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Jérôme Guedj : "C'est la rentrée de la dernière chance" pour le PS
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Jérôme Guedj: le PS ne doit pas être «spectateur de l'action gouvernementale»
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L'actualité des socialistes du 4 au 10 mai (mise à jour)
A la une
Le député socialiste de la Nièvre Christian Paul était l'invité de "La voix est libre" samedi 9 mai 2015, à partir de 11h30. Il est le premier signataire de la motion B qu'il défendra lors du Congrès du PS du 5 au 7 juin prochain à Poitiers. Revoyez les deux parties de l'émission
8, 9 et 10 mai
Le Monde - Après trois ans de Hollande, le contre-projet des frondeurs du PS
C’est leur façon de fêter les trois ans du quinquennat Hollande. En vue du congrès du PS à Poitiers du 5 au 7 juin, la motion B, qui regroupe l’aile gauche et les frondeurs du parti, a présenté mercredi 6 mai son « agenda des réformes » pour les deux ans à venir. Une sorte de contre-projet, à rebours de la politique gouvernementale, qu’ils entendent soumettre au vote des militants le 21 mai.Le chef de la file de la motion B présentait ce matin les réformes qu'il souhaite voir appliquer avant la fin du quinquennat.France Inter - Maxime Vaudano : « La moitié des promesses de François Hollande a été tenue »
Il y a trois ans, François Hollande remportait l'élection présidentielle. L'occasion pour le 5/7 de faire un bilan des promesses tenues (ou pas) du Président au côté de notre invitéMaxime Vaudano, co-fondateur du site luipresident.fr, journaliste au service « Les décodeurs » au journal Le Monde
Libé - En Seine-Saint-Denis, Aubry fait tourner la motion magique
La maire de Lille était invitée au Pré-Saint-Gervais, mercredi soir, pour soutenir la «motion A» de Jean-Christophe Cambadélis en vue du prochain congrès.
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, était jeudi 7 mai l’invité de l’émission « Face aux chrétiens » présentée par Frédéric Mounier et coproduite par KTO. Le député de Paris répondait aux questions de Louis Daufresne (Radio Notre-Dame), Romain Mazenod (RCF) et Corinne Laurent (La Croix).
Le Point - Anne Hidalgo, reine en son royaume... et au-delà
La maire de Paris soutient la candidature du président de l'Assemblée nationale et appelle le président sortant, Jean-Paul Huchon, à faire de même.
Marie Pierre de la Gontrie était l’invitée du JT de midi. La première vice-présidente PS de la région Île-de-France, qui était candidate à l'investiture du PS pour les régionales, a annoncé son ralliement à Claude Bartolone, qui s'est déclaré candidat ce mercredi.
Lyon Capitale - Région : nouveau bras de fer entre les écolos et Queyranne
Menacé de perdre sa majorité lors de l'adoption du contrat de plan État région de l'Ardèche, Jean-Jack Queyranne a dû plier face aux élus du groupe écologiste. En sortant en amendement à 10 millions d'euros, le président PS de la région à sauver un contrat de plan que viendra signer, lundi 11 mai, à Lyon, Manuel Valls. Retour sur une nouvelle journée de tension dans la majorité de gauche au conseil régional.
Le Figaro - Pour ses trois ans à l'Elysée, les frondeurs se rappellent au bon souvenir de Hollande
Pour fêter les trois ans de l'accession au pouvoir de François Hollande, la motion B et son premier signataire Christian Paul ont présenté mercredi leur calendrier des mesures à mettre en place d'ici la fin du quinquennat.
7 mai
Les Echos - Une majorité de Français pour la relance du pouvoir d'achat
Ils sont 51 % à juger que François Hollande devrait en faire sa priorité. Mais la nécessité de renforcer la compétitivité gagne les esprits.Il a annoncé à la veille de la clôture des candidatures et deux semaines après avoir fermé la porte à une telle perspective qu'il se présentait finalement.Le Monde, les décodeurs - Après trois ans de mandat, François Hollande a-t-il tenu ses promesses ?
Promesses brisées et tenues, annonces, courbes du chômage et des sondages : le site "Lui Président" vous propose de replonger dans les trois premières années du quinquennat de François Hollande.
Le Parisien - Stéphane Le Foll : «J'en veux aux frondeurs»
Alors que François Hollande est élu depuis trois ans, Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, juge que la situation s'améliore dans le pays.
Le Figaro - Cambadélis: Hollande "le glaive", Valls "le bouclier"
Jean-Christophe Cambadélis, numéro un socialiste, a jugé aujourd'hui que le côté protecteur de François Hollande serait reconnu in fine, assurant que le président est "le bouclier" et son premier ministre "le glaive". Interrogé, lors de l'émission Questions d'Info (LCP, France Info, AFP, Le Monde) sur les trois premières années du quinquennat, le Premier secrétaire a déclaré : François Hollande "a voulu une France unie pour aborder le redressement de la France sans crise sociale et sans sanction de marché. Cela nécessitait beaucoup de courage parce qu'on voulait le tirer à hue et à dia" (ndlr : à droite et à gauche).
Nextinpact - Christian Paul (PS) explique son abstention sur le projet de loi Renseignement
Le député socialiste Christian Paul, qui faisait partie des principaux opposants à la loi Hadopi, a annoncé cet après-midi qu’il s’abstiendrait lors du vote sur le projet de loi Renseignement. Une prise de position qui a grandement déçu certains internautes, et sur laquelle l’élu a bien voulu s’expliquer, dans nos colonnes.
