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guedj - Page 4

  • L'actualité des socialistes du 3 au 9 mars (Revue de prese hebdomadaire)

    A LA UNE

    La Tribune - Emmanuel Macron et la finance : plus qu'un problème personnel Par Romaric Godin

    Emmanuel Macron ne veut pas être réduit à "quatre années" de sa vie au cours de laquelle il était banquier d'affaires. Mais la vraie question est ailleurs : c'est celle de sa vision de l'économie.

    C'est sans doute un signe des temps. Alors que François Fillon et Marine Le Pen ne cessent de viser « la presse du système », lors de sa conférence de presse de présentation de son programme électoral le 2 mars, Emmanuel Macron a fait publiquement la leçon à un journaliste de Mediapart. Il l'a accusé de « faire le lit du Front National » en le « réduisant à quatre années de sa vie », celle où le candidat d'En Marche ! était banquier d'affaires. Irrésistiblement, ce genre de recadrage d'un journaliste par un politique fait penser à une autre conférence de presse, celle où Donald Trump dénonçait les « Fake News Medias » (les « médias de fausses nouvelles »). Du moins, ces attaques n'étaient, alors, pas saluées par des applaudissements.

    JEROME GUEDJ

    Marianne - Journal de bord d'un socialiste, Le blog de Jérôme Guedj

    Déjà un mois et demi que nous sommes en campagne. Et plus encore pour Benoit Hamon en prenant en compte la primaire. Nouer un lien profond avec le pays, partager nos idées, affirmer notre vision, incarner les valeurs de la gauche, de toute la gauche. « Ma France » disait Jean Ferrat. Chaque candidat porte une France en lui « un pacte vingt fois centenaire entre elle et le liberté du monde », aurait dit De Gaulle, toujours commode en citations grandioses. Les places sont chères au panthéon de l’Histoire, rappelons que ceux qui y ont accédé sont les mêmes qui en ont saisi la puissance du récit, et l’ont eux-mêmes écrit par leurs actes de courage, parfois leur folie. Autre temps, autre histoire, le récit commande aujourd’hui une autre narration, les échos des profondeurs nous racontent d’autres aspirations que le retour des temps qui forgeaient les héros. Si nous voulons que la France se retrouve avec elle-même, ressouder là où sont les fractures, tellement nombreuses, il nous faut saisir les réalités contemporaines, sur le vif, et il n’y a rien de mieux qu’une campagne pour ça.

    LES SONDAGES

    L'Obs

    Paris Match

    Les Echos

    France Info - Présidentielle : 61% des sympathisants du PS approuvent les cadres socialistes qui soutiennent Macron et non Hamon

    Un sondage Odoxa pour franceinfo révèle vendredi qu'une majorité de Français approuve le choix de certains cadres du PS de soutenir Emmanuel Macron au détriment de Benoît Hamon, jugé "sympathique" mais moins crédible.

    Le Monde - « Les rapports de force de la présidentielle se dessinent »

    Nicolas Chapuis, chef du service politique du « Monde », a répondu à vos questions sur la dernière vague de l’enquête électorale du Centre de recherches politiques de Sciences po.

    L'Express - Présidentielle: Macron aussi populaire que Hamon à gauche

    Pour la première fois depuis le début de la campagne, un sondage place l'ancien ministre de l'Economie au même niveau d'opinions favorables que le candidat socialiste chez les sympathisants de gauche.

    LE REVENU UNIVERSEL

    France Info - Présidentielle : le nouveau revenu universel de Benoît Hamon "n'est pas moins ambitieux"

    Benoît Hamon a annoncé que sa mesure phare du revenu universel coûterait moins cher à la France, 35 milliards d'euros. Une redéfinition du projet qui n'est pas "moins ambitieux" selon Julia Cagé, économiste, membre de l'équipe de campagne.

    Huffington Post - Après l'Émission politique, Benoît Hamon en est à sa cinquième version du revenu universel

    Depuis la rentrée 2016, la candidat gagne en crédibilité ce qu'il perd en radicalité.

    Le candidat du Parti socialiste a voulu relancer sa campagne avec l'"Emission politique", le 9 mars sur France 2. En point d'orgue, encore une fois, le revenu universel. Ou plutôt des précisions qui ont pris à nouveau des airs de nouvelle version amoindrie.

    OFCE - Revenu universel : l’état du débat

    Par Guillaume Allègre et Henri Sterdyniak

    Dans une situation de maintien d’un niveau élevé de chômage et de pauvreté, d’extension de la précarité du travail, de crainte de disparition des emplois du fait de l’automatisation, le projet de revenu universel s’est installé dans le débat économique et social en France comme dans d’autres pays développés. Il s’agirait de verser à  toute personne résidante dans le pays une allocation mensuelle sans aucune condition de ressources, d’activité, de contrepartie. Dans le cadre de sa mission d’animation et d’éclairage  du débat économique, l’OFCE a organisé, le 13 octobre 2016, une journée d’étude à laquelle ont été conviés des chercheurs qui avaient travaillé sur ce projet, pour le développer, le soutenir ou le critiquer. Un e-book rassemble la plupart des contributions qui ont été présentées et discutées durant cette journée, parfois revues compte-tenu des enseignements de la discussion.

    Le Monde - Les décodeurs : Où en est le revenu universel selon Benoît Hamon ?

    Le candidat du PS à la présidentielle doit préciser les contours de sa mesure phare lors de « L’Emission politique » de jeudi.

    « Le revenu universel, c’est la nouvelle protection sociale », affirmait Benoît Hamon dans Le Monde en janvier. L’idée est devenue une mesure phare du candidat socialiste à la présidentielle et ses contours ont déjà beaucoup évolué durant la campagne. M. Hamon devrait en présenter les modalités jeudi 9 mars, lors de « L’Emission politique » sur France 2.

    Libé - Revenu universel : pour mieux intégrer les salariés, le candidat retravaille sa mesure phare

    Benoît Hamon modifie sa proposition, vilipendée pour son coût, afin de la rendre plus crédible et d’y intégrer les travailleurs pauvres. Quitte à en dénaturer la philosophie.

