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françois hollande - Page 3

  • L'actualité des socialistes du 17 au 23 juin (mise à jour)

    A la une

    Les Echos - Le Roux (PS) prône une grande réforme fiscale

    Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, prône la réalisation en 2015 de la grande réforme fiscale promise par François Hollande pendant sa campagne électorale et sur laquelle règne selon lui le "silence".

    22 et 23 juin

    Libé - Conférence sociale : Acte II, scène 2, emploi et retraites

    Ayrault a confirmé vendredi le calendrier de la réforme des retraites, avec un projet de texte en septembre, sans détailler les pistes qui seront suivies pour combler le déficit de la branche vieillesse.

    La deuxième conférence sociale de l’ère Hollande s’achève vendredi, avec une feuille de route concentrée sur l’emploi et l’épineux dossier des retraites, sujet qui a donné lieu à des échanges très vifs entre syndicats et patronat.

    Lui Président - 7-21 juin : L’arrivée de l’été, échéance de nombreuses promesses de Francois HollandeShare

    Tous les quinze jours, Lui Président fait le point sur la mise en oeuvre des promesses électorales annoncées par François Hollande. Alors que le sud-ouest du pays est en proie à de violentes inondations, bousculant l’agenda du président de la République et de nombreux ministres, un grand nombre de promesses devant être tenues “avant l’été” arrivent à échéance avec la fin du printemps.

    Libé - Hollande maintient sa «volonté» d'une baisse du chômage

    Malgré les prévisions de l'Insee qui prévoit une augmentation du nombre de demandeurs d'emplois, le président soulignait ce matin au Bourget la différence entre «la prévision et la volonté».  François Hollande a maintenu vendredi matin sa «volonté» de parvenir à une baisse du chômage «à la fin de l’année» bien que l’Insee prévoit que celui-ci va continuer à augmenter jusqu’en décembre.

    Le Nouvel Obs - Emploi, retraites... Hollande tente de faire passer l'addition

    Lors des deux jours de la conférence sociale, le chef de l'Etat a refusé le statu quo revendiqué par la CGT et FO et renvoie le Medef dans ses buts. Décryptage.

    Big Browser - MODESTIE – La député PS Karine Berger vante son « influence » et devient la risée d’Internet

    La députée PS des Hautes-Alpes, Karine Berger, manquerait-elle de modestie ? Les internautes, eux, n'en doutent pas. Vendredi, cette jeune élue en pleine ascension est devenue la source d'une vaste série de tweets moquant son manque d'humilité. Au point de faire partie du top 10 des sujets les plus discutés sur le réseau social.

    Libé - Le PS a un petit souci de calendrier européen

    COULISSES A Solférino, certains s’inquiètent de l’absence de dates pour les investitures et le choix des sept têtes de listes aux élections européennes de 2014.

    21 juin

    Le Monde - Conférence sociale : le discours de Hollande ne fait pas l'unanimité

    Le discours de François Hollande a suscité des avis contradictoires. Laurence Parisot, la présidente du Medef, après avoir vivement applaudi le discours de François Hollande, a estimé que celui-ci était "très encourageant". Le Medef s'est notamment félicité que le président ait remis à l'ordre du jour le sujet du financement de la protection sociale, et donc du coût du travail, même si la formulation du chef de l'Etat est restée très floue sur ce point.

    Le Monde - L'Elysée prépare un plan d'urgence pour résorber le stock d'emplois non pourvus

    A l'heure où le chômage ne cesse d'augmenter, l'exécutif semble avoir une nouvelle marotte pour tenter d'inverser la tendance : les offres d'emploi non pourvues. Le but ? "Faire en sorte que 100 000 offres trouvent par tous moyens une réponse", avait expliqué François Hollande lors de l'émission "Capital" sur M6, dimanche 16 juin. Dans son discours d'ouverture de la deuxième conférence sociale de son quinquennat, jeudi 20 juin, où il a insisté sur la "bataille pour l'emploi" et la "préparation de l'avenir", le président, qui considère qu'il y a là un "enjeu de mobilisation à très court terme", a ainsi annoncé un dispositif de rapprochement entre les besoins des entreprises et les demandeurs d'emploi.

    Le Monde - A la conférence sociale, Hollande loue l'idée d'un apprentissage avec embauche à la clé

    François Hollande a ouvert, jeudi 20 juin à Paris, une "grande conférence sociale" avec les syndicats et le patronat  pour lancer notamment une réforme des retraites, réclamée par Bruxelles. Face aux 3,26 millions de chômeurs, le président de la République prêche la patience et maintient son ambition d'inverser avant la fin de l'année la courbe du chômage.

    Europe 1 - Au PS, le spectre de la machine à perdre

    La perte d’une huitième législative partielle, à Villeneuve-sur-Lot, inquiète au Parti socialiste.

    Effets collatéraux. "Si on continue comme ça, on va dans le mur". Ce cri d’alarme commence à faire tâche d’huile dans les rangs du PS. La défaite dimanche dernier, dès le premier tour de la législative partielle de Villeneuve sur-Lot, la huitième en huit législatives partielles, a des effets collatéraux sur le moral des troupes socialistes. Et les arguments avancés pour expliquer la défaite, à savoir l’effet Cahuzac et la division de la gauche, n’ont pas convaincu. A moins d’un an des municipales, certains députés PS craignent que la machine à perdre soit enclenchée.

    Le Monde - A Montpellier, le PS n'arrive pas à choisir parmi ses candidats aux municipales

    Partie remise ! Le PS n'a toujours pas son candidat pour les municipales de Montpellier. La "réunion de la dernière chance" qui a eu lieu dans la soirée du mercredi 19 juin s'est achevée... sur la décision de tenir une nouvelle réunion le 6 juillet. A priori, Hélène Mandroux, maire depuis 2004, aurait dû bénéficier d'une nouvelle investiture du PS. Mais rien n'est moins sûr. Deux hommes la lui disputent déjà : Jean-Pierre Moure, président de l'agglomération, et Philippe Saurel, adjoint à la culture.

    20 juin

    Le Nouvel Obs - EXCLUSIF. 10 députés en colère : "Abolissons nos privilèges !"

    Retraites, indemnités, conflits d'intérêts... : 10 députés réclament l'abolition de leurs avantages. A lire dans "le Nouvel Observateur", en kiosque jeudi 20 juin.
    Ce n'est qu'un début, continuons le débat ! Tandis que le Parlement accouche, non sans peine, d'une loi sur la moralisation de la vie politique, dix députés en colère s'engagent dans "le Nouvel Observateur". "Osons rénover l'Assemblée !" lancent ces élus lucides qui ont compris que les petits arrangements avec la morale républicaine n'ont que trop duré.

    Libé - Sébastien Dénaja, premier de la class action

    LES NOUVEAUX VISAGES DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE (31) Toutes les semaines, «Libération» dresse le portrait d'un des 217 primodéputés. Aujourd'hui, le député PS de la 7e circonscription de l'Hérault, 34 ans, féministe et très assidu. 

    L'Express - Pour Hamon, la dynamique du FN repose sur des "résultats qui se font attendre"

    Le ministre délégué de la Consommation commente la qualification du FN au second tour des législatives partielles en Lot-et-Garonne. Il estime que le PS ne doit "pas être dans le déni" de sa propre responsabilité.

    Le Monde - Appel des dix députés en colère : le groupe PS dénonce "une tartufferie"

    Alors que le Parlement débat du projet de loi sur la transparence de la vie publique, dix députés prennent la parole dans Le Nouvel Observateur daté du 20 juin pour formuler leurs contre-propositions. Ils appellent à "abolir leurs privilèges" et critiquent, pour certains, l'insuffisance du projet gouvernemental.

    Challenges - Ces députés qui réclament l'abolition de leurs privilèges

    Dix députés de droite et de gauche réclament l'encadrement ou l'abolition des nombreux avantages dont jouissent les élus, tandis que le Parlement accouche d'une loi de moralisation de la vie politique jugée par certains trop timorée.

    Le Nouvel Obs + - La com' d'Hollande critiquée par ses propres conseillers : un accident industriel sidérant

    LE PLUS. L'émission "Capital" de M6 à laquelle participait François Hollande, dimanche 16 juin, a réalisé un score d'audience décevant. Non seulement cette intervention n'a pas pesé sur le débat public, mais elle est aussi critiquée par certains conseillers de l'Élysée, selon les informations du "Parisien". Est-ce grave ? Analyse de notre chroniqueur politique Bruno Roger-Petit.

    19 juin

    LCP - Législative Lot-et-Garonne : le PS cherche des explications, entre "bouc émissaire" et hausse du FN

    Le Parti socialiste, qui enchaîne les défaites aux élections législatives partielles, cherchait lundi des explications à son élimination au premier tour dans le Lot-et-Garonne, entre séisme Cahuzac, désunion de la gauche pour certains, ou encore montée du FN, avec au bout du compte une finale UMP-FN dans l'ex-fief de l'ancien ministre.

    18 juin

    Le JDD - Lyon : ce sera plus dur que prévu pour Collomb

    SONDAGE - Contrairement à 2008, Gérard Collomb, maire de Lyon depuis 2001 et candidat à un troisième mandat, devra batailler en 2014. Selon l’enquête Ifop/Fiducial pour Le Journal du Dimanche, l’édile socialiste recueillerait 42% des voix au premier tour contre 32% à son challenger UMP Michel Havard. Au second tour, le PS l’emporterait avec 56% des suffrages. Retrouvez l'intégralité de ce sondage dimanche dans le JDD.

    Rue 89 - Municipales 2014 : Collomb donné gagnant… mais sans grand chelem

    Un sondage Ifop pour le JDD publié ce dimanche donne Gérard Collomb, actuel maire PS de Lyon, gagnant des prochaines élections municipales. Mais pas au premier tour et non sans avoir d’abord livré bataille contre son adversaire de droite, Michel Havard, et ses adversaires de gauche, Europe-Ecologie-Les-Verts, qu’il n’a pas (encore) réussi à convaincre de partir avec lui.

    Le Figaro - Au PS, haro sur les Verts, après la défaite de Villeneuve

    À qui la faute? Pour les socialistes, l'humiliante défaite du candidat PS dès le premier tour de la législative partielle de Villeneuve-sur-Lot incombe à la présence d'un candidat écologiste. Ce dernier a obtenu 2,78 %. Avec 23,69 %, Bernard Barral (PS) arrive derrière les candidats du FN, Étienne Bousquet-Cassagne (26,04 %), et de l'UMP, Jean-Louis Costes (28,71 %), et n'a pu se qualifier pour le second tour. «C'est une faute politique de ne pas se rassembler au premier tour quand on est ensemble et qu'on doit assumer ensemble le bilan de la majorité», s'est emporté Bruno Le Roux sur Canal +. Le patron des députés PS juge «anormal, incompréhensible et inexcusable» que «la majorité présidentielle ne soit pas rassemblée» aux élections partielles.

    Libé (abonnés) - Branle-bas de coups bas à gauche

    Récit La nouvelle débâcle électorale du PS, à la législative partielle de Villeneuve-sur-Lot dimanche, ravive les tensions entre socialistes et écologistes.Par LAURE BRETTON
    C’est la naissance de la gauche «framboise écrasée», rigole sous cape un ténor du PS. Car la législative partielle de Villeneuve-sur-Lot a ravivé la guerre entre socialistes (le rose) et écologistes (le vert du petit fruit acidulé). Chacun se rejetant la faute de l’élimination dès le premier tour du candidat socialiste qui tentait de succéder à Jérôme Cahuzac, Bernard Barral.

    Le Progrès - Municipales 2014 : Nathalie Perrin-Gilbert sera bien candidate à Lyon

    Maire socialiste du 1er arrondissement de Lyon, Nathalie Perrin-Gilbert, au sein du Gram (Groupe de réflexion et d’action pour la Métropole), a indiqué au Progrès dans une interview à paraître ce mardi, qu’elle briguera bien la tête de liste, dans son arrondissement, lors des prochaines municipales de mars 2014.

    François Hollande sur M6 : toute l'émission

    Le Figaro, Nicolas Barotte - Le président défend le rythme de ses réformes

    Selon un sondage CSA, 64 % des Français jugent le rythme des réformes trop lent. «Ce n'est pas le rythme qui est jugé trop lent, c'est le résultat qui tarde trop à apparaître» a commenté le chef de l'État, dimanche soir, sur M6.

    17 juin

    Le JDD - A Montreuil, la gauche appelle le gouvernement à "changer de cap"

    Des représentants de l’aile gauche du PS, des élus d’EELV et du Front de gauche ont participé dimanche aux "Assises citoyennes" du PCF à Montreuil. Avec pour but de déplacer plus à gauche le centre de gravité du gouvernement.

    Reuters - Hollande ne veut pas "tout remettre à plat" sur les retraites, par Yves Clarisse et Julien Ponthus

    PARIS (Reuters) - François Hollande a annoncé dimanche qu'il n'entendait pas "tout remettre à plat" lors de la réforme des retraites, se montrant particulièrement prudent sur le sort des régimes spéciaux et le rapprochement entre les secteurs public et privé.

    Le Lab Europe 1 - François Hollande fait le lien entre l'échec du PS à la législative partielle du Lot-et-Garonne et l'affaire Cahuzac

    MERCI JEROME - Invité de l'émission Capital sur M6, François Hollande a explicitement fait le lien entre la déroule électorale du Parti socialiste à Villeneuve-sur-Lot et l'affaire Cahuzac.

