancien secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer sous Jospin (2000-2002) et qui a pris, après avoir été proche d'Arnaud Montebourg puis de Martine Aubry, la tête de la «fronde» parlementaire et du collectif «Vive la gauche», devrait donc être opposé, le 28 mai, au premier secrétaire sortant, Jean-Christophe Cambadélis pour diriger le PS.
Marianne - Christian Paul : la surprise du chef
C'est finalement Christian Paul, député de la Nièvre et frondeur de la première heure, qui portera haut les couleurs de la contestation de la politique gouvernementale lors du congrès de Poitiers prévu en juin. Un choix pas anodin qui répond à un triple impératif : éviter la guerre des chefs de l'aile gauche du PS, attirer les aubrystes sans avoir à attendre le feu vert (qui ne venait pas) de la Dame de Lille et compliquer un peu plus la tâche d'un Jean-Christophe Cambadélis qui se voyait, lui, déjà, en grand rassembleur des amis de Martine Aubry.
10 avrilHABEMUS CHRISTIANUS PAULUS - Cela n'a probablement rien à voir avec un quelconque caractère divin, mais Christian Paul, frondeur de son état, sera le candidat d'une aile gauche socialiste unie au congrès du PS, à Poitiers début juin. Proche de Martine Aubry, le député PS de la Nièvre a donc vocation à remplacer Jean-Christophe Cambadélis au poste de premier secrétaire si son texte (qui regroupe les hamonistes d'Un monde d'avance, les membres du courant d'Emmanuel Maurel, Maintenant la gauche, et les frondeurs de Vive la gauche) obtient les faveurs des militants.
C’est l’un des effets collatéraux des tensions qui traversent la majorité. Alors qu’approche le congrès de Poitiers, du 5 au 7 juin, l’aile droite du PS, longtemps aphone, se réveille. Le « pôle des réformateurs », incarné par Jean-Marie Le Guen, le secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement, et Gérard Collomb, le maire de Lyon, tente – difficilement – de contester le monopole du débat politique à la gauche du parti et à Martine Aubry. Vendredi 3 avril, ces derniers ont lancé par courrier un avertissement à Jean-Christophe Cambadélis pour indiquer que, si trop de concessions étaient faites à leurs adversaires, ils présenteraient une motion de leur côté. Un ultimatum a priori sans conséquences.INVITÉ RTL - Le premier secrétaire du Parti socialiste ne voit pas d'inconvénient à ce que la maire de Lille fasse planer le doute sur ses intentions en vue du congrès du PS.Lyon Capitale - Selon Gérard Collomb, “la gauche révolue” ne marche plus
“Regardons le monde d’aujourd’hui, il faut inventer un nouveau modèle d’économie ouverte”, a déclaré le sénateur-maire de Lyon au micro de Pascal Pogam (Les Échos) mercredi matin. Pour lui, “le PS doit changer s’il veut s’adapter au monde contemporain”. Gérard Collomb s’est montré favorable aux mesures pour relancer l’investissement présentées mercredi 8 avril par le Premier ministre.
Libé - Investissements : les trois non-dits de Manuel Valls
Il est là pour «répondre aux colères, aux angoisses, aux attentes. Aux espoirs aussi de nos concitoyens» et surtout pas pour parler de ce qui fâche. Ou alors à demi-mot, avec sous-titrage indispensable. Mercredi, Manuel Valls a présenté un ensemble de mesures pour relancer l’investissement, privé et public. Au total, 2,5 milliards d’euros sur cinq ans, assure le Premier ministre, qui se fend d’une longue allocution technique, difficilement compréhensible pour le commun des mortels – ces Français qui peinent toujours à voir le bien-fondé de la politique de la gauche depuis trois ans. Libération dissèque trois des plus belles ellipses gouvernementales du jour.
Le JDD - Congrès PS : les frondeurs unis derrière Christian Paul pour défier Cambadélis
Hamon, Maurel, les amis de Montebourg et une poignée d'aubrystes ont choisi le député Christian Paul comme candidat au poste de premier secrétaire. En juin prochain, ce frondeur défiera Jean-Christophe Cambadélis pour le poste de premier secrétaire
Marianne - Martine Aubry : une dernière dérobade pour la route ?
Bis repetita. Martine Aubry a décidé une fois encore de laisser planer le doute sur sa position sur le congrès de Poitiers. Une véritable manie chez la Dame de Lille. Elle qui moquait pendant la primaire François Hollande et son incapacité à trancher en disant "Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup" a une véritable meute à son actif…9 avril
Boursorama - Valls dit mener une politique "de gauche"
Manuel Valls a assuré mercredi prendre des mesures économiques "de gauche" à même de satisfaire le Parti socialiste tout en assurant s'adresser en priorité aux Français et non à une "formation politique".
Le Monde - L’investissement, nouveau totem de l’exécutif
Ce n’est pas une inflexion, ni même une révision et encore moins une révolution. Plutôt, en parfaite conformité avec la traditionnelle méthode hollandaise, une très légère correction. La réponse à la troisième gifle électorale reçue, en un an, par l’exécutif socialiste ne sera donc pas un remaniement – lequel n’interviendrait « pas immédiatement » et pourrait même attendre l’été, selon l’un de ses hauts responsables – ni un repositionnement.Challenges - Les "aubrystes" arbitres du congrès PS
Avant de rejoindre une éventuelle majorité, les proches de Martine Aubry souhaitent que le gouvernement infléchisse grandement sa politique économique et sociale.
Le Figaro - Congrès : l'aile gauche du PS choisit Christian Paul comme leader
Le député de la Nièvre sera le premier signataire de la motion que va déposer l'aile gauche du parti pour le congrès de juin.... «Nous n'avons pas fonctionné dans une logique d'élimination», jure pourtant au Scan Laurent Baumel, député d'Indre-et-Loire et frondeur de la première heure. «Il ne s'est pas agi d'écarter telle ou telle personne, mais bien d'installer une véritable polyphonie», détaille-t-il.
BFMTV - Congrès de Poitiers: les "frondeurs" ont choisi Christian Paul comme chef
En vue du Congrès de Poitiers du Parti socialiste, l'aile gauche se prépare à ferrailler. A défaut d'être menés par Martine Aubry, ceux qu'on appelle les "frondeurs" seront emmenés par le député Christian Paul, déjà à la pointe de la contestation parlementaire au sein du PS
Le Point - Congrès du PS: Karine Berger première signataire d'une motion
La députée (PS) Karine Berger est la première signataire d'une motion que déposera d'ici samedi sa sensibilité, avec l'ex-ministre Dominique Bertinotti, le député Arnaud Leroy et de jeunes élus, a-t-on appris auprès d'un responsable de cette motion.
"C'est décidé, on dépose une motion" pour le Congrès du PS (5 au 7 juin), a déclaré à l'AFP Nicolas Brien, responsable du réseau "Inventons demain" (jeunes élus de province) à l'issue d'une réunion mardi soir. "Karine Berger est la première signataire", a-t-il ajouté.
Europe 1 - PS : pourquoi Aubry laisse planer le suspense
La maire de Lille ne devrait pas défier l'exécutif en présentant une motion au congrès du Parti socialiste, selon nos informations.
L'INFO. Les ténors du Parti socialiste ont jusqu'à samedi pour déposer une motion en vue du congrès prévu en juin prochain. Objectif : se choisir un nouveau premier secrétaire. Et une question hante l'exécutif depuis une semaine : Martine Aubry va-t-elle apposer sa signature en bas d'un texte et engager ainsi un bras de fer avec François Hollande et Manuel Valls ? Selon les informations d'Europe 1, c'est non.
8 avril
Le Monde - Le gouvernement esquive un nouveau débat risqué
Le ministre des finances, Michel Sapin, évoque un simple problème « d’organisation ». C’est en réalité bien un problème politique que veut s’éviter l’exécutif et qui a été mis au jour par l’UMP, mardi 7 avril. Tous les ans, depuis 2011, le gouvernement transmet aux instances européennes son programme budgétaire, autrement appelé « programme de stabilité », à la fin du mois d’avril. Tous les pays de la zone euro se plient à cette règle et le gouvernement français a, lui, pour habitude – rien ne l’y oblige – de soumettre ses prévisions à l’Assemblée au moins à travers un débat, au plus un vote, avant de les présenter à Bruxelles. Il l’a fait en 2013 et en 2014 mais, cette année, il ne le fera pas.Comme souvent dans son parcours politique, la maire de Lille va attendre le dernier moment avant d'annoncer sa stratégie en vue du prochain congrès du PS.
Libé - Congrès PS : Aubry repousse l'heure du choix
La maire de Lille devait arrêter sa stratégie pour le congrès PS de Poitiers ce mardi soir. Elle a annulé la réunion de ses amis à l'Assemblée et attends des signes du gouvernement.
Les 4 Vérités-Benoît Hamon veut "infléchir la politique du gouvernement"
Le député socialiste Benoît Hamon était l'invité de Roland Sicard dans les 4 Vérités ce mardi 7 avril. Il a annoncé le dépôt d'une motion pour "infléchir la politique du gouvernement"
Le Monde - Le Parti socialiste « bouleversé » par la mort de Jean Germain, l'ex-maire de Tours
L'annonce de la mort, mardi 7 avril, du sénateur d'Indre-et-Loire et ancien maire de Tours Jean Germain a provoqué la tristesse de nombreux élus du Parti socialiste (PS), dont il était membre. Plusieurs ont rendu hommage à un « homme honnête » et à un « grand élu de la République ».L’effet Charlie engrangé en janvier par le couple exécutif s’envole à vitesse grand V. Selon notre dernier tableau de bord politique Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le président de la République chute de 4 points (25%) et Manuel Valls de 6 (45%).
Il n’y a pas eu de « rapport enterré par le gouvernement » sur le gaz de schiste, a assuré le secrétaire d’Etat à la réforme de l’Etat et à la simplification Thierry Mandon, mardi 7 avril sur i-Télé. Réagissant à la publication par Le Figaro d’un document sur « les nouvelles technologies d’exploration et d’exploitation des gaz de schiste » rendu en 2014 à Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif, Thierry Mandon a jugé que ce « rapport soi-disant secret » provoquait « beaucoup de mouches pour pas grand-chose ». « Des notes confidentielles aux ministres, c’est assez fréquent », a t-il rappelé.Reprenant une partie seulement des pistes évoquées par les partenaires sociaux, le texte de loi favorise le regroupement des différentes instances de représentation du personnel.Le Monde - Réforme du dialogue social : le projet de loi transmis aux partenaires sociaux
Le ministre du travail, François Rebsamen, vient de transmettre au Conseil d'Etat et aux partenaires sociaux son projet de loi relatif au dialogue social. Révélé par l'agence de presse spécialisée AEF et par Les Echos, le texte doit être présenté en conseil des ministres le 22 avril. L'exécutif a dû reprendre la main sur ce dossier, après l'échec, fin janvier, des discussions entre le patronat et les syndicats pour parvenir à un accord sur la refonte des institutions représentatives du personnel (IRP) dans les entreprises.
