hamon - Page 78
-
Hamon : Pas de ticket avec Montebourg pour la primaire socialiste
-
L'invité de Laurence Ferrari du 08/09/2016
-
L'actualité des socialistes du 26 août au 1er septembre
A LA UNE
OFCE - La baisse du chômage annoncée par l’Insee confirmée en juillet par Pôle emploi
Département Analyse et prévision (Equipe France)
Les chiffres du chômage du mois de juillet 2016 publiés par Pôle Emploi font apparaître, après les deux hausses consécutives de mai (+ 9 200) et juin (+ 5 400), une baisse du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) n’exerçant aucune activité (catégorie A) de 19 100 personnes en France métropolitaine. Sur les trois derniers mois la baisse est de 4 500 personnes et sur un an, le nombre de demandeurs d’emploi n’exerçant aucune activité s’est réduit de 44 100 individus. Ces évolutions viennent confirmer l’amélioration du marché du travail en France depuis le début de l’année et confirmée à la mi-août par la publication de l’INSEE du chômage au sens du BIT (cf. ci-dessous). Le chômage de longue durée a amorcé sa décrue (-2,2 % sur les trois derniers mois) alors même qu’il n’avait cessé de croître depuis la fin de l’année 2008 et le chômage des seniors continue de s’infléchir légèrement (-0,2 % sur 3 mois). Notons toutefois que la montée en charge du plan de formation instauré par François Hollande au début de l’année explique en partie ces évolutions encourageantes. Ainsi, au cours des 3 derniers mois, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie D a crû de 10,1 %, soit près de 30 000 personnes supplémentaires, sous l’effet principalement des entrées dans les dispositifs de formation comptabilisées dans cette catégorie[1].
Le Parisien - Hamon, Montebourg : à qui le label anti-Hollande ?
PS. Autrefois alliés, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg sont aujourd'hui rivaux pour incarner l'alternative à gauche à la présidentielle. Mais jusqu'à quand ?
La Tribune - "Sans parti politique, Macron n'a aucune chance d'être président"
Pour le politologue Stéphane Rozès, Emmanuel Macron doit son actuelle popularité à son positionnement original, pro-réforme, dans un gouvernement de gauche. Mais mener campagne pour la présidentielle en se posant au centre et surtout sans le soutien d'un parti politique, c'est courir droit à l'échec
HAMON
L'Obs - Benoît Hamon, à gauche mais pas trop
Pour son premier meeting de campagne, le chef de file de l’aile gauche du PS a tenu un discours rassembleur, s’efforçant de se placer au centre de gravité des différentes sensibilités de la gauche et des écologistes.
L'Express - Primaire PS: comment Benoît Hamon tente de se démarquer d'Arnaud Montebourg
Une semaine après son ancien collègue du gouvernement, le député socialiste des Yvelines a tenu ce dimanche à Saint-Denis son premier meeting de campagne. L'occasion de faire entendre quelques divergences avec son principal rival de l'aile gauche du PS.
Libé - Hamon : «Je ne vais pas jouer le bonobo de la Ve République»
À Saint-Denis, le député des Yvelines lance sa campagne pour la primaire à gauche. Avec un premier objectif : démontrer que sa candidature est différente de celles de Montebourg ou Mélenchon.
Libé - «Ce serait bien qu’on ait une doublette Hamon-Montebourg»
A Saint-Denis, le député des Yvelines, Benoît Hamon, a débuté son «rassemblement pour gagner en 2017», point de départ de sa campagne pour la primaire à gauche. Rencontre avec des militants qui espèrent voir Hamon et Montebourg s’entendre vite.
Le Point - Benoît Hamon lance sa campagne à Saint-Denis
Il avait pris de vitesse la semaine dernière son ancien comparse Arnaud Montebourg, en annonçant quelques jours avant lui sa candidature à la présidentielle.
Le Parisien - La lettre aux Français de Benoît Hamon
Sitôt sa candidature déclarée, le 16 août dernier, Benoît Hamon a pris la plume. Pour écrire le discours qu'il prononcera dimanche, lors d'un meeting à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Mais pas que. Le candidat à la primaire PS avait un autre texte sur le métier. Une «lettre aux Français» (voir document ci-dessous), que nous dévoilons et qui sera éditée à plus de 300 000 exemplaires et distribuée à partir de lundi.