    Sous la sémantique, la politique. Avant son grand oral de jeudi soir à l’Emission politique de France 2, Benoît Hamon met la dernière main à une nouvelle mouture de son revenu universel d’existence, qui sera assortie d’un cadrage budgétaire maison. En plus des jeunes de 18 à 25 ans et des bénéficiaires du RSA, la mesure qui a fait son succès à la primaire sera finalement élargie dès sa création, au 1er janvier 2018, aux bas salaires. Cela permet d’inclure les travailleurs dans le dispositif - une «étape 1 bis» - mais en le dénaturant un peu. Car ce complément de salaire, qui permettrait d’offrir un 13e mois aux travailleurs les plus fragiles, ne sera plus le même pour tous : l’impact sur les bas salaires sera progressif, ils ne toucheront pas les 600 euros promis aux jeunes dès la première étape.

    Alternatives Economiques - Comment donner de l’ampleur au revenu universel de Benoît Hamon

    La proposition de revenu universel version Hamon est-elle en train de prendre de l’ampleur ou, au contraire, de s’éteindre, au profit d’une mesure se rapprochant au fond d’un RSA activité modernisé ? C’est la question qu’on peut se poser à lire l’entretien donné par Julia Cagé, économiste proche du candidat, au quotidien Les Echos du mardi 7 mars. Plaide en faveur du premier terme de l’alternative le fait que la première étape déjà annoncée n’est pas remise en cause – revalorisation du RSA socle et création d’une allocation d’autonomie pour les 18-25 ans – et se voit complétée par une sorte de prime d’activité centrée sur les bas salaires, une manière de contrer les propositions d’Emmanuel Macron qui veut augmenter les très bas salaires via la réduction de certaines cotisations sociales. En revanche, le reste de l’entretien donne à réfléchir. Si on ne peut qu’approuver Julia Cagé quand elle dit que le bilan de la révolution numérique en termes d’emploi n’est écrit nulle part, – contredisant au passage les propos parfois trop déterministes de Benoît Hamon sur le sujet –, elle ajoute que « cela n’aurait pas de sens de donner à Liliane Bettencourt 600 euros pour les lui reprendre de l’autre main par une hausse d’impôts ».

    LES ROBOTS

    France Info - Taxer les robots : cinq questions sur la promesse de Benoît Hamon

    Avec le revenu universel, c’est l’une des propositions clés du candidat socialiste à l’élection présidentielle. Pourquoi taxer les robots ? Qui seraient les gagnants et perdants d’une telle mesure ? Décryptage.

    C'est une idée pour le moins emblématique, et qui ne manque pas de faire parler d'elle. S'il est élu président de la République, Benoît Hamon propose de taxer les machines qui remplacent les hommes dans les entreprises. Franceinfo passe cette proposition au décrypteur.

    Tribune de Genève - Et si on taxait les robots...

    Fiscalité - L’idée fait débat. En Suisse, le professeur de droit fiscal Xavier Oberson la défend.

    En France, la proposition figure en bonne place dans le programme du candidat socialiste Benoît Hamon. En Suisse, le professeur de droit fiscal Xavier Oberson y réfléchit depuis près d’un an. Et plus il y réfléchit, plus il est convaincu: d’une façon ou d’une autre, il faudra taxer les robots. L’idée, bien sûr, nécessiterait beaucoup de discussions mêlant l’économie, l’éthique et la politique. Une utopie? Selon Xavier Oberson, on n’échappera à cet énorme remue-méninges. Il présentera ses recherches ce mardi, lors de la leçon d’ouverture du semestre de printemps 2017 de l’Université de Genève. Interview.

    LAICITE

    Le Figaro, Par Fatiha Boudjalat -  Journée de la femme : la grande hypocrisie du féminisme occidental

    A l'occasion de la « journée internationale pour les droits des femmes », Fatiha Boudjalat interpelle ceux qui présentent les femmes voilées comme des figures du féminisme.


    Fatiha Boudjahlat est cofondatrice de Viv(r)e la République, et secrétaire Nationale du MRC en charge de l'Education.


    Soyons fous… parlons des droits des femmes… le lendemain de la journée internationale des droits des femmes. Il s'agit de rappeler l'urgence et l'actualité du combat des femmes pour leur émancipation individuelle et collective, pour leur égalité en droits et en dignité. Et pourtant fleurissent des images de femmes voilées comme des figures du féminisme. L'offensive passe par le dévoiement du féminisme. Il y aurait donc des féminismes, au moins deux, un occidental, propre aux femmes blanches, et un pour les femmes en orient et pour les femmes orientales d'ici. Ce féminisme-ci s'accommoderait parfaitement du voilement.

    L'EMISSION POLITIQUE

    France Info - Le vrai du faux. Retour sur l'Emission politique de Benoît Hamon

    Le candidat socialiste était l'invité de France 2 ce jeudi 9 mars. Il a notamment parlé de revenu universel et débattu avec Laurent Wauquiez sur le voile intégral.

    Retour sur deux passages de l'Emission politique de France 2 avec Benoît Hamon ce jeudi 9 mars.

    Et notamment sur le revenu universel. Le candidat socialiste veut le mettre en place en plusieurs étapes. La première, c'est l'automatisation du RSA augmenté à 600 euros et élargi aux jeunes. Et Benoît Hamon l'a assuré ce jeudi soir, il n'a pas changé d'un pouce sur sa proposition

    Le Monde - Pour Benoît Hamon, Emmanuel Macron prépare « une France ingouvernable »

    Invité de « L’Emission politique » sur France 2, le prétendant socialiste à la présidentielle a renoncé à son idée d’un revenu universel pour tous les 18-25 ans.

    Benoît Hamon déroule. Invité de « L’Emission politique » sur France 2, jeudi 9 février, le candidat des socialistes et des écologistes à l’élection présidentielle a martelé ses thématiques de prédilection. Raréfaction du travail, taxation des robots, interdiction des pesticides, légalisation de l’euthanasie… Le député des Yvelines a rejoué la partition qui lui a permis de remporter, en janvier, la primaire à gauche, revenant, en outre, sur ses nouvelles propositions sur l’Europe, présentées dans un entretien au Monde, jeudi.
     
     
    Benoît Hamon, invité de "l'Emission politique" sur France 2, est monté au créneau contre Emmanuel Macron et a défendu fermement sa vision de la laïcité.
     
    Pour Benoît Hamon, le temps presse. Échec des négociations avec Mélenchon, sondages décevants, défections au sein du PS... Les dernières semaines de campagne ont été difficiles pour le candidat socialiste. Avec environ 14% des intentions de vote, il stagne, et ne semble pas même en mesure de se qualifier pour le second tour de la présidentielle.
     
