lauvergeon
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#10Mai1981 Anne Lauvergeon nous raconte son 10 mai 1981
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L'actualité des socialistes du 12 au 18 novembre (mise à jour)
Le JDD - Cambadélis : "Il faut que la gauche dialogue"
INTERVIEW - Jean-Christophe Cambadélis, député de Paris, premier vice-président du Parti socialiste européen, s'inquiète de voir les différends s'accumuler entre la gauche et les écologistes. Extraits.
18 novembre
Le Nouvel Obs - Désir : le "parti est en ordre de marche"
Le nouveau patron du PS a présenté son équipe dirigeante, composée de 56 secrétaires nationaux, à parité homme-femme.
Challenges - L'aile gauche du Parti socialiste écartée de la direction
La sénatrice Frédérique Espagnac et le sénateur David Assouline ont été nommés samedi porte-parole du Parti socialiste français par le nouveau "patron" du PS Harlem Désir, qui a exclu l'aile gauche du parti de la nouvelle équipe. Le secrétariat national (le gouvernement du parti, ndlr) est totalement paritaire et compte 56 secrétaires nationaux, précise l'organigramme présenté au conseil national du PS.
France 3 - Gaëtan Gorce : le nouvel exécutif du PS est une "armée mexicaine"
Le sénateur de la Nièvre et maire de La Charité-sur-Loire n'a pas de mots assez durs pour qualifier les nouvelles instances nationales de son propre parti.
16 et 17 novembre
Le Monde (blog) - Les germes d’une recomposition politique
Six mois ! Il aura fallu six mois pour que le paysage du quinquennat commence à se fixer. Pas seulement à cause des tâtonnements de François Hollande mais en raison de l’instabilité qui régnait tout autour.
Le Figaro - Les socialistes impatients de voir le PS en ordre de marche
Le premier secrétaire Harlem Désir dévoile samedi matin son équipe, à l'occasion d'un conseil national du parti. Après six mois de transition, le PS est appelé à se mettre enfin en ordre de marche.
Le Point - Les retrouvailles de Peillon et Montebourg
Les deux anciens amis se sont retrouvés jeudi à Lille pour un déplacement sur la compétitivité. Sous une pluie d'hommages réciproques.
Le Monde - La politique de l'offre de Hollande, "une vraie rupture" dans l'histoire de la gauche
Il a assumé sa politique rigoureuse, et soucieuse des entreprises... loin des aspirations de la gauche radicale. Le président François Hollande a justifié, lors de sa conférence de presse, mardi 13 novembre, ses choix, niant ce qui s'apparente pourtant à un tournant opéré dans sa politique au bout de six mois d'exercice de pouvoir, avec des mesures qui s'éloignent de son discours de candidat.
Le Monde (blog) - Crise: Mendès France à la rescousse
Points de vue intéressants de deux ministres au lendemain de la première conférence de presse de François Hollande.
Stéphane Le Foll, d'abord. Il était l'invité ce mercredi 14 novembre de l'émission Questions d'info sur LCP (en partenariat avec Le Monde, France info et l'AFP). Le ministre de l'agriculture est un ami très proche du président de la République. Il était à ses côtés au tout début de la campagne de la primaire socialiste lorsque les méchants camarades daubaient sur "Monsieur 3 %"parce que le député de Corrèze plafonnait à 3 % dans les sondages.
Le Monde - TVA de droite, TVA de gauche : le jeu des différences selon Hollande
Difficile pour François Hollande de justifier une mesure que lui-même et son camp ont conspuée pendant la campagne. Pour le candidat socialiste, la TVA dite "sociale", puis "antidélocalisation" était injuste. En revanche, pour le président de la République, il n'en sera pas de même pour la hausse – il est vrai plus mesurée – de la TVA en 2014.
Le Figaro - Désir présentera son équipe samedi
Harlem Désir, nouveau premier secrétaire du Parti socialiste, présentera samedi matin son équipe dirigeante au conseil national, le "parlement" du parti, un premier test pour celui qui tente d'imprimer sa marque au sein du parti majoritaire. La présentation de l'exécutif du parti - à la fois le "bureau national" et le "secrétariat national" - à La Mutualité à Paris, sera l'ultime étape du processus de succession de Martine Aubry et le point d'orgue du Congrès de Toulouse de fin octobre, lors duquel Harlem Désir était devenu officiellement patron du PS. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault y assistera.