6 maiSi elle n'était pas au gouvernement, Christiane Taubira aurait pu manifester contre le projet de loi sur le renseignement. C'est ce qu'elle a déclaré mardi, peu après l'adoption du texte à l'Assemblée, estimant d'ailleurs qu'il pouvait encore "évoluer". "Il y a forcément des risques parce que les techniques et les technologies sont très puissantes", a constaté la ministre de la Justice sur Europe 1. "Je considère que ce débat est nécessaire et qu'il est souhaitable. (...) On a le droit de s'interroger parce qu'effectivement ça n'est pas banal."Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée nationale, était l’invité de la matinale de Patrick Cohen pour défendre la loi sur le renseignement qui devrait être adoptée cet après-midi par les députés. Et pour rassurer les auditeurs sur ce texte controversé, le député de Seine-Saint-Denis a avancé un étrange argument que l'on peut résumer de la sorte : "Si vous estimez que cette loi est mal boutiquée et si vous redoutez que dans le futur le pouvoir politique en fasse mauvais usage, ne vous inquiétez pas et votez pour nous qui sommes les amis de la liberté" ! Voilà un raisonnement fulgurant...Le blog de François Kalfon - Les vrais enjeux du congrès de Poitiers : l'impératif de lucidité face à la chimère du tripartismeParmi les enjeux masqués du congrès de Poitiers figurent en bonne place les conditions par lesquelles la gauche socialiste pourrait -malgré une impopularité persistante- gagner l'élection présidentielle. Les uns disant -ou le pensant très fort- que le tripartisme permettrait au candidat socialiste de gagner et qu'il suffirait de faire bloc derrière le président et le gouvernement sans faire de vagues en espérant sans le dire un duel face au FN au second tour; les autres (parmi lesquels je suis) considérant qu'il s'agit là d'un pari bien hasardeux. Car faute d'un diagnostic lucide et préalable sur l'adéquation entre le PS et sa base sociale, qui serait reconnu comme une forme d'aveu reçu comme tel par tous les déçus de la gauche, cet "échafaudage politique" risquerait grandement d'aboutir à une défaite supplémentaire. Celle-ci se doublant d'ailleurs d'une déroute si le candidat de la gauche était une nouvelle fois absent du second tour: un nouveau 21 avril cette fois-ci programmé en quelque sorte!
Paris Match - Hollande et Valls redressent leurs courbes
Dans le dernier tableau de bord Ifop/Fiducial pour Paris-Match et Sud-Radio, la cote de confiance du chef de l’Etat remonte d’un point (26%) alors qu’il franchit le cap des trois ans à l’Elysée. Celle de son Premier ministre repart à la hausse (+4) et atteint 49%. L'analyse de Bruno Jeudy.
Quelque 200 personnes, ministres proches du chef de l'Etat, parlementaires et militants, se sont réunis aujourd'hui pour un "point d'étape" après trois ans de présidence Hollande, afin d'entamer un "travail de reconquête" en vue de 2017.Face à Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen, François Hollande n'aurait aucune chance de se faire réélire si l'élection présidentielle avait lieu aujourd'hui. Dans tous les cas de figure, son Premier ministre Manuel Valls ferait mieux. C'est l'enseignement de notre sondage Odoxa.Christian Paul, qui mène l'aile gauche du PS au congrès de Poitiers en juin, dévoile l'« agenda des réformes » qu'il présentera ce mercredi, jour anniversaire des trois ans de l'élection de François Hollande.#PJLRenseignement Abstention en vue chez les frondeurs : Christian Paul (PS) prévient qu'il ne votera pas le projet de loi sur le renseignement
L'Obs - Loi sur le renseignement : les 5 dangers du texte
Le projet de loi sur le renseignement doit être voté ce mardi à l'Assemblée. Rappel des points qui soulèvent des inquiétudes.
Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée nationale, était l’invité de la matinale de Patrick Cohen pour défendre la loi sur le renseignement qui devrait être adoptée cet après-midi par les députés. Et pour rassurer les auditeurs sur ce texte controversé, le député de Seine-Saint-Denis a avancé un étrange argument que l'on peut résumer de la sorte : "Si vous estimez que cette loi est mal boutiquée et si vous redoutez que dans le futur le pouvoir politique en fasse mauvais usage, ne vous inquiétez pas et votez pour nous qui sommes les amis de la liberté" ! Voilà un raisonnement fulgurant...Le Sénat a voté la volet de la loi Macron prévoyant l'ouverture 12 dimanches par an dans la distribution.Le congrès du Parti socialiste est entré dans sa phase active. Benoît Hamon, ancien ministre et porte-parole de la motion de la gauche du parti, revient ici sur ses critiques de l’action du gouvernement auquel il a appartenu. Il explique aussi pourquoi il croit encore à la réussite possible du quinquennat.5 maiLe Figaro - Régionales : l'hypothèse d'une candidature de Benoît Hamon en Ile-de-France
«Benoît se pose la question de savoir s'il faut y aller ou pas», explique ce lundi dans le JDD l'un des proches de l'ancien ministre de l'Éducation, l'eurodéputé Guillaume Balas. Alors que le dépôt des candidatures pour les élections régionales de décembre prochain doit se clore jeudi, le Parti socialiste pourrait se trouver avec un nouveau candidat.
Libé - Loi renseignement : «La vie privée, et donc les libertés, sont atteintes»
Le député socialiste frondeur Pouria Amirshahi votera contre le projet de loi, mardi à l'Assemblée.
Pouria Amirshahi, député PS des Français établis hors de France dans la circonscription «Afrique du Nord et de l’Ouest», prévoit de voter contre le projet de loi sur le renseignement. Alors que l’Assemblée nationale devrait, sans surprise, adopter à une large majorité le texte défendu par le gouvernement au nom de la lutte contre le terrorisme, le «frondeur» va écrire à ses collègues députés pour exposer ses arguments.
Huffington Post, Romain Blachier - Loi renseignement: si j'étais député...
Si j'étais député et que je devais la semaine qui vient, me prononcer sur le Projet de Loi Renseignement, j'avoue que j'aurais différentes choses à examiner avant de m'exprimer un peu vite sur la question. Surtout que les principales formations politiques, à commencer par la direction du Parti Socialiste, n'ont pas joué leur rôle en prenant position. Ce qui est dommage: c'est tout de même, comme le soulignait la députée PS Karine Berger, à cela que sert un parti.
Libé - Cambadélis: le 1er mai, «un concentré de ce qui se passerait avec le FN au pouvoir»
Le 1er mai du Front national, entre brouille Le Pen père-fille, évacuation brutale des Femen et journalistes agressés, est un «concentré de ce qui se passerait si le FN arrivait au pouvoir», a estimé lundi Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS.
C'EST CELUI QUI DIT QUI EST - Jean-Christophe Cambadélis l'affirme : il "ne soutient personne" à part le PS et n'a "pas besoin des Femen pour exprimer" le fond de sa pensée au sujet du Front national. Mais s'il lui faut dire qui, de Marine Le Pen ou des militantes féministes, incarne le mieux le qualificatif de "harpie", son choix est vite fait. Et vous ne serez pas surpris d'apprendre que c'est la présidente du parti d'extrême droite qui hérite du sobriquet.
4 mai
Le JDD - CSG : Bercy dit non à Jean-Christophe Cambadélis
INDISCRET - Bercy refuse de baisser la CSG, l'une des propositions de Jean-Christophe Cambadélis qu'il portera au prochain congrès du PS.