Il y aura bien une motion regroupant les frondeurs et les deux sensibilités de l’aile gauche du parti. Du moins, à J-4 avant la date limite du dépôt des textes, c’est ce qui semble acquis du côté des contestataires.
Public Sénat - Suicide de Jean Germain : « Le dénigrement indécent lui a été insupportable »
Au PS, de nombreuses voix rendent hommage au sénateur Jean Germain, qui s’est suicidé ce mardi, le jour de l'ouverture du procès des « mariages chinois » auquel il devait comparaître. Il a été retrouvé mort près de son domicile.
Le Figaro - Congrès: la semaine décisive du PS
Des réunions tous les jours, y compris un samedi entier de week-end pascal. Des responsables socialistes pendus au téléphone. Au PS, les grandes manœuvres pour le congrès de Poitiers (du 5 au 7 juin) redoublent d'intensité à quelques jours de la date limite du dépôt des motions, fixée au vendredi 10 avril à minuit. Ces textes d'orientation de la ligne du parti, qui seront soumis au vote des adhérents le 21 mai, permettront de désigner le premier secrétaire du parti.
7 avril
Libé - Régionales : Marie-Pierre de la Gontrie repart à l'attaque contre Huchon
La conseillère régionale socialiste aspire à être tête de liste aux élections de décembre, en Ile-de-France. Mais l'actuel président de région ne veut pas lâcher son siège.
Var Matin - Benoît Hamon: "La gauche ne doit pas singer la droite"
L’ancien ministre et figure de proue des "frondeurs" réclame plus que jamais un changement de cap vers la gauche... Et semble fermement convaincu d’être entendu par le gouvernement.
Député des Yvelines, ministre délégué à l'Economie sociale de 2012 à 2014 puis fugace ministre de l'Education d'avril à août 2014, Benoît Hamon est aujourd'hui l'une des figures de proue des "frondeurs". S'il réclame invariablement une inflexion plus à gauche de la politique gouvernementale, il ne croit pas que le Parti socialiste soit au bord de la scission...
Politis- PS : les enjeux d’un congrès
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le congrès du PS, sans jamais oser le demander…Défait par les départementales et miné par les divisions, le PS prépare son congrès dans une ambiance plus tendue que jamais. Retour sur les principaux enjeux de ce rendez-vous des 5, 6 et 7 juin prochains, où pourrait bien se jouer la survie du Parti socialiste.
Le Point - Défaite PS en Côtes-d'Armor: la fin d'une histoire vieille de 40 ans
La défaite du PS aux élections départementales dans les Côtes-Armor a fait l'effet d'un séisme, par son ampleur apparente d'abord, mais surtout par son côté symbolique sur ces terres où le PS avait entamé sa conquête de la Bretagne il y a 40 ans.
6 avril
Francetvinfo - Anne Hidalgo : "Il faut que le gouvernement réagisse"
Après les mauvais résultats des élections départementales, la maire de Paris réclame un changement de politique à François Hollande et au gouvernement.
Libé - Pour Cuvillier (PS), Hollande est «trop entouré» de «technocrates»
L’ex-secrétaire d’Etat aux Transports Frédéric Cuvillier s’en prend dans le Journal du dimanche au «monde des palais» qui «isole et éloigne de la réalité», déplorant que François Hollande soit «trop entouré» de «technocrates» et «coteries»
Le JDD - Les Français d'accord pour garder Manuel Valls
SONDAGE - Parmi les personnes interrogées, 62% ne veulent pas de changement de Premier ministre. Et 49 % seulement souhaitent un remaniement. Même si elles sont 63 % au FN et 56 % au Front de gauche.
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Les 4 vérités : Benoît Hamon
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L'actualité des socialistes du 30 mars au 5 avril (mise à jour)
A la une
Le JDD - L'aile gauche partira groupée au congrès du PS
Malgré la rivalité entre Emmanuel Maurel et Benoît Hamon, un dirigeant assure que les "frondeurs" iraient unis au congrès du PS en juin.
Libé - Congrès PS: vers un rassemblement des plus à gauche
A une semaine du dépôt des motions pour le congrès de Poitiers, les sensibilités socialistes en désaccord avec la politique économique du gouvernement se rapprochent.
5 avril
Challenges - Les Français soutiennent la ligne social-libérale de Valls !
Le Premier ministre peut se féliciter du sondage publié par Le Journal du Dimanche, mais il démontre toute la difficulté du moment: rassembler la gauche sans changer de cap économique ...
Le Point - Hamon (PS): une "parole collective" monte à gauche
L'ex-ministre PS Benoît Hamon a affirmé jeudi qu'une "parole collective" montait à gauche, à l'approche du Congrès du PS, pour réclamer des "changements" dans la politique du gouvernement.
"Il y a beaucoup de gens qui disent la même chose. Quand on écoute aujourd'hui le diagnostic posé par Martine Aubry, Arnaud Montebourg, Aurélie Filippetti, Christiane Taubira dans un autre registre (...) il y a des constats qui sont les mêmes et qui sont assez simples, sauf à être totalement dans le déni et à vouloir plonger bien profond la tête dans le sable", a déclaré Benoît Hamon sur LCI et Radio Classique.
Le Monde - PS : première motion déposée avant le congrès de Poitiers
La compétition au PS est déjà sur les rails. Le courant « cohérence socialiste », mené par les quatre députés Karine Berger, Valérie Rabault, Yann Galut et Alexis Bachelay, a décidé de déposer sa propre motion pour le congrès de Poitiers du 5 au 7 juin. Ils font alliance pour l'occasion avec trois autres premiers signataires de contributions générales, Dominique Bertinotti, l'ancienne ministre de la famille, Nicolas Brien et Madeleine Ngombet.4 avril
Libé - François Hollande fait un petit pas vers sa gauche dans l'Oise
Ce vendredi, le Président a annoncé la création d'un compte personnel d'activité. Une mesure sociale censée rassurer sa majorité avant le congrès du PS en juin, sans toutefois toucher à ses mesures phares.
Le Point - Le "compte personnel d'activité" : le geste de Hollande sur sa gauche
Le Parti socialiste a salué "une avancée importante dans le processus de sécurisation des parcours professionnels", demandé par les fidèles de Martine Aubry.
Le Monde - Hollande annonce des mesures pour favoriser l’investissement dans les PME
Après l’usine PSA de Trémery (Moselle) la semaine précédente, le président continuait inlassablement son tour de « la France qui gagne », vendredi 3 avril, dans une forge de Trie-Château (Oise). Mais en plus des traditionnelles assurances sur l’imminence d’une reprise, égrenées avec insistance depuis un mois, François Hollande y a apporté dans sa besace des annonces : des mesures destinées à favoriser l’investissement industriel dans les PME.Le gouvernement préfère ne pas mettre sur la table les questions de simplification du contrat de travail et de la durée du travail. Et ce pour ne pas attiser les frictions au sein du parti socialiste en pleine préparation de son congrès.
France Bleu - Régionales : Jean-Jack Queyranne annonce sa candidature
L'actuel président de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne, a annoncé officiellement sa candidature à l'investiture PS pour la présidence de la future région Rhône-Alpes Auvergne. Le président en a également profité pour répondre aux attaques de la droite, concernant notamment le financement de l'autoroute A45.
Le Monde - Pour Sapin, la reprise dépend désormais des entrepreneurs
Le ministre de l’économie Michel Sapin a déclaré, vendredi 3 avril sur RTL, qu’il est désormais de la « responsabilité du monde économique » de transformer en « décisions » et en « investissements » les « marges » qu’elles ont dégagées dans un contexte de « petite reprise » de la croissance. Jeudi, l’Insee a légèrement revu à la hausse ses prévisions et s’attend à une progression de 0,4 % du PIB au premier trimestre puis 0,3 % au deuxième.S'il n'est pas tout à fait frondeur, Jean-Marc Germain, député socialiste des Hauts-de-Seine, ne désavoue pas, pour autant, le courant hostile à Manuel Valls. Sans dévoiler les intentions de celle pour qui il roule, ce proche de Martine Aubry et époux, à la ville, d'Anne Hidalgo, tire les conséquences de la déroute des socialistes.Après Arnaud Montebourg, Cécile Duflot et même la garde des sceaux Christiane Taubira, Benoît Hamon a apporté sa contribution, jeudi 2 avril, au flot de critiques venues de gauche qui accablent le gouvernement après sa cuisante défaite aux élections départementales. « Il est temps que le quinquennat soit associé à une amélioration de la vie des Français », a déclaré sur Radio Classique et LCI l’ex-ministre de l’éducation, membre de l’aile gauche du Parti socialiste, qui a quitté le gouvernement en août 2014 sur un désaccord avec la politique menée par Manuel Valls.Après la défaite de la gauche aux départementales, l’ex-ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique sort de son silence dans «Les Echos».3 avrilSeulement huit femmes figurent parmi les 98 présidents de conseils départementaux élus jeudi. Elles n'étaient que quatre auparavant.L'Humanité - Face à la ligne Valls, Martine Aubry passe à l’offensive
Deux jours après la déroute du PS aux élections départementales, la maire de Lille passe à la vitesse supérieure.
Les Echos - Le dilemme de Martine Aubry
La maire de Lille a huit jours pour décider si elle dépose ou non une motion au congrès du PS. En clair, si elle compose ou entre en guerre avec François Hollande.
La claque des départementales à peine digérée, le coup de sifflet du sprint du congrès est sifflé. Le calendrier est serré puisque le 11 avril, le Conseil national du PS entérinera les différentes motions qui feront l’objet d’un vote des militants. Un congrès prévu pour début juin qui pourrait, en cas de victoire de la ligne critique au gouvernement, obliger François Hollande à infléchir sa politique économique.LCP - Baumel (PS) demande à Hollande des "inflexions politiques" sans "se renier"
Le député frondeur espère que le chef de l’État acceptera d’apporter des "équilibres un peu différents" après la défaite socialiste lors des élections départementales."Il y a un petit paradoxe à nationaliser une élection locale et ensuite, en l’ayant perdue, à dire ’je continue la même politique, je ne change pas de cap’." Laurent Baumel, le député socialiste frondeur d’Indre-et-Loire, a demandé à l’exécutif, mercredi sur le plateau de Politique Matin, "d’apporter des inflexions" à sa politique afin de la rendre plus "équilibrée", après la défaite de la gauche aux élections départementales.