     
    Le candidat socialiste a profité de son passage à l’«Emission politique» pour, de nouveau, dénoncer le projet «dangereux» d’Emmanuel Macron, «marche-pied du Front National».
     
    Benoît Hamon peut presque remercier Emmanuel Macron. Alors que des ministres socialistes lui réclament des «preuves d’amours» et menacent de rejoindre le candidat En Marche pour «faire barrage au Front national», le socialiste a profité ce jeudi soir de son passage à l’Emission politique pour… défendre le bilan du gouvernement.

    France Info - Cinq séquences qu'il ne fallait pas rater dans "L'Emission politique" avec Benoît Hamon

    A 45 jours du premier tour de l'élection présidentielle, le candidat socialiste était invité sur France 2, jeudi soir.

    Un peu plus de deux heures pour convaincre. A 45 jours du premier tour de l'élection présidentielleBenoît Hamon était l'invité de "L'Emission politique" sur France 2, jeudi 9 mars. Son premier passage en décembre lui avait permis de lancer sa campagne dans la primaire de la gauche, qu'il a finalement remportée fin janvier. Mais depuis, le candidat patine, et ne décolle pas dans les intentions de vote. Jeudi soir, l'ancien ministre espérait donc se servir de l'émission pour relancer la dynamique de sa campagne.

    France Inter - Le candidat Benoit Hamon à la recherche d’un nouveau souffle

    Rassurer sur son programme, repousser Emmanuel Macron à droite de l'échiquier politique: Benoît Hamon tente la remise à flot d'une campagne dangereusement enlisée.

    L'Express - Sur France 2, Hamon garde le cap, quitte à perdre des électeurs

    En difficulté dans la campagne présidentielle, le candidat du Parti socialiste peine à imposer ses thèmes dans le débat politique. Ce qui lui avait permis de remporter la primaire organisée par son parti, en janvier dernier.

    "François Mitterrand disait que le centre, c'est ni de gauche, ni de gauche." Cette phrase, Benoît Hamon ne l'a pas lâchée devant François Bayrou.

    L'Obs - Benoît Hamon et Laurent Wauquiez s'écharpent sur le voile et l'islam

    Face à Wauquiez, qui l'a accusé de mollesse face au communautarisme, Hamon s'est érigé en défenseur acharné de la loi de 1905.

    Et Laurent Wauquiez réveilla Benoît Hamon... Il a fallu attendre jeudi soir la fin de l'émission politique et l'arrivée sur le plateau de France 2 du président de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour que le candidat socialiste hausse le ton.

    EN CAMPAGNE

    L'Obs - Hamon à la baston !

    Face à l'envolée d'Emmanuel Macron, la candidature de Benoît Hamon patine. Pour retrouver des couleurs, il doit oublier les petits arrangements et rester lui-même : un pur frondeur. Les Français, en ce moment, aiment ça.

    Capital - Critiqué au PS, Hamon se pose en "combattant" décidé à rassembler

    PARIS (Reuters) - Déterminé à "tourner la page avec des recettes qui ont échoué", Benoît Hamon s'est présenté jeudi soir en "combattant" déterminé à rassembler sa famille politique malgré les doutes et les critiques d'une partie des socialistes sur sa campagne.

    Dans l'Émission politique, sur France 2, le candidat à l'élection présidentielle a rappelé à ses détracteurs la "légitimité" tirée de sa victoire à la primaire organisée en janvier par le PS.

    Le Figaro - Benoît Hamon enterre-t-il le revenu universel ?

    Invité de France 2 dans «L'Émission politique», le candidat socialiste a mis en avant la première phase de sa mesure-phare: une extension du RSA aux jeunes et à une partie des travailleurs. Mais il s'est peu justifié sur son coût.

    Ce jeudi, dans une interview au journal Le Monde puis dans «L'Émission politique» sur France 2, Benoît Hamon s'est défendu d'avoir revu à la baisse son projet de revenu universel. Le candidat socialiste a précisé qu'il s'était engagé lors de la primaire à mettre en œuvre dès 2018 une première phase du revenu universel.

    Le Monde - Benoît Hamon veut renforcer la zone euro pour sauver l’Union européenne

    Le candidat socialiste doit présenter, vendredi, son projet d’un nouveau traité pour tenter de sortir l’Union européenne de la situation de blocage qu’elle traverse.

    Objectif, « sauver l’Europe ». Benoît Hamon doit présenter, vendredi 10 mars, son projet d’un nouveau traité de démocratisation de la gouvernance de la zone euro pour tenter de sortir l’Union de la situation de blocage qu’elle traverse depuis de longs mois. Le candidat socialiste veut, selon son entourage, « trouver un chemin qui refuse tout autant de continuer à construire l’Europe contre les peuples que de participer à sa destruction ». Un positionnement qui, espère-t-il, va le distinguer dans la campagne présidentielle de ses concurrents de gauche comme de droite.
     
     
    Benoît Hamon va publier deux ouvrages d'ici la fin du mois de mars. Le premier, un manifeste, est sorti ce jeudi.  
    En pleine campagne présidentielle, le candidat socialiste Benoît Hamon publie deux ouvrages. Le premier est lancé jeudi 9 mars : un livre-manifeste de 128 pages intitulé "Pour la génération qui vient". Le 23 mars prochain, ce premier opus sera suivi de "La politique est à nous", co-écrit avec l'ex-candidat écologiste Yannick Jadot aux éditions Robert Laffont.
     

    MARSEILLE (Reuters) - Benoît Hamon a durci le ton de sa campagne envers le "candidat chimère" Emmanuel Macron, mardi lors d'une réunion publique à Marseille, fustigeant les socialistes qui envisagent un "vote utile" en faveur de l'ancien ministre de l'Economie pour faire barrage à Marine Le Pen.

     
    Le candidat socialiste à la présidentielle a associé à son équipe Yannick Jadot, qui a retiré sa candidature pour le soutenir, ou encore Eva Joly et Michèle Rivasi.
    Benoît Hamon a précisé dans un document transmis à la presse, dimanche 5 mars, qu’il avait désormais intégré plusieurs écologistes dans son équipe de campagne. Le candidat socialiste à la présidentielle s’appuiera sur Yannick Jadot, nommé « conseiller spécial » après avoir annoncé, le 23 février, qu’il retirait sa candidature au nom d’Europe Ecologie - Les Verts (EELV) pour soutenir M. Hamon.