LE PLUS. Difficile de parler de "fête" du travail alors que le taux de chômage a atteint un nouveau record en début de semaine. En vue du congrès du PS de cet été, la députée socialiste Karine Berger est première signataire de la motion "La Fabrique". Pour elle, il est primordial de repenser la notion de "travail". Décryptage.
Le Parisien - Essonne : Guedj (PS) se sent « aussi » responsable de la défaite
La faute… au gouvernement et un peu à lui « aussi ». Ce dimanche midi, Jérôme Guedj, l’ex-président socialiste du département, est revenu sur la défaite de la gauche en Essonne où il a remis il y a un mois les clés de la présidence à l’UMP François Durovray.
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Jérôme Guedj (PS) : « Nous sommes tous des traumatisés du 21 avril 2002 »
Jérôme Guedj (PS) : « Nous sommes tous des... par Lopinionfr -
Jérôme Guedj (PS): « Il est encore possible de réussir ce quinquennat »
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Jérôme Guedj : le Parti socialiste «va mal»
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L'actualité des socialistes du 30 mars au 5 avril (mise à jour)
A la une
Le JDD - L'aile gauche partira groupée au congrès du PS
Malgré la rivalité entre Emmanuel Maurel et Benoît Hamon, un dirigeant assure que les "frondeurs" iraient unis au congrès du PS en juin.
Libé - Congrès PS: vers un rassemblement des plus à gauche
A une semaine du dépôt des motions pour le congrès de Poitiers, les sensibilités socialistes en désaccord avec la politique économique du gouvernement se rapprochent.
5 avril
Challenges - Les Français soutiennent la ligne social-libérale de Valls !
Le Premier ministre peut se féliciter du sondage publié par Le Journal du Dimanche, mais il démontre toute la difficulté du moment: rassembler la gauche sans changer de cap économique ...
Le Point - Hamon (PS): une "parole collective" monte à gauche
L'ex-ministre PS Benoît Hamon a affirmé jeudi qu'une "parole collective" montait à gauche, à l'approche du Congrès du PS, pour réclamer des "changements" dans la politique du gouvernement.
"Il y a beaucoup de gens qui disent la même chose. Quand on écoute aujourd'hui le diagnostic posé par Martine Aubry, Arnaud Montebourg, Aurélie Filippetti, Christiane Taubira dans un autre registre (...) il y a des constats qui sont les mêmes et qui sont assez simples, sauf à être totalement dans le déni et à vouloir plonger bien profond la tête dans le sable", a déclaré Benoît Hamon sur LCI et Radio Classique.
Le Monde - PS : première motion déposée avant le congrès de Poitiers
La compétition au PS est déjà sur les rails. Le courant « cohérence socialiste », mené par les quatre députés Karine Berger, Valérie Rabault, Yann Galut et Alexis Bachelay, a décidé de déposer sa propre motion pour le congrès de Poitiers du 5 au 7 juin. Ils font alliance pour l'occasion avec trois autres premiers signataires de contributions générales, Dominique Bertinotti, l'ancienne ministre de la famille, Nicolas Brien et Madeleine Ngombet.4 avril
Libé - François Hollande fait un petit pas vers sa gauche dans l'Oise
Ce vendredi, le Président a annoncé la création d'un compte personnel d'activité. Une mesure sociale censée rassurer sa majorité avant le congrès du PS en juin, sans toutefois toucher à ses mesures phares.
Le Point - Le "compte personnel d'activité" : le geste de Hollande sur sa gauche
Le Parti socialiste a salué "une avancée importante dans le processus de sécurisation des parcours professionnels", demandé par les fidèles de Martine Aubry.
Le Monde - Hollande annonce des mesures pour favoriser l’investissement dans les PME
Après l’usine PSA de Trémery (Moselle) la semaine précédente, le président continuait inlassablement son tour de « la France qui gagne », vendredi 3 avril, dans une forge de Trie-Château (Oise). Mais en plus des traditionnelles assurances sur l’imminence d’une reprise, égrenées avec insistance depuis un mois, François Hollande y a apporté dans sa besace des annonces : des mesures destinées à favoriser l’investissement industriel dans les PME.Le gouvernement préfère ne pas mettre sur la table les questions de simplification du contrat de travail et de la durée du travail. Et ce pour ne pas attiser les frictions au sein du parti socialiste en pleine préparation de son congrès.
France Bleu - Régionales : Jean-Jack Queyranne annonce sa candidature
L'actuel président de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne, a annoncé officiellement sa candidature à l'investiture PS pour la présidence de la future région Rhône-Alpes Auvergne. Le président en a également profité pour répondre aux attaques de la droite, concernant notamment le financement de l'autoroute A45.
Le Monde - Pour Sapin, la reprise dépend désormais des entrepreneurs
Le ministre de l’économie Michel Sapin a déclaré, vendredi 3 avril sur RTL, qu’il est désormais de la « responsabilité du monde économique » de transformer en « décisions » et en « investissements » les « marges » qu’elles ont dégagées dans un contexte de « petite reprise » de la croissance. Jeudi, l’Insee a légèrement revu à la hausse ses prévisions et s’attend à une progression de 0,4 % du PIB au premier trimestre puis 0,3 % au deuxième.S'il n'est pas tout à fait frondeur, Jean-Marc Germain, député socialiste des Hauts-de-Seine, ne désavoue pas, pour autant, le courant hostile à Manuel Valls. Sans dévoiler les intentions de celle pour qui il roule, ce proche de Martine Aubry et époux, à la ville, d'Anne Hidalgo, tire les conséquences de la déroute des socialistes.Après Arnaud Montebourg, Cécile Duflot et même la garde des sceaux Christiane Taubira, Benoît Hamon a apporté sa contribution, jeudi 2 avril, au flot de critiques venues de gauche qui accablent le gouvernement après sa cuisante défaite aux élections départementales. « Il est temps que le quinquennat soit associé à une amélioration de la vie des Français », a déclaré sur Radio Classique et LCI l’ex-ministre de l’éducation, membre de l’aile gauche du Parti socialiste, qui a quitté le gouvernement en août 2014 sur un désaccord avec la politique menée par Manuel Valls.Après la défaite de la gauche aux départementales, l’ex-ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique sort de son silence dans «Les Echos».3 avrilSeulement huit femmes figurent parmi les 98 présidents de conseils départementaux élus jeudi. Elles n'étaient que quatre auparavant.L'Humanité - Face à la ligne Valls, Martine Aubry passe à l’offensive
Deux jours après la déroute du PS aux élections départementales, la maire de Lille passe à la vitesse supérieure.