Le Monde - Benoît Hamon cherche son élan
L’encéphalogramme reste plat. Révélée en pleine torpeur estivale, le 16 août, sur le plateau du 20 heures de France 2, afin d’éviter l’embouteillage de la rentrée politique, la candidature de Benoît Hamon à la primaire organisée par le Parti socialiste (PS), prévue les 22 et 29 janvier 2017, peine à mobiliser.Sitôt sa candidature déclarée, le 16 août dernier, Benoît Hamon a pris la plume. Pour écrire le discours qu'il prononcera dimanche, lors d'un meeting à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Mais pas que. Le candidat à la primaire PS avait un autre texte sur le métier. Une «lettre aux Français» (voir document ci-dessous), que nous dévoilons et qui sera éditée à plus de 300 000 exemplaires et distribuée à partir de lundi.MONTEBOURG
L'Obs - Marchés publics : Montebourg 2014 répond à Montebourg 2016
Le candidat Arnaud Montebourg propose de réserver transitoirement 80% des marchés publics à des PME nationales. Impossible dans le cadre des traités européens, disait le ministre Arnaud Montebourg il y a deux ans.
"Outrance" et "caricature". Tels sont les éléments de langage distillés par les soutiens de François Hollande pour commenter l’entrée officielle en campagne d’Arnaud Montebourg à Frangy-en-Bresse, qui au passage conjure le chef de l’Etat de ne pas se représenter.
L'Humanité - Montebourg déroule ses alternatives
Le nouveau candidat à la présidence de la République, qui devait être invité sur France 2 hier soir, a présenté un projet social-démocrate qui entre en rupture avec le libéralisme et l’austérité de François Hollande, tout en prônant l’alliance du public et du privé, du capital et du travail.
Capital - Le (coûteux) plan d'Arnaud Montebourg pour faire redécoller la France
Après Benoît Hamon, Arnaud Montebourg vient d'officialiser sa candidature à l'élection présidentielle 2017. Si on ne sait pas encore si celle-ci passera ou non par la primaire socialiste, on peut déjà se forger une idée du programme de l'ex-ministre de l'Economie, qui avait claqué la porte du gouvernement en 2014 pour signifier son opposition à la politique menée par François Hollande.
Slate - Les aimables fantaisies du projet patriotique d'Arnaud Montebourg
Convaincant dans sa critique de François Hollande, Arnaud Montebourg l'est nettement moins dans son projet. Au stade actuel, il juxtapose un ensemble de généralités et de slogans et une série de mesures à la fois peu crédibles et guère cohérentes.
MACRON
France 3 - Par sms, le PS menace d’exclusion les soutiens d’Emmanuel Macron
Un coup de sang, c’est simple comme un SMS. Le Lab d’Europe 1 a récupéré, dans ses filets, des textos furibards de Jean-Christophe Cambadelis au sujet de la démission d’Emmanuel Macron.
Le 1er secrétaire du PS fustige violemment le départ du gouvernement de l’ancien ministre de l’Economie. Mais il joint les actes à la parole en lançant un avertissement aux « macroniens » en puissance. Attention. La jurisprudence Iborra existe et elle s’applique.
C’est entendu, dit et redit : non, Emmanuel Macron n’est pas socialiste. Mais il a été pendant deux ans, jusqu’à sa démission annoncée du ministère de l’Economie ce mardi 30 août, membre d’un gouvernement dirigé par un socialiste Manuel Valls sous la houlette du Président François Hollande.
Longtemps critiques, pour une partie, à son égard, les socialistes ont réagi avec virulence à l’annonce de démission imminente du ministre de l’Economie, 2017 dans le viseur. Et en premier lieu, c’est leur patron, le Premier secrétaire du Parti socialiste, qui a donné le ton. Florilège des réactions d'élus socialistes bien remontés contre Emmanuel Macron.
Une carrière fulgurante, des résultats mitigés. Maintenant, Emmanuel Macron va devoir convaincre qu’il peut être un leader politique autrement qu’avec des petites phrases douces et assassines.Après la démission d’Emmanuel Macron, le chef de l’Etat apparaît sonné, mais ne veut rien changer à sa stratégie.MICHEL SAPINMichel Sapin a toujours eu le sens de la formule, parfois un peu moins celui de la mesure. Invité de RMC et BFM-TV jeudi 1er septembre, le nouveau ministre de l’économie et des finances a dressé un tableau très optimiste de la situation économique et sociale du pays, vantant les baisses d’impôts de 2015 et promettant de nouvelles l’an prochain.NAJAT VALLAUD-BELKACEMEmmanuel Macron a quitté le gouvernement mardi 30 août, afin de se consacrer à son mouvement politique "En Marche !", avec la présidentielle dans le viseur. L’ex-ministre de l’Économie devrait déclarer sa candidature d’ici deux mois, quand le chef de l’État devrait lui annoncer qu’il se présente à sa succession début décembre. Soit : après son ancien ministre.SIRUGUEL’Elysée a annoncé, jeudi 1er septembre, la nomination de Christophe Sirugue, député socialiste de Saône-et-Loire, au poste de secrétaire d’Etat à l’industrie. « Cet honneur est aussi une lourde charge à laquelle je ne me déroberai pas, en raison de l’intérêt que je porte à ce sujet essentiel tant au niveau national que local », a-t-il déclaré sur Facebook quelques minutes après l’annonce de sa nomination.LAICITEPaul Allies - Un rappel à l’ordre républicain par le droit contre la confusion politique
Par sa décision du 26 août le Conseil d’Etat ne fait que rappeler le droit de la République, spécialement pour ce qui concerne l’application de la loi du 9 décembre 1905, fondement de la laïcité dans notre pays. Elle le fait dans un contexte de confusion politique problématique.Marianne - "En 2016, la fraternité c'est savoir dire non à l'islam radical"
Après une première tribune dans laquelle il alertait sur la signification du burkini ("Ne soyons pas naïfs sur le symbole de cette étoffe"), Aalam Wassef réagit aux différentes photos de femmes simplement voilées se faisant verbaliser sur les plages. S'il comprend que ces images fassent "mal" et interrogent sur notre sens de la fraternité, il souligne qu'il faut malgré tout savoir "dire non avec fermeté, sagesse, mesure et pédagogie à l'obscurantisme".