    Marianne - Inquiétude au PS : Benoît Hamon fait-il campagne pour l'Elysée… ou pour Solférino?

    Face à l'étrange campagne de Benoît Hamon, on s'interroge au Parti socialiste : se bat-il vraiment pour l'élection présidentielle ou prépare-t-il simplement la prise du PS ?

    D'ex-frondeurs face à la fronde… La vie politique ne manque décidément pas d'ironie. Depuis le résultat de la primaire organisée par le PS, la révolte gronde dans les rangs socialistes. Le parti s'interroge, s'inquiète de cette étrange campagne menée depuis quelques semaines par Benoît Hamon, leur candidat officiel. On s'y demande même, de plus en plus, si l'ancien ministre de l'Education ne serait pas en train de leur faire un bébé dans le dos. "Le sentiment se répand de plus en plus qu'il y a une campagne officielle, très maladroite, pour 2017. Et une autre officieuse, partant du principe que 2017, c'est déjà foutu et qui prépare l'après, qui passe par la conquête du Parti par Benoît Hamon et ses amis", nous décrypte un député de province.

    Libé - Laurence Rossignol : «Je soutiens Hamon mais il doit rassembler la gauche dans toute sa diversité, on n’y est pas encore»

    La ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes, proche de Manuel Valls, votera pour le candidat socialiste malgré ses divergences avec certaines de ses propositions.

    Lundi, c'est dans son ministère qu'a eu lieu le déjeuner des proches de Manuel Valls autour de l’ex-Premier ministre. Laurence Rossignol, la ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes, apporte aujourd’hui son soutien au candidat socialiste, Benoît Hamon, mais lui demande plus de gestes en faveur du rassemblement et de «dire du bien de la France».

    Numerama - Benoît Hamon relance le débat sur une redevance TV étendue à tous les écrans

    Le candidat du Parti socialiste s'est montré ouvert à l'idée d'étendre la contribution à l'audiovisuel public à tous les écrans qui permettent de regarder la télévision, comme les smartphones ou les ordinateurs.

    Le serpent de mer de la contribution à l’audiovisuel public étendue à tous les écrans s’invite dans la campagne présidentielle, et plus particulièrement dans le programme de Benoît Hamon. Invité jeudi 2 mars par l’Union des entreprises de conseil et achat média, le candidat du Parti socialiste a en effet glissé au détour de la conversation son souhait de réviser la redevance TV, rapporte BFM TV.

    Franceinfo - Le décryptage éco. Quand la question de la dette divise à nouveaux les socialistes

    A gauche, Manuel Valls a exprimé son inquiétude face à la campagne de Benoît Hamon, et c’est sur l’économie que les tensions sont les plus fortes entre les différentes sensibilités socialistes. Le décryptage de Vincent Giret.

  • Jérôme Guedj, porte-parole de Hamon, sur le "programme EM" de Macron: "On est dans du Fillon light"

  • Jérôme Guedj (PS) : « Avec Mélenchon, il ne peut pas y avoir comme préalable derrière moi ou rien »

    Jérôme Guedj, conseiller départemental de l'Essonne, porte-parole de Benoît Hamon était ce vendredi l'invité matin de RFI. Il répond aux questions de Frédéric Rivière. « Dans les discussions avec Jean-Luc Mélenchon il ne peut pas y avoir comme préalable ce sera derrière moi ou rien »


    Jérôme Guedj (PS) : « Avec Mélenchon, il ne... par rfi

  • Jérôme Guedj - L'invité politique d'Olivier Galzi du 15/02/2017

  • BFMTV - Qui figure dans le nouvel organigramme de campagne de Benoît Hamon?

  • Débat LCI projet contre projet entre Jérôme Guedj, p-p de Montebourg & Olivier Dussopt, p-p de Valls

  • Le Parisien - Débat : le Parti socialiste est-il fini ?

    Le quinquennat de François Hollande sonnera-t-il le glas du Parti socialiste ? Un président sortant décrédibilisé qui renonce à se représenter, des législatives qui se profilent comme la chronique d'une déroute annoncée... Et, surtout, une ligne idéologique tellement distendue que la primaire, qui s'ouvre le 17 décembre, n'aura jamais été aussi riche ou encombrée (selon les points de vue) de projets et d'ambitions en marche. Du social-libéralisme de Manuel Valls au patriotisme économique d'Arnaud Montebourg, en passant par l'encore indéfinissable Vincent Peillon... sans compter ceux qui, aux deux extrêmes du spectre à gauche, briguent l'Elysée en sautant la case primaire, comme Jean-Luc Mélenchon ou Emmanuel Macron. Quelle famille ! A n'en pas douter, le Parti socialiste de Mitterrand et de Jospin, pôle fédérateur de toutes les gauches, a vécu. Peut-il donner naissance à un autre PS ?

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  • "Hé ho la gauche" : Macron pas "invité"... à cause de son mouvement "En marche" ?

    A un an de la présidentielle, les partisans de François Hollande, emmenés par Stéphane Le Foll, vont tenter de défendre leur bilan et de remobiliser les sympathisants de gauche déçus. Invité du 12/14 de LCI, le conseiller départemental Jérôme Guedj a évoqué l'absence d'Emmanuel Macron. "Je ne crois pas que "En marche" contribue au rassemblement de la gauche", a-t-il déclaré.

  • "La gauche ne me satisfait pas", dit Macron, "la réciproque est vraie", répond un membre du PS

    "La gauche ne me satisfait pas", a déclaré Emmanuel Macron dans une interview à Arte, diffusée ce dimanche soir. Sur le plateau de LCI, Jérôme Guedj, membre du bureau national du PS et las des sorties à répétition du ministre de l'Économie, lui répond que "la gauche ne se satisfait pas d'un ministre d'un gouvernement de gauche [...] qui s'assied sur l'histoire et la tradition" du parti.

  • L'actualité des socialistes du 25 au 31 mars

    A LA UNE

    CNRS - Quelles élections pour une meilleure démocratie , par Yves Sintomer

    Généralisation des primaires, possibilité de voter pour plusieurs partis, tirage au sort… Pour remédier à la crise de légitimité dont souffre le système électoral français, nous aurions tout à gagner, selon le sociologue Yves Sintomer, à nous inspirer d’expériences démocratiques passées ou en vogue ailleurs dans le monde.