    La Croix - Stéphane Richard restera à la tête d'Orange, annonce Hollande

    Stéphane Richard, le patron d'Orange mis en examen dans l'affaire Tapie/Crédit Lyonnais, semble assuré de sauver sa tête, grâce au soutien de l'Etat, officialisé dimanche soir par le président de la République François Hollande.

    Le Nouvel Obs - Une majorité de Français juge que Hollande réforme trop lentement

    PARIS (Reuters) - Le rythme des réformes engagées par François Hollande pour redresser la France est jugé trop lent par 64% des Français, indique un sondage réalisé par CSA pour l'émission de télévision Capital de M6 où le président s'exprime ce dimanche soir.

    Le Point - Peillon n'a "aucune information" sur les politiques ayant un compte en Suisse

    Le ministre de l'Education nationale, Vincent Peillon a déclaré dimanche sur Canal+ n'avoir "aucune information" sur les quinze personnalités politiques françaises accusées d'avoir un compte en Suisse, bien que son frère, qui est journaliste, ait cette liste en sa possession.

    Le Figaro - Les socialistes lancent la campagne des européennes

    Invité à parler devant le Forum des progressistes européens, réunis samedi à la Mutualité à Paris, Jacques Delors a appelé l'UE à accélérer la mise en œuvre du plan de relance négocié il y a un an par François Hollande.
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  • L'actualité des socialistes du 11 au 16 mars (mise à jour)

    A la une Mediapart, Paul Alliès - Primaires: le PS a la mémoire courte

    Ce 1er mars, la direction du Parti socialiste a adressé à ses cadres et parlementaires une circulaire détaillée sur « les modalités de désignation des candidats aux élections municipales de 2014 ». Il n’y est nulle part question de l’organisation de Primaires citoyennes. Les socialistes les ont pourtant pratiquées pour les élections présidentielles les 9 et 16 octobre 2011 ; ils avaient alors jugé que leur réussite avait été essentielle dans l’élection de François Hollande le 6 mai 2012. Le débat sur l’opportunité d’en reprendre le principe en l’adaptant au scrutin municipal a donc logiquement bel et bien lieu d’être.
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    15, 16 et 17 mars

    Le JDD - Montebourg : "La hausse de l'euro ne doit pas effacer tous nos efforts"

    INTERVIEW - Le ministre du Redressement productif veut faire de la Semaine de l'industrie un grand rendez-vous. Il parle de son combat antidépressif. Extraits de l'interview à paraître demain dans le JDD. 

    Le Nouvel Obs - Affaire Cahuzac : le ministre "ne se laisse pas impressionner"

    L'enquête sur l'existence éventuelle d'un compte en Suisse de Jérôme Cahuzac a validé l'enregistrement dans lequel une voix attribuée au ministre du Budget évoque ce compte.

    Public Sénat - Hollande à Bordeaux: bain de foule, coup de pouce et décentralisation

    François Hollande a inauguré samedi le pont Jacques-Chaban-Delmas à Bordeaux, donnant à cette occasion un subtil coup de pouce au possible challenger PS...
    François Hollande a inauguré samedi le pont Jacques-Chaban-Delmas à Bordeaux, donnant à cette occasion un subtil coup de pouce au possible challenger PS d'Alain Juppé aux municipales, avant un bain de foule chaleureux et un éloge de la décentralisation.

    Libé - Refondation de l’Ecole: les grandes orientations du texte votées à l’Assemblée

    L’Assemblée nationale a voté dans la nuit de jeudi à vendredi l’article 1er du projet de loi sur la refondation de l’Ecole définissant les grandes orientations du texte et programmant la création de 60.000 postes sur le quinquennat.

    Le Monde - L'Assemblée vote l'article 1er de la loi sur l'école

    L'Assemblée nationale a voté dans la nuit de jeudi à vendredi 15 mars l'article 1er du projet de loi sur la refondation de l'école, définissant les grandes orientations du texte et programmant la création de 60 000 postes sur le quinquennat. Cet article d'une trentaine de pages, qui prend la forme d'un rapport annexé au projet de loi, présente les principaux objectifs de la politique éducative, dont des objectifs chiffrés sur l'élévation du niveau des élèves. Il programme aussi les création de postes promises par François Hollande, dont 54 000 pour le seul ministère de l'éducation nationale.

    Le Monde, Le blog de Françoise Fressoz - A l’Elysée, le pragmatisme touche ses limites

    François Hollande est un pragmatique, c’est sa marque de fabrique. Son but est de redresser la France. Il ne le perd jamais de vue mais le chemin qu’il emprunte pour l’atteindre est sinueux. Depuis qu’il est élu, il donne des gages à ses gauches qui ne sont pas raccord entre elles sur l’interprétation du monde. Cela le conduit à des rééquilibrages permanents entre le tout impôt et le trop d’impôts, l’interventionnisme forcené de son ministre du redressement productif et l’envie de donner de l’air aux entreprises.

    Le Nouvel Obs- Sondages : la longue descente en escalier de François Hollande

    Jamais président n'avait atteint aussi vite un tel niveau d'impopularité. Une chute en trois étapes, explique Brice Teinturier (Ipsos)..... Ce n'est dont pas le niveau d'impopularité de François Hollande qui est exceptionnel. C'est qu'il l'atteigne seulement 10 mois après son élection. On voit bien là la raréfaction du temps politique en période de crise. Les jugements critiques se radicalisent de plus en plus vite. C'est d'ailleurs la limite de la comparaison dans le temps long des courbes de popularité

    Libé - Sommet européen: Hollande en pointe sur la Syrie, plus discret sur son budget

    Le président François Hollande s’est livré à un coup d’éclat à Bruxelles en réclamant la levée de l’embargo sur les armes pour l’opposition syrienne, affichant en revanche un profil plus modeste sur la politique budgétaire de la France, plombée par de mauvais résultats économiques. Alors que le dossier syrien n’était pas à l’ordre du jour du sommet européen, le président français, à peine arrivé à Bruxelles, a mis le sujet sur la table, prenant de cours nombre de dirigeants de l’UE.

    Libé - Récépissés policiers : Taubira est pour

    Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls n'y est pas favorable.

    La ministre de la Justice Christiane Taubira a répété jeudi lors d’un débat avec les Jeunes Socialistes qu’elle restait favorable à la délivrance d’un récépissé après les contrôles de police, un dispositif rejeté par le ministère de l’Intérieur et Matignon. «J’annonce la couleur très clairement: moi je suis favorable à ce dispositif», a déclaré la ministre dont les propos, mis en ligne sur le site du Mouvement des jeunes socialistes, ont été visionnés vendredi par l’AFP.

    Le Lab - PS : Les proches d’Harlem Désir contre-attaquent contre Jean-Christophe Cambadélis

    Critiqués sur le manque d’audibilité du Parti socialiste, le premier secrétaire du parti à la rose, Harlem Désir, et ses proches contre-attaquent.
    >> Dans le viseur : Jean-Christophe Cambadélis

    Alors qu’il ne cesse de dézinguer à tout-va et de fustiger la mise en retrait du PS dans le dispositif de François Hollande, Jean-Christophe Cambadélis, qui d’après Le Figaro "se réjouit secrètement des déboires du premier secrétaire", est la cible privilégiée de ceux qui défendent Harlem Désir.

    Le Figaro - Cambadélis, le «sniper» du PS

    Le député de Paris accentue ses critiques contre le Parti socialiste d'Harlem Désir. Sa petite musique critique fut d'abord jouée en sourdine. Mais Jean-Christophe Cambadélis a décidé de monter le son, alors que François Hollande et Jean-Marc Ayrault n'en finissent pas de chuter dans les sondages. Lundi, sur Canal +, le député PS de Paris s'est montré d'une grande sévérité avec le Parti socialiste d'Harlem Désir: «pas à la hauteur».

    Le Monde - Candidatures à Paris : voie dégagée pour Hidalgo, moins pour NKM

    ..... La nouvelle est tombée vendredi 15 mars. Jean-Marie Le Guen, le député de Paris qui lorgnait sur la mairie depuis des années, renonce à se présenter. Il l'a annoncé sur Canal+ : "J'ai décidé de soutenir Anne Hidalgo."

    Lyon Capitale - Scandale des logements vacants : l'adjointe au maire de Lyon à la peine sur France 2

    C’est un véritable scandale que Lyon Capitale révélait il y a quelques mois dans une enquête sur les logements vacants des instituteurs à Lyon. Une enquête reprise par Envoyé spécial dans son émission du 14 mars. Interrogée par l’équipe de France 2, l’adjointe au maire de Lyon Nicole Gay ne réussit pas à convaincre.

    Lyon Capitale - Sytral, Ville de Lyon, département, eurométropole... C’est qui le patron des bus ?

    Michel Mercier, Gérard Collomb et François Hollande nous ont bien fait rêver avec l'“eurométropole”. L’espace de quelques semaines, on a vraiment cru en leur volonté de simplifier le millefeuille de la démocratie locale..

    Libé Lyon - Le Medef du Rhône soutient le projet de faire de Lyon une métropole européenne

    .... Et les patrons, eux, qu'en disent-ils? Les dirigeants locaux du Medef ont de la chance. Alors que Gérard Collomb avance à marche forcée sur ce projet, et dans une grande opacité, ils ont eu droit - avec d'autres représentants du monde de l'entreprise membres du réseau "Grand Lyon, l'Esprit d'Entreprise" -, à un briefing spécial de Benoît Quignon, le directeur général de la communauté urbaine.

    FranceTVinfo - Au PS, l'action d'Harlem Désir de plus en plus contestée

    Un peu moins de cinq mois après son élection à la tête du Parti socialiste, voilà déjà Harlem Désir contraint de rendre des comptes à ses camarades. En cause : des critiques, de plus en plus nombreuses, venues d'élus et de responsables du PS. Signataire d'une motion qui a réuni 5% des voix au congrès de Toulouse en octobre, Gaëtan Gorce a le premier ouvert le feu, jugeant "catastrophique" et "contre-productive" l'action du Parti socialiste, dans une interview au Figaro (article payant). "Le premier secrétaire est en permanence à contretemps : il n'est pas là quand nous en aurions besoin et inversement", tacle le sénateur de la Nièvre.

    14 mars

    Le Nouvel Obs - Dijon : dans les coulisses de la visite présidentielle

    VIDEO. Présent pendant deux jours à Dijon, Sylvain Courage nous raconte l'envers du décor d'une visite mouvementée. "Elles sont où les promesses ?" crie un syndicaliste au passage du président de la République dans un quartier de Dijon. Cette scène, vous l'avez sûrement vue à la télévision, mais savez-vous que les journalistes des grandes chaînes ont eu le droit à un recadrage de la part du staff de communication de l'Elysée ?

    Le Monde (blog) - Hollande cherche son salut dans le mouvement

    Vite ! Vite ! Le temps presse. François Hollande accélère. On ne le voit pas courir comme le faisait son prédécesseur mais il presse le pas. Il va recourir aux ordonnances pour lever certains blocages et tenter de relancer l'activité.

    Le Monde - Ordonnances : Hollande joue la carte de l'accélération législative

    L'heure est donc à se hâter. L'exécutif a annoncé qu'il pourrait recourir à des "ordonnances" pour accélérer la prise de décision dans certains domaines. Cette annonce fait écho aux propos de François Hollande lors de son discours du mardi 12 mars, à Dijon : "Chaque fois que l'administration, l'Etat, pourra donner plus tôt une autorisation, lever une procédure qui est inutile, alléger une contrainte, on gagnera en croissance."

    Le Monde - Réforme constitutionnelle : ce qu'a retenu l'exécutif, ce qu'il a écarté

    Ce sera la vingt-cinquième révision de la Constitution de la Ve République depuis 1958. Mais, au lieu d'un seul et même projet, ces modifications sont portées par quatre textes séparés. "Pour des raisons de cohérence et d'unité de chacun d'entre eux, indique-t-on à l'Elysée. Et pour offrir à chacun de ces projets de loi le plus de chances possible d'être adopté." En effet, sur certains dossiers, l'exécutif estime ne pas pouvoir réunir la majorité des 3/5 du Parlement, nécessaire à l'adoption de ces réformes.

    L'Express - PS: le match des grandes gueules

    Les missiles fusent au sein de la famille socialiste. L'Express arbitre le match entre Gérard Collomb, Jean-Christophe Cambadélis, François Rebsamen et l'aile gauche emmenée par Jérôme Guedj, Marie-Noëlle Lienemann et Emmanuel Maurel. 

    Libé (abonnés) - Michel Pezet veut mettre Marseille sous tutelle Par OLIVIER BERTRAND

    Michel Pezet, ancien président socialiste de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca), a demandé hier officiellement la «mise sous tutelle nationale» de la fédération PS des Bouches-du-Rhône. Après avoir appris dans Libération la convocation d’un conseil fédéral demain soir - le premier depuis le dernier congrès du PS à Toulouse

    La Gazette des communes - « Il faut trouver des financements complémentaires pour l’aide aux victimes » – Nathalie Nieson, députée (PS) de la Drôme

    Dans un entretien au Club prévention sécurité, la députée socialiste Nathalie Nieson, récemment chargée d’une mission auprès de la ministre de la Justice sur le financement des associations d’aide aux victimes, estime que l’Etat doit dégager de nouvelles ressources pour soutenir cette politique et entraîner les collectivités à sa suite.