Les Echos - Le dilemme de Martine Aubry
La maire de Lille a huit jours pour décider si elle dépose ou non une motion au congrès du PS. En clair, si elle compose ou entre en guerre avec François Hollande.
La claque des départementales à peine digérée, le coup de sifflet du sprint du congrès est sifflé. Le calendrier est serré puisque le 11 avril, le Conseil national du PS entérinera les différentes motions qui feront l’objet d’un vote des militants. Un congrès prévu pour début juin qui pourrait, en cas de victoire de la ligne critique au gouvernement, obliger François Hollande à infléchir sa politique économique.LCP - Baumel (PS) demande à Hollande des "inflexions politiques" sans "se renier"
Le député frondeur espère que le chef de l’État acceptera d’apporter des "équilibres un peu différents" après la défaite socialiste lors des élections départementales."Il y a un petit paradoxe à nationaliser une élection locale et ensuite, en l’ayant perdue, à dire ’je continue la même politique, je ne change pas de cap’." Laurent Baumel, le député socialiste frondeur d’Indre-et-Loire, a demandé à l’exécutif, mercredi sur le plateau de Politique Matin, "d’apporter des inflexions" à sa politique afin de la rendre plus "équilibrée", après la défaite de la gauche aux élections départementales.
Le JDD - Martine Aubry attend "des signes forts et non des vaguelettes"
Lors d'une réunion avec ses soutiens,à laquelle se sont joints une partie des frondeurs, mardi soir, la maire socialiste de Lille Martine Aubry a fortement critiqué la ligne Valls. Avec le prochain congrès du PS en ligne de mire.
Regards - Emmanuel Maurel : « Notre électorat est plus unitaire que nous »
Le frondeur Emmanuel Maurel s’attriste de voir l’exécutif mener le Parti socialiste de revers électoral en revers électoral. Mais espère lui faire changer son cap social-libéral grâce à une entente entre les différentes forces de gauche... rangées derrière le PS.
2 avril
INFO RTL - La maire de Lille a réuni une centaine de ses proches, au lendemain de la défaite socialiste aux départementales et a obtenu des garanties de la part du Président.Le Figaro - Devant ses troupes, Martine Aubry lâche ses coups contre Manuel Valls
Lors d'une réunion avec ses soutiens mardi soir à l'Assemblée, la maire de Lille a fustigé la stratégie du premier ministre pour les départementales. Elle pourrait déposer sa propre motion pour le congrès du parti.
Le lab - Martine Aubry laisse planer le doute quant à sa candidature au congrès du PS
LA GRANDE INCONNUE - Ce n'est pas encore aujourd'hui que l'on connaîtra avec précision les intentions de Martine Aubry. Mais à défaut de dévoiler son jeu, la maire de Lille entretient savamment le doute. Devant ses soutiens à l'Assemblée nationale, mardi 31 mars, l'ancienne Première secrétaire du PS a en tous cas laissé planer l'éventualité d'une candidature de sa part au congrès du parti, qui se tiendra à Poitiers début juin.
France 3 - Réunion d'une centaine de parlementaires et d'élus locaux autour de Martine Aubry
La maire de Lille, Martine Aubry, a réuni mardi soir à l'Assemblée nationale ses soutiens parlementaires, ainsi que des élus locaux, pour faire le point après les départementales et avant le dépôt des motions en vue du congrès du PS, en juin à Poitiers.
Le JDD - Comment Valls a tenté de remobiliser les socialistes
Manuel Valls, qui considère avoir le soutien des Français pour rester à son poste de Premier ministre un an pile après sa nomination, s'est adressé mardi aux députés socialistes pour les convaincre d'"approfondir les réformes" sans changement de cap vers la gauche.
Le Monde - Scrutin après scrutin, Hollande perd ce qu’il a gagné
Le premier secrétaire avait tout gagné. Le président est en passe de tout perdre. Après des municipales dévastatrices, qui avaient laissé la gauche délestée de quelque 150 villes de plus de 9 000 habitants en mars 2014, le second tour des élections départementales, avec 28 départements perdus, dimanche 29 mars, a aggravé la saignée, annonçant un scrutin régional du même acabit. En décembre, François Hollande pourrait bien avoir liquidé la majeure partie des positions de pouvoir tenues par la gauche dans les collectivités territoriales. C’est sur la conquête de celles-ci qu’il avait édifié onze ans durant, à la tête du PS, la rampe de lancement de ses ambitions présidentielles.1er avrilAlors que le Front national se targuait d'être « le premier parti de France » après les élections municipales et les européennes de 2014, la droite républicaine et ses alliés sont sortis largement victorieux des élections départementales, dont le second tour se déroulait dimanche 29 mars. A l'issue de ce scrutin local, qui peut revendiquer le titre de premier parti de France ?
Trois jours après la défaite du Parti socialiste aux élections départementales, Manuel Valls ne dévie pas de sa ligne politique : il faut rassembler la gauche, mais pas question de revenir sur les grandes orientations économiques décidées par son gouvernement.Libé - Valls s'essaye à la manière pas forte
S'exprimant devant le groupe PS de l'Assemblée, deux jours après la défaite départementale, le Premier ministre n'a rien concédé sur le fond mais sans en rajouter sur la forme.
Le Monde - Départementales : la coûteuse défaite du PS
La sévère défaite de la gauche aux élections départementales risque de coûter cher au Parti socialiste. Un an après l'échec aux municipales, ce nouveau revers, dimanche 29 mars, est une nouvelle fois synonyme pour le parti au pouvoir d'un recul sur le plan local.Au Parti socialiste, la défaite n'est pas seulement politique. Elle est aussi financière et humaine. Tous les conseillers départementaux du PS sont tenus de reverser à la fédération de leur département entre 5 % et 10 % de leur indemnité. «Entre 1400 et 2000 euros de cotisation annuelle par conseiller départemental», indique le trésorier de la Rue de Solferino, Jean-François Debat. Face au reflux, celui-ci envisage la fermeture de certaines permanences locales.Candidat malheureux à la réélection dans son canton de Lons-Le-Saunier, l'ancien président socialiste du département du Jura a annoncé son retrait de la vie politique. Invité sur l’antenne de France info, Christophe Perny n’a pas mâché ses mots pour critiquer la politique de Manuel Vall
31 marsDans une société travaillée par les aspirations individualistes et les pulsions de repli identitaire, le vote FN ouvre une nouvelle ère politique.