    Depuis le début des années 1960 et les débuts de l’élection au suffrage universel du président de la République, la France n’a pas changé fondamentalement les règles qui déterminent la façon d’élire les représentants et de prendre des décisions. Notre système repose sur quatre piliers. D’une part, les partis pèsent d’un poids déterminant dans la sélection des candidats, dans les scrutins uninominaux comme dans les scrutins de liste. D’autre part, chacune des élections (présidentielles, législatives, sénatoriales, européennes, régionales, départementales, municipales, d’agglomération) se déroule selon une procédure propre. Troisièmement, le président est élu directement, et non par le Parlement, il n’est pas une simple autorité morale et domine complètement l’exécutif tout en n’ayant pas à se soucier d’un contre-pouvoir parlementaire (sauf en cas de cohabitation). Enfin, la sélection des responsables politiques se fait par l’élection et, pour l’essentiel, seuls les élus sont habilités à prendre les décisions politiques, disposant qui plus est d’un mandat « libre » – ils n’ont pas à respecter leurs promesses électorales ou la volonté de leurs électeurs.

    Le Monde - Loi travail : « La jeunesse a amorcé un vrai débat, qui sort de l’idéologie »

    Patrick Cingolani est professeur de sociologie à l’université Paris Diderot. Il est l’auteur de Ré­volutions précaires (Ed. La Découverte, 2014), qui soulignait le potentiel émancipateur de nouvelles expériences du travail.

    REVENU DE BASE

    Observatoire des inégalités - Revenu de base pour tous : une fausse bonne idée

    15 mars 2016 - La mise en place d’un revenu de base n’est pas soutenable si l’on veut qu’il soit d’un niveau acceptable. Le point de vue de Denis Clerc, économiste et fondateur d’Alternatives Economiques.

    Le revenu de base a le vent en poupe. Certes, les appellations diffèrent – allocation universelle, revenu inconditionnel, dividende social… –, mais elles désignent toutes le même objectif : fournir à chacun un revenu mensuel lui permettant de vivre, même s’il n’a pas d’autre revenu, et de vivre mieux s’il en a un. James Meade, un économiste anglais du siècle dernier, disait : « un revenu non pas pour exister, mais parce qu’on existe ». Ce partage égalitaire séduit bien sûr la gauche justement en raison du fait que chacun pèse le même poids dans ce partage, au contraire de la règle capitaliste qui rétribue chacun en fonction de ce qu’il est censé apporter. Mais il séduit aussi les milieux libéraux parce qu’il permettrait de supprimer nombre d’aides sociales, donc de rompre avec « l’assistanat », et inciterait chacun à se prendre en charge pour compléter ce revenu de base, au lieu de compter sur la société pour obtenir quelque amélioration de son sort. Enfin, il séduit une bonne partie du reste de la société parce que chacun le voit comme un supplément tombant du ciel, et bon à prendre en période de difficultés. Le présent article vise à mettre à jour les nombreux pièges que recèle cette idée de revenu de base.

    JEAN-PIERRE LE GOFF

    Libé - Le tripartisme est-il démocratique ? Par Laurent Joffrin

    Dans son dernier ouvrage, Hervé Le Bras décrypte les cartes électorales et déjoue, une fois de plus, nombre d’idées préconçues, entre autres sur le FN.

    Le Figaro - Jean Pierre Le Goff : «L'impuissance politique est enrobée dans les bons sentiments»

    Terrorisme, révolte dans la jeunesse, campagne antiraciste absurde, Europe impuissante, le titre du dernier livre de Jean-Pierre Le Goff, Malaise dans la démocratie, est plus que jamais approprié à la situation actuelle. Le sociologue et philosophe fait le point pour FigaroVox.

    Jean-Pierre Le Goff est un philosophe, écrivain et sociologue français. Son dernier livre Malaise dans la démocratie vient de paraître chez Stock

    L'un, le sociologue Jean-Pierre Le Goff, publie "Malaise dans la démocratie" (Stock) ; l'autre, l'historien du communisme Roger Martelli signe "L'identité, c'est la guerre" (LLL). A l'heure où les Français s'interrogent sur les fondements de leur communauté de destin, ils se posent la question : "Comment reconstruire du commun?"

    LOI TRAVAIL

    Public Sénat - Loi travail : 1,2 million de manifestants selon les syndicats, 390.000 selon la police

    Les concessions du gouvernement sur le projet de loi travail n'ont pas calmé la colère: selon les organisateurs, 1,2 million de manifestants ont défilé jeudi dans toute la France pour réclamer le retrait d'un texte jugé trop libéral, lors d'une mobilisation émaillée de violences.

    Lyon Capitale - Manifestation Loi travail, pour un nouveau modèle de société

    Prévue depuis le début du mois comme la journée phare de la mobilisation par l'intersyndicale (CGT, FO, FSU, Solidaires), la manifestation contre la loi Travail a rassemblé environ 12 000 personnes à Lyon selon la préfecture et 30 000 selon les syndicats. Travailleurs, jeunes et retraités ne manquent pas d'idées pour tourner la page du socialisme façon Hollande.

    Dans le cortège parisien, travailleurs du privé, fonctionnaires, professions libérales, chômeurs, jeunes et retraités ont défilé côte à côte sous une pluie battante contre le projet de loi sur le travail, quand bien même tous ne sont pas concernés. Candy, jeune fonctionnaire, est ainsi venue « pour soutenir les travailleurs, l’avenir du travail et celui des jeunes. J’ai un fils, je ne veux pas qu’il connaisse ça plus tard ».
     

    Potentiellement porteur de certains progrès pour Laurent Berger, le leader de la CFDT, opération de dérégulation très risquée pour le professeur de droit Pascal Lokiec, même modifié, le projet de loi travail ne fait pas l’unanimité. Débat.

    Mediapart - Loi sur le travail: jusqu’au bout de la déchéance! 20 février 2016 | Par Laurent Mauduit

    Durant son quinquennat, François Hollande aura dynamité le code du travail avec plus de violence que tous les gouvernements de droite réunis depuis trois décennies. Il aura aussi tourné le dos à l'histoire et aux valeurs de la gauche. La rupture dans la politique sociale est aussi spectaculaire qu'elle l'est en matière de libertés publiques.