    Le Lab - Harlem Désir cherche le nouveau directeur de la communication du PS par petite annonce. Salaire annoncé : 70k€ annuels

    PETITE ANNONCE - Diriger trois services, accompagner la "direction politique" dans ses "choix stratégiques" en matière de communication, être au "contact" avec les conseillers en communication des ministères

    Le Nouvel Obs - Pour Rebsamen, Ayrault devrait "virer" un ministre pour l'exemple

    Le président des sénateurs PS, François Rebsamen, a reconnu mercredi avoir conseillé à Jean-Marc Ayrault de "virer" un ministre pour l'exemple. Invité de "Questions d'Info" LCP/FranceInfo/LeMonde/AFP, M. Rebsamen était questionné sur des informations du Canard Enchaîné selon lesquelles il aurait conseillé au chef du gouvernement "de virer un ministre, n'importe lequel". "Mais au moins, fais un exemple . Tous les jours, il y a des annonces prématurées, et même contradictoires. Là, ils s'arrêteront", avait dit M. Rebsamen le 5 mars, selon l'hebdomadaire satirique.

    Le Figaro - Les hommes de Hollande veulent un PS plus offensif

    Les fidèles du chef de l'État, qui ont contribué à imposer Harlem Désir à la tête du PS, s'inquiètent du décalage entre le parti et le gouvernement. Côté face, l'opération reconquête, tentée par François Hollande. Côté pile, celle que mènent en coulisses les hommes du président, ceux que l'on appelle les «hollandais». Leur objectif: reprendre la main sur le Parti socialiste, jugé trop discret ou à contre-emploi. Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, chef de file du clan, a rencontré le premier secrétaire Harlem Désir lundi matin, rue de Solferino.

    13 mars

    Le Monde (blog) - A Dijon, Hollande la tortue se rêve en lièvre

    A qui pensait François Hollande lorsqu'il a lancé mardi 12 mars après midi à Dijon : "Le premier blocage, c'est la lenteur à laquelle trop de monde s'habitue partout" ? Compte tenu de son sens de l'humour avéré, on ne peut exclure que le chef de l'Etat pensait à lui-même. Car la principale critique qui le concerne aujourd'hui ne porte pas sur la politique qu'il conduit mais sur le rythme auquel il la mène.

    Libé - Hollande : «Tous ceux qui veulent m'interpeller peuvent le faire»

    En visite dans une usine de pansements dijonnaise, le président de la République a dit vouloir une «culture du dialogue et non du conflit». François Hollande a estimé mardi que «tous ceux qui veulent» l'«interpeller peuvent le faire», au lendemain d’une visite dans un quartier populaire de Dijon, où il a été pris à partie par des habitants.

    Libé - Pascal Popelin, le cumul assumé

    LES NOUVEAUX VISAGES DE L'ASSEMBLÉE (20) Toutes les semaines, Libération dresse le portrait d'un des 217 primodéputés. Aujourd'hui, le tombeur d'Eric Raoult en Seine-Saint-Denis, un socialiste très remonté contre le projet de loi interdisant le cumul des mandats.

    Libé - Non-cumul des mandats: «rien n’est arbitré», selon Vidalies

    Le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a dit mardi lors de l’émission Preuves par trois (AFP/Public Sénat) que «rien n’est arbitré aujourd’hui» sur la date d’application du non-cumul des mandats.

    Le Nouvel Obs - Ecole: la droite à l'offensive contre le projet Peillon, le PS fait front

    La droite est partie mardi à l'assaut à l'Assemblée contre le projet de loi pour la refondation de l'école, qu'elle estime "idéologique" et "bavard", face à des socialistes satisfaits d'une "rupture" de politique, toutefois jugée insuffisante par le Front de Gauche. Cette offensive contre le texte du ministre de l'Education nationale Vincent Peillon, déjà vive lors de la séance des questions au gouvernement, s'est concentrée dans la soirée sur son article 1er.

    Libé - Nicolas Sarkozy préféré à François Hollande, un renversement de tendance

    Les Français préfèrent Nicolas Sarkozy à François Hollande, et Jean-Marc Ayrault à Martine Aubry, selon un sondage Ifop pour Paris Match publié mardi.

    Paris Match - Sondage. Sarkozy préféré des Français

    Pour notre enquête mensuelle exclusive Paris Match Ifop sur le classement des personnalités politiques, Manuel Valls, Christine Lagarde et Bertrand Delanoë forment le trio de tête. Dans les duels, Sarkozy l'emporte sur Hollande.

    Libé (abonnés) - A Dijon, François Hollande renonce aux effets d’annonce

    Analyse Le Président a achevé, hier, sa visite de deux jours en Bourgogne, en essayant d’imprimer sa marque et en martelant son message Par Lilian Alemagna Envoyé spécial à Dijon
    «Pour s’en sortir, il faut que tout le monde se bouge. L’Etat compris.» Quelques minutes après le discours de François Hollande «aux forces vives de la nation» sous les peintures de la salle des Etats de la mairie de Dijon, un conseiller du président de la République peaufine le service après-vente de l’intervention du chef de l’Etat : «Il a remis de l’articulation entre des sujets traités de manière isolée.»

    Libé - Fabius veut une mission de paix de l'ONU au Mali

    Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a annoncé mardi le vote «probablement» en avril d’une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU sur une opération de maintien de la paix (OMP) au Mali, pour une mise en place en juin. «Nous allons passer du cadre actuel (...) à un nouveau dispositif diplomatique, une opération de maintien de la paix, qui devrait probablement être votée au mois d’avril et appliquée deux mois plus tard, et qui sera chapeautée par l’ONU et financée par les Nations unies», a déclaré M. Fabius devant la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.

    Le Monde - Les mises en garde de Gérard Collomb à François Hollande

    Sur la longue table en verre fumé autour de laquelle il reçoit dans son bureau de l'hôtel de ville de Lyon, Gérard Collomb a posé un unique ouvrage à la couverture rouge pétante sur laquelle est écrit en lettres blanches Et si la France s'éveillait... L'élu socialiste a publié ce livre en mars 2011 chez Plon, soit un peu plus d'un an avant la présidentielle qui a vu la victoire de François Hollande.

    TV 5 Monde - Procès Andrieux: Vauzelle intransigeant envers l'élue pour "l'honneur" de la région Paca

    MARSEILLE (AFP) - 12.03.2013 18:23 - Par Laure BRUMONT
    Le président socialiste de la région Paca, Michel Vauzelle, venu mardi "défendre l'honneur" d'une institution mise à mal par les agissements présumés de la députée PS Sylvie Andrieux, jugée à Marseille pour détournement de fonds publics, a voulu paraître intransigeant envers l'élue.

    France Info - Hollande interpellé par un protestataire à Dijon : "Ce n'est pas là-dessus qu'il faut faire l'actualité"

    Les voitures patinent, les trains s'arrêtent, et rien, pas un mot. Ce qui fait causer c'est une autre image, une de celles qui peuvent tout gâcher, ruiner une opération de communication parfaitement préparée. Celle d'un homme qui crie au passage de François Hollande à Dijon et qui est évacué par le service de protection du président de la République.

    Mediapart - François Hollande chahuté à Dijon par des Français mécontents

    Hollande accusé de faire "la politique du patronat"

    En chute libre dans les sondages, critiqué par la droite mais également par sa propre famille politique et ses anciens "alliés" du second tour de la présidentielle, François Hollande voulait faire de la pédagogie auprès des Français. Pour sa première visite, le président de la République avait choisi la Cote d'Or, et plus spécialement Dijon, où il a passsé la journée de lundi en compagnie de l'un de ses fidèles lieutenants, François Rebsamen, député-maire de la capitale mondiale de la moutarde.

    Libé (abonnés) - «Il est où le président de tous les Français ?»

    Reportage François Hollande, dont la cote chute, a entamé hier un déplacement à Dijon. Par LILIAN ALEMAGNA Envoyé spécial à Dijon
    Les enfants ont décidément un peu de mal avec le changement de président : «Nicolas Sark… euh, François Hollande ! Reste ici !» Après la petite fille du salon de l’Agriculture qui lui demandait, il y a deux semaines,«Il est où Sarkozy ?», c’était au tour d’un gosse d’à peine 10 ans, suspendu la tête en bas le long d’un mur d’escalade d’interpeller hier le chef de l’Etat avec le nom de son prédécesseur.

    La Tribune - Bonus-malus sur l'énergie: le Parlement a finalement adopté définitivement la proposition de loi

    Le Parlement a adopté définitivement dans la nuit de lundi à mardi la proposition de loi PS instaurant un bonus-malus sur la facture d'énergie, après un chemin long et semé d'embûches.

    France 24 - Hollande à Dijon, un "moment de bonheur" selon le maire François Rebsamen

    François Rebsamen, sénateur-maire PS de Dijon et proche de François Hollande, a assuré mardi que la visite de François Hollande dans sa ville était "un vrai moment de bonheur" en dépit de quelques "olibrius".

    Le JDD - Comment le PS compte limiter les dégâts Les socialistes, qui gèrent deux tiers des cent plus grandes villes de France, espèrent franchir l'obstacle électoral avec un minimum de pertes..... Certes, dans les radars du PS, les villes gagnables sont rares. Et pour cause, la gauche détient déjà deux tiers des 100 plus grandes communes françaises. Il faut donc d'abord conserver l'existant. Quelques villes inquiètent (voir carte ci-dessous), mais pas Strasbourg et Toulouse, que la droite convoite. Les espoirs de conquêtes sont plus minces (voir carte). Pour Bordeaux, Vincent Feltesse continue d'y croire, un peu seul. Le futur candidat ne verrait pas d'un mauvais œil une primaire dans cette ville, ce que n'exclut pas le PS.

    12 mars

    Le Monde - A Dijon : "M. Hollande, elles sont où vos promesses ?"

    Ce n'est pas exactement le scénario qu'il espérait. François Hollande, en déplacement deux jours à Dijon pour renouer avec le terrain, a été interpellé dès son arrivée dans le quartier populaire des Grésilles, par des personnes mécontentes de sa politique.

    Le Monde - Hollande 48 heures à Dijon : un air de Mitterrand et de Chirac

    Dans l'esprit de François Hollande, Nicolas Sarkozy menait ses déplacements en province au pas de charge et lui préfère montrer qu'il prend son temps. Mais s'il espère rompre avec son prédécesseur, le président de la République, en organisant à Dijon un déplacement de deux jours, lundi 11 et mardi 12 mars, renoue avec une méthode testée par Jacques Chirac et même avant lui François Mitterrand.

    Libé - Hollande veut une France qui «gagne»

    Le président de la République, en déplacement à Dijon, a rappelé que sa priorité était d'inverser la courbe du chômage. François Hollande a lancé lundi à Dijon un «appel à la mobilisation», réaffirmant son objectif «d’inverser la courbe du chômage» à la fin de l’année et proclamant sur un ton volontariste la capacité de la France à «gagner», à «réussir».

    Libé - Désir : «La France paye la facture laissée par la droite»

    Le premier secrétaire du PS accuse tous les leaders de l'UMP d'être «coresponsables» du surendettement du pays. Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a affirmé lundi que tous les leaders de l’UMP étaient «coresponsables» du surendettement de la France et de sa désindustrialisation.

    La gazette des communes - Rythmes scolaires: la municipalité PS de Strasbourg s’oriente vers une application en 2014

    Le maire (PS) de Strasbourg Roland Ries a publiquement laissé entendre qu'il allait repousser à la rentrée 2014 l'instauration de la semaine de quatre jours et demi dans les écoles de sa ville, selon des propos rapportés dimanche 10 mars 2013 par les Dernières Nouvelles d'Alsace.

    PS - Point-presse hebdomadaire du lundi 11 mars 2013 — Le porte-parole du PS, David Assouline, a évoqué la loi sur la refondation de l'école, qui sera présentée à l'Assemblée nationale ce lundi, et a annoncé le lancement d'un nouveau tract du Parti socialiste en soutien au gouvernement, évoqué le déplacement d'Harlem Désir au Mali et au Niger, et rappelé le lourd passif de l'UMP.

    11 mars

    Le Figaro - Ayrault, Désir, aile gauche : les failles du dispositif hollandais

    Déjà à la peine dans les sondages d'opinion, François Hollande doit composer avec des difficultés au sein de sa majorité.

    • Le doute Ayrault

    Y a-t-il un problème Ayrault? Cette petite musique, mise en sourdine depuis janvier, revient. À la rentrée, le premier ministre avait retrouvé de l'oxygène. Chef d'équipe, il avait convié ses ministres à un séminaire cathartique à Matignon, où chacun avait pu vider son sac. Il invite désormais ses ministres à déjeuner ou dîner, par petits groupes. Mais il a du mal à trouver le tempo.

    Les Echos - Hausse d'impôts ou baisse des dépenses, le PS à front renversé

    La nécessité du rétablissement des comptes publics a suscité, au PS, un tête-à-queue surprenant. Coup sur coup, le premier secréaire, Harlem Désir, et le président de l'Assemblée, Claude Bartolone, ont récusé de nouvelles hausses d'impôts. « Sur le plan de la fiscalité, il ne faut pas en rajouter. Il y a des réductions de dépenses, des efforts à faire dans toutes les administrations », a averti le premier. « La priorité va à la réduction des dépenses. Je suis contre une nouvelle hausse générale d'impôts », a insisté le second.

    Public Sénat - Delanoë: réforme des rythmes scolaires à Paris dès que ça peut être une réussite

    Bertrand Delanoë, maire PS de Paris, a déclaré lundi qu'il souhaitait appliquer la très discutée réforme des rythmes scolaires du gouvernement "dès que ça peut être une réussite".

    RFI - Jérôme Guedj, député PS et président socialiste du Conseil général de l'Essonne

    «Il faut que les efforts qui vont être demandés soient tous passés au tamis d'une exigence simple: est ce que cela permet la lutte contre le chômage? Je défend plutôt l'idée d'une relance par la consommation, par l'investissement public.»