Au lendemain du second tour des élections départementales, c’est Benoit Hamon qui a été l’un des premiers appelés à poser des mots sur les plaies, dans les différentes émissions matinales du lundi 30 mars. « C’est une défaite » a sobrement estimé l’ancien porte-parole du parti socialiste lundi matin sur RTL. « Pas besoin », pour lui, d’aller puiser dans un vocabulaire plus chargé en superlatifs. « C’est une défaite, incontestable », a juste répété Benoit Hamon, préférant sans tarder en analyser les raisons. Pour le député des Yvelines, l’explication tient dans « la division de la gauche » d’un côté, et de l’autre dans « des résultats qui se font attendre sur les questions essentielles, le pouvoir d’achat, la situation des petits retraités, l’emploi évidemment… ».
Emmanuel Maurel, député européen et conseiller régional d’Ile-de-France, réagit vivement aux résultats du second tour des élections départementales et à la déclaration de Manuel Valls. Pour lui, « il faut faire preuve de lucidité et avoir l’intelligence de changer de politique ».30 marsLes socialistes subissent une lourde défaite, ne conservant qu’une trentaine de départements. Face à la vague bleue, le Premier ministre promet de garder le cap.
L’alternance politique n’est pas qu’une abstraction. Parfois, elle se ressent physiquement. Il est 23 heures, dimanche 29 mars, dans le hall de la préfecture d’Evry. Le président sortant du conseil général, le socialiste Jérôme Guedj, arrive avec quelques proches, tandis que Georges Tron et les nouveaux élus UMP répondent aux médias et profitent du buffet. Perdants et gagnants se frôlent et se toisent. Sans un mot. « Voilà le nouveau visage de l’Essonne… », lâche un conseiller de M. Guedj en observant les nouvelles têtes et leurs sourires.Mardi, à l'Assemblée nationale les proches de l'ex-première secrétaire du PS, doivent se retrouver pour faire un bilan du scrutin de dimanche et préparer le congrès PS.Le Monde - Suivez en direct les résultats du second tour des départementalesLa droite pourrait conquérir 20 à 40 départements à l'issue du second tour, tandis que le score du FN sera guetté. A 17 heures, la participation s'élevait à 41,94 %.
Libé - Canton par canton, retrouvez tous les résultats à partir de 20 heuresL'aile gauche du PS profite de la déroute de son parti aux élections départementales pour lancer un nouvel appel. Les frondeurs veulent un "contrat de rassemblement" avec l'ensemble de la gauche. Une manière de mettre la pression sur le gouvernement de Manuel Valls.Ce dimanche soir, chaque parti pourra peut-être avancer, avec plus ou moins de bonne foi, des motifs de satisfaction.... Le PS a «gagné» si…Il sauve plus de vingt-cinq départementsDans ce département à gauche depuis 1976, le second tour s'annonce très serré entre les socialistes et l'UMP. -
Le coup de gueule de Jérôme Guedj en direct sur BFMTV
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L'actualité des socialistes du 16 au 22 mars (mise à jour)
Fin de campagne.... prochaine mise à jour dimanche à 20h
A la une
Départementales : une campagne éclipsée par la menace du FN
C’est une drôle de campagne qui raconte une France prête à tout instant à verser dans l’irrationalité. Comme cet homme qui interpelle sa conseillère générale dans le Tarn-et-Garonne, à propos de l’impossible édification de son pigeonnier pour cause de zone inondable. « Qu’est ce que vous allez faire pour moi ? », lance-t-il comme une supplique. Quand l’élue lui répond que cela ne relève pas des compétences du conseil général, il rétorque, désabusé : « Décidément, il n’y a que Marine qui s’occupe de nous… »
20, 21 et 22 mars
Le député PS vient de rendre un rapport sur l’emploi des jeunes en Europe. Il répond aux questions de Contexte.
Le ministre de l'Économie était en déplacement jeudi à Fresnes à la rencontre des militants à trois jours du premier tour des départementales.Un petit pas pour le socialisme mais un grand pas pour celui qui, bien que n’ayant pas en poche la carte du parti du même nom, tenait meeting, jeudi 19 mars, pour les élections départementales. Certes, la salle était modeste, mais elle était pleine. Deux cents personnes s’étaient déplacées à Fresnes (Val-de-Marne), tout autant pour encourager les candidats du PS, dans ce département – un des deux derniers – dirigé par le PCF, que pour écouter la tête d’affiche du jour : Emmanuel Macron.Manuel Valls s'est rendu dans le fief du président, en Corrèze, à trois jours du premier tour des départementales. Au menu : taper sur Sarkozy, déconstruire le discours du FN, et assurer de sa fidélité au chef de l'Etat.L’épisode de pollution se poursuivant à Paris, la maire PS de la capitale, Anne Hidalgo, a réitéré sa demande de mise en place de la circulation alternée pour la journée de samedi, en raison de la persistance du pic de pollution aux particules fines PM10.
Les Echos - Benoît Hamon à la recherche de la gauche perdue
L'ancien ministre de Manuel Valls, débarqué fin août, a fait son retour dans le jeu politique comme « haut-parleur des frondeurs ». A trois mois du congrès du PS, cet électron libre oscille entre doute et envie d'agir.Le Monde - Hollande choisit le magazine « Society » pour corriger son image
Par petites touches, François Hollande, à l’approche du troisième anniversaire de son élection, s’emploie à corriger son image. Et sur des supports de plus en plus inattendus. Entre confidences personnelles et vision régalienne, le président accorde ainsi un entretien fleuve au tout nouveau magazine Society, dans son deuxième numéro, à paraître vendredi 20 mars. Un média apparemment décalé pour une stratégie de présentation de lui-même qui se précise, visant à souligner une forme de présidentialité acquise lors des attentats de janvier sans pour autant gommer un sens de la proximité, qui, en campagne, avait constitué l’une de ses forces.Libé - Montebourg chez Habitat
Reconversion. L'ancien ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a été nommé vice-président du conseil d'administration de la chaîne d'ameublement française Habitat.
Le Monde - La gauche peut-elle perdre la Seine-Saint-Denis ?