Marianne - Luc Carvounas, très proche de Valls, s'oppose à son tour aux arrêtés anti-burkini
Invité ce midi sur RMC, le socialiste Luc Carvounas, pourtant proche parmi les proches de Manuel Valls, a ouvertement contredit le Premier ministre sur les arrêtés anti-burkini. Lui ne voit "pas pourquoi on les empêcherait de porter le burkini dans l'espace public".
SACCAGE
Le Monde - Les locaux de la fédération de Paris du Parti socialiste « saccagés »
Les locaux de la fédération de Paris du Parti socialiste (PS) ont été « saccagés » jeudi 1er septembre, a dénoncé le premier secrétaire du parti, Jean-Christophe Cambadélis.
« Il s’agit d’un rassemblement non autorisé d’une trentaine de personnes du côté de Nation (11e arrondissement). Au moment de la dispersion, il y a eu des dégradations au local du PS », a fait savoir la police à l’AFP, sans donner plus de détails.CAMBA
Cambadélis : "Parler de l'islam permet d'éviter d'évoquer la réussite gouvernementale"
Si la polémique de l'été concerne le burkini, ce serait tout simplement pour ne pas parler... des succès du gouvernement ! Cette brillante analyse nous vient de Jean-Christophe Cambadélis ce 26 août.
COLLOMB
Gérard Collomb n’est pas humaniste. En décidant, au beau milieu de l’été, de couper l’eau des fontaines du Jardin des Chartreux pour tenter de faire partir les familles sans abri qui se sont réfugiées là, il a liquidé d’un seul coup le compte épargne déjà chichement pourvu de sa crédibilité politique en matière sociale. -
Benoit Hamon - On n'est pas couché 3 septembre 2016 #ONPC
-
Discours de Benoit Hamon à Saint-Denis le 28 août 2016
-
"Il y a une majorité de dirigeants à gauche qui souhaite une primaire" Benoit Hamon (07/06/2016)
-
Primaires à gauche, loi travail, Benoît Hamon est l'invité de Patrick Cohen
Primaires à gauche, loi travail, Benoît Hamon... par franceinter -
Crise de la gauche, primaire pour 2017 : Benoît Hamon répond aux auditeurs
Crise de la gauche, primaire pour 2017 : Benoît... par franceinter -
Benoît Hamon, Les 4 Vérités du 25 février
-
Hamon : "On ne peut se satisfaire que l’école française soit la plus inégalitaire de toute l’Europe"
-
L'actualité des socialistes du 5 au 11 octobre (mise à jour)
A la une
Plus de 130 députés PS ont signé l'amendement au projet de budget déposé vendredi par Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet, qui entend remplacer une partie de la prime d'activité par une baisse de CSG et à aller vers un "impôt citoyen sur le revenu".
Le Monde - François Hollande décore Michel Rocard, « rêveur idéaliste et réformiste radical »
François Hollande a élevé, vendredi 9 octobre, Michel Rocard au rang de grand-croix de la Légion d’honneur, la plus haute distinction française.
Le président, qui n’a jamais fait partie de la mouvance rocardienne, a salué la « fidélité », la « morale » et la popularité de l’ancien premier ministre de François Mitterrand. Le chef de l’Etat a ainsi évoqué le long parcours d’un homme encarté au PS depuis soixante-dix ans, qui a « réformé la France et, à force de persévérance, parfois en avance sur son temps, a porté des textes iconoclastes devenus lois de la République ».