    L'Humanité - Opération désintox à l’Agora de l’Humanité

    Sur le thème « Le travail défend ses droits », quatre invités ont rétabli jeudi quelques vérités sur le projet El Khomri : Pascal Lokiec, professeur de droit social, Gérard Filoche, inspecteur du travail, Danièle Linhart, sociologue, et Jean-Christophe Le Duigou, économiste, ancien dirigeant de la CGT.

    Maintenant la gauche - Projet de loi Travail : Augmentation du temps de travail ; Baisse des salaires; Facilitation des licenciements ; Précarisation des salariés

    Le projet de loi intitulé « Nouvelles libertés et nouvelles protections pour les entreprises et les actifs », révèle une redoutable cohérence.
    Au prétexte de valoriser la négociation collective, de donner plus de souplesse aux entreprises et d’apporter de « nouvelles protections » aux salariés, il répond en réalité à trois exigences constantes du MEDEF : augmenter la durée du travail, baisser les salaires et faciliter les licenciements.
    Les moyens d’y parvenir sont une atteinte frontale à la hiérarchie des normes, l’organisation d’une mise à l’écart du juge, et un contournement des organisations syndicales, suspectés (à juste titre) d’être des obstacles à cette précarisation programmée.
    Au demeurant, ce projet de loi, loin de le simplifier, complexifie considérablement le code du travail.

    PATRICK KANNER

    Libé - L’impasse du communautarisme Par Alain Duhamel

    Entre pression migratoire et montée de l’extrême droite, la France semble avoir de plus en plus de difficultés à définir une politique de l’immigration.

    L'Obs - 100 Molenbeek en France, vraiment ? Les quartiers mystère de Patrick Kanner

    En ce dimanche pascal, l’invité du Grand Rendez-Vous sur Europe 1 a dérogé à son habituelle onctuosité. Pressé à quatre reprises par la journaliste du "Monde" Françoise Fressoz, qui lui demandait combien il y avait de Molenbeek en France, Kanner a fini par évoquer "une centaine de villes, qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé" dans la cité belge.

    Le Point - Kanner et les "Molenbeek" en France : Valls en partie d'accord

    Le Premier ministre estime qu'"une centaine" de quartiers français présentent des "similitudes" avec le quartier bruxellois réputé être un fief djihadiste.

    FranceTVinfo - Des "Molenbeek" en France ? Cambadélis critique vertement Kanner

    Les propos de Patrick Kanner agitent la gauche. Alors que le ministre socialiste de la Ville a estimé, dimanche 27 mars, qu'"une centaine de quartiers en France" présentaient "des similitudes potentielles avec Molenbeek", commune bruxelloise à la réputation de fief jihadiste, plusieurs ténors du PS lui ont sèchement répondu.

    RTL - "Molenbeek en France" : "Patrick Kanner a eu le mérite de dire les choses telles qu'elles sont", assure François Pupponi

    Une semaine après les attentats de Bruxelles du 22 mars, Patrick Kanner, le ministre de la Ville, a estimé qu'il y avait une centaine de quartiers en France qui ont des "similitudes" avec Molenbeek. Au micro de RTL, François Pupponi, député-maire de Sarcelles (Seine-Saint-Denis) a donné raison au membre du gouvernement de Manuel Valls. "Oui ils ont raison. Ils décrivent une situation, ils décrivent surtout un risque. On s’aperçoit qu'il y a en France des quartiers où les choses peuvent se passer de la même manière."

    Causeur - Honneur à Patrick Kanner! D’avoir osé parler des «Molenbeek français»

    Monsieur Patrick Kanner, l’actuel ministre de la Ville, vient d’apporter un magnifique démenti au livre d’Élisabeth Lévy, La Gauche contre le réel. Il reconnaît qu’il y a en France « une centaine de quartiers » qui présentent « des similitudes potentielles avec Molenbeek ». Et ce ministre fait partie d’un gouvernement de gauche. Cela nous confirme qu’il y a dans ce gouvernement des gens capables de retirer les œillères de la gauche bien-pensante.

    PRIMAIRE

    Libé - Accords et désaccords sur la primaire à gauche

    Si le «peuple de gauche» semble séduit par l'idée d'une primaire, l'organisation de ce scrutin est loin d'être acquise en raison de différends entre le PS et les autres partis, notamment les Verts et le PCF.

    France Info - Une primaire de gauche début décembre

    Les frondeurs du PS, les écologistes et les communistes visent la première quinzaine de décembre pour organiser leur primaire avec ou sans le Parti socialiste.

    "La primaire est à portée de main", se réjouit le député socialiste de la Nièvre, Christian Paul. Le chef de file des frondeurs a convenu d’une date avec ses amis d’Europe écologie-Les Verts (EELV) et du Parti communiste français (PCF) "la première quinzaine de décembre, c’est la date idéale".

    L'Obs - "Merci pour ce changement", le réquisitoire de Lienemann contre Hollande

    Sénatrice PS de Paris, à l'aile gauche du parti, Marie-Noëlle Lienemann publie aux Editions du Moment, un brûlot contre la politique menée par Hollande depuis 2012. "L'Obs" en publie quelques extraits.

    Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice de Paris et classée à gauche du Parti socialiste, publie le 31 mars un livre réquisitoire contre François Hollande, Merci pour ce changement ! (Editions du Moment), dans lequel elle demande que son parti organise des primaires pour désigner son candidat à la présidentielle. Elle s’y porte d’ores et déjà candidate.
     

    Dans l'hypothèse d'une candidature d'Alain Juppé à la présidentielle, le chef de l'État ne recueillerait que 14 % d'intentions de vote.

    LAICITE

    Yahoo Actualités - Polémique sur les vêtements islamiques développés par des marques occidentales

    Les marques occidentales peuvent-elles développer des vêtements islamiques ? Le débat a enflammé les esprits mercredi, la ministre des Droits des femmes qualifiant d'"irresponsable" cette stratégie, tandis que des musulmans jugeaient "stigmatisante" cette polémique, commentée jusque dans les milieux de la mode.