Le JDD - Martine Aubry attend "des signes forts et non des vaguelettes"
Lors d'une réunion avec ses soutiens,à laquelle se sont joints une partie des frondeurs, mardi soir, la maire socialiste de Lille Martine Aubry a fortement critiqué la ligne Valls. Avec le prochain congrès du PS en ligne de mire.
Regards - Emmanuel Maurel : « Notre électorat est plus unitaire que nous »
Le frondeur Emmanuel Maurel s’attriste de voir l’exécutif mener le Parti socialiste de revers électoral en revers électoral. Mais espère lui faire changer son cap social-libéral grâce à une entente entre les différentes forces de gauche... rangées derrière le PS.
2 avril
INFO RTL - La maire de Lille a réuni une centaine de ses proches, au lendemain de la défaite socialiste aux départementales et a obtenu des garanties de la part du Président.Le Figaro - Devant ses troupes, Martine Aubry lâche ses coups contre Manuel Valls
Lors d'une réunion avec ses soutiens mardi soir à l'Assemblée, la maire de Lille a fustigé la stratégie du premier ministre pour les départementales. Elle pourrait déposer sa propre motion pour le congrès du parti.
Le lab - Martine Aubry laisse planer le doute quant à sa candidature au congrès du PS
LA GRANDE INCONNUE - Ce n'est pas encore aujourd'hui que l'on connaîtra avec précision les intentions de Martine Aubry. Mais à défaut de dévoiler son jeu, la maire de Lille entretient savamment le doute. Devant ses soutiens à l'Assemblée nationale, mardi 31 mars, l'ancienne Première secrétaire du PS a en tous cas laissé planer l'éventualité d'une candidature de sa part au congrès du parti, qui se tiendra à Poitiers début juin.
France 3 - Réunion d'une centaine de parlementaires et d'élus locaux autour de Martine Aubry
La maire de Lille, Martine Aubry, a réuni mardi soir à l'Assemblée nationale ses soutiens parlementaires, ainsi que des élus locaux, pour faire le point après les départementales et avant le dépôt des motions en vue du congrès du PS, en juin à Poitiers.
Le JDD - Comment Valls a tenté de remobiliser les socialistes
Manuel Valls, qui considère avoir le soutien des Français pour rester à son poste de Premier ministre un an pile après sa nomination, s'est adressé mardi aux députés socialistes pour les convaincre d'"approfondir les réformes" sans changement de cap vers la gauche.
Le Monde - Scrutin après scrutin, Hollande perd ce qu’il a gagné
Le premier secrétaire avait tout gagné. Le président est en passe de tout perdre. Après des municipales dévastatrices, qui avaient laissé la gauche délestée de quelque 150 villes de plus de 9 000 habitants en mars 2014, le second tour des élections départementales, avec 28 départements perdus, dimanche 29 mars, a aggravé la saignée, annonçant un scrutin régional du même acabit. En décembre, François Hollande pourrait bien avoir liquidé la majeure partie des positions de pouvoir tenues par la gauche dans les collectivités territoriales. C’est sur la conquête de celles-ci qu’il avait édifié onze ans durant, à la tête du PS, la rampe de lancement de ses ambitions présidentielles.1er avrilAlors que le Front national se targuait d'être « le premier parti de France » après les élections municipales et les européennes de 2014, la droite républicaine et ses alliés sont sortis largement victorieux des élections départementales, dont le second tour se déroulait dimanche 29 mars. A l'issue de ce scrutin local, qui peut revendiquer le titre de premier parti de France ?
Trois jours après la défaite du Parti socialiste aux élections départementales, Manuel Valls ne dévie pas de sa ligne politique : il faut rassembler la gauche, mais pas question de revenir sur les grandes orientations économiques décidées par son gouvernement.Libé - Valls s'essaye à la manière pas forte
S'exprimant devant le groupe PS de l'Assemblée, deux jours après la défaite départementale, le Premier ministre n'a rien concédé sur le fond mais sans en rajouter sur la forme.
Le Monde - Départementales : la coûteuse défaite du PS
La sévère défaite de la gauche aux élections départementales risque de coûter cher au Parti socialiste. Un an après l'échec aux municipales, ce nouveau revers, dimanche 29 mars, est une nouvelle fois synonyme pour le parti au pouvoir d'un recul sur le plan local.Au Parti socialiste, la défaite n'est pas seulement politique. Elle est aussi financière et humaine. Tous les conseillers départementaux du PS sont tenus de reverser à la fédération de leur département entre 5 % et 10 % de leur indemnité. «Entre 1400 et 2000 euros de cotisation annuelle par conseiller départemental», indique le trésorier de la Rue de Solferino, Jean-François Debat. Face au reflux, celui-ci envisage la fermeture de certaines permanences locales.Candidat malheureux à la réélection dans son canton de Lons-Le-Saunier, l'ancien président socialiste du département du Jura a annoncé son retrait de la vie politique. Invité sur l’antenne de France info, Christophe Perny n’a pas mâché ses mots pour critiquer la politique de Manuel Vall
31 marsDans une société travaillée par les aspirations individualistes et les pulsions de repli identitaire, le vote FN ouvre une nouvelle ère politique.
Au lendemain du second tour des élections départementales, c’est Benoit Hamon qui a été l’un des premiers appelés à poser des mots sur les plaies, dans les différentes émissions matinales du lundi 30 mars. « C’est une défaite » a sobrement estimé l’ancien porte-parole du parti socialiste lundi matin sur RTL. « Pas besoin », pour lui, d’aller puiser dans un vocabulaire plus chargé en superlatifs. « C’est une défaite, incontestable », a juste répété Benoit Hamon, préférant sans tarder en analyser les raisons. Pour le député des Yvelines, l’explication tient dans « la division de la gauche » d’un côté, et de l’autre dans « des résultats qui se font attendre sur les questions essentielles, le pouvoir d’achat, la situation des petits retraités, l’emploi évidemment… ».
Emmanuel Maurel, député européen et conseiller régional d’Ile-de-France, réagit vivement aux résultats du second tour des élections départementales et à la déclaration de Manuel Valls. Pour lui, « il faut faire preuve de lucidité et avoir l’intelligence de changer de politique ».30 marsLes socialistes subissent une lourde défaite, ne conservant qu’une trentaine de départements. Face à la vague bleue, le Premier ministre promet de garder le cap.
L’alternance politique n’est pas qu’une abstraction. Parfois, elle se ressent physiquement. Il est 23 heures, dimanche 29 mars, dans le hall de la préfecture d’Evry. Le président sortant du conseil général, le socialiste Jérôme Guedj, arrive avec quelques proches, tandis que Georges Tron et les nouveaux élus UMP répondent aux médias et profitent du buffet. Perdants et gagnants se frôlent et se toisent. Sans un mot. « Voilà le nouveau visage de l’Essonne… », lâche un conseiller de M. Guedj en observant les nouvelles têtes et leurs sourires.Mardi, à l'Assemblée nationale les proches de l'ex-première secrétaire du PS, doivent se retrouver pour faire un bilan du scrutin de dimanche et préparer le congrès PS.Le Monde - Suivez en direct les résultats du second tour des départementalesLa droite pourrait conquérir 20 à 40 départements à l'issue du second tour, tandis que le score du FN sera guetté. A 17 heures, la participation s'élevait à 41,94 %.
Libé - Canton par canton, retrouvez tous les résultats à partir de 20 heuresL'aile gauche du PS profite de la déroute de son parti aux élections départementales pour lancer un nouvel appel. Les frondeurs veulent un "contrat de rassemblement" avec l'ensemble de la gauche. Une manière de mettre la pression sur le gouvernement de Manuel Valls.Ce dimanche soir, chaque parti pourra peut-être avancer, avec plus ou moins de bonne foi, des motifs de satisfaction.... Le PS a «gagné» si…Il sauve plus de vingt-cinq départementsDans ce département à gauche depuis 1976, le second tour s'annonce très serré entre les socialistes et l'UMP. -
Benoît Hamon, invité de Guillaume Durand avec LCI (02.04.15)
Benoît Hamon, invité de Guillaume Durand avec... par radioclassique -
L'actualité des socialistes du 16 au 22 mars (mise à jour)
Fin de campagne.... prochaine mise à jour dimanche à 20h
A la une
Départementales : une campagne éclipsée par la menace du FN
C’est une drôle de campagne qui raconte une France prête à tout instant à verser dans l’irrationalité. Comme cet homme qui interpelle sa conseillère générale dans le Tarn-et-Garonne, à propos de l’impossible édification de son pigeonnier pour cause de zone inondable. « Qu’est ce que vous allez faire pour moi ? », lance-t-il comme une supplique. Quand l’élue lui répond que cela ne relève pas des compétences du conseil général, il rétorque, désabusé : « Décidément, il n’y a que Marine qui s’occupe de nous… »
20, 21 et 22 mars
Le député PS vient de rendre un rapport sur l’emploi des jeunes en Europe. Il répond aux questions de Contexte.
Le ministre de l'Économie était en déplacement jeudi à Fresnes à la rencontre des militants à trois jours du premier tour des départementales.Un petit pas pour le socialisme mais un grand pas pour celui qui, bien que n’ayant pas en poche la carte du parti du même nom, tenait meeting, jeudi 19 mars, pour les élections départementales. Certes, la salle était modeste, mais elle était pleine. Deux cents personnes s’étaient déplacées à Fresnes (Val-de-Marne), tout autant pour encourager les candidats du PS, dans ce département – un des deux derniers – dirigé par le PCF, que pour écouter la tête d’affiche du jour : Emmanuel Macron.Manuel Valls s'est rendu dans le fief du président, en Corrèze, à trois jours du premier tour des départementales. Au menu : taper sur Sarkozy, déconstruire le discours du FN, et assurer de sa fidélité au chef de l'Etat.L’épisode de pollution se poursuivant à Paris, la maire PS de la capitale, Anne Hidalgo, a réitéré sa demande de mise en place de la circulation alternée pour la journée de samedi, en raison de la persistance du pic de pollution aux particules fines PM10.
Les Echos - Benoît Hamon à la recherche de la gauche perdue
L'ancien ministre de Manuel Valls, débarqué fin août, a fait son retour dans le jeu politique comme « haut-parleur des frondeurs ». A trois mois du congrès du PS, cet électron libre oscille entre doute et envie d'agir.Le Monde - Hollande choisit le magazine « Society » pour corriger son image
Par petites touches, François Hollande, à l’approche du troisième anniversaire de son élection, s’emploie à corriger son image. Et sur des supports de plus en plus inattendus. Entre confidences personnelles et vision régalienne, le président accorde ainsi un entretien fleuve au tout nouveau magazine Society, dans son deuxième numéro, à paraître vendredi 20 mars. Un média apparemment décalé pour une stratégie de présentation de lui-même qui se précise, visant à souligner une forme de présidentialité acquise lors des attentats de janvier sans pour autant gommer un sens de la proximité, qui, en campagne, avait constitué l’une de ses forces.Libé - Montebourg chez Habitat
Reconversion. L'ancien ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a été nommé vice-président du conseil d'administration de la chaîne d'ameublement française Habitat.