    Le Figaro - Hollande sous la pression de l'opinion

    INFOGRAPHIE - Le président se rend en Côte-d'Or pendant deux jours, pour «prendre le pouls» du pays. Et pour tenter d'inverser la courbe des sondages.

    Les jours se ressemblent pour François Hollande. Toujours la même litanie de mauvaises nouvelles à annoncer, de mauvais sondages à banaliser, de déclarations de ses ministres à corriger, de tensions à régler au sein de sa majorité. La semaine dernière: lettres de cadrage envoyées aux ministres, record d‘impopularité, déclarations équivoques sur Hugo Chavez de Victorin Lurel, mises en garde de la gauche du PS. 

    Libé (abonnés) - François Hollande à Dijon, car sa cote dort

    ANALYSE Le Président est aujourd’hui et demain en Bourgogne pour tenter de reconquérir l’opinion. Un déplacement d’une durée inhabituelle, à la mesure de l’impopularité du chef de l’Etat. Par GRÉGOIRE BISEAU

    C’est un chef de l’Etat profondément impopulaire qui arrive aujourd’hui à Dijon (Côte-d’Or) pour deux jours d’escapade présidentielle. Il inaugure là un nouveau type de déplacement. On avait reproché à Nicolas Sarkozy de passer en coup de vent (souvent quelques heures) lors de ses visites en province. 

    Libé - Paris: Hidalgo met au défi NKM sur la parité des têtes de liste

    La candidate socialiste aux municipales de 2014 a attaqué sa probable rivale en estimant que ce sont «les barons de l'UMP qui sont à l'origine de sa candidature et l'ont fait venir» dans la capitale.

    La socialiste Anne Hidalgo, candidate à la succession du maire de Paris, Bertrand Delanoë, a appelé dimanche sa possible concurrente, Nathalie Kosciusko-Morizet, à faire la preuve de sa «modernité» en prenant notamment position sur la parité et le non-cumul des mandats.

    Slate - Les socialistes ne savent plus du tout débattre

    Economie, moeurs, évolutions institutionnelles... Le PS n'arrive plus à faire vivre le débat sur ces sujets en interne ou dans son dialogue avec le gouvernement, à tel point que celui-ci est remplacé par des pétitions d'élus dans les médias.

    TF1 - Propos de Lurel sur Chavez : le PS mal à l'aise

    Les propos du secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer Victorin Lurel sur Hugo Chavez continuent de faire des vagues ce dimanche. La droite se dit scandalisée. A gauche, Anne Hidalgo assure que "tout ça va être corrigé dans la journée."


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  • L'actualité des socialistes du 12 au 18 novembre (mise à jour)

    Le JDD - Cambadélis : "Il faut que la gauche dialogue"

    INTERVIEW - Jean-Christophe Cambadélis, député de Paris, premier vice-président du Parti socialiste européen, s'inquiète de voir les différends s'accumuler entre la gauche et les écologistes. Extraits.

    18 novembre

    Les secrétaire nationaux

    Le bureau national

    Le Nouvel Obs - Désir : le "parti est en ordre de marche"

    Le nouveau patron du PS a présenté son équipe dirigeante, composée de 56 secrétaires nationaux, à parité homme-femme.

    Challenges -  L'aile gauche du Parti socialiste écartée de la direction

    La sénatrice Frédérique Espagnac et le sénateur David Assouline ont été nommés samedi porte-parole du Parti socialiste français par le nouveau "patron" du PS Harlem Désir, qui a exclu l'aile gauche du parti de la nouvelle équipe. Le secrétariat national (le gouvernement du parti, ndlr) est totalement paritaire et compte 56 secrétaires nationaux, précise l'organigramme présenté au conseil national du PS.

    France 3 - Gaëtan Gorce : le nouvel exécutif du PS est une "armée mexicaine"

    Le sénateur de la Nièvre et maire de La Charité-sur-Loire n'a pas de mots assez durs pour qualifier les nouvelles instances nationales de son propre parti.

    16 et 17 novembre

    Le Monde (blog) - Les germes d’une recomposition politique

    Six mois ! Il aura fallu six mois pour que le paysage du quinquennat commence à se fixer. Pas seulement à cause des tâtonnements de François Hollande mais en raison de l’instabilité qui régnait tout autour.

    Le Figaro - Les socialistes impatients de voir le PS en ordre de marche

    Le premier secrétaire Harlem Désir dévoile samedi matin son équipe, à l'occasion d'un conseil national du parti. Après six mois de transition, le PS est appelé à se mettre enfin en ordre de marche.

    Le Point - Les retrouvailles de Peillon et Montebourg

    Les deux anciens amis se sont retrouvés jeudi à Lille pour un déplacement sur la compétitivité. Sous une pluie d'hommages réciproques.

    Le Monde - La politique de l'offre de Hollande, "une vraie rupture" dans l'histoire de la gauche

    Il a assumé sa politique rigoureuse, et soucieuse des entreprises... loin des aspirations de la gauche radicale. Le président François Hollande a justifié, lors de sa conférence de presse, mardi 13 novembre, ses choix, niant ce qui s'apparente pourtant à un tournant opéré dans sa politique au bout de six mois d'exercice de pouvoir, avec des mesures qui s'éloignent de son discours de candidat.

    Le Monde (blog) - Crise: Mendès France à la rescousse

    Points de vue intéressants de deux ministres au lendemain de la première conférence de presse de François Hollande.

    Stéphane Le Foll, d'abord. Il était l'invité ce mercredi 14 novembre de l'émission Questions d'info sur LCP (en partenariat avec Le Monde, France info et l'AFP). Le ministre de l'agriculture est un ami très proche du président de la République. Il était à ses côtés au tout début de la campagne de la primaire socialiste lorsque les méchants camarades daubaient sur "Monsieur 3 %"parce que le député de Corrèze plafonnait à 3 % dans les sondages.

    Le Monde - TVA de droite, TVA de gauche : le jeu des différences selon Hollande

    Difficile pour François Hollande de justifier une mesure que lui-même et son camp ont conspuée pendant la campagne. Pour le candidat socialiste, la TVA dite "sociale", puis "antidélocalisation" était injuste. En revanche, pour le président de la République, il n'en sera pas de même pour la hausse – il est vrai plus mesurée – de la TVA en 2014.

    Le Figaro - Désir présentera son équipe samedi

    Harlem Désir, nouveau premier secrétaire du Parti socialiste, présentera samedi matin son équipe dirigeante au conseil national, le "parlement" du parti, un premier test pour celui qui tente d'imprimer sa marque au sein du parti majoritaire. La présentation de l'exécutif du parti - à la fois le "bureau national" et le "secrétariat national" - à La Mutualité à Paris, sera l'ultime étape du processus de succession de Martine Aubry et le point d'orgue du Congrès de Toulouse de fin octobre, lors duquel Harlem Désir était devenu officiellement patron du PS. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault y assistera.

    Le Monde - La politique de M. Hollande suscite un malaise croissant à la gauche du PS

    Le Parti socialiste finira-t-il par gouverner seul, sans ses partenaires écologistes et avec l'opposition frontale de ses anciens alliés communistes ? A la gauche du PS, la politique du gouvernement provoque un malaise croissant. Signe de ce trouble, l'exécutif devrait subir un nouveau contretemps jeudi 15 novembre au Sénat avec le rejet probable, à cause des communistes, du projet de budget de la sécurité sociale – un texte que le PS fera adopter à l'Assemblée.

    Libé - L’exécutif en plein com back

    Analyse Après six mois de couacs, le pouvoir lance la contre-attaque dans la bataille de l’opinion. Par GRÉGOIRE BISEAU et LAURE BRETTON

    Au menu, c’est contrition. Elle est subtile mais bien présente, lundi midi, à la table du ministre de la Défense. A la veille du grand oral présidentiel, Jean-Yves Le Drian, un hyperfidèle de François Hollande, truffe son exposé de signaux qui ne trompent pas sur les six derniers mois : «Peut-être qu’on ne l’a pas assez dit», répète-t-il une demi-douzaine de fois. Avant de remplacer la formule par un souhait pour l’avenir : «Peut-être qu’il faudrait qu’on dise plus…» Pour la gauche hollandaise, diriger autrement devait suffire, remettant la communication «à sa place» après l’hystérie sarkozyste. Mais à l’issue d’un semestre brouillon et bruyant, l’exécutif a fini par prendre le problème au sérieux.

    Les Echos - Le PS a mal à son « surmoi keynésien »

    Le calendrier est ainsi fait que François Hollande a annoncé mardi soir sa volonté de réduire de 60 milliards sur cinq ans les dépenses publiques et formalisé son ralliement à une politique « de l'offre », la veille de l'organisation dans les capitales européennes de manifestations contre l'austérité auxquelles participaient, à Paris, les leaders syndicaux et le Front de gauche. Les responsables de cette force politique ont critiqué l'orientation du chef de l'Etat, Jean-Luc Mélenchon fustigeant même un « exercice de renoncement avec le sourire ». C'est sans surprise, mais cela augure mal du vote des communistes au Sénat, où leurs voix sont nécessaires à la majorité. Chez les élus socialistes, l'empressement à saluer la performance du président sur la forme le dispute à une inquiétude sur les conséquences de la politique choisie.

    Les 14 et 15 novembre

    Le Monde (blog) - François Hollande assume enfin le hollandisme

    François Hollande a-t-il réussi à rattraper le temps perdu ? C'était l'enjeu de la longue conférence de presse qu'il a tenue ce mardi 13 novembre, la première de son quinquennat.

    Le Monde - Le président défend un choc de rigueur de 60 milliards d'euros sur la dépense publique

    Soixante milliards d'euros d'économies sur les dépenses publiques sur la durée du quinquennat, soit douze milliards par an : c'est ce qu'il faudra faire pour ramener les comptes publics à l'équilibre et financer le pacte de compétitivité. Cet effort, François Hollande l'a pleinement assumé mardi 13 novembre.

    Le Nouvel Obs - Hollande met la pression sur les partenaires sociaux

    Le chef de l'Etat a fermement invité syndicats et patronat à trouver un accord avant la fin de l'année sur la sécurisation de l'emploi.

    Le Monde - Hollande sur Manuel Valls et le terrorisme : "Ne polémiquons pas"

    La séance a été levée à l'Assemblée nationale mardi 13 novembre, après que le ministre de l'intérieur, Manuel Valls, a accusé la droite d'être responsable du "retour au terrorisme". Le ministre répondait à une question d'Eric Ciotti (UMP), au sujet des chiffres de la délinquance en hausse au mois d'octobre.

    Libé - François Hollande, président en exercice

    Pour sa première conférence de presse à l’Elysée, le chef de l’Etat a endossé avec succès le costume présidentiel, six mois après son élection. Par Grégoire Biseau et Laure Bretton Photos Sébastien Calvet

    La boucle est bouclée. Il y a six mois presque jour pour jour, installé face à Nicolas Sarkozy lors du débat de l’entre-deux-tours de la présidentielle, François Hollande faisait découvrir aux Français l’anaphore. Répétant 16 fois «moi, président de la République, je ferai…» Pour installer l’idée que lui candidat socialiste était prêt à diriger la France. Hier, il y a eu comme un étrange écho dans la salle des fêtes de l’Elysée sous l’œil des angelots dorés du plafond et de 32 ministres sur leur 31. «Je suis un président qui…», a-t-il scandé à quatre reprises, «mais je vais m’arrêter là», a-t-il alors coupé dans un sourire.

    Libé - Revivez la conférence de presse de François Hollande

    Sur fond de popularité en berne, le président de la République a répondu pour la première fois à la presse depuis le début de son quinquennat.

    Le Nouvel Obs - François Hollande : "Il n'y a pas eu de virage"

    Le président de la République a répondu pendant près de deux heures aux question des journalistes.

    Libé - «J’ai fait mes choix et je m’y tiens»

    EXTRAITS François Hollande a tenu ce mardi après-midi sa première conférence de presse en tant que président de la République. TVA, droit de vote, Allemagne, mariage pour tous, crise... retrouvez ses principales déclarations.

    Le Nouvel Obs - Hollande : la conférence de presse comme si vous y étiez

    En 2h30, le président a répondu à toutes les questions sans se départir de son calme et de sa bonne humeur. Examen réussi.

    Le Monde (blog) - Six mois à l’Elysée : François Hollande a-t-il tenu ses promesses ?

    Les six premiers mois de la présidence Hollande se terminent sur une promesse tenue et une promesse brisée : en organisant sa première conférence de presse semestrielle pour rendre compte de son action, le président de la République se conforme à un de ses engagements de campagne. Mais en choisissant pour cadre le palais de l'Elysée, il rompt avec une autre promesse. Une contradiction symbolique, à l'heure de tirer un premier bilan de l'application de ses promesses.

    Europe 1 - Cambadélis "sidéré" par les "hollandais"

    Le député PS de Paris Jean-Christophe Cambadélis s'est dit "sidéré", lundi, de voir des ministres proches de François Hollande annoncer "sur un ton un peu comminatoire ce que devrait être" sa conférence de presse mardi.

    Le Monde - Arnaud Montebourg : son projet explosif pour Petroplus

    Créer un champion franco-libyen du pétrole. C'est le plan – explosif – concocté par Arnaud Montebourg pour sauver la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime), mise en liquidation judiciaire le 16 octobre et où 470 emplois sont menacés.