    Marianne- Après sa conférence à Bordeaux, Tariq Ramadan se pose une nouvelle fois en victime

    Très décrié en France pour ses propos ambiguës sur les juifs, les homosexuels ou sur ses positions concernant la laïcité, le théologien et idéologue Tariq Ramadan donnait une conférence à Bordeaux samedi 26 mars, malgré les protestations du maire Alain Juppé. Il en a une nouvelle fois profité pour se plaindre d'être "diabolisé".

    Ikhwan Info - Tariq Ramadan fait enfin son « coming out »

    Tariq Ramadan reconnait avoir rejoint l’Union mondiale des savants musulmans (UMSM)*.  Une organisation sur la liste des organisations terroristes des Emirats Arabes Unis. L’Union mondiale des savants musulmans est dirigé par le sulfureux théologien des Frères Musulmans : Youssef Al Qaradawi.

    L'homme, recherché par Interpol, est un « savant » antisémite, homophobe, auteur d’une fatwa autorisant à mener des attentats suicide. Une fatwa que l'on retrouve sur plusieurs sites du Hamas. Youssef Al Qaradawi a aussi réclamé la destruction de mausolées chiites et  justifié l'assassinat de personnalités comme Mouammar Kadhafi  et Saïd Ramadan Al Boutih. 

    ESPAGNE

    Libé - Espagne : socialistes et Podemos renouent les négociations pour former un gouvernement

    Les socialistes et Podemos (gauche radicale) ont annoncé mercredi à Madrid la reprise de négociations en vue de former un gouvernement qui chasserait la droite du pouvoir en Espagne, alors qu’ils n’ont plus que quelques semaines pour éviter de nouvelles élections.

    DECHEANCE DE NATIONALITE

    Libé - Abandon de la déchéance: «Hollande, c’est l’amateurisme et le chaos»

    Alors que François Hollande et ses soutiens socialistes attribuent à «une partie de l'opposition» l'abandon de la révision de la constitution, le parti Les Républicains leur renvoie la responsabilité de cet «échec». D'autres en revanche se félicitent de cette décision

    Le Figaro - Déchéance de nationalité : un abandon en six actes

    François Hollande a annoncé mercredi qu'il renonçait à intégrer la déchéance de nationalité dans la Constitution. Retour en six dates sur le parcours de ce texte controversé, véritable serpent de mer de l'exécutif.

    Le Figaro - Déchéance de nationalité : amère victoire pour la gauche radicale

    Frondeurs du PS, écologistes et Front de gauche, opposés à la déchéance de nationalité, imputent l'échec de la révision constitutionnelle à François Hollande.

    Libé - Cambadélis : «Nous présentons nos excuses aux Français»

    Mercredi, le premier secrétaire du PS a accusé la droite de ne pas avoir rendu possible la révision constitutionnelle. Une décision qui donne le sourire aux frondeurs.

  • L'actualité des socialistes du 18 au 24 mars

    LAICITE

    Le Monde - «La loi El Khomri modifie au profit du salarié l’exercice de la liberté religieuse dans l’entreprise» Par Lionel Honoré

    Ce n’est pas encore un des éléments les plus discutés ou contestés, mais le projet de loi réformant le code du travail comporte une proposition concernant les questions du fait religieux au travail et de sa prise en compte. Jusqu’à présent les seuls repères dont disposaient les différents acteurs concernés, notamment les entreprises, étaient les recommandations de la Halde, une jurisprudence qui a du mal à se stabiliser, et les déjà nombreux rapports rédigés sur le sujet.

    Metro - Laïcité : 5 choses à savoir sur le "Printemps républicain"

    MODE D’EMPLOI - Un nouveau mouvement baptisé "Printemps républicain" et animé par des personnalités classées à gauche a tenu son rassemblement inaugural dimanche à Paris. Dans ses rangs, des partisans d’une laïcité plus affirmée face aux extrémismes, notamment islamiste. A peine né, ce mouvement est déjà au cœur de polémiques. On fait le point.

    Libé - Au lancement du «Printemps républicain» : «N'ayez pas peur du mot "islamophobe"»

    Les tenants d'une ligne ferme en matière de laïcité à gauche ont lancé leur mouvement dimanche à Paris. De Richard Malka à Gilles Kepel, de Fadela Amara à Fleur Pellerin, ils étaient quelque 500 élus, journalistes, intellectuels, voire ex-ministres dans la salle surchauffée de la Bellevilloise.

    Causeur - Mon Printemps républicain

    La gauche du réel, j’aime ça. Philippe Cohen l’aurait aimée aussi.

    Dimanche, à La Bellevilloise, avec la gauche républicaine joyeuse, bienveillante, et excédée rassemblée autour de Laurent Bouvet et d’une jeune garde fantaisiste et talentueuse, je me suis sentie en famille.

    Atlantico - Thomas Guénolé : "Une partie de l’antiracisme (...) est devenue raciste. Je parle de vous Madame Bouteldja…"

    Vendredi dans l'émission Ce soir (ou jamais !)", le politologue Thomas Guénolé a lancé à la porte-parole du Parti des Indigènes de la République : "Vous êtes raciste, misogyne, homophobe".

    Thomas Guénolé et Houria Bouteldja étaient vendredi soir les invités de l'émission "Ce soir (ou jamais !)" sur France 2 pour échanger sur le thème "Comment réconcilier les antiracistes ?".

    Le politologue Thomas Guénolé, classé à gauche, en a profité pour dire tout le mal qu'il pensait de la porte-parole du Parti des Indigènes de la République, Houria Bouteldja.

    REFUGIES

    Bouillaud's Weblog – bloc-notes d'un politiste : Déchéance de l’Union européenne.

    Désolé d’abuser de titres similaires, mais l’accord entre l’Union européenne et la Turquie sur la gestion des réfugiés à la frontière entre la Grèce et la Turquie me parait d’une telle hypocrisie et d’une telle absence de vision géopolitique que je n’en ai pas trouvé d’autre à ce post. (Comme le lecteur peut le constater, j’ai du mal à continuer ce blog, tant les temps me paraissent s’assombrir. A quoi bon perdre son temps à analyser le malheur qui vient? Pourquoi ne pas profiter de ces derniers temps un peu heureux qui nous restent?)

    FN

    Non Fiction - Électeurs du FN, qui êtes-vous ?