Le Monde - La gauche peut-elle perdre la Seine-Saint-Denis ?
L’ancienne banlieue rouge a pris quelques bleus. Dirigée pendant quarante et un ans par les communistes, puis par les socialistes depuis 2008, la Seine-Saint-Denis est un bastion de la gauche depuis la naissance du département, en 1968. « D’habitude, on connaît l’issue des élections à l’avance », confirme Stéphane Troussel, le président socialiste du conseil général. La gauche ou la gauche. Mais si celle-ci reste favorite pour le scrutin départemental des 22 et 29 mars, prévient-il, « l’incertitude existe avec la droite ».En meeting mercredi soir dans le Pas-de-Calais, le Premier ministre a dû s’employer pour booster les socialistes dans un département à haut risque FN.
Libé - En cas de cession, le gouvernement à reculons sur le droit des salariés
Selon «les Echos», la sanction en cas de non respect du droit à l'information des salariés lors de la vente de leur entreprise serait allégée. Hamon juge la réforme «non opportune».
19 mars
Le Monde - Départementales : la déroute annoncée du PS
S'attendant à une sévère défaite, le Parti socialiste fait profil bas avant les élections départementales des 22 et 29 mars. Dépourvue de bilan solide en matière économique, traversée par une ligne de fracture depuis en plus en plus profonde entre légitimistes et « frondeurs », la majorité, et au premier chef Manuel Valls, ont fait du Front national leur principal cible.En meeting lundi soir à Evry, le Premier ministre a vivement répliqué à Nicolas Sarkozy, à quelques jours du premier tour des départementales.Le Monde - Jean-Christophe Cambadélis : « Il y a une impunité pour le FN »
Pour Jean-Christophe Cambadélis, « il y a aujourd’hui dans notre pays une impunité pour le Front national et l’extrême droite ». Invité du « Forum France Bleu-France Info », mercredi 18 mars, à quelques jours du premier tour des élections départementales, le premier secrétaire du PS, a poursuivi : « Aujourd’hui, on peut dire ce que l’on veut dans l’espace public, on peut faire ce que l’on veut, être soutenu par les banques poutiniennes, détourner les fonds du Parlement européen pour financier l’ensemble de son appareil politique, ça n’intéresse personne. »Le Monde - Aubry brouille les pistes sur sa succession à Lille
Après l’annonce surprise de l’installation à Lille de l’ancien ministre de la ville François Lamy, le 15 novembre 2014, les rumeurs allaient bon train sur l’avenir de l’ancien conseiller municipal d’opposition de Palaiseau (Essonne). Martine Aubry préparait-elle sa succession en mairie de Lille ? A défaut de clarifier ses intentions pour les élections municipales de 2020, l’ancien ministre du gouvernement Ayrault a confirmé son intention de prendre place de manière durable dans la capitale des Flandres.Libé - Loi prostitution : démission soudaine d'un sénateur PS opposé à la pénalisation des clients
En désaccord avec le gouvernement, Jean-Pierre Godefroy a démissionné de la commission spéciale sur la loi prostitution.
Le Monde - Ayrault à l’heure des comptes
Une interview à Ouest France pour mobiliser la gauche et régler ses comptes avec Manuel Valls. Jean-Marc Ayrault n'a pas attendu le résultat des élections départementales pour se démarquer fortement de son successeur.
18 mars
Le Monde - Jean-Marc Ayrault, un premier ministre dans les yeux de sa fille
Jean-Marc Ayrault ne semble pas amer, ou rancunier. Un peu interdit plutôt, meurtri aussi, par ces deux années à Matignon et par la façon dont elles se sont terminées. C’est sa fille, Elise, qui, au terme du documentaire qu’elle lui consacre - « Mon père, ce Ayrault », diffusé en avril sur France 3 - le dit : pour elle, sa démission fut un « soulagement ». « Tu souffrais pour moi… », relance l’intéressé.Le JDD - Départementales : deux économistes prédisent une grande vague bleue
Deux économistes chercheurs à l'université Paris II prédisent une grande vague bleue aux élections départementales, en fonction d'un modèle économétrique qui intègre l'évolution du chômage et la popularité de l'exécutif. L'UMP emporterait environ trois cantons sur quatre. La gauche perdrait des bastions comme le Pas-de-Calais, et le FN remporterait plus de 100 cantons.
LCP - Guedj (PS) : "problème éthique et moral" dans le soutien de Sarkozy à Tron
Jérôme Guedj, le président (PS) du conseil général de l'Essonne, a qualifié lundi de "petit problème éthique et moral" le fait que Nicolas Sarkozy vienne soutenir lundi soir Georges Tron, renvoyé aux assises pour viols et agressions sexuelles.
17 mars
Dans le cadre du projet de loi santé, deux amendements interdisant le recours aux mannequins dénutris et l’apologie de l’anorexie ont été déposés ce matin à l’Assemblée nationale par le député PS de l’Isère, le Dr Olivier Véran, neurologue au CHU de Grenoble, par ailleurs rapporteur du volet Promotion et prévention du projet de loi.
Le Figaro - Bouches-du-Rhône : le socialiste Mennucci veut en finir avec Guérini
Le député de Marseille appelle les électeurs à ne pas voter pour le président sortant du Conseil général des Bouches du Rhône mais pour les socialistes.
Libé - PS, UMP, et FN : «La tripartition est un système transitoire»
Jérôme Fourquet, directeur à l’Ifop, analyse les conséquences de la montée de l’extrême droite.
Pour Jérôme Fourquet, directeur du département opinion publique à l’Ifop, l’élimination toujours plus fréquente des candidats PS ou UMP aux premiers tours des scrutins majoritaires peut précipiter la recomposition du paysage politique. De Valls à Juppé, plusieurs responsables de partis ne disent pas autre chose.
16 mars
La journaliste reçoit Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti Socialiste. Son portrait, dans l'exercice de sa fonction, ainsi qu'un débat autour d'un thème d'actualité sont les temps forts de l'émission qui se termine par la réponse aux questions diverses, sur la base de SMS ou de questions postéessur les réseaux sociaux par les téléspectateurs.
Rendre le vote obligatoire permettrait-il de résoudre la crise démocratique qui sévit en France ? L’écologiste François de Rugy le pense, lui qui a déposé une proposition de loi en ce sens. Il a trouvé ce dimanche 15 mars deux soutiens de poids dans la majorité socialiste alors qu'une note d'un think-tank proche du PS plaide en ce sens.
Libé - Sondage: popularité en baisse pour Hollande et Valls
François Hollande et Manuel Valls continuent de perdre les points de popularité acquis après les attentats de janvier avec respectivement 27% et 40% de bonnes opinions, selon un sondage BVA-Orange-iTELE publié samedi.
Le Lab - Manuel Valls met en garde les communistes, qui "peuvent disparaître"
Quoi qu’il en dise, Manuel Valls ne réserve pas ses coups au seul Front national. Dans le Journal du Dimanche de ce 15 mars, le Premier ministre en campagne adresse une sérieuse mise en garde aux communistes dans la perspective de 2017.
Libé - En visite à Amiens, Najat Vallaud-Belkacem joue à domicile
A quelques jours des départementales, la ministre de l'Education nationale s'est rendue vendredi soir dans le quartier de son enfance, pour une visite politique aux airs de retour aux sources.
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L'actualité des socialistes du 9 au 15 mars (mise à jour)
15 mars
L'Express - La croisade acharnée de Manuel Valls contre le FN en quatre actes
En campagne pour les élections départementales depuis le début du mois, Manuel Valls enchaîne les tacles au Front national, favori des scrutins selon les sondages. D'abord alarmiste, le Premier ministre se montre de plus en plus dur.
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis déclare dans un entretien à paraître dimanche dans La Provence qu'il faut dans les Bouches-du-Rhône "en finir avec le système GG: Guérini-Gaudin", refusant d'apporter son soutien à Jean-Noël Guérini en cas de duel contre l'UMP aux départementales.
Chaque samedi, LCI rencontre un acteur majeur de la politique française dans son bureau. L’occasion de découvrir ce qui orne le lieu de travail de ces politiques. Ce 14 mars, c’est au tour du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, d’ouvrir les portes de son bureau à l’Hôtel de Lassay.
Libé - Hollande veut s’offrir des Verts
Dans la perspective de 2017, le Président veut faire entrer Emmanuelle Cosse au gouvernement, quitte à déstabiliser les écologistes.
Le vert est devenu une matière hautement inflammable et François Hollande ne rechigne pas à jouer avec les allumettes. Profitant des courants contraires qui traversent Europe Ecologie-les Verts (lire ci-contre), le chef de l’Etat a décidé de taper le plus haut possible, lançant les grandes manœuvres autour de la secrétaire nationale du parti, Emmanuelle Cosse.
14 mars
Libé - Hidalgo pour un «parcours d’accompagnement» des jeunes de milieux populaires
La maire (PS) de Paris Anne Hidalgo va mettre en place un «parcours d’accompagnement» des «jeunes héros», issus des milieux populaires, qui veulent «réussir par l’école» et «s’insérer», avec notamment du tutorat et des stages de remise à niveau, a-t-elle annoncé jeudi.
Europe 1 - L’appel du PS à ouvrir des écoles musulmanes inquiète les enseignants
Un communiqué du PS appelle au "développement de l’enseignement privé confessionnel musulman”. Pour les syndicats cette mesure va à l’encontre du vivre-ensemble.
L’affaire cristallise une nouvelle fois le malaise à gauche autour de la laïcité et de l’islam. Un communiqué du parti socialiste, daté du 26 février dernier, appelle au "développement de l’enseignement privé confessionnel musulman”. Cette proposition, qui vise à ouvrir davantage d’écoles musulmanes, figure dans un rapport sur la cohésion républicaine, commandé dans la foulée des attentats de janvier. Repérée le 8 mars par le secrétaire national à la laïcité du Parti radical de gauche, cette annonce inquiète désormais l’ensemble des syndicats de l'Education. Forcé de s’expliquer, le Parti socialiste plaide la “maladresse dans la formulation”.
INTERVIEW – À quelques jours des élections départementales, le député PS d’Indre-et-Loire, l’un des chefs de file des frondeurs, réaffirme sa volonté « d’inflexion sérieuse » de la politique économique et sociale du gouvernement.
13 mars
L'ancien ministre PS Benoît Hamon "comprend la logique" de François Hollande, qui écarte un changement de ligne économique, mais estime que l'exécutif devra "répondre" à la "demande de pouvoir d'achat, d'emploi" et de "cohésion sociale".