    Les 12 et 13 novembre

    Rue 89 Lyon - Eau du Grand Lyon : Collomb ne fait pas plier sa gauche

    Sans surprise, le Grand Lyon, présidé par Gérard Collomb (PS), a adopté ce lundi le renouvellement de la gestion de l’eau par le privé. Mais sans les voix de communistes et des écolos, pourtant membres de la majorité. Favorables au passage à une régie publique, ils ont voté contre leur patron.

    Sondage Pour les Français interrogés par Viavoice pour «Libération», la chute de Hollande et Ayrault dans les enquêtes d'opinion est due à la crise.
     
     
    L’Elysée sait que la conférence de presse du Président, aujourd’hui, ne suffira pas à redorer son blason. Et préfère tabler sur la durée.
     

    Le Monde - François Hollande contraint de justifier son virage économique

    Une conférence de presse tous les six mois, avait-il dit pendant la campagne. "Dans un lieu neutre", précisait-il à la veille de sa victoire. La première promesse sera tenue, pas la seconde. Mardi 13 novembre, François Hollande répondra aux questions des journalistes, mais depuis la salle des fêtes de l'Elysée, là où se pratique l'exercice depuis de Gaulle avec une périodicité fluctuante. "C'est la maison des Français, c'est normal que le président leur parle de là où il s'occupe de leurs problèmes", justifie son entourage.

    Le Monde - Cahuzac veut intensifier la lutte contre la fraude fiscale

    Le ministre du budget, Jérôme Cahuzac, déclare dans un entretien publié lundi 12 septembre par Libération vouloir renforcer le rendement des services fiscaux, grâce à un arsenal antifraude renforcé destiné à récupérer 1 milliard d'euros supplémentaire l'an prochain.

    Libé - «Lutter contre le chômage, c’est une politique de gauche»

    Interview Jérôme Cahuzac, ministre délégué au Budget, soutient à plein l’exécutif et son crédit d’impôt pour les entreprises. Et prévient : les efforts doivent être partagés par tous. Par GRÉGOIRE BISEAU, CHRISTOPHE ALIX

    Réputé pour son franc-parler, le ministre délégué au Budget, Jérôme Cahuzac, a reçu Libération dans son bureau, au 5e étage de Bercy, samedi soir. Sous le cadre d’une couverture de Picsou Magazine offerte par ses amis pour ses 60 ans, le grand argentier de la République assume le choix de la rigueur.

    Le Monde - Le "made in France" et ses limites industrielles

    La photo d'Arnaud Montebourg posant en "une" du magazine du Parisien en marinière avec une montre française et un produit ménager tricolore n'a pas fini de faire des vagues. Le ministre du redressement productif voudrait remettre au goût du jour le "made in France", au point d'envisager la création de rayons consacrés aux produits français dans les supermarchés. Est-ce le retour du "patriotisme économique" exalté aussi en 2005 par Dominique de Villepin ?

    L'Usine Nouvelle - "L’arrivée de Free a placé Alcatel en situation de grande difficulté", selon Arnaud Montebourg

    Une semaine après l’annonce du pacte pour la compétitivité, la croissance et l’emploi, le ministre du Redressement productif revient en exclusivité pour L’Usine Nouvelle sur les mesures prises par le gouvernement. Il défend le crédit d’impôt compétitivité, tacle une fois de plus le bilan industriel de l’ère Sarkozy comparé à un champ de ruines et promet un plan pour promouvoir le made in France rapidement.

    01.net - Après s'en être réjoui, Arnaud Montebourg déplore l’arrivée de Free Mobile

    Dans un entretien à L'Usine nouvelle, le ministre du Redressement productif estime que Huaweï et ZTE ont été favorisés par rapport à Alcatel et que Free Mobile a causé un désastre social.

    Le Monde - La justice demande à nouveau de lever l'immunité parlementaire du sénateur PS Guérini

    Le juge Charles Duchaine souhaiterait placer en garde à vue Jean-Noël Guérini, dans un dossier connexe à celui dans lequel il avait été mis en examen le 8 septembre 2011, a-t-on appris lundi.

    Le Monde - François Hollande : six mois pour tout (re)commencer, Post de blog

    La question de fond à aborder mardi pour sa première conférence de presse, c'est François Hollande lui-même qui l'a formulée : "Est-on parti pour cinq ans de crise ou pour un quinquennat de redressement ?"

    Le dossier de Rue 89 Lyon sur la gestion de l'eau par le Grand Lyon

    Libé - Commission Jospin : la rénovation laisse sur sa faim

    Récit L’ex-Premier ministre a remis, vendredi, au Président son rapport sur la vie publique. Des propositions qui, pour certains, ne vont pas assez loin. Par JONATHAN BOUCHET-PETERSEN

    Entre le «peut mieux faire» et le «c’est déjà ça». C’est ainsi que plusieurs membres de la Commission de rénovation et de déontologie de la vie publique, présidée par Lionel Jospin, décrivent le rapport qu’ils ont collectivement remis à François Hollande, vendredi à l’Elysée. Un son de cloche loin de «l’exercice d’autosatisfaction un peu déplacé», selon l’un d’eux, auquel l’ancien Premier ministre socialiste, assez détendu, se serait livré lors de la conférence de presse qui s’est tenue dans la foulée dans les locaux de la commission.

    Le Monde - Une majorité entre fractures et ruptures

    Heureusement pour le Parti socialiste, il a la majorité absolue à lui tout seul - ou plus exactement avec le concours des radicaux et des divers gauche. S'il devait compter sur l'appui d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) et du Front de gauche, il n'arriverait pas à gouverner.

    EELV a deux ministres mais, à rebours des communistes en 1936 qui pratiquaient le "soutien sans participation", il participe avec un soutien à géométrie variable. Quant au Front de gauche, sous la houlette de Jean-Luc Mélenchon, il se singularise en s'opposant.

    Le Monde - Entre les écologistes et le PS, les sujets qui fâchent se multiplie

    Les sujets de désaccord ne cessent de se multiplier entre les écologistes et le PS. Si les principaux dirigeants d'EELV ont tenté, vendredi 9 novembre, d'atténuer les propos de Jean-Vincent Placé, président du groupe écologiste du Sénat, sur l'hypothèse d'une sortie des ministres écologistes du gouvernement, en parlant de "déclaration personnelle", ils n'ont pu s'empêcher de faire part de "signaux inquiétants" dans la vie de la majorité. Décryptage des principaux facteurs de tensions.

    Le Figaro - Encore un effort, M. Hollande !

    Les décisions prises au lendemain du rapport Gallois annoncent-elles un tournant dans le quinquennat ? Une fois de plus, François Hollande entretient le flou sur ses intentions. «Êtes-vous au pouvoir?» Quand son interlocuteur formule cette question devant lui, François Hollande a un temps d'hésitation. Un peu interloqué, le président lui demande la raison de cette interrogation. Retiré de la vie politique active, occupant aujourd'hui un poste d'influence, l'homme lui explique: «On a l'impression que ce sont les groupuscules du PS, les think tanks, qui ont le pouvoir. Pas vous.» François Hollande a-t-il compris le message? Certains de ses visiteurs en doutent. L'un d'eux raconte: «Quand vous lui expliquez quelque chose, il vous donne l'impression d'avoir compris et d'être d'accord avec vous. Mais quelques jours après, vous vous rendez compte qu'il fait l'inverse!»

    Le Nouvel Obs - Batho s'entoure de 5 "sages" pour débattre sur l'énergie

    La présence d'Anne Lauvergeon et de Pascal Colombani dans le comité provoque la colère des ONG.

    Le Monde - Michel Rocard : "Un signal a été donné aux entreprises. Il était temps"

    Il a accepté l'entretien bien volontiers, même s'il s'amuse qu'on soit venu le voir alors qu'il n'est plus, comme il dit, "en service actif". A 82 ans, pourtant, c'est un Michel Rocard en pleine forme qui reçoit Le Monde dans son bureau des Champs-Elysées où trône une immense photo de lui emmitouflé dans le froid, qui rappelle qu'il est depuis 2009 ambassadeur chargé des négociations internationales relatives aux pôles Arctique et Antarctique.

    Le Progrès - Politique. Gérard Collomb : « Les élus des grandes villes doivent siéger au Sénat »

    Mesure phare du rapport Jospin sur la rénovation de la vie politique remis hier à l’Elysée, l’interdiction de cumuler un mandat de parlementaire avec celui d’un exécutif local, a suscité la levée de boucliers attendue au Sénat par 348 sénateurs.

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  • Libé, Alain Duhamel - François Hollande, réformiste ou réformateur ?

    7 novembre 2012

     

    C’est une affaire entendue : François Hollande est un réformiste, nul ne peut en douter. La question qui se pose, maintenant qu’il est entré au palais de l’Elysée depuis six mois, c’est de savoir si ce réformiste authentique est également un réformateur déterminé.

    Que le président de la République appartienne à la famille sociale-démocrate, qu’il soit donc l’incarnation d’une démarche réformiste, cela va de soi. Il l’a toujours été, il l’a assumé durant sa campagne, il l’a symbolisé en nommant Premier ministre Jean-Marc Ayrault, autre social-démocrate breveté. De ce côté-là, tout est clair et tout est simple, même s’il faut relever que c’est la première fois sous la Ve République qu’un social-démocrate affiché est devenu chef de l’Etat, François Mitterrand, ayant au contraire toujours cultivé l’ambiguïté avec une virtuosité sans pareille.

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  • L'actualité des socialistes du 5 au 11 novembre (mise à jour)

    10 et 11 novembre

    Marianne, Gabriel Amard - Eau : Gérard Collomb fait le choix de surfacturer les Lyonnais

    Lundi 12 novembre, le conseil de la Communauté urbaine du Grand Lyon devrait se prononcer sur la délégation de service public pour l'eau potable. Confier la gestion de cette ressource au privé est un choix à courte vue qui ne préserve que les intérêts financiers des multinationales. Je connais un peu la situation pour m'être rendu à Lyon cinq fois en deux ans, à la demande d’élus ou d’usagers pour promouvoir la gestion publique de l’eau. Le Maire de Lyon et président du Grand Lyon, qui pourtant voit toujours grand pour son agglomération, passe à côté d’une chance historique de mettre en place une politique de l’eau basée sur le seul intérêt général....
    * Gabriel Amard est directeur et coordonnateur du Guide de la gestion publique de l’eau, auteur de L’eau n’a pas de prix, Vive la Régie publique (Editions Bruno Le Prince) et prrésident de l’Association nationale des élus du Parti de gauche et apparentés - La Gauche par l’exemple.

    Metro - De l'eau dans le gaz entre Collomb et les écologistes

    Les élus écologistes lyonnais ont dénoncé ce lundi le choix de Gérard Collomb, président PS du Grand Lyon, de reconduire jusqu'en 2023 la délégation de service public confiant au privé la gestion de l'eau.

    Le rapport Jospin, version intégrale

    L'édito du Monde - A vous de jouer, monsieur le Président

    Lionel Jospin n'est pas un plaisantin. Le rapport qu'il vient de remettre au président de la République sur "la rénovation de notre vie publique" est charpenté, précis et imaginatif.

    Si ses propositions sont retenues par l'exécutif, puis mises en œuvre par le Parlement, elles ouvriront la voie à un véritable progrès de la démocratie française. L'ancien premier ministre le souligne en effet, avec gravité, en introduction : "Notre démocratie traverse une crise de confiance." Il s'agit donc "de répondre aux exigences des citoyens et de renforcer la relation de confiance entre eux et les responsables publics".

    Le Monde - La commission Jospin veut bousculer les conservatismes politiques

    "Pour un renouveau démocratique". C'est le titre du rapport que Lionel Jospin, entouré des treize autres membres de la commission de rénovation et de déontologie de la vie publique (CRDVP), remettait, vendredi 9 novembre, à François Hollande. Sous la sobre jaquette, ce document de 130 pages, assorti de 35 propositions, a toutes les chances d'être un pavé dans la mare tant il est porteur d'une profonde évolution des comportements publics.

    Le Monde - La commission Jospin n'est pas allée assez loin, juge l'un de ses membres

    Le constitutionnaliste Dominique Rousseau, l'un des quatorze membres de la commission Jospin, a estimé vendredi 9 novembre que celle-ci n'était "pas allée assez loin" en dépit d'"avancées". Au site Mediapart, le juriste avait déjà déclaré qu'il "fallait beaucoup plus d'audace et non des propositions homéopathiques". Il a renchéri sur France Inter : "Il y a des choses positives, des avancées. Mais par rapport à la crise de confiance entre les citoyens et les institutions, je pense que la commission n'a pas été assez loin dans ses préconisations." "Il faudra d'autres réformes plus profondes, certainement", a assuré M. Rousseau.

    LCP - Le non cumul des mandats proposé par Jospin met le Sénat en ébullition

    Les propositions de la commission Jospin ont mis vendredi en ébullition le Sénat, en particulier l’interdiction du cumul d’un mandat de parlementaire avec celui d’un exécutif local, à laquelle s’oppose une majorité de sénateurs socialistes et de droite

    9 novembre

    FranceTVinfo - Les pistes de Lionel Jospin pour moraliser la vie politique

    Il était chargé, depuis le 14 juillet, de penser la mise en œuvre d'un certain nombre de promesses de campagne de François Hollande concernant la moralisation de la vie politique. Lionel Jospin doit remettre au président de la République, vendredi 9 novembre, le rapport de la commission de rénovation et de déontologie de la vie publique qu'il préside. Mais l'essentiel des propositions a filtré dès jeudi. Elles ne vont pas toutes aussi loin que les promesses initiales. Francetv info les a passées au crible.