L’ancienne banlieue rouge a pris quelques bleus. Dirigée pendant quarante et un ans par les communistes, puis par les socialistes depuis 2008, la Seine-Saint-Denis est un bastion de la gauche depuis la naissance du département, en 1968. « D’habitude, on connaît l’issue des élections à l’avance », confirme Stéphane Troussel, le président socialiste du conseil général. La gauche ou la gauche. Mais si celle-ci reste favorite pour le scrutin départemental des 22 et 29 mars, prévient-il, « l’incertitude existe avec la droite ».En meeting mercredi soir dans le Pas-de-Calais, le Premier ministre a dû s’employer pour booster les socialistes dans un département à haut risque FN.
Libé - En cas de cession, le gouvernement à reculons sur le droit des salariés
Selon «les Echos», la sanction en cas de non respect du droit à l'information des salariés lors de la vente de leur entreprise serait allégée. Hamon juge la réforme «non opportune».
19 mars
Le Monde - Départementales : la déroute annoncée du PS
S'attendant à une sévère défaite, le Parti socialiste fait profil bas avant les élections départementales des 22 et 29 mars. Dépourvue de bilan solide en matière économique, traversée par une ligne de fracture depuis en plus en plus profonde entre légitimistes et « frondeurs », la majorité, et au premier chef Manuel Valls, ont fait du Front national leur principal cible.En meeting lundi soir à Evry, le Premier ministre a vivement répliqué à Nicolas Sarkozy, à quelques jours du premier tour des départementales.Le Monde - Jean-Christophe Cambadélis : « Il y a une impunité pour le FN »
Pour Jean-Christophe Cambadélis, « il y a aujourd’hui dans notre pays une impunité pour le Front national et l’extrême droite ». Invité du « Forum France Bleu-France Info », mercredi 18 mars, à quelques jours du premier tour des élections départementales, le premier secrétaire du PS, a poursuivi : « Aujourd’hui, on peut dire ce que l’on veut dans l’espace public, on peut faire ce que l’on veut, être soutenu par les banques poutiniennes, détourner les fonds du Parlement européen pour financier l’ensemble de son appareil politique, ça n’intéresse personne. »Le Monde - Aubry brouille les pistes sur sa succession à Lille
Après l’annonce surprise de l’installation à Lille de l’ancien ministre de la ville François Lamy, le 15 novembre 2014, les rumeurs allaient bon train sur l’avenir de l’ancien conseiller municipal d’opposition de Palaiseau (Essonne). Martine Aubry préparait-elle sa succession en mairie de Lille ? A défaut de clarifier ses intentions pour les élections municipales de 2020, l’ancien ministre du gouvernement Ayrault a confirmé son intention de prendre place de manière durable dans la capitale des Flandres.Libé - Loi prostitution : démission soudaine d'un sénateur PS opposé à la pénalisation des clients
En désaccord avec le gouvernement, Jean-Pierre Godefroy a démissionné de la commission spéciale sur la loi prostitution.
Le Monde - Ayrault à l’heure des comptes
Une interview à Ouest France pour mobiliser la gauche et régler ses comptes avec Manuel Valls. Jean-Marc Ayrault n'a pas attendu le résultat des élections départementales pour se démarquer fortement de son successeur.
18 mars
Le Monde - Jean-Marc Ayrault, un premier ministre dans les yeux de sa fille
Jean-Marc Ayrault ne semble pas amer, ou rancunier. Un peu interdit plutôt, meurtri aussi, par ces deux années à Matignon et par la façon dont elles se sont terminées. C’est sa fille, Elise, qui, au terme du documentaire qu’elle lui consacre - « Mon père, ce Ayrault », diffusé en avril sur France 3 - le dit : pour elle, sa démission fut un « soulagement ». « Tu souffrais pour moi… », relance l’intéressé.Le JDD - Départementales : deux économistes prédisent une grande vague bleue
Deux économistes chercheurs à l'université Paris II prédisent une grande vague bleue aux élections départementales, en fonction d'un modèle économétrique qui intègre l'évolution du chômage et la popularité de l'exécutif. L'UMP emporterait environ trois cantons sur quatre. La gauche perdrait des bastions comme le Pas-de-Calais, et le FN remporterait plus de 100 cantons.
LCP - Guedj (PS) : "problème éthique et moral" dans le soutien de Sarkozy à Tron
Jérôme Guedj, le président (PS) du conseil général de l'Essonne, a qualifié lundi de "petit problème éthique et moral" le fait que Nicolas Sarkozy vienne soutenir lundi soir Georges Tron, renvoyé aux assises pour viols et agressions sexuelles.
17 mars
Dans le cadre du projet de loi santé, deux amendements interdisant le recours aux mannequins dénutris et l’apologie de l’anorexie ont été déposés ce matin à l’Assemblée nationale par le député PS de l’Isère, le Dr Olivier Véran, neurologue au CHU de Grenoble, par ailleurs rapporteur du volet Promotion et prévention du projet de loi.
Le Figaro - Bouches-du-Rhône : le socialiste Mennucci veut en finir avec Guérini
Le député de Marseille appelle les électeurs à ne pas voter pour le président sortant du Conseil général des Bouches du Rhône mais pour les socialistes.
Libé - PS, UMP, et FN : «La tripartition est un système transitoire»
Jérôme Fourquet, directeur à l’Ifop, analyse les conséquences de la montée de l’extrême droite.
Pour Jérôme Fourquet, directeur du département opinion publique à l’Ifop, l’élimination toujours plus fréquente des candidats PS ou UMP aux premiers tours des scrutins majoritaires peut précipiter la recomposition du paysage politique. De Valls à Juppé, plusieurs responsables de partis ne disent pas autre chose.
16 mars
La journaliste reçoit Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti Socialiste. Son portrait, dans l'exercice de sa fonction, ainsi qu'un débat autour d'un thème d'actualité sont les temps forts de l'émission qui se termine par la réponse aux questions diverses, sur la base de SMS ou de questions postéessur les réseaux sociaux par les téléspectateurs.
Rendre le vote obligatoire permettrait-il de résoudre la crise démocratique qui sévit en France ? L’écologiste François de Rugy le pense, lui qui a déposé une proposition de loi en ce sens. Il a trouvé ce dimanche 15 mars deux soutiens de poids dans la majorité socialiste alors qu'une note d'un think-tank proche du PS plaide en ce sens.
Libé - Sondage: popularité en baisse pour Hollande et Valls
François Hollande et Manuel Valls continuent de perdre les points de popularité acquis après les attentats de janvier avec respectivement 27% et 40% de bonnes opinions, selon un sondage BVA-Orange-iTELE publié samedi.