Le Lab - Entre Manuel Valls et les frondeurs, le dialogue de sourds
TOI D'ABORD ! NON, TOI ... - Si François Hollande a rencontré une délégation de "frondeurs" mercredi 11 mars - une démarche très peu appréciée côté députés loyalistes - Manuel Valls ne veut pas, quant à lui, donner trop d'importance à ce rendez-vous. Chose amusante, ce 12 mars, Le Figaro fait dialoguer Premier ministre et représentant des frondeurs par articles interposés. Et visiblement, chacun attend de l'autre un signe.
Le Figaro - «Ministres faibles» : Manuel Valls contredit François Hollande
En marge d'un voyage à dominante économique en Pologne, Manuel Valls a réagi a la déclaration de François Hollande qui estime qu'un «premier ministre fort» est fatalement entouré de «ministre faibles».
Boursorama - Hollande a reçu 14 frondeurs du PS à l'Elysée pour renouer le dialogue
L'opération rabibochage a duré deux heures et demie. François Hollande a reçu quatorze députés «frondeurs» du Parti socialiste à l'Elysée, mercredi soir, dans le salon des Ambassadeurs du palais présidentiel où se tient chaque semaine le Conseil des ministres, pour renouer avec eux un dialogue rompu lors du débat sur la loi Macron. Une conversation bien loin des sanctions envisagées un temps, quand ces élus avaient contraint le gouvernement à passer en force et utliser l'article 49.3 pour imposer ce texte. Parmi les députés conviés à l'Elysée, figuraient Barbara Romagnan, Christian Paul, Pouria Amirshahi, Laurent Baumel, Benoît Hamon, Henri Emmanuelli et Pascal Cherki.
DEPARTEMENTALES - Déplacer onze ministres pour annoncer un plan ruralité dans un des fiefs du vote FN, qui plus est à une semaine du premier tour élections départementales... le sens du timing du premier ministre ne manquera pas de donner du grain à moudre à ceux qui l'accusent de faire campagne aux frais de l'Etat.
Le Figaro - François Hollande absout les frondeurs
..... C'est pourtant sur la forme que les frondeurs trouvaient des motifs de satisfaction. «Cette rencontre, c'est la reconnaissance d'un fait politique, c'est nouveau et c'est quelque chose de signifiant», se réjouissait Pouria Amirshahi. Une reconnaissance officielle de l'Élysée qui avait des allures de victoire pour les frondeurs. L'un d'eux, Laurent Baumel, estime à l'issue de la réunion que «François Hollande a écouté tout le monde avec attention», même si, «sur les demandes spécifiques , il n'y a pas eu de réponses». Le député d'Indre-et-Loire dit avoir ressenti «un accord sur la nécessité d'un rassemblement» du PS et de la gauche «sur les questions de fond». «Ce n'est pas le cas de tout le monde», souligne-t-il.
12 mars
Libé - Les frondeurs reçus à l'Elysée, consécration de la dissidence
François Hollande reçoit ce mercredi une délégation de députés frondeurs. De quoi agacer au Parti socialiste, même si tous reconnaissent qu'il est nécessaire de rassembler la gauche.
Le Figaro - La réception des frondeurs à l'Élysée fait enrager les loyalistes du PS
Le président devrait recevoir ce mercredi soir une douzaine de députés issus du groupe des frondeurs du PS afin de calmer les tensions internes au sein de la majorité
Huffington Post - François Hollande reçoit des députés frondeurs à l'Elysée
Des députés socialistes frondeurs seront reçus mercredi 11 mars dans la soirée par François Hollande, a-t-on appris mardi 10 mars de sources concordantes. Aucun de ces députés n'a voulu indiquer à l'AFP s'ils allaient participer à cette rencontre, confirmée par plusieurs autres responsables du groupe socialiste.
REPLAY/ÉDITO – À une dizaine de jours des élections départementales, François Hollande reçoit ce soir à l'Élysée les députés frondeurs du PS.Challenges - Interview exclusive : François Hollande se confie à Challenges
Dans l'entretien qu'il a accordé à Challenges, le président de la République fait front. Aucun regret et aucune concession, notamment vis-à-vis "des frondeurs", ne semblent au programme. Extraits.
Challenges - Les projets de François Hollande avant 2017
EXCLUSIF Valls et Macron, Front national et élections départementales, croissance et déclinisme… Le chef de l’Etat fait le point sur les dossiers chauds. Entretien exclusif à l’Elysée.
BFMTV - Les frondeurs "ne sont pas irréconciliables", assure Jérôme Guedj
Jérôme Guedj, membre du bureau politique du PS et président du Conseil général de l'Essonne, a prévenu mercredi sur BFMTV que le gouvernement devait "trouver les conditions du rassemblement" pour éviter une défaite dès le premier tour des élections départementales.
Midi Libre - Départementales : Cambadélis déplore un "suicide politique en direct" de la gauche
Mercredi, le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a déploré une division "incompréhensible" de la gauche, un "suicide politique en direct" avant les élections départementales.
François Hollande a fait part de sa «stupeur» et de son «émotion» après le crash mortel en Argentine dans lequel ont péri dix personnes dont huit Français. Patrick Kanner, ministre des Sports, a indiqué qu’il travaillait à l’organisation d’un «hommage national». D’autres politiques ont également réagi.
11 mars
Le Monde - Des promesses de campagne à la loi sur la fin de vie : un grand malentendu ?
C’est l’histoire d’une promesse de campagne si habilement formulée que chacun y a lu ce qu’il voulait y voir. Lorsque le 26 janvier 2012, à la Maison des métallos, à Paris, le candidat François Hollande présente parmi ses soixante engagements pour la France une mesure, la vingt-et-unième, prévoyant une « assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité », les partisans de l’euthanasie ne doutent pas que si le candidat socialiste est élu, une aide active à mourir sera mise en place. Certes, il s’est déclaré opposé à l’euthanasie, mais à l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), on croit que seul le mot lui fait peur.La ministre de l’Ecologie a évoqué pour Notre-Dame-des-Landes une consultation citoyenne «au niveau départemental».Coulisses . Le débat sur la proposition de loi a été reporté
Trop touchy ? Jeudi, les députés étaient censés examiner une proposition de loi des radicaux de gauche interdisant le port du voile dans les crèches et les centres de loisirs privés financés par de l’argent public.Étant donné son poids au Parti socialiste, les déclarations de Martine Aubry sont toujours très attendues. En témoigne le nombre de journalistes ce lundi matin pour la conférence de presse du PS donné au siège de la fédération du nord à l’occasion du lancement officiel de la campagne pour les élections départementales. Martine Aubry a fustigé les communistes et les Verts, qui ont refusé toute alliance dans le Nord. Elle a taclé Nicolas Sarkozy et la droite. Et réagi aux déclarations de Manuel Valls.
10 mars
Libé - La logique comptable fait son lit à l’hôpital
«Libération» a eu accès à un texte confidentiel qui prévoit des économies drastiques, des coupes dans les effectifs, et accroît la centralisation.
9 mars
Le Lab - Jérôme Guedj, comme d'autres frondeurs, "rêve" de discuter avec François Hollande
I HAVE A DREAM – François Hollande va-t-il finir par recevoir les députés "frondeurs" ? Pour certains, c'est une certitude. Reste plus qu'à caler une date, selon le bon vouloir présidentiel.
En attendant, certains élus pas franchement d'accord avec la politique menée par le gouvernement font preuve d'une légère impatience. À l'image de Jérôme Guedj, plus vraiment député depuis le retour à l'Assemblée de François Lamy, mais bien toujours "frondeur".
Libé - Pour Manuel Valls, le Front National est «aux portes du pouvoir» dès 2017
Dans un entretien, le Premier ministre a revendiqué la «stigmatisation du Front national», un parti qui «n’apporte aucune solution», à quelques semaines des élections départementales.
On le sait, deux lignes s'opposent chez les écologistes : les pro-gouvernement et les autres, plutôt tentés par un rapprochement avec le Front de gauche. Selon les informations du Journal du dimanche de ce 8 mars, certains membres de EELV mènent donc une réflexion concrète sur l'émergence d'un pôle pro-gouvernement structuré, quitte à provoquer une scission au sein du parti.
Le JDD - Jean-Marie Le Guen : "On a trop souvent joué avec le FN"
INTERVIEW - Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'Etat (PS) aux Relations avec le Parlement revient sur son analyse politique qu'il vient de rediger pour la Fondation Jean-Jaurès.
Le JDD - EELV : Cécile Duflot n'a pas peur d'une scission
L’ex-ministre du Logement est convaincue que la majorité des écologistes soutient sa ligne. Et n’est pas inquiète que quelques ténors, comme Jean-Vincent Placé, veuillent rallier Hollande.
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Benoît Hamon : "La loi Macron, ce n'est pas le divorce des gauches"
Benoît Hamon : "La loi Macron, ce n'est pas le... par rtl-fr -
Hamon : "Objectivement, Marine le Pen peut gagner la présidentielle en 2017"
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L'actualité des socialistes du 2 au 8 mars (mise à jour)
A la une
Public Sénat - Jean-Marc Germain souhaite le retour des « aubrystes » au gouvernement
Invité de Parlement Hebdo sur Public Sénat et LCP-AN ce vendredi, Jean-Marc Germain, l’un des fers de lance des frondeurs au sein du PS, se dit favorable au retour des « aubrystes » au sein du gouvernement.
Les Echos - Remaniement : les «frondeurs» PS prêts à entrer au gouvernement
Les députés socialistes frondeurs rencontreront François Hollande « dans les jours qui viennent », a annoncé Jean-Marc Germain.
7 mars
La Gazette des Communes - « Les départements sont sauvés », assure Claudy Lebreton
Le président de l'Assemblée des départements de France, Claudy Lebreton (PS), estime, à deux semaines des élections, que "les départements sont sauvés" et que ceux-ci conserveront la plupart de leurs compétences dans la future loi sur l'organisation territoriale de la République (NOTRe).
Les Inrocks - Féministes: le bras de fer qui fait tanguer Paris
Dans le XXe à Paris, la lutte entre Rokhaya Diallo et la maire PS de l’arrondissement, Frédérique Calandra, pourrait mettre à mal la majorité municipale.
Les Echos - Un an après, Manuel Valls toujours en quête d’un bilan
31 Mars 2014 : au lendemain des municipales, Manuel Valls est choisi par François Hollande pour succéder à Jean-Marc Ayrault. Un an après, la force de ses mots ne s’est pas traduite en changements notables pour les Français.
Francetvinfo - Tournée des départementales 2015 : Valls répond à Sarkozy
À quinze jours du premier tour des élections départementales, la campagne tourne à l'affrontement entre l'UMP et le PS. Au coeur du débat, la montée du Front national.
Le Monde, Les décodeurs - Le vote obligatoire changerait-il quelque chose ?