    Le Monde - Cumul, proportionnelle, présidentielle : les propositions de la commission Jospin

    La commission Jospin propose une limitation du cumul des mandats des parlementaires, "un parrainage citoyen" des candidats à la présidentielle et l'élection de 10 % des députés à la proportionnelle, rapporte l'AFP, jeudi 8 novembre, confirmant une information de RTL.

    Libé - La commission Jospin est contre le cumul des mandats

    Elle préconise aussi de nouvelles règles pour se présenter à la présidentielle. La commission Jospin va proposer vendredi une stricte limitation du cumul des mandats des parlementaires, «un parrainage citoyen» des candidats à l'élection présidentielle et l'élection de 10% des députés à la proportionnelle, a-t-on appris jeudi de source proche du dossier.

    Le Parisien - Ces députés qui cumulent les mandats sans complexe

    Parlement. La limitation du cumul des mandats que doit proposer Lionel Jospin dans son rapport ne ravit pas les parlementaires. Au PS, certains élus s’assoient sur leurs promesses. Et, à l’UMP, on ne veut pas en entendre parler…

    La Tribune - Compétitivité : les Français disent "oui" aux mesures... sauf à la hausse de la TVA

    Cinq sondages sur l'opinion des Français à l'égard des mesures prévues par le gouvernement Ayrault pour la compétitivité ont été publiés jeudi. Dans trois d'entre eux, la hausse de la TVA est rejetée.

    Les Echos - Plus de six Français sur dix rejettent les hausses de TVA

    62 % des Français et 52 % des sympathisants de gauche estiment « injustifiées » les hausses de TVA destinées à financer le crédit d'impôt pour les entreprises. La cote de confiance de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault passant sous la barre des 40 %.

    Les Echos - Surprise chez les députés PS et critiques à gauche

    Dénoncés par les communistes et les radicaux de gauche, les hausses de TVA ont surpris les députés PS, quatre mois après l'abrogation de la TVA sociale. Moscovici, Montebourg, Cahuzac, Sapin : pas moins de quatre ministres se sont relayés hier à la tribune de l'Assemblée pour faire la pédagogie du plan compétitivité. C'était nécessaire tant la hausse de deux taux de TVA sur trois, programmée pour 2014, a pris les députés socialistes par surprise.

    Le Monde - Hollande tenté par le storytelling pour promouvoir les emplois d'avenir

    Le gouvernement se mettrait-il à faire du storytelling ? S'il s'en défend, l'expression fleurant trop le sarkozysme, il s'apprête en tout cas à mettre le paquet sur la communication autour du lancement des emplois d'avenir, ces contrats aidés destinés aux jeunes non diplômés de 16 à 25 ans et entrés en vigueur le 1er novembre.

    Libé - Touraine veut apaiser la colère des spécialistes libéraux

    La ministre se dit à l'écoute de leurs revendications, tandis qu'un mouvement de grève est prévu dès lundi pour protester contre l'accord sur les dépassements d'honoraires.

    Le Figaro - PS-PCF : les municipales dans le viseur

    Pour faire rentrer les communistes dans le rang, les socialistes évoquent les élections municipales et la survie du communisme au niveau local. Pour ramener le PCF à de meilleures dispositions à l'égard du gouvernement, le PS n'est pas sans arguments. L'un des premiers concerne les municipales de 2014 et la survie du «communisme municipal».

    Le Figaro - «Les communistes ont fait le choix de la radicalisation»

    INTERVIEW - Dominique Andolfatto, professeur de science politique à l'Université de Bourgogne, est l'auteur de PCF. De la mutation à la liquidation (Éditions du Rocher). Il analyse l'évolution du Parti communiste depuis le début du quinquennat de François Hollande.

    FranceTVinfo - "Les communistes s'engagent dans un pari suicidaire avec le PS"

    Rien ne va plus entre socialistes et communistes. Après avoir retoqué le projet de loi sur la tarification progressive de l'énergie, conduisant au rejet du texte avec les voix de la droite la semaine dernière, les sénateurs communistes ont rejeté la loi de programmation budgétaire en séance, mercredi 7 novembre. La tension est telle que le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a estimé le lendemain sur RMC que les communistes sont "maintenant clairement dans l'opposition". Gérard Grunberg, chercheur à Sciences Po et spécialiste de la gauche, nous explique ce divorce.

    Le Monde - Hollande estime que Nétanyahou n'a pas été "correct" lors de sa visite en France

    Le président François Hollande a accusé le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de ne pas avoir été "correct" lors de sa visite en France, transformant en "meeting électoral" la cérémonie d'hommage aux victimes juives de la tuerie de Toulouse.

    8 novembre

    Le Monde - TVA sociale : le triomphe discret de Manuel Valls

    On ne l'entendra pas fanfaronner. Sollicité par Le Monde pour commenter le "pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi" présenté par Jean-Marc Ayrault mardi 6 novembre, Manuel Valls dit évidemment tout le bien qu'il en pense. Mais il clôt vite la discussion, et explique qu'il préfère parler des "dossiers qui [le] concernent directement comme ministre de l'intérieur".

    TF1 - Compétitivité : Hollande va devoir batailler contre une opposition de gauche

    Les mesures pour la compétitivité annoncées mardi par le gouvernement socialiste français ne sont pas entièrement du goût de la gauche du PS et de la gauche de la gauche.

    Public Sénat - TVA : Lienemann « étonnée du flottement et du changement de pied »

    La hausse de la TVA annoncée hier par l’exécutif déplait à la gauche du PS. «Quand on fait l’inverse de ce qu’on a dit, cela pose un problème politique», prévient la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, membre de l'aile gauche du PS. «Cette hausse aura un effet injuste», ajoute-t-elle, parlant de «cadeau de 20 milliards aux entreprises». Entretien.

    Le Monde - Moscovici : la TVA dans la restauration ne remontera pas à 20 %

    Le ministre de l'économie et des finances, Pierre Moscovici, a exclu, mercredi 7 novembre, que la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) dans la restauration puisse remonter au taux plein de 20 %, comme l'affirmait la veille l'entourage de la ministre de l'artisanat, du commerce et du tourisme, Sylvia Pinel. "Dix pour cent, cela concernera la restauration, je dis bien dix et pas vingt", a déclaré le ministre sur RTL. Et d'ajouter : "Ce sera 10 %."

    Le Monde - Jean-Noël Guérini demande à la justice de condamner Arnaud Montebourg pour atteinte à la présomption d'innocence

    Le président du conseil général des Bouches-du-Rhône, Jean-Noël Guérini, a demandé mercredi 7 novembre à la justice de condamner le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, à lui verser 50 000 euros de dommages et intérêts pour atteinte à la présomption d'innocence.

    Le 7 novembre

    Libé - Quel impact pour le «Pacte» du gouvernement ?

    Proposition phare des 35 mesures du gouvernement, le crédit d’impôt sera financé par des économies et la hausse de la TVA, au risque d’entraver la consommation.

    Libé - Compétitivité : Hollande vire de bord

    Crédit d’impôt aux entreprises, hausses de TVA, économies… Le gouvernement a repris les grandes lignes du rapport Gallois. Par Grégoire Biseau Photo Marc Chaumeil

    Est-ce un reniement ? Une trahison ? Ou au contraire un acte de lucidité et de courage politique ? Une chose est sûre : ce «Pacte national pour la croissance la compétitivité et l’emploi», présenté hier par Jean-Marc Ayrault, est un véritable tournant

    Libé - La gauche du PS en état de choc

    Le cadeau de 20 milliards aux entreprises passe mal. Par Lilian Alemagna et Laure Bretton

    Vu l’enjeu (et la volatilité de la majorité depuis la rentrée) rien n’a été laissé au hasard. Pour accompagner le «Pacte pour la croissance, la compétitivité et l’emploi», les parlementaires ont reçu un argumentaire en bonne et due forme de Matignon. «Une première», glisse un pilier de la majorité, pour qui c’est bien le signe que «le gouvernement ne doit pas louper le coche cette fois».

    Libé - Martine Aubry mise en examen

    décryptage La maire (PS) de Lille est poursuivie pour «homicides et blessures involontaires» dans une enquête sur l'amiante. Une histoire qui mêle administration, santé publique et politique.

    Rue 89 - On a retrouvé Benoît Hamon : il est au gouvernement

    On se demandait un peu ce que devenait Benoît Hamon, ancien porte-parole omniprésent du PS. Aujourd’hui à la tête de deux mini-ministères, il s’est rangé.

    Libé - Erwann Binet, il en est

    Les nouveaux visages de l'assemblée Ce nouveau député PS vient d'être nommé rapporteur de la loi sur l'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples homosexuels.

    Le 6 novembre

    Le Nouvel Obs - Compétitivité : Ayrault vante une "démarche résolument de gauche"

    "Cette démarche correspond aux engagements pris par le président de la République devant les Français", a estimé le Premier ministre, présentant les mesures retenues.

    Le Monde - Le gouvernement fait volte-face sur la TVA sociale

    C'était le 23 février. Nicole Bricq n'était pas encore ministre. La rapporteure générale (PS) de la commission des finances du Sénat partait en guerre, dans Le Monde, contre le dernier collectif budgétaire du quinquennat de Nicolas Sarkozy instaurant une TVA sociale au 1er octobre 2012. "Le texte que nous examinons (...) est absurde sur le plan économique", assénait la sénatrice de Seine-et-Marne.

    Libé - Piketty : le crédit d'impôts, «ça manque d'ambition et c'est illisible»

    Le gouvernement a tranché : pas de diminution des cotisations sociales pour les entreprises, comme le prônait le rapport Gallois, mais un crédit d'impôt proportionnel à leur masse salariale. Un choix qui agace l'économiste Thomas Piketty, proche du PS, selon qui elle complexifie le système fiscal et élude la question du financement de la Sécurité sociale.

    Le Monde - Vingt milliards de baisse d'impôts sur trois ans pour les entreprises

    La lettre est un peu différente, mais l'esprit est sensiblement le même. A quelques exceptions près, comme la poursuite de l'exploitation du gaz de schiste, les principales recommandations du rapport de Louis Gallois sur la compétitivité seront suivies par le gouvernement. Jean-Marc Ayrault s'y est engagé, mardi 6 novembre, à l'issue d'un séminaire organisé au lendemain de la publication de ce rapport.

    Libé - Montebourg gagne la compétition au sein du gouvernement

    Le ministre du Redressement productif remporte son bras de fer contre Moscovici. Arnaud Montebourg est le seul ministre qui a eu l’honneur de tenir, hier, une conférence de presse. Le ministre du Redressement productif y a déclaré que les propositions de Louis Gallois sont «engageantes» pour l’exécutif. Tout un symbole. Car les décisions qui vont être annoncées aujourd’hui suite au rapport (lire ci-contre) sont plutôt inspirées des propositions de Montebourg, dévoilées vendredi par les Echos. Le trublion du gouvernement remporte un arbitrage politique majeur, obtenu, qui plus est, contre son ennemi et collègue de Bercy, le ministre de l’Economie, Pierre Moscovici.

    Le Nouvel Obs - Rapport Gallois : "Le gouvernement définira la trajectoire"

    C'est ce qu'a annoncé Pierre Moscovici, alors que le gouvernement doit présenter mardi son pacte de compétitivité.

    Libé - Pour Désir, un rapport qui sanctionne la droite

    Le Premier secrétaire du Parti socialiste Harlem Désir estime que le rapport Gallois est «un implacable réquisitoire contre le bilan de 10  ans de politique de la droite», soulignant toutefois «l’impératif d’une stratégie forte pour l’industrie et l’emploi».

    Le Nouvel Obs - Karine Berger : "Le rapport Gallois ne sera pas enterré"

    Le rapport Gallois a été présenté à Matignon. Trois questions à Karine Berger, secrétaire nationale à l'économie au PS.

    Libé - La commission Jospin dans les clous élyséens

    Analyse L’ancien Premier ministre doit remettre vendredi ses propositions de rénovation de la vie politique au président de la République.

    Libé - Thévenoud, le député qui met les pieds dans le plat

    Portrait Inconnu il y a quelques jours, le jeune élu socialiste est l'auteur du rapport sur la baisse de la TVA dans la restauration, qui lui a valu les critiques des professionnels du secteur.

    Libé - Montebourg balaie à Alger le geste de Longuet, «un acte individuel»

    Le ministre du Redressement productif a demandé «l'indifférence» face au bras d'honneur de l'ex-ministre de la Défense, questionné sur une éventuelle repentance de la France envers l'Algérie.

    Libé - Royal a un "constat tacite" avec Hollande: elle doit rentrer "à un moment" dans le "dispositif"

    Ségolène Royal, qui n'est pas "sortie de la politique", confie dans l'hebdomadaire Le Point paru jeudi avoir un "constat tacite" avec François Hollande pour qu'elle rentre "à un moment" dans le "dispositif".

    Le 5 novembre

    Le Monde (blog) - L’inquiétante solitude du président

    Plus le gouvernement cafouille, plus l'opposition se radicalise. C'est à la fois logique et inquiétant. La bataille parlementaire ne suffit plus au président sortant de l'UMP, Jean-François Copé, qui appelle désormais les électeurs de droite à manifester contre le gouvernement, sans désigner un projet en particulier.

    Sud Ouest - Affaire Aurore Martin : Manuel Valls se défend

    "Je n'ai pris aucune décision", assure Manuel Valls dans une interview exclusive à Sud Ouest Dimanche. Il réfute l'idée d'une opération policière ciblée sur la militante de Batasuna

    Le JDD - Binet : "Respecter les engagements pris" sur le mariage homosexuel

    INTERVIEW - Erwann Binet est le rapporteur (PS) du projet de loi sur le mariage pour tous.