Le Lab - Manuel Valls met en garde les communistes, qui "peuvent disparaître"
Quoi qu’il en dise, Manuel Valls ne réserve pas ses coups au seul Front national. Dans le Journal du Dimanche de ce 15 mars, le Premier ministre en campagne adresse une sérieuse mise en garde aux communistes dans la perspective de 2017.
Libé - En visite à Amiens, Najat Vallaud-Belkacem joue à domicile
A quelques jours des départementales, la ministre de l'Education nationale s'est rendue vendredi soir dans le quartier de son enfance, pour une visite politique aux airs de retour aux sources.
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L'actualité des socialistes du 9 au 15 mars (mise à jour)
15 mars
L'Express - La croisade acharnée de Manuel Valls contre le FN en quatre actes
En campagne pour les élections départementales depuis le début du mois, Manuel Valls enchaîne les tacles au Front national, favori des scrutins selon les sondages. D'abord alarmiste, le Premier ministre se montre de plus en plus dur.
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis déclare dans un entretien à paraître dimanche dans La Provence qu'il faut dans les Bouches-du-Rhône "en finir avec le système GG: Guérini-Gaudin", refusant d'apporter son soutien à Jean-Noël Guérini en cas de duel contre l'UMP aux départementales.
Chaque samedi, LCI rencontre un acteur majeur de la politique française dans son bureau. L’occasion de découvrir ce qui orne le lieu de travail de ces politiques. Ce 14 mars, c’est au tour du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, d’ouvrir les portes de son bureau à l’Hôtel de Lassay.
Libé - Hollande veut s’offrir des Verts
Dans la perspective de 2017, le Président veut faire entrer Emmanuelle Cosse au gouvernement, quitte à déstabiliser les écologistes.
Le vert est devenu une matière hautement inflammable et François Hollande ne rechigne pas à jouer avec les allumettes. Profitant des courants contraires qui traversent Europe Ecologie-les Verts (lire ci-contre), le chef de l’Etat a décidé de taper le plus haut possible, lançant les grandes manœuvres autour de la secrétaire nationale du parti, Emmanuelle Cosse.
14 mars
Libé - Hidalgo pour un «parcours d’accompagnement» des jeunes de milieux populaires
La maire (PS) de Paris Anne Hidalgo va mettre en place un «parcours d’accompagnement» des «jeunes héros», issus des milieux populaires, qui veulent «réussir par l’école» et «s’insérer», avec notamment du tutorat et des stages de remise à niveau, a-t-elle annoncé jeudi.
Europe 1 - L’appel du PS à ouvrir des écoles musulmanes inquiète les enseignants
Un communiqué du PS appelle au "développement de l’enseignement privé confessionnel musulman”. Pour les syndicats cette mesure va à l’encontre du vivre-ensemble.
L’affaire cristallise une nouvelle fois le malaise à gauche autour de la laïcité et de l’islam. Un communiqué du parti socialiste, daté du 26 février dernier, appelle au "développement de l’enseignement privé confessionnel musulman”. Cette proposition, qui vise à ouvrir davantage d’écoles musulmanes, figure dans un rapport sur la cohésion républicaine, commandé dans la foulée des attentats de janvier. Repérée le 8 mars par le secrétaire national à la laïcité du Parti radical de gauche, cette annonce inquiète désormais l’ensemble des syndicats de l'Education. Forcé de s’expliquer, le Parti socialiste plaide la “maladresse dans la formulation”.
INTERVIEW – À quelques jours des élections départementales, le député PS d’Indre-et-Loire, l’un des chefs de file des frondeurs, réaffirme sa volonté « d’inflexion sérieuse » de la politique économique et sociale du gouvernement.
13 mars
L'ancien ministre PS Benoît Hamon "comprend la logique" de François Hollande, qui écarte un changement de ligne économique, mais estime que l'exécutif devra "répondre" à la "demande de pouvoir d'achat, d'emploi" et de "cohésion sociale".
Le Lab - Entre Manuel Valls et les frondeurs, le dialogue de sourds
TOI D'ABORD ! NON, TOI ... - Si François Hollande a rencontré une délégation de "frondeurs" mercredi 11 mars - une démarche très peu appréciée côté députés loyalistes - Manuel Valls ne veut pas, quant à lui, donner trop d'importance à ce rendez-vous. Chose amusante, ce 12 mars, Le Figaro fait dialoguer Premier ministre et représentant des frondeurs par articles interposés. Et visiblement, chacun attend de l'autre un signe.
Le Figaro - «Ministres faibles» : Manuel Valls contredit François Hollande
En marge d'un voyage à dominante économique en Pologne, Manuel Valls a réagi a la déclaration de François Hollande qui estime qu'un «premier ministre fort» est fatalement entouré de «ministre faibles».
Boursorama - Hollande a reçu 14 frondeurs du PS à l'Elysée pour renouer le dialogue
L'opération rabibochage a duré deux heures et demie. François Hollande a reçu quatorze députés «frondeurs» du Parti socialiste à l'Elysée, mercredi soir, dans le salon des Ambassadeurs du palais présidentiel où se tient chaque semaine le Conseil des ministres, pour renouer avec eux un dialogue rompu lors du débat sur la loi Macron. Une conversation bien loin des sanctions envisagées un temps, quand ces élus avaient contraint le gouvernement à passer en force et utliser l'article 49.3 pour imposer ce texte. Parmi les députés conviés à l'Elysée, figuraient Barbara Romagnan, Christian Paul, Pouria Amirshahi, Laurent Baumel, Benoît Hamon, Henri Emmanuelli et Pascal Cherki.
DEPARTEMENTALES - Déplacer onze ministres pour annoncer un plan ruralité dans un des fiefs du vote FN, qui plus est à une semaine du premier tour élections départementales... le sens du timing du premier ministre ne manquera pas de donner du grain à moudre à ceux qui l'accusent de faire campagne aux frais de l'Etat.
Le Figaro - François Hollande absout les frondeurs
..... C'est pourtant sur la forme que les frondeurs trouvaient des motifs de satisfaction. «Cette rencontre, c'est la reconnaissance d'un fait politique, c'est nouveau et c'est quelque chose de signifiant», se réjouissait Pouria Amirshahi. Une reconnaissance officielle de l'Élysée qui avait des allures de victoire pour les frondeurs. L'un d'eux, Laurent Baumel, estime à l'issue de la réunion que «François Hollande a écouté tout le monde avec attention», même si, «sur les demandes spécifiques , il n'y a pas eu de réponses». Le député d'Indre-et-Loire dit avoir ressenti «un accord sur la nécessité d'un rassemblement» du PS et de la gauche «sur les questions de fond». «Ce n'est pas le cas de tout le monde», souligne-t-il.