« Un apartheid territorial, social, ethnique » est à l'œuvre dans les quartiers populaires. Au lendemain des attentats de Paris, le premier ministre, Manuel Valls, avait voulu frapper un grand coup et rompre avec un discours convenu sur les banlieues.
Alors que M. Valls préside ce vendredi 6 mars un comité interministériel à la citoyenneté et à l'égalité, le député PS du Val-d'Oise Philippe Doucet a de son côté rendu publiques ses « 24 propositions pour lutter vraiment contre l'apartheid ».
Libé - A Sivens, les zadistes expulsés, les questions évacuées
Le vote par le conseil général du Tarn d’un projet très flou de barrage plus petit ne rassure pas les opposants, qui ont été délogés du site «sans incident».
Le Monde - Les propositions d’un député PS contre l’« apartheid territorial, social et ethnique »
Il y a plus d’un mois, suite aux attentats de Paris, Manuel Valls, avait jeté cette expression controversée dans l’espace public : un « apartheid territorial, social, ethnique » qui se serait « imposé à notre pays » dans les banlieues et quartiers populaires. Vendredi 6 mars, alors que le premier ministre doit présider un comité interministériel à la citoyenneté et à l’égalité et faire des annonces sur la politique de la ville, le député socialiste du Val-d’Oise, Philippe Doucet, a décidé de rendre publiques de son côté ses « 24 propositions pour lutter vraiment contre l’apartheid ».Europe 1 - Les partisans de Hollande préparent déjà 2017
.... Et les partisans de François Hollande s'y mettent aussi. Un think tank, Démocratie 2012, planche déjà sur son programme pour un second quinquennat.L'Elysée surveille ça de près. Europe 1 a pu assister en exclusivité à la deuxième réunion de ce groupe, créé en 2011 pendant la primaire socialiste et aujourd’hui réactivé. Ce think tank fait régulièrement parvenir des notes à l’Elysée avec des propositions d’idées ou de projets. Au palais, on regarde ça d’un œil distant, mais bienveillant.
Le Monde - Le gouvernement va débloquer 170 millions d'euros pour les contrats aidés
Le gouvernement va débloquer une enveloppe de 170 millions d'euros pour accélérer le nombre de contrats aidés d'ici à l'été, révèlent Les Echos jeudi 5 mars, et dont Le Monde a eu confirmation. Le financement se fera « non pas en prévoyant de nouvelles entrées en plus des 445 000 déjà budgétées pour l'année mais en accélérant le calendrier », et donc en finançant certains contrats sur une durée plus longue que prévu en 2015, explique le journal.
Le Monde - Départementales : Solférino redoute une bérézina dès le premier tour
Face aux prévisions plus que sombres pour les élections départementales, le PS tente de mobiliser ses troupes dans la dernière ligne droite. Le premier secrétaire du parti, Jean-Christophe Cambadélis, a tenu une conférence de presse jeudi 5 mars, destinée à relancer la machine socialiste, à deux semaines du premier tour. « Il y a comme un frémissement dans le pays », veut croire le patron de Solférino, qui voit dans les chiffres du chômage de janvier (baisse de 19 100 inscrits en catégorie A) un encouragement à poursuivre la politique menée depuis un an. « Le redressement est en marche. C’est la différence avec les élections municipales, où il n’était même pas perceptible, là où la colère, elle, l’était. »Le Parisien - Départementales : le PS sonne l'heure de la mobilisation
Branle-bas de combat pour éviter une nouvelle déroute après les municipales et les européennes. A trois semaines du premier tour des élections départementales, Jean-Christophe Cambadélis a lancé jeudi un appel à la mobilisation de l'électorat du PS.
6 mars
Le Monde - Le plan pauvreté de Manuel Valls déçoit les associations
Un long discours, pas moins de 11 ministres et secrétaires d’Etat l’entourant, 49 mesures annoncées et des mots pour dire la « solidarité » affichée. Manuel Valls n’a pas ménagé sa peine lors de la présentation de son « plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale », mardi 3 mars au ministère de la santé. Mais, mis à part l’annonce de la création de la prime d’activité, fusionnant le RSA et la prime pour l’emploi, la déception était visible du côté des acteurs du secteur.Le Premier ministre a présenté le plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté afin de se racheter une image sociale. Mais la seule grande nouvelle est la prime d'activité.Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'éducation nationale, reprendra les fonctions de Geneviève Fioraso, secrétaire d'Etat chargée de la recherche et de l'enseignement supérieur, a annoncé l'Elysée jeudi 5 mars. Mme Fioraso a présenté sa démission du gouvernement pour des raisons de santé.Le chef de l’Etat reperd 4 points dans le baromètre CSA pour « Les Echos » et Radio Classique. Le Premier ministre chute de 7 points, victime du 49-3.5 marsLe Figaro - Départementales : Valls conseille aux candidats PS de ne pas parler d'économie
Pour le premier ministre, le manque de «succès véritables» sur les dossiers économiques impose de mobiliser les électeurs sur d'autres thématiques.
Les Echos - Départementales : Hollande attaque de front le FN
François Hollande a une nouvelle fois mis en garde contre le FN, dont il dit vouloir « arracher les électeurs ». « Car si le FN est dans la République, puisqu’il participe aux élections, c’est tout sauf le parti de la République. Ses propositions sont autant de reculs pour notre pays et pour ses électeurs », prévient-il.
Le Lab - Le PS rode ses éléments de langage à dégainer après la défaite annoncée des départementales
.... Alors que se profilent les élections départementales, Manuel Valls, Jean-Christophe Cambadélis, Bruno Le Roux, Didier Guillaume et le président des Radicaux de gauche Jean-Michel Baylet se sont réunis le 24 février à Matignon, dévoile le Canard. Objectif : préparer la déroute annoncée.
Le Quotidien du Médecin - Geneviève Fioraso pourrait bientôt quitter le gouvernement
L’information qui avait filtré dans les colonnes de « l’Express » hier a été confirmée ce matin par Stéphane Le Foll, le porte-parole du gouvernement : « Mme Fioraso connaît des problèmes de santé, qui ont l’air d’être assez graves » et qui pourraient conduire l’actuelle secrétaire d’État chargée de l’Enseignement supérieur et de la Recherche à quitter le gouvernement.
Libé - La gauche met de l'eau dans son voile
Obligation de neutralité pour les crèches, pour les centres sociaux, mais finalement pas pour les nounous. Réunis ce mercredi matin en commission des lois pour discuter de la proposition de loi des radicaux de gauche sur l’obligation de neutralité des personnels chargés d'enfants de moins de 6 ans, les députés sont en train de faire machine arrière sur la question des assistantes maternelles. Sous l’impulsion du député PS et ancien maire d’Argenteuil Philippe Doucet, qui a déposé un amendement en ce sens, les parlementaires devraient en effet finalement circonscrire l’obligation de neutralité aux crèches et centres de loisirs dans la proposition de loi qu’ils discuteront en séance publique le 12 mars prochain.
Libé - Hollande demande un «rapprochement» à EDF et Areva
Le président français François Hollande a annoncé mercredi à Madrid avoir demandé aux dirigeants d’Areva et d’EDF de travailler à un «rapprochement» des deux groupes. «J’ai demandé aux dirigeants des deux entreprises de présenter un rapprochement qui pourrait être confirmé dans quelques mois», a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse. L’objectif est que «les acteurs de l’équipe de France du nucléaire puissent collaborer davantage que ça n’était le cas dans le passé et c’est un euphémisme», a-t-il ajouté.
4 mars
Les Echos - Les députés PS se disent « attachés » à la généralisation du tiers payant
Les députés socialistes sont « attachés » à la généralisation du tiers payant et il faut que les « problèmes techniques » pour sa mise en place soient « réglés », a déclaré, hier, un de leurs porte-parole, Hugues FourageLe Lab - Ces 49 députés PS qui avaient prévu de ne pas voter la loi Macron
..... Selon des documents qu’a pu consulter le Lab, le gouvernement et le groupe socialiste de l’Assemblée, présidé par Bruno Le Roux, avaient établi un pointage des votes des différents groupes. Et du leur. Et le verdict était que le texte devait passer par trois voix d’avance (265 pour, 262 contre). D'après les "intentions" des uns et des autres. Une avance trop courte donc pour que le gouvernement prenne le risque d’avoir un vote contre, le forçant à engager le 49.3. La faute aux quelques députés, comme certains fondateurs de Cohérence socialiste (Yann Galut, Alexis Bachelay, Valérie Rabault et Karine Berger) qui ont refusé de révéler leurs intentions de vote, rendant le comptage trop incertain.
3 mars
Le lab - Tout va bien pour les frondeurs, merci pour eux
L'INFO. Ils ont hanté les nuits de François Hollande et Manuel Valls. Les deux têtes de l'exécutif ont même, à cause d'eux, dû dégainer l'arme atomique du 49-3 pour s'assurer que la loi Macron serait votée. Eux, ce sont "les frondeurs", ces élus socialistes qui ne cautionnent pas la politique du gouvernement. Sauf qu'après avoir été tancés par nombre de leurs petits camarades, ces élus sortent finalement ragaillardis de cette séquence.
Libé, l'édito de Joffrin - Force majeure
On connaît le vieux dicton électoral : au premier tour, on choisit, au second tour, on élimine. Au premier tour, parmi huit ou dix noms, on désigne le candidat qu’on aime, au second, entre les deux qui restent en piste, on écarte celui qu’on déteste. C’était hier… Désormais la montée du Front national place la gauche devant un autre aphorisme, nettement plus désagréable : au premier tour, on est éliminé, au second tour, on n’a plus le choix.
CAMARADES - Henri Emmanuelli sort de sa réserve. Celui qui a signé la contribution de Benoît Hamon en vue du congrès du PS, qui se déroulera à Poitiers les 5, 6 et 7 juin, a décidé de briguer un nouveau mandat de président du Conseil général des Landes. Et pour ce faire, il se démarque de la ligne gouvernementale. Au JDD, daté du 1er mars, il justifie sa démarche en expliquant que "ce n'est pas le moment de tourner le dos".
L'Obs - Cambadélis (PS): Sarkozy entre "coup de rabot" et "coup de marteau"
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a estimé que le programme de Nicolas Sarkozy se résumait à un "coup de rabot sur notre modèle social" et un "coup de marteau sur la République", après son entretien au Figaro lundi.
Le Figaro - L'avertissement à Hollande du frondeur Christian Paul : «Il est minuit moins le quart»
Le député frondeur de la Nièvre pourrait être discrètement reçu par le président de la République, inquiet pour la cohésion de sa majorité. Il juge que les réformes portées depuis deux ans ne portent pas leurs fruits.