    Le Figaro - Compétitivité : Lienneman met en garde le gouvernement

    INTERVIEW - Marie-Noëlle Lienemann, la sénatrice de Paris, membre de l'aile gauche du PS, dit non à toute hausse de TVA et de CSG. À l'image de Marie-Noëlle Lienemann, la gauche du PS sera très vigilante sur les mesures annoncées par le gouvernement.

    Le Figaro - Mariage gay/Église: "retour en arrière"

    Le député PS de Paris Jean-Marie Le Guen a dénoncé aujourd'hui sur RCJ le "retour en arrière choquant de l'Eglise catholique" après les prises de position du cardinal André Vingt-Trois contre le mariage homosexuel. Mgr Vingt-Trois a fustigé, hier lors d'une assemblée des évêques de France à Lourdes, le projet du gouvernement d'instaurer le mariage homosexuel, "une supercherie qui ébranlerait un des fondements de notre société".

    Le Monde - François Hollande réaffirme à Beyrouth le soutien de la France au Liban

    Le président français François Hollande, en route vers l'Arabie saoudite et l'Asie, a fait étape dimanche à Beyrouth pour témoigner son soutien à son homologue Michel Sleimane, face aux risques de déstabilisation du Liban menacé par la crise en Syrie voisine. "La France ne ménagera aucun effort pour garantir au Liban son indépendance, son unité et sa sécurité", a affirmé M. Hollande lors d'une conférence de presse conjointe avec M. Sleimane, soulignant que la France était déterminée "à s'opposer de toutes ses forces à toutes les tentatives de déstabilisation". Plus tôt, dans l'avion présidentiel le conduisant à Beyrouth, le chef de l'Etat français avait estimé "important de conforter le président Sleimane en ce moment".

    Le Figaro - Le document choc qui inquiète le PS du Pas-de-Calais

    Le réquisitoire du parquet de Béthune dans l'affaire Dalongeville éclabousse plusieurs personnalités du parti. Il a emprunté, quelques années après eux, le même passage souterrain que Bernard Tapie et Jacques Mellick aux pires heures de leurs démêlés judiciaires passés. Ce jour de décembre 2010, Gérard Dalongeville, ancien maire PS d'Hénin-Beaumont, dont le nom longtemps resté inconnu du grand public devrait désormais durablement marquer le Parti socialiste, est passé directement, sous terre, du cabinet du juge à la maison d'arrêt de Béthune située à quelques centaines de mètres de là, pour échapper aux photographes alléchés par le parfum de scandale. À travers la chute de l'élu, venait de surgir, en germe, l'épineux dossier de la fédération PS du Pas-de-Calais.

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  • L'actualité des socialistes du 29 octobre au 4 novembre (mise à jour)

    Le 4 novembre

    La Croix - Tandem exécutif: le doute s'installe dans la majorité

    Le doute et l'inquiétude gagnent la majorité face au tandem exécutif qui ne parvient pas à reprendre l'initiative, la semaine écoulée ayant encore été marquée par des maladresses et des difficultés, et plusieurs voix appellent à mieux expliquer l'action entreprise.

    Maville - Expulsion d’Aurore Martin. Jean-Jacques Urvoas défend le ministre de l’Intérieur

    Le président de la commission des Lois de l’Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas (PS), a jugé vendredi qu’il n’y avait « aucune raison » de reprocher au ministre de l’Intérieur Manuel Valls l’interpellation d’Aurore Martin, car elle ne « relève pas de sa compétence ».

    Le Figaro - Valls/Martin: les critiques "infondées"

    Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a défendu à son tour ce soir le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, cible à ses yeux de critiques "totalement infondées" dans l'affaire Aurore Martin.

    Le 3 novembre

    Le Figaro - «Hollande doit fixer le cap et rassurer sur sa méthode»

    INTERVIEW - André Vallini, sénateur PS de l'Isère, répond aux questions du Figaro.

    Le Monde - "Il y a désormais une défiance des Français à l'égard de Jean-Marc Ayrault"

    La cote de confiance de Jean-Marc Ayrault recule de 7 points, seuls 34 % des Français faisant confiance au premier ministre, selon le baromètre de novembre de TNS Sofres-Sopra group pour Le Figaro Magazine. François Hollande perd, lui, 5 points, seuls 36 % des Français lui faisant confiance. C'est, dans le sixième mois suivant sa nomination, le niveau le plus bas atteint par un premier ministre depuis Alain Juppé en 1995 (33 % de confiance), à l'exception notable d'Edith Cresson (30 %).

    Les Echos - Compétitivité : ce que propose Montebourg

    Le ministre du Redressement productif préconise 20 milliards d'euros d'allégements de cotisations patronales pour les salaires compris entre 1,6 et 2,5 SMIC. Les entreprises n'en bénéficieraient qu'à condition d'investir.

    Le Monde - Compétitivité : les critiques déjà formulées d'un rapport très attendu

    A quelques jours de la publication tant attendue, lundi 5 novembre, du rapport Gallois, du nom de l'ancien patron d'EADS mandaté par le premier ministre pour préparer un "pacte en faveur de la compétitivité de notre industrie", a été rendu, mercredi 31 octobre, dans une discrétion assez remarquable, le premier rapport du Haut Conseil du financement de la protection sociale.

    L'Express - Lienemann, Rebsamen, Vallini... François Hollande accumule les critiques dans son propre camp

    Le manque de lisibilité de la politique de l'exécutif commence à agacer parmi les socialistes. Trois sénateurs PS appellent le chef de l'Etat à plus de pédagogie.

    Le JDD - Ces ténors socialistes qui tapent sur le gouvernement

    Ils ne font pas partie du gouvernement et ont la parole libre. Gérard Collomb, François Rebsamen, Jean-Christophe Cambadélis…  les ténors socialistes sont de plus en plus nombreux à critiquer ouvertement l'action du gouvernement. 

     

    Le JDD - Valls critiqué après l'arrestation d'Aurore Martin

    L'arrestation et le transfert de la Française Aurore Martin, jeudi vers Madrid, est au cœur de nombreuses contestations. Au niveau local, des élus basques du PS, EELV ou PCF s'insurgent contre l'application du mandat d'arrêt européen qui menaçait la militante depuis deux ans. Batasuna, l'organisation à laquelle la jeune femme appartient, accuse Manuel Valls d'avoir "cassé" un accord tacite, respecté par son prédécesseur Claude Guéant.

    Libé - Amiante: Aubry sera convoquée mardi chez la juge d'instruction

    L’ancienne patronne du PS pourrait être mise en examen pour homicides involontaires dans le cadre de son action au ministère du Travail entre 1984 et 1987.

     

    Le 2 novembre

    Le Monde - "La presse abuse du mot 'couac'", le nouveau refrain des ministres

    "Couac". Le mot commence sérieusement à les agacer... Plusieurs ministres l'ont pointé du doigt pour reprocher aux journalistes de monter en épingle les ratés de la communication du gouvernement, les accusant de se borner à relater "l'écume des choses". Cette salve est une riposte à une polémique déclenchée mardi 30 octobre par une phrase ambiguë de Jean-Marc Ayrault sur les 35 heures, vite corrigée par le premier ministre lui-même, mais ayant suscité de nombreuses railleries à droite et d'articles dans la presse.

    Le Lab d'Europe 1 - Quand la nouvelle plume de Désir critiquait Aubry ... et Désir

    On apprend dans le Nouvel Observateur du 31 octobre qu'Harlem Désir est en passe de se trouver une nouvelle plume. Désormais premier secrétaire officiel du Parti socialiste, il a confié son premier discours - prononcé à la fin du congrès de Toulouse le 28 octobre - à son ancien conseiller Medhi Ouraoui.

    Le Monde - Les bons conseils de Schröder à Hollande

    A chacun ses martyrs. Angela Merkel a torpillé son compatriote Tom Enders, le patron d'EADS qui voulait fusionner Airbus avec le groupe de défense britannique British Aerospace. Trop risqué pour les usines allemandes du groupe aéronautique. L'Elysée ne décolère pas, qui espérait bâtir un champion européen susceptible de faire jeu égal avec Boeing.

    Europe 1 - Il faut sauver le soldat Thévenoud

    Quand McDo s’en prend à un élu PS, toute la majorité monte au front pour le défendre.

    Parfois divisée, la majorité s’est trouvé une cause commune : la défense de Thomas Thévenoud. Ce député socialiste est l’auteur d’un rapport prônant une hausse de la TVA dans la restauration. Depuis, il est devenu la cible, entre autres, de McDonald’s, qui récuse les accusations portées à son encontre dans ce texte. Alors ses camarades socialistes prennent fait et cause pour lui.

    Le Monde (abonnés) - Les nominations de François Hollande passées au crible

    L'Etat Hollande, ce n'est pas maintenant. Cinq mois après son élection, le président a jusqu'ici tenu la promesse d'"impartialité de l'Etat" à laquelle s'astreignait le candidat socialiste en meeting, le 3 mars 2011 à Dijon, se posant alors en défenseur de hauts fonctionnaires "déplacés comme des pions, moqués comme des petits pois, regardés comme des gêneurs, considérés comme des subalternes" et fustigeant des "nominations partisanes parfois issues des cercles les plus intimes"....

    Le 1er novembre

    Libé - Hollande et Ayrault dégringolent dans un sondage

    Ils perdent respectivement 5 et 7 points de cote de confiance selon le baromètre de novembre TNS-Sofres. Les cotes de confiance de François Hollande et Jean-Marc Ayrault reculent respectivement de 5 et 7 points, seuls 36% des Français faisant confiance au chef de l’Etat et 34% au Premier ministre, selon le baromètre de novembre de TNS Sofres-Sopra group pour Le Figaro Magazine.

    Le Monde - Cambadélis lance une "pétition nationale" pour le droit de vote des étrangers aux élections locales

    En langage sportif, cela s'appelle "marquer à la culotte". Deux jours à peine après le congrès de Toulouse, au cours duquel Harlem Désir a été investi premier secrétaire du PS, le député socialiste de Paris, Jean-Christophe Cambadélis, candidat battu à ce poste, a défendu mardi 30 octobre l'idée d'une "pétition nationale" en faveur du droit de vote pour les étrangers non communautaires aux élections locales.

    Le Monde - Comment Hollande voit la crise

    Le président a-t-il sous estimé la crise ? Dans un entretien au Monde, réalisé jeudi 25 octobre en vue d'un récit racontant le début du quinquennat, François Hollande s'en défend et explique comment a évolué son état d'esprit face à la dégradation de la situation économique.

    Le Point - Harlem Désir propose l'entrée de Pierre Mendès France au Panthéon

    Le premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, s'est prononcé mercredi en faveur de l'entrée de Pierre Mendès France au Panthéon, lors du dépôt d'une gerbe dans le jardin du Luxembourg, à Paris, à l'occasion du trentième anniversaire de sa mort.

    Le Monde - François Hollande rassure les "maîtres du monde"

    C'était une opération de communication destinée à démontrer que François Hollande est de plain-pied avec les "maîtres du monde". Elle a été plutôt réussie, lundi 29 octobre, au château de La Muette (16e arrrondissement de Paris), siège de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE).

    Le Lab d'Europe 1 - Moscovici, Peillon, Valls ... Le gouvernement revu et corrigé par Martine Aubry

    TIR A VUE – En marge du congrès du Parti socialiste à Toulouse, Martine Aubry s’est, d’après le Canard Enchaîné, lâchée sur le gouvernement. Si Pierre Moscovici et Manuel Valls n’échappent pas à ses propos acerbes, Jean-Marc Ayrault fait figure de rescapé et est le seul à trouver grâce à ses yeux.

    Le Point - François Hollande : "Exercer le pouvoir, c'est très dur"

    François Hollande reconnaît affronter un moment "très dur" dans l'exercice du pouvoir, affirmant qu'il n'y a plus aujourd'hui "aucune indulgence, aucun respect" sur son action, selon des propos rapportés par le quotidien Le Monde daté de jeudi. "Exercer le pouvoir, aujourd'hui, c'est très dur. Il n'y a plus aucune indulgence, aucun respect. Mais je le savais", affirme le chef de l'État, qui enregistre une nouvelle forte baisse de sa cote de confiance.

    Le Monde (blog) - Faire ou ne pas faire long feu ?

    La presse a beaucoup glosé sur le "faire long feu" utilisé par le premier ministre dans sa réponse à la question d'un lecteur du Parisien (édition du mardi 30 octobre). Sa question était "Pensez-vous faire long feu à Matignon ?" Elle ne pouvait que se comprendre Pensez-vous durer à Matignon ? Ce à quoi il répondit "Oui je pense. L'action que je mène au gouvernement ne peut que s'inscrire dans la durée."

    Le Monde - TVA sur la restauration : Montebourg et les députés PS font bloc face à McDonald's

    Le Figaro - Le gouvernement bousculé au Sénat

    À trois reprises, dont deux avec la droite, les élus du Front de gauche ont voté contre des textes soutenus par le PS. Le torchon brûle entre le gouvernement et le Front de gauche. En deux jours, les sénateurs communistes ont voté trois fois contre des textes soutenus par le gouvernement:

    Le Point - Jean-Marc Ayrault fragilisé, un peu, beaucoup, à la folie

    "Vous ne trouverez pas un député socialiste pour vous dire que Jean-Marc Ayrault doit partir." Parole de député socialiste. Dans la tempête, le groupe PS à l'Assemblée nationale fait bloc derrière le Premier ministre, qui l'a dirigé quinze ans, de 1997 à 2012. Mais en réalité, ils masquent difficilement leurs "inquiétudes et interrogations", dixit l'un d'eux.