Le Monde - La politique de M. Hollande suscite un malaise croissant à la gauche du PS
Le Parti socialiste finira-t-il par gouverner seul, sans ses partenaires écologistes et avec l'opposition frontale de ses anciens alliés communistes ? A la gauche du PS, la politique du gouvernement provoque un malaise croissant. Signe de ce trouble, l'exécutif devrait subir un nouveau contretemps jeudi 15 novembre au Sénat avec le rejet probable, à cause des communistes, du projet de budget de la sécurité sociale – un texte que le PS fera adopter à l'Assemblée.
Libé - L’exécutif en plein com back
Analyse Après six mois de couacs, le pouvoir lance la contre-attaque dans la bataille de l’opinion. Par GRÉGOIRE BISEAU et LAURE BRETTON
Au menu, c’est contrition. Elle est subtile mais bien présente, lundi midi, à la table du ministre de la Défense. A la veille du grand oral présidentiel, Jean-Yves Le Drian, un hyperfidèle de François Hollande, truffe son exposé de signaux qui ne trompent pas sur les six derniers mois : «Peut-être qu’on ne l’a pas assez dit», répète-t-il une demi-douzaine de fois. Avant de remplacer la formule par un souhait pour l’avenir : «Peut-être qu’il faudrait qu’on dise plus…» Pour la gauche hollandaise, diriger autrement devait suffire, remettant la communication «à sa place» après l’hystérie sarkozyste. Mais à l’issue d’un semestre brouillon et bruyant, l’exécutif a fini par prendre le problème au sérieux.
Les Echos - Le PS a mal à son « surmoi keynésien »
Le calendrier est ainsi fait que François Hollande a annoncé mardi soir sa volonté de réduire de 60 milliards sur cinq ans les dépenses publiques et formalisé son ralliement à une politique « de l'offre », la veille de l'organisation dans les capitales européennes de manifestations contre l'austérité auxquelles participaient, à Paris, les leaders syndicaux et le Front de gauche. Les responsables de cette force politique ont critiqué l'orientation du chef de l'Etat, Jean-Luc Mélenchon fustigeant même un « exercice de renoncement avec le sourire ». C'est sans surprise, mais cela augure mal du vote des communistes au Sénat, où leurs voix sont nécessaires à la majorité. Chez les élus socialistes, l'empressement à saluer la performance du président sur la forme le dispute à une inquiétude sur les conséquences de la politique choisie.
Les 14 et 15 novembre
Le Monde (blog) - François Hollande assume enfin le hollandisme
François Hollande a-t-il réussi à rattraper le temps perdu ? C'était l'enjeu de la longue conférence de presse qu'il a tenue ce mardi 13 novembre, la première de son quinquennat.
Le Monde - Le président défend un choc de rigueur de 60 milliards d'euros sur la dépense publique
Soixante milliards d'euros d'économies sur les dépenses publiques sur la durée du quinquennat, soit douze milliards par an : c'est ce qu'il faudra faire pour ramener les comptes publics à l'équilibre et financer le pacte de compétitivité. Cet effort, François Hollande l'a pleinement assumé mardi 13 novembre.
Le Nouvel Obs - Hollande met la pression sur les partenaires sociaux
Le chef de l'Etat a fermement invité syndicats et patronat à trouver un accord avant la fin de l'année sur la sécurisation de l'emploi.
Le Monde - Hollande sur Manuel Valls et le terrorisme : "Ne polémiquons pas"
La séance a été levée à l'Assemblée nationale mardi 13 novembre, après que le ministre de l'intérieur, Manuel Valls, a accusé la droite d'être responsable du "retour au terrorisme". Le ministre répondait à une question d'Eric Ciotti (UMP), au sujet des chiffres de la délinquance en hausse au mois d'octobre.
Libé - François Hollande, président en exercice
Pour sa première conférence de presse à l’Elysée, le chef de l’Etat a endossé avec succès le costume présidentiel, six mois après son élection. Par Grégoire Biseau et Laure Bretton Photos Sébastien Calvet
La boucle est bouclée. Il y a six mois presque jour pour jour, installé face à Nicolas Sarkozy lors du débat de l’entre-deux-tours de la présidentielle, François Hollande faisait découvrir aux Français l’anaphore. Répétant 16 fois «moi, président de la République, je ferai…» Pour installer l’idée que lui candidat socialiste était prêt à diriger la France. Hier, il y a eu comme un étrange écho dans la salle des fêtes de l’Elysée sous l’œil des angelots dorés du plafond et de 32 ministres sur leur 31. «Je suis un président qui…», a-t-il scandé à quatre reprises, «mais je vais m’arrêter là», a-t-il alors coupé dans un sourire.
Libé - Revivez la conférence de presse de François Hollande
Sur fond de popularité en berne, le président de la République a répondu pour la première fois à la presse depuis le début de son quinquennat.
Le Nouvel Obs - François