9, 10 et 11 octobreLibé - Budget, le PS en porte-à-faux
Sur le papier, tout y est. Le budget 2016 fournit a priori toutes les raisons d’un bras de fer au sein de la majorité. D’un côté, l’exécutif vante un «budget de cohérence», «de continuité», voire «sans surprise», dixit le ministre des Finances, Michel Sapin. De l’autre, l’aile gauche du PS continue de réclamer une inflexion de la ligne économique et particulièrement la réorientation du «pacte de responsabilité». «Le gouvernement appelle "constance" ce qui est une obstination dans l’erreur», proteste le chef de file des «frondeurs», Christian Paul.
Le Monde - Martine Aubry s’agace des pressions l’incitant à mener les régionales dans le Nord
Elle ne sait plus sur quel ton le dire : Martine Aubry n’a pas du tout l’intention de prendre la tête de la liste PS-PRG-MRC aux élections régionales des 6 et 13 décembre en Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Qu’importe si le candidat socialiste désigné, son premier adjoint à la mairie de Lille, Pierre de Saintignon, ne décolle pas dans les sondages face à Xavier Bertrand et à Marine Le Pen, et que le risque d’une victoire finale du FN n’est pas à écarter. Pour Martine Aubry, c’est nonAu sein d'un comité consultatif, l'économiste français et le prix Nobel d'économie américain conseilleront Jeremy Corbyn, le nouveau leader du Labour. Thomas Piketty veut montrer "l'échec de l'austérité au Royaume-Uni".Nous voilà pourvus d’un nouveau rapport pour « refaire la démocratie » dans la V° République. Rendu public vendredi 2 octobre, il n’est jamais que le quatrième en vingt ans et le deuxième en trois ans, sans compter ceux adoptés par les partis de gauche. Ce grand nombre devrait suffire au bonheur des réformateurs du régime. Mais l’impuissance à passer à l’acte dévalue considérablement l’intérêt de ces rapports ; surtout dans ce quinquennat où François Hollande aura enterré les cinq révisions qu’il avait promises et accentué le présidentialisme du régime. Cela suffit (il y en a assez!) de réinventer la poudre si elle ne sert pas à armer le vrai changement démocratique que la société attend.
Du 5 au 8 octobre
Boursier - Le PS espère sauver les meubles aux élections régionales
Le Parti socialiste espère garder le contrôle de quatre régions aux élections régionales des 6 et 13 décembre malgré les divisions de la gauche dans une France recomposée où le Front national paraît en mesure de faire un bon résultat.
La Tribune - Statut des fonctionnaires : Bartolone fusille Macron
Décidément, Emmanuel Macron continue d'en agacer plus d'un... Claude Bartolone, président de l'Assemblée et tête de liste PS aux élections régionales en Ile-de-France, a affirmé dimanche sur Canal + que le ministre de l'Economie avait fait "une erreur" et "une faute politique" en critiquant le statut des fonctionnaires. "Il faut faire très attention, surtout quand on est ministre, à employer les termes qu'il convient. Le service public est le patrimoine de ceux qui n'ont pas de patrimoine", a affirmé Claude Bartolone, lors de l'émission Le supplément.
Huffington Post - Référendum du PS: quand la gauche de la gauche trolle Cambadélis
C'est à s'y méprendre. Si l'on ne regarde pas attentivement, impossible de faire la différence (sur le papier) entre le référendum lancé il y a quelques jours par le Parti socialiste de Jean-Christophe Cambadélis et celui dont plusieurs membres de la gauche de la gauche ont pris l'initiative lundi 5 octobre.
Le Parisien - Gauche : le contre-référendum qui va agacer le PS
Voilà qui risque fort d'agacer Jean-Christophe Cambadélis. Alors que le premier secrétaire du PS organise les 16, 17 et 18 octobre un référendum sur l'union de la gauche aux régionales, des «déçus» de la politique de François Hollande organisent leur propre référendum les mêmes jours.
Boursorama - Impôt obligatoire pour tous : le PS hostile, Hammadi maintient l'amendement
On le sait : on peut être socialiste et ne pas être sur la même longueur d'onde. Dernière illustration en date, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, s'est dit lundi opposé à un amendement du député PS Razzy Hammadi visant à établir un impôt sur le revenu minimum obligatoire.
Le Point - Régionales 2015 : Queyranne se rebelle contre le PS
Le candidat PS en Auvergne-Rhône-Alpes n'a pas suivi les injonctions de son parti et ne va donc pas évincer de sa liste la dissidente Farida Boudaoud.
Challenges - La job machine repart, Hollande peut sourire
L'Insee annonce dans sa dernière note de conjoncture une stabilisation du chômage. Fait étonnant: malgré une faible croissance, la France crée des emplois. Une bonne nouvelle qui s'explique grâce aux effets positifs du CICE et du Pacte de responsabilité.