    Le Nouvel Obs - "L'école véhicule les mêmes discriminations que la société", selon Michel Teychenné

    PARIS (Sipa) -- Michel Teychenné, ancien député européen (PS) et conseiller municipal à Pamiers (Ariège), a été chargé par le ministre de l'Education nationale Vincent Peillon de rédiger un rapport sur les discriminations liées à l'orientation sexuelle, dans le cadre du programme d'action contre l'homophobie présenté mercredi par Najat Vallaud-Belkacem. L'objectif: la mise en place de nouvelles mesures pour lutter contre les discriminations dès la rentrée 2013.

    Le 31 octobre

    Europe 1 - Vote des étrangers : le PS met la pression

    Après l'appel de 75 députés socialistes, Cambadélis lance une pétition nationale.
    Alors que le droit de vote des étrangers aux élections locales semble repousser aux calendes grecques, les socialistes entendent mettre la pression sur l'exécutif. Après "l'appel des 75", du nom des 75 députés socialistes qui avaient exhorté, le 17 septembre, François Hollande et le gouvernement Ayrault à accélérer la cadence, une pétition nationale est aujourd'hui lancée par Jean-Christophe Cambadélis.

    TF1 - Cambadélis lance une pétition pour le droit de vote des étrangers

    "Il faut cesser de reculer, de tergiverser, de biaiser !", écrit le député de Paris en relevant que François Hollande a été élu "en étant clair" sur ce sujet notamment.

    France Info - Jean-Marc Ayrault et les 35h : les coulisses d'un couac

    Le premier ministre tente d'éteindre l'incendie qu'il a lui même déclenché sur le dossier épineux des 35h... Interrogé dans le Parisien sur un retour aux 39h, le Premier ministre estime qu'il n'y a pas de sujet tabou, avant de corriger le tir sur France Info : "pas question de revenir sur les 35h". Une bourde qui en suit une autre.

    Europe 1 - 35 heures : Ayrault clôt la polémique

    Le Premier ministre a affirmé que la gauche ne reviendrait pas sur la durée légale du travail. Eteindre la polémique qu'il a lui-même suscitée. Voilà ce à quoi s'est employé Jean-Marc Ayrault toute la journée de mardi. Après une première opération déminage sur France Info, mardi matin, où le Premier ministre a expliqué qu'il n'était "pas question de revenir sur les 35 heures", Jean-Marc Ayrault a tenté de clore définitivement le débat à l'Assemblée nationale.

    TF1 - 35h : Ayrault rassure sa majorité

    Jean-Marc Ayrault a assuré mardi à l'Assemblée nationale que la durée légale du travail, fixée à 35 heures par semaine, "ne changerait jamais tant que la gauche sera au pouvoir", après avoir dit dans Aujourd'hui en France/Le Parisien que ce n'était "pas un sujet tabou".

    Le Lab d'Europe 1 - Congrès du PS : comment la motion de Gaëtan Gorce a explosé en vol

    Il était le premier candidat déclaré à la succession de Martine Aubry - souvenez-vous, c’était une info du Lab - à la fin du mois de mai et a mené une intense campagne de médiatique. Mais finalement, Gaëtan Gorce ne fera même pas partie du prochain conseil national du PS.

    Le 30 octobre

    Libé - Lienemann : «La réquisition doit d'abord être utilisée comme épée de Damoclès»

    Interview En 2001, Marie-Noëlle Lienemann, alors secrétaire d'Etat au Logement dans le gouvernement Jospin, avait lancé une vague de réquisitions des bâtiments vides. Elle revient sur cette expérience.

    Libé - «Les patrons ont la mémoire courte»

    Le député PS Henri Emmanuelli raille le CAC 40 obnubilé par le fait de redistribuer des dividendes Recueilli par Nathalie Raulin Pour Henri Emmanuelli, député (PS) des Landes et président du conseil de surveillance de la Caisse des dépôts, l’appel de l’Afep est «une attaque politique».

    Le Monde - Selon Chanteguet, Hollande a fait "un discours pour rien" sur la transition écologique

    Le président PS de la commission développement durable à l'Assemblée nationale, Jean-Paul Chanteguet, a fustigé lundi 29 octobre l'absence de "courage" du gouvernement sur la transition écologique. "L'ambition du président de la République de faire de la France le pays de l'excellence environnementale est un discours pour rien", a tranché M. Chanteguet, dans une interview à l'édition en ligne du quotidien Les Echos.

    Le Figaro - Les patrons qui ont travaillé avec la gauche se mobilisent

    Tous les patrons qui ne peuvent pas être suspectés de collusion avec l'UMP montent au front pour tenter d'infléchir la politique économique du gouvernement. Serge Weinberg, le président de Sanofi, Pierre Pringuet, le directeur général de Pernod-Ricard, ou encore Jean-Pierre Clamadieu, le président du comité exécutif de Solvay: ce n'est pas un hasard si ces dirigeants ont posé pour la photo souvenir illustrant l'appel des grandes entreprises en faveur d'un choc de compétitivité, publié dans Le JDD. Ce sont tous, en effet, des patrons étiquetés à gauche, qu'ils aient usé leurs guêtres dans les cabinets socialistes durant leur jeunesse ou qu'ils affichent leurs convictions.

    Le Figaro - Sujets sociétaux : le PS veut jouer un rôle d'aiguillon

    Dans les rangs socialistes, les hésitations, voire la frilosité du gouvernement sur le sociétal, inquiètent. Être en pointe. Le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, intronisé officiellement dimanche à Toulouse, a annoncé la couleur d'entrée: le PS jouera un rôle d'aiguillon vis-à-vis du gouvernement. Pas tant sur l'économique et le social, où les marges de manœuvre sont limitées, que sur le plan sociétal. Mariage et adoption pour tous, droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales, ou encore non cumul des mandats: Désir, qui pourfend la «lepénisation de la droite», veut aller de l'avant.

    Libé - Google : Hollande cuisine Schmidt

    Des entretiens de cet après-midi entre le président exécutif de Google, Eric Schmidt, et le gouvernement, on retiendra deux choses : le patron du moteur de recherche est resté 40 minutes avec la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, et 45 minutes avec le président de la République François Hollande. Aucun commentaire à la sortie de la réunion rue de Valois, aucune déclaration non plus sur le perron de l’Elysée – la cour était même fermée aux médias. « C’est toujours le cas avec les chefs d’entreprise, et Google n’a pas souhaité de rencontre avec la presse », rétorque-t-on à l’Elysée.

    Les  Echos - L'Elysée hésite à ouvrir un nouveau front

    Echaudé par l'affaire des « pigeons », le chef de l'Etat veut y regarder à deux fois avant de se mettre à dos le très influent lobby de la restauration.

    Le Nouvel Obs - PS : 5 leçons pour un congrès

    Désir décroche (enfin) son diplôme; Aubry joue les prolongations; la "bande des quatre" fait du surplace..

    Le Monde - Le dur combat d’Harlem Désir

    Ce dimanche, Harlem Désir n'avait pas droit à l'erreur. Il s'en est bien sorti. Son verbe est haut, clair, énergisant. Il clôt le congrès socialiste de Toulouse en ayant réussi à gommer l'image peu glorieuse de la potiche. Les applaudissements ne sont pas feints. Les socialistes ont un premier secrétaire qui n'est pas seulement la gloire passée de SOS racisme ni le fruit d'un difficile arrangement entre amis plus importants que lui.

    Le Monde - Moscovici juge impossible d'abaisser le coût du travail de 30 milliards d'euro

    Le gouvernement ne peut pas se permettre d'abaisser le coût du travail de 30 milliards d'euros comme le demandent les grands patrons français car cela pèserait trop sur le pouvoir d'achat des Français, a déclaré lundi le ministre de l'économie, Pierre Moscovici.

    Le 29 octobre

    Le Nouvel Obs - Congrès du PS : Harlem Désir a pris les clés

    Le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste a prononcé son discours d'intronisation, dimanche à Toulouse.

    Libé - A Toulouse, le PS à la rescousse

    Reportage Autour de Désir, les socialistes se sont relayés pour défendre le gouvernement. Par Lilian Alemagna, Laure Bretton et Gilbert Laval Envoyés spéciaux à Toulouse
    Un onzième premier secrétaire installé et un message martelé : tous derrière François Hollande et Jean-Marc Ayrault. Sous la houlette de Harlem Désir, les socialistes sont repartis de Toulouse avec trois leçons dans leurs gibecières floquées aux couleurs de leur 76e congrès : défendre l’action du gouvernement, riposter à la droite et ouvrir le parti. Revue de détail des cinq interventions qui ont compté.

    Libé - Les socialistes cueillis à froid par l'appel des patrons français

    Récit Certains, comme Benoît Hamon, dénoncent un «ultimatum pas acceptable» à propos de cette tribune prônant un choc de compétitivité. Par LAURE BRETTON Envoyée spéciale à Toulouse L’appel des patrons français à un choc de compétitivité de 30 milliards, doublé d’un plan d’économies de l’Etat de 60 milliards, publié par le Journal du Dimanche, a cueilli à froid les socialistes au dernier jour de leur congrès de Toulouse.

    Libé - Désir : la droite veut «le sarkozysme en pire»

    Pour son premier discours en tant que premier secrétaire du PS, Harlem Désir a lancé une lourde charge contre l'opposition. Le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, a lancé dimanche une forte charge contre la droite, dont le «seul projet» est «le sarkozysme en pire», dans son discours de clôture devant le congrès de Toulouse. «Leur seul projet c’est le sarkozysme en pire !», a-t-il lancé sous les applaudissements.

    Libé - Au PS, le «chers camarades» est une valeur en hausse

    Reportage Le vocable, un temps remplacé par «chers amis», a été au coeur de toutes les interventions lors du congrès du parti socialiste à Toulouse. Par GILBERT LAVAL TOULOUSE, de notre correspondant.

    C’est le secrétaire fédéral de Haute-Garonne, Sebastien Dénard, qui a ouvert le bal ce dimanche 28 octobre à la tribune du congrès du Parti socialiste. «Chers camarades…», a-t-il lancé en entame de bal.

     Challenges - Un vent de jeunesse attendu sur la direction du PS

    TOULOUSE (Reuters) - Ce sont de jeunes parlementaires, âgés d'une quarantaine d'années, qui font souffler un vent de modernisation au Parti socialiste : derrière Harlem Désir, investi ce week-end premier secrétaire, une nouvelle génération s'apprête à prendre les rênes du PS. A l'instar de Guillaume Bachelay, 38 ans et désormais n°2 du parti, plusieurs "quadras" pourraient figurer dans le casting de la nouvelle direction et renouveler les idées et l'image d'une formation trop souvent assimilée aux seuls "éléphants".

    Le Point - PS - Manuel Valls, la star

    Entouré par une nuée de caméras, le ministre de l'Intérieur a pris soin de ne pas en faire trop au congrès de Toulouse. Manuel Valls est aux anges. Samedi en fin de matinée, le ministre de l'Intérieur passe près d'une heure à arpenter les couloirs du congrès du PS à Toulouse, entouré par une nuée de caméras. Encadré de près par quatre gorilles, il se prête à chaque photo, prend la pose avec "Josette" et tous les autres, gourmande l'un quand l'appareil photo ne se déclenche pas, interroge, facétieux, un garçon qui se plante devant lui : "Quelle est la meilleure équipe de foot du monde ?" Bref, Valls, c'est la star de la journée, même si certains relativisent en évoquant les interventions, dans l'après-midi, de Jean-Marc Ayrault et de Martine Aubry.

    Le Point - PS - Ce qui se cache derrière "la bande des quatre"

    Valls, Peillon, Moscovici et Le Foll ont défilé samedi au congrès de Toulouse avec leur popularité, leurs propositions, leurs manoeuvres. Ils sont quatre, ils sont donc "la bande des quatre". Mais Manuel Valls, Stéphane Le Foll, Vincent Peillon et Pierre Moscovici n'aiment pas cette expression. Ce dernier s'enflammait même sur France Inter le 4 octobre dernier, confiant qu'il la "déteste" !

    Le Monde (blog) - Congrès du PS à Toulouse, 26 au 28/10/2012

    Vous n'y verrez pas les deux entrées triomphales de Jean-Marc Ayrault. Une première qui surprend les caméras, puis une autre, lourdement mise en scène par sa nouvelle communication. Harlem Désir y est sacré sans gloire. La présence des ministres socialistes et l'adieu à la direction du parti de Martine Aubry occupent le vide d'un congrès entendu, sans passion, ni débat, ni liberté de mouvement pour les preneurs d'images.

    Le Point - Sous le feu des critiques, Ayrault "assume"

    Au Congrès du PS à Toulouse, le Premier ministre a affirmé sa volonté de refaire de la France "un lieu de production". Jean-Marc Ayrault a "assumé" et "revendiqué" sa méthode, celle du dialogue social et de la "mobilisation", même si cela doit prendre "du temps", plaidant pour un "nouveau modèle français", devant les militants du PS réunis en congrès à Toulouse. Sous le feu des critiques, le Premier ministre a défendu son action : "Une condition fondamentale de la réussite de toutes (les) réformes dans la durée, c'est le dialogue social et je revendique ma méthode." "C'est celle de la mobilisation de toutes les forces du pays (...), de la fédération de toutes les énergies, de l'adhésion des Français à des solutions durables qui permettent d'ancrer le changement dans la durée", a-t-il ajouté.