    Résumé : Une analyse de géographie électorale qui montre comment se répartissent les votes FN sur le territoire national et à une échelle micro-local

    L'ouvrage d’Hervé Le Bras, Le pari du FN, a pour objectif d’analyser et de documenter la répartition géographique du vote en faveur du parti dirigé par Marine Le Pen. Le démographe et historien constate ainsi au travers d’une trentaine de cartes et d’infographies qu’il y a d'énormes disparités selon les régions et que ces différences sont relativement stables depuis la création du parti.

    Slate - Quand les commerces disparaissent, c'est le FN qui progresse, Gaël Brustier

    Une étude de l’Ifop montre que le vote en faveur du Front national est plus élevé dans les communes dont les petits commerces et les services sont absents. Une analyse qui éclaire la réalité mal connue et peu médiatisée de la France rurale contemporaine.

    EGALITE

    Observatoire des inégalités - L’égalité peut aussi être justifiée par d’autres arguments que la seule égalité

    8 mars 2016 - Si, en plus d’être une fin en soi, l’égalité est « bonne pour » atteindre certains objectifs associés à des biens communs, cela nous donne des arguments au service de l’égalité et convaincre de nouveaux alliés. Jean Gadrey, économiste, répond au point de vue de Réjane Sénac publié sur notre site.

    PRIMAIRES

    Le Monde - Marie-Noëlle Lienemann : « Je suis candidate à des primaires à gauche »

    Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice de Paris et classée à gauche du Parti socialiste, publie le 31 mars un livre réquisitoire contre François Hollande, Merci pour ce changement ! (Editions du Moment), dans lequel elle demande que son parti organise des primaires pour désigner son candidat à la présidentielle. Elle s’y porte d’ores et déjà candidate.

    Atlantico - Benoît Hamon - Arnaud Montebourg : vers une alliance des deux têtes d'affiche de la gauche du PS... ou une guerre fratricide ?

    Alors que Benoît Hamon a indiqué ce lundi être prêt à participer à une éventuelle primaire de la gauche en vue de la présidentielle de 2017, sa proximité idéologique avec Arnaud Montebourg, autre figure de la gauche du Parti socialiste, ouvre la voie à une possible rivalité entre les deux.

    LOI TRAVAIL

    Boursorama - 35 heures, CDD, heures sup : le contre-projet de loi travail des frondeurs du PS

    Neuf députés et sénateurs "frondeurs" du PS ont auditionné les syndicats contestataires "CGT, FO, Unef et UNL" et mobilisé "une task force de parlementaires et d'experts en droit du travail" pour rédiger une proposition de 12 pages pour réformer le droit du travail.

    Les auteurs réclament le retrait du projet de loi El Khomri, présenté ce jeudi 24 mars en Conseil des ministres, car il "repose de façon assumée sur une philosophie libérale et régressive". Ils rejettent les modifications apportées par le gouvernement lundi 14 mars de demandent l'écriture d'une nouvelle loi, "plus ambitieuse".

    Challenges - Christophe Sirugue, le député qui fait peur à Pierre Gattaz

    Le député PS de Saône-et-Loire compte bien imprimer sa marque sur la loi Travail. Il veut préciser la réforme du licenciement économique et ajouter des mesures pro-PME.

    Slate - La loi Travail, le contre-exemple d’une concertation bien menée, Gilles Bridier

    François Hollande voulait réformer sur la base de la concertation. Avec le projet de loi Travail, la négociation a eu lieu après la présentation du projet et la menace par Manuel Valls d’un vote bloqué. Tout le contraire.

    François Hollande, à son arrivée à l’Élysée, voulait construire un mode de gouvernance sur la base de la concertation, quitte à prendre un peu plus de temps pour avancer sur les réformes nécessaires. Mais s’agissant de la loi Travail, alors que beaucoup de temps s’est écoulé depuis le début de son mandat, tout se passe comme si la méthode avait été appliquée à l’envers: avec une concertation après la présentation du projet de texte de loi.

    ACTUALITES
     
     
    Contribuable négligent, l’éphémère secrétaire d’Etat PS affronte l’opprobre social, répare sa personnalité clivée et se rêve réélu.
     
     
    À plus d'un an des élections législatives, la défiance suscitée par les orientations de Manuel Valls amène certains responsables du PS parisien à vouloir concurrencer ses proches.
     
     
    L'ancien ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg, a regretté mercredi une certaine "désinvolture" française vis-à-vis de l'industrie, affirmant qu'on a "toujours en France préféré le système financier" à l'économie réelle.

    L'Obs - Hamon (PS): la France est devenue un "nain politique en Europe"

    L'ex-ministre PS Benoît Hamon a estimé lundi sur France Inter que la France était "devenue un nain politique en Europe", après l'accord intervenu avec la Turquie sur l'accueil des réfugiés.

    Le Figaro - 2017 : des proches de Valls se détournent d'une candidature de Hollande

    Deux députés socialistes ne cachent plus leur pessimisme quant au succès d'une nouvelle candidature de François Hollande et exhortent Manuel Valls à se présenter si le Président renonce...

    Public Sénat - Attentats de Bruxelles : recueillement au Sénat et polémique après le tweet de Le Roux

    Les sénateurs apportent leur soutien à la Belgique, endeuillée à son tour par une série d’attentats. Alors que le Sénat s’apprête à voter solennellement la révision constitutionnelle, la droite sénatoriale a vivement réagi à la polémique lancée sur Twitter par le patron des députés PS, Bruno Le Roux.

    L'Opinion - Michèle Delaunay veut mettre à jour les « stratégies d’influence » des cigarettiers

    Un décret et un arrêté ont été publiés ce mardi au Journal officiel visant à détailler le calendrier d’application du paquet neutre de cigarettes et de tabac à rouler en France, mesure votée dans la loi de santé du 26 janvier. Les fabricants auront jusqu’au 20 novembre 2016 pour écouler leurs stocks d’anciens paquets, de façon à ce que le paquet neutre soit le seul disponible à la vente en France au 1er janvier 2017.

    Le Point - Le PS marseillais s'enfonce dans une nouvelle crise

    Échecs électoraux, "système Guérini", règlements de comptes... Depuis cinq ans, le PS des Bouches-du-Rhône n'en finit plus de sombrer.

    Le Point - Chansons francophones à la radio : l'assouplissement des quotas voté par les députés

    La mesure qui vise à éviter que les mêmes tubes tournent en boucle sur les ondes est maintenue. Un dispositif jugé "liberticide" par les radios privées.