Le Parisien - Sondage : les frondeurs du PS ont la cote
Si les Français ne partagent pas forcément leurs idées, ils comprennent la démarche des frondeurs du Parti socialiste. C'est ce que montre notre sondage* Odoxa publié ce dimanche. Les députés frondeurs PS recueillent ainsi 55% de bonnes opinions, 65% des Français jugeant «normal» qu'ils s'opposent au gouvernement et 70% estimant que le PS devrait «rappeler à François Hollande ses engagements de campagne».
INTERVIEW Le député Pouria Amirshahi réagit au sondage sur la perception qu’ont les Français de la gauche du PS...
2 mars
Le Lab - François Hollande devrait rencontrer les députés "frondeurs" au cours du mois de mars
CAJOLER - François Hollande a beau les qualifier de "complètement dingos", les députés "frondeurs" sont en passe d'être écoutés. Ou au moins reçus. Comme le révèle un confidentiel du JDD dimanche 1er mars, les députés Laurent Baumel, Christian Paul, Pouria Amirshahi et d'autres devraient s'entretenir courant mars avec François Hollande. Si le lieu reste à déterminer, la rencontre devrait se faire dans la première quinzaine du mois.
Politis – Laurent Baumel “J’essaie de sauver le PS plutôt que de le fuir”
Député d’Indre-et-Loire, Laurent Baumel revient sur la crise politique engendrée par la loi Macron et sur la stratégie des frondeurs.
Il n’est pas le plus gauchiste des frondeurs, mais cela n’empêche pas Laurent Baumel d’en être l’un des principaux porte-parole. Élu pour la première fois député (d’Indre-et-Loire) en 2012, cet ancien strauss-kahnien est l’un des trente et un députés à s’être abstenus, en septembre, sur le vote de confiance au gouvernement Valls 2.
Marianne - Le hollandisme de souche, Joseph Macé-Scaron
Le refus permanent de nommer les choses est bien l'essence du hollandisme du souche. La scène se passe au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France, qui n'est plus connu, aujourd'hui, que sous son acronyme : Crif. Loin de l'esprit universaliste de Théo Klein, cet événement mi-politique, mi-mondain est devenu, avec le temps et la confusion intellectuelle, la manifestation pas très habile des noces du communautarisme et de l'entre-soi. Un tout petit monde - les hommes avec de longues écharpes blanches et les dames en robe de soirée - se presse ainsi autour des tables pour se faire morigéner par le président du Crif, l'inénarrable Roger Cukierman, qui défend les Français de confession juive avec la grâce et l'habileté de Mr Bean lorsqu'il prépare la dinde de NoëlLes Echos - Départementales 2015 : les départements qui pourraient basculer
Entre 30 et 40 départements, sur 101, semblent susceptibles de basculer à droite lors des élections départementales des 22 et 29 mars. Le FN pourrait remporter le Var, le Vaucluse, voire le Pas-de-Calais.
Le Monde - Comment la nouvelle prime d’activité va fonctionner
La prime pour l’emploi (PPE) et le RSA activité sont bientôt morts, bienvenue à la nouvelle « prime d’activité ». Le Monde a eu connaissance des modalités précises de cette nouvelle prestation, qui devraient être présentées mardi 3 mars par le premier ministre, Manuel Valls. Elle entérine la fusion PPE-RSA, dont la complexité et le manque d’efficacité sont critiqués depuis longtemps, mais qui a jusqu’ici toujours été retardée par crainte de faire trop de perdants. -
L'actualité des socialistes du 23 février au 2 mars (mise à jour)
A la une
Politis – Laurent Baumel “J’essaie de sauver le PS plutôt que de le fuir”
Député d’Indre-et-Loire, Laurent Baumel revient sur la crise politique engendrée par la loi Macron et sur la stratégie des frondeurs.
Il n’est pas le plus gauchiste des frondeurs, mais cela n’empêche pas Laurent Baumel d’en être l’un des principaux porte-parole. Élu pour la première fois député (d’Indre-et-Loire) en 2012, cet ancien strauss-kahnien est l’un des trente et un députés à s’être abstenus, en septembre, sur le vote de confiance au gouvernement Valls 2.
1er et 2 mars
Marianne - Le hollandisme de souche, Joseph Macé-Scaron
Le refus permanent de nommer les choses est bien l'essence du hollandisme du souche. La scène se passe au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France, qui n'est plus connu, aujourd'hui, que sous son acronyme : Crif. Loin de l'esprit universaliste de Théo Klein, cet événement mi-politique, mi-mondain est devenu, avec le temps et la confusion intellectuelle, la manifestation pas très habile des noces du communautarisme et de l'entre-soi. Un tout petit monde - les hommes avec de longues écharpes blanches et les dames en robe de soirée - se presse ainsi autour des tables pour se faire morigéner par le président du Crif, l'inénarrable Roger Cukierman, qui défend les Français de confession juive avec la grâce et l'habileté de Mr Bean lorsqu'il prépare la dinde de NoëlLes Echos - Départementales 2015 : les départements qui pourraient basculer
Entre 30 et 40 départements, sur 101, semblent susceptibles de basculer à droite lors des élections départementales des 22 et 29 mars. Le FN pourrait remporter le Var, le Vaucluse, voire le Pas-de-Calais.
Le Monde - Comment la nouvelle prime d’activité va fonctionner
La prime pour l’emploi (PPE) et le RSA activité sont bientôt morts, bienvenue à la nouvelle « prime d’activité ». Le Monde a eu connaissance des modalités précises de cette nouvelle prestation, qui devraient être présentées mardi 3 mars par le premier ministre, Manuel Valls. Elle entérine la fusion PPE-RSA, dont la complexité et le manque d’efficacité sont critiqués depuis longtemps, mais qui a jusqu’ici toujours été retardée par crainte de faire trop de perdants.28 février
L'Express - Aubry, si près, si loin du pouvoir
Tiraillée entre l'envie de peser sur le plan national et le souhait de se concentrer sur son fief lillois, Martine Aubry ira-t-elle au clash lors du congrès du PS, en juin?
Francetvinfo - Emmanuel Macron : "C'est à l'approche du combat que le samouraï acquiert la sérénité"
"Envoyé spécial" vous a proposé le jeudi 26 février un portrait du jeune ministre de l'Économie, Emmanuel Macron. Cet extrait du chapitre 1, intitulé "Candide ou l'optimisme", vous fait découvrir son côté philosophe.
Le Point - Laurent Baumel : "Le vallsisme se nourrit d'avoir des ennemis"
Le député frondeur de l'Indre-et-Loire réagit à la résolution du bureau national du PS et dénonce la méthode du Premier ministre. Interview.
Après l'utilisation de l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer en force la loi Macron, le bureau national du Parti socialiste promettait d'être mouvementé. Si la direction du parti n'a pas pris de sanction à l'égard des frondeurs, il faudra désormais suivre ses consignes de vote sur les textes "après audition du gouvernement". Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a dû trouver un juste milieu entre renforcer la discipline du groupe et éviter de cogner trop fort sur les rebelles pour afficher un semblant d'unité. Laurent Baumel, député frondeur d'Indre-et-Loire, revient sur ce texte, les divisions de la gauche, et la méthode du Premier ministre.
27 février
Libé -«Les gens me connaissent, ils votent pour moi, pas pour François Hollande»
Libération suit jusqu'au congrès du PS la vie militante de deux sections socialistes. Aujourd'hui, à Amiens, le candidat local, élu depuis trente ans, lance la campagne départementale en tandem avec une novice en politique.
Libé - Dialogue social : avis de temps calme au PS
A première vue, le texte sur le dialogue social présenté ce mardi par Manuel Valls ne devrait pas recréer le psychodrame socialiste connu avec la loi Macron.
Une semaine après la loi Macron, c’était le texte qui aurait pu enflammer de nouveau la plaine socialiste. Mais à la direction du PS, compte tenu du psychodrame autour du 49.3 et des mesures a minima annoncées ce mercredi par Manuel Valls, on ne craint pas de remake. «Le gouvernement ne peut pas braquer la CFDT» qui a déjà fixé ses «lignes rouges» sur le futur texte, prédit un proche du premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis.
L'Obs - Cambadélis veut sanctionner la visite du député PS chez Assad : ce n'est pas démocratique
Le chef de l'Etat et le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, ont sévèrement condamné le déplacement diplomatique en Syrie du député PS Gérard Bapt. Après l'épisode des frondeurs et de la motion de censure, les menaces de sanction pleuvent au PS. Une gestion du parti qui est tout sauf démocratique, estime notre contributrice Dominique Bochel Guégan.
Les Echos - Macron fustige les « fainéants » du PS et critique Hamon
Le ministre de l’Economie critique les « jeux d’appareil » qui ont, d’après lui, « pris en otage » son projet de loi sur la croissance et l’activité, quelques mois avant le congrès du Parti socialiste de juin.Emmanuel Macron n'a décidément pas encaissé les soubresauts politiques qui ont entouré son projet de loi, adopté en force la semaine dernière grâce à l'article 49-3. Dans une interview au Monde, le ministre s'est même indirectement et violemment attaqué aux frondeurs.
Emmanuel Macron est revenu, ce jeudi dans "Le Monde", sur l'épisode du 49-3 employé pour faire passer son projet de loi. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le ministre de l'Economie est remonté contre les frondeurs.INVITÉ RTL - Le Premier secrétaire du PS a évoqué le besoin d'union de la gauche et sa relation avec le Premier ministre, notamment par rapport aux frondeursLibé - 35 heures, seuils sociaux... Le florilège libéral du gouvernement
En amont de la rencontre sur la réforme du dialogue social organisée à Matignon, ce mercredi à 15 heures, en présence des partenaires sociaux, retour sur le discours socialement décomplexé du gouvernement en 14 citations.
26 février
L'Express - Un remaniement du gouvernement après les départementales ' Sans doute à minima
Paris - Evoqué dans les cercles politiques avant la folle semaine du "49-3", un remaniement du gouvernement après les départementales reste d'actualité, mais pourrait se révéler très réduit, à en croire certaines sources dans la majorité.
France Inter - A quoi joue donc Martine Aubry?
Maintenant que les frondeurs ont fait trembler le gouvernement, au PS, tous les regards se tournent vers Martine Aubry. Soit elle rentre dans la bataille du prochain congrès du PS en juin, et cela peut faire tomber Manuel Valls ; soit elle rentre dans le rang.
C'est donc l'heure des choix.
Le Figaro, blog - Aubry, Cambadelis, Hamon, Collomb... Un Congrès du PS bien peu numérique
Du 5 au 7 juin, le Parti Socialiste tiendra son Congrès à Poitiers. De même que le Baromètre des Primaires de l’UMP s’attache à analyser l’activité des principaux leaders de l’opposition (Xavier Bertrand, Christian Estrosi, François Fillon, Alain Juppé, Bruno Le Maire et Nicolas Sarkozy) sur Twitter, Facebook, Instagram et YouTube, le Baromètre du Congrès du PS détaillera au fil du printemps celle des premiers signataires des sept principales contributions soumises aux militants : Martine Aubry, Karine Berger, Jean-Christophe Cambadelis, Gérard Collomb, Benoit Hamon, Emmanuel Maurel et Christian Paul.