12 mars
Libé - Les frondeurs reçus à l'Elysée, consécration de la dissidence
François Hollande reçoit ce mercredi une délégation de députés frondeurs. De quoi agacer au Parti socialiste, même si tous reconnaissent qu'il est nécessaire de rassembler la gauche.
Le Figaro - La réception des frondeurs à l'Élysée fait enrager les loyalistes du PS
Le président devrait recevoir ce mercredi soir une douzaine de députés issus du groupe des frondeurs du PS afin de calmer les tensions internes au sein de la majorité
Huffington Post - François Hollande reçoit des députés frondeurs à l'Elysée
Des députés socialistes frondeurs seront reçus mercredi 11 mars dans la soirée par François Hollande, a-t-on appris mardi 10 mars de sources concordantes. Aucun de ces députés n'a voulu indiquer à l'AFP s'ils allaient participer à cette rencontre, confirmée par plusieurs autres responsables du groupe socialiste.
REPLAY/ÉDITO – À une dizaine de jours des élections départementales, François Hollande reçoit ce soir à l'Élysée les députés frondeurs du PS.Challenges - Interview exclusive : François Hollande se confie à Challenges
Dans l'entretien qu'il a accordé à Challenges, le président de la République fait front. Aucun regret et aucune concession, notamment vis-à-vis "des frondeurs", ne semblent au programme. Extraits.
Challenges - Les projets de François Hollande avant 2017
EXCLUSIF Valls et Macron, Front national et élections départementales, croissance et déclinisme… Le chef de l’Etat fait le point sur les dossiers chauds. Entretien exclusif à l’Elysée.
BFMTV - Les frondeurs "ne sont pas irréconciliables", assure Jérôme Guedj
Jérôme Guedj, membre du bureau politique du PS et président du Conseil général de l'Essonne, a prévenu mercredi sur BFMTV que le gouvernement devait "trouver les conditions du rassemblement" pour éviter une défaite dès le premier tour des élections départementales.
Midi Libre - Départementales : Cambadélis déplore un "suicide politique en direct" de la gauche
Mercredi, le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a déploré une division "incompréhensible" de la gauche, un "suicide politique en direct" avant les élections départementales.
François Hollande a fait part de sa «stupeur» et de son «émotion» après le crash mortel en Argentine dans lequel ont péri dix personnes dont huit Français. Patrick Kanner, ministre des Sports, a indiqué qu’il travaillait à l’organisation d’un «hommage national». D’autres politiques ont également réagi.
11 mars
Le Monde - Des promesses de campagne à la loi sur la fin de vie : un grand malentendu ?
C’est l’histoire d’une promesse de campagne si habilement formulée que chacun y a lu ce qu’il voulait y voir. Lorsque le 26 janvier 2012, à la Maison des métallos, à Paris, le candidat François Hollande présente parmi ses soixante engagements pour la France une mesure, la vingt-et-unième, prévoyant une « assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité », les partisans de l’euthanasie ne doutent pas que si le candidat socialiste est élu, une aide active à mourir sera mise en place. Certes, il s’est déclaré opposé à l’euthanasie, mais à l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), on croit que seul le mot lui fait peur.La ministre de l’Ecologie a évoqué pour Notre-Dame-des-Landes une consultation citoyenne «au niveau départemental».Coulisses . Le débat sur la proposition de loi a été reporté
Trop touchy ? Jeudi, les députés étaient censés examiner une proposition de loi des radicaux de gauche interdisant le port du voile dans les crèches et les centres de loisirs privés financés par de l’argent public.Étant donné son poids au Parti socialiste, les déclarations de Martine Aubry sont toujours très attendues. En témoigne le nombre de journalistes ce lundi matin pour la conférence de presse du PS donné au siège de la fédération du nord à l’occasion du lancement officiel de la campagne pour les élections départementales. Martine Aubry a fustigé les communistes et les Verts, qui ont refusé toute alliance dans le Nord. Elle a taclé Nicolas Sarkozy et la droite. Et réagi aux déclarations de Manuel Valls.
10 mars
Libé - La logique comptable fait son lit à l’hôpital
«Libération» a eu accès à un texte confidentiel qui prévoit des économies drastiques, des coupes dans les effectifs, et accroît la centralisation.
9 mars
Le Lab - Jérôme Guedj, comme d'autres frondeurs, "rêve" de discuter avec François Hollande
I HAVE A DREAM – François Hollande va-t-il finir par recevoir les députés "frondeurs" ? Pour certains, c'est une certitude. Reste plus qu'à caler une date, selon le bon vouloir présidentiel.
En attendant, certains élus pas franchement d'accord avec la politique menée par le gouvernement font preuve d'une légère impatience. À l'image de Jérôme Guedj, plus vraiment député depuis le retour à l'Assemblée de François Lamy, mais bien toujours "frondeur".
Libé - Pour Manuel Valls, le Front National est «aux portes du pouvoir» dès 2017
Dans un entretien, le Premier ministre a revendiqué la «stigmatisation du Front national», un parti qui «n’apporte aucune solution», à quelques semaines des élections départementales.
On le sait, deux lignes s'opposent chez les écologistes : les pro-gouvernement et les autres, plutôt tentés par un rapprochement avec le Front de gauche. Selon les informations du Journal du dimanche de ce 8 mars, certains membres de EELV mènent donc une réflexion concrète sur l'émergence d'un pôle pro-gouvernement structuré, quitte à provoquer une scission au sein du parti.
Le JDD - Jean-Marie Le Guen : "On a trop souvent joué avec le FN"
INTERVIEW - Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'Etat (PS) aux Relations avec le Parlement revient sur son analyse politique qu'il vient de rediger pour la Fondation Jean-Jaurès.
Le JDD - EELV : Cécile Duflot n'a pas peur d'une scission
L’ex-ministre du Logement est convaincue que la majorité des écologistes soutient sa ligne. Et n’est pas inquiète que quelques ténors, comme Jean-Vincent Placé, veuillent rallier Hollande.
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Hollande invite les frondeurs: une rencontre "saine et normale" selon Jérôme Guedj