L'Obs - PS: Cambadélis en équilibriste entre les "frondeurs" et le gouvernement
Une sorte de jugement de Salomon: c'est ce qu'il ressort des décisions prises par la direction du PS mardi, qui a rappelé à l'ordre les députés "frondeurs" pour avoir voulu voter "contre" la loi Macron, tout en réclamant, sur ce texte, d'être davantage écouté par le gouvernement.
L'Obs - Loi Macron : le Parti socialiste ne punit pas les "frondeurs"
Le PS a quand même rappelé à l'ordre les députés "frondeurs" pour avoir voulu voter "contre" la loi Macron. Mais il a aussi réclamé d'être davantage écouté par le gouvernement.
Le Point - Municipales : à Vénissieux, une élection peut en cacher une autre
Des élections municipales sont organisées en même temps que les départementales. Un enjeu pour le maire PS de Lyon qui entend conserver sa majorité à la métropole.
25 février
TF1 - Loi Macron : Cambadélis joue l'équilibriste au PS pour éviter les déchirures
Le PS a rappelé mardi à ses parlementaires l'obligation "en toutes circonstances" de "respecter la régle de l'unité de vote de leur groupe", dans une "résolution" présentée lors d'un bureau national du parti.
L'Express - Bureau national du PS: pas de sanction, et une résolution "mi-chèvre, mi-chou"
Adoptée, la résolution présentée ce mardi par le parti ne satisfait pour autant pas tout le monde. Elle rappelle à l'ordre les frondeurs sans exonérer pour autant le gouvernement de ses responsabilités.
Les Echos - Le PS appelle à « l’unité de vote » mais veut être entendu sur la loi Macron
Après l’utilisation du 49-3 sur le projet de loi Macron, le bureau national du PS a rappelé les frondeurs à l’ordre. Mais il estime aussi que sa recommandation sur le travail du dimanche n’a pas « été étudiée comme elle aurait dû »
Public Sénat - Le PS entre « cour d’école » et « débat politique »
Après la résistance des députés PS « frondeurs », qui ont contraint Manuel Valls à recourir au 49-3 sur la loi Macron, c’est un bureau national en forme de rappel à l’ordre qui s’annonce. Les explications devraient être franches, mais le PS ne devrait pas prononcer d’exclusion.
Libé - PS: «franche explication» en vue au bureau national
Taper du poing sur la table, mais sans forcément pousser à la sanction contrer les frondeurs: le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis a promis de «mettre les points sur les i» mardi lors d’un bureau national, après la semaine houleuse vécue par la majorité.
BFMTV - Le Bureau national du PS se penche en douceur sur le cas des "frondeurs"
Le bureau national du PS mardi doit mettre un terme aux scènes de désaccord public au sein de la majorité. Entre des frondeurs, peu présents au sein de l'instance, qui veulent du débat et des pro-gouvernement qui appellent à la solidarité, les échanges devraient être fermes, mais calmes à un mois des élections départementales.
Le Monde - Bruno Le Roux : « Le comportement des frondeurs est individualiste »
Quelques heures avant le bureau national du PS, le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Bruno Le Roux, a de nouveau appelé les « frondeurs » à la « responsabilité », mardi 24 février, sur BFM-TV,et exclu d’éventuelles sanctions à leur encontre. « La liberté est totale au PS, a-t-il rappelé. Mais quand une décision est prise, elle s’impose à tous. Je dis simplement qu’il y a des règles. Il y a des statuts et un règlement qui nous engagent. »Paris Match - Montebourg, Hamon, Filippetti, Dans les coulisses d’un crash politique
Dans « Les grands garçons » (Editions Plon), le journaliste Claude Askolovitch décrypte les ressorts qui ont conduit au sacrifice d’une grande partie de la génération des quadras-quinquas du PS: Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti. Manuel Valls fait figure de rescapé. Derrière les trentenaires poussent. Emmanuel Macron en tête.
20 minutes - VIDEO. «Français de souche»: D'Aurélie Filippetti à Valérie Trierweiler en passant par Thierry Mariani, l’expression utilisée par François Hollande ne passe pas
POLEMIQUE Au dîner annuel du Crif, le président a employé ce concept jusque-là utilisé pour qualifier les auteurs de la profanation du cimetière juif de Sarre-Union...
Le Lab - Les frondeurs sanctionnés ? Ce serait une première depuis ...1998
ÇA VA BARDER ... OU PAS - Promis, ça va être sportif ! Une grosse explication entre les patrons de Solférino et les "frondeurs" et autres opposants à la loi Macron. Suite à l'utilisation du 49-3 pour faire passer le texte face à l'hostilité d'une partie du groupe socialiste qui menaçait de s'abstenir ou de voter contre, l'exécutif et les patrons du parti et du groupe socialiste à l'Assemblée ne décolèrent pas. Est annoncée pour mardi 24, une réunion tonique du Bureau national du PS (l'instance dirigeante du parti où sont représentées toutes les tendances du parti). Une explication de texte qui ne devrait pas entraîner pour autant de sanction.
24 février
Le Monde - Pour les élections départementales, la gauche en ordre dispersé
Si les socialistes ont fort à faire pour garder leur cohésion en interne, ils doivent aussi éviter de perdre totalement le contact avec leurs partenaires de gauche. La finalisation des listes de candidature pour les départementales avait donné le ton dès lundi 16 février d’une semaine marquée du sceau de la division. La carte des alliances dessine le portrait d’une gauche atomisée.JUSTE UNE MISE AU POINT - Après le douloureux épisode du 49-3, le bureau national du Parti socialiste, qui se tient mardi, s'annonce animé.Une semaine après le psychodrame, l'heure est aux explications. Le recours contraint à l'article 49-3 pour faire passer la loi Macron à l'Assemblée nationale sera le principal sujet du bureau national du Parti socialiste, qui se réunit mardi en fin d'après-midi. Avec cette question : quel sort réserver aux "frondeurs", tenus pour responsables de ce couac ?
Le bureau national du Parti socialiste de ce mardi 24 s'annonce tendu. Dans le viseur du patron de Solférino et du gouvernement: les frondeurs qui étaient prêts à voter contre la loi Macron et ont forcé Manuel Valls au passage en force. "Pas acceptable", pour une majorité du parti.Francetvinfo - Le PS va-t-il survivre au quinquennat de François Hollande ?
Pour comprendre la crise que traverse la majorité, francetv info a interrogé Denis Lefebvre, spécialiste de l'histoire du Parti socialiste.
A moins de quatre mois du congrès de Poitiers, le Parti socialiste est-il menacé d'une scission ? A-t-il déjà connu des crises aussi fortes par le passé ? Alors que la majorité a connu de nouvelles turbulences durant la semaine, avec l'emploi de 49.3 pour faire passer la loi Macron, mardi 17 février, francetv info a interrogé l'historien Denis Lefebvre. Auteur de nombreux ouvrages sur l'histoire du PS (Le Socialisme pour les nuls, 2008), il est secrétaire général de l'Office universitaire de recherche socialiste (OURS).
23 février
BFMTV - Le Foll aux frondeurs: "Il y a une solidarité à avoir"
"Quand on est élu et qu'on souhaite une étiquette, qui est liée je le rappelle à une élection présidentielle, il y a une solidarité à avoir", a indiqué Stéphane Le Foll à l'adresse des frondeurs dimanche.
Bilan de santé de la majorité au terme d'une semaine mouvementée marquée par le recours au 49-3 et le rejet d'une motion de censure contre le gouvernement : le chef de file des députés PS est l'invité de Marc Fauvelle.
RFI - Après la loi Macron, le PS au bord de la rupture
Le Parti socialiste sort plus divisé que jamais de la crise politique liée à la loi Macron, passée en force grâce à l'article 49-3. Une situation délicate à quatre mois d'un congrès interne qui s'annonce houleux. Mardi, le PS tiendra un bureau national pour en tirer les enseignements, peut-être pour prononcer des sanctions qu’une partie des socialistes réclament. En tout cas, l’ambiance entre socialistes reste tendue.
itélé - Jean-Marie Le Guen : "Les frondeurs ne sont pas rentrés dans le jeu parlementaire"
Slate - Samia Ghali: «Dans les quartiers, le bonheur n'existe plus»
Pour la sénatrice et maire de secteur de Marseille, l'espoir des premières années de mandat a laissé place à une forme d'impuissance, avec les dommages collatéraux que sa proximité avec les habitants impose.
L'ambiance entre Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, et Benoît Hamon, ancien ministre de l'Éducation, est *un peu* tendue. Déjà fin 2014, le Lab révélait la plainte du camp Hamon suite à une lettre de Cambadélis adressée au CSA dans laquelle il considérait le député des Yvelines comme un "personnage hostile au président de la République". Alors que le congrès du parti se tiendra en juin à Poitiers, les petites gentillesses entre les deux reprennent.
Le JDD - Emmanuel Macron : "Nous n'allons pas décevoir…"
INTERVIEW - Emmanuel Macron, ministre de l'économie, revient pour le JDD sur l'adoption au forceps de sa loi croissance et activité. Et évoque les réformes à venir.
Direct Matin - ondage : Aucune personnalité à gauche de Valls ne ferait mieux que lui
Pour les Français, aucune des personnalités politiques situées à la gauche de Manuel Valls ne ferait mieux que lui, selon un sondage BVA réalisé pour Orange et iTÉLÉ.
Le JDD - Manuel Valls lance le chantier du code du travail
Le gouvernement est décidé à poursuivre les réformes et à obliger les frondeurs à choisir. Il y va de l’intérêt national, dit-on à Matignon et à Bercy.
Le Parisien - PS : à Lyon, les frondeurs inquiètent les militants
« C’est lamentable, puéril et irresponsable ! » Fabien Gueguen, 23 ans, membre du PS depuis 2011, n’a pas de mots assez durs pour qualifier le spectacle qu’offrent actuellement les députés de la majorité. « On a l’impression qu’ils défendent leur propre intérêt plutôt que l’intérêt général », juge cet étudiant en droit lyonnais.
Le JDD - Pour Cambadélis, c'est le vote FN qui a amené à la profanation d'un cimetière juif
Invité dimanche de l'émission Le Supplément sur Canal +, le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a expliqué que le score du FN à Sarre-Union, dans le Bas-Rhin, n'est pas étranger à la profanation du cimetière juif la semaine dernière. Le parti de Marine Le Pen a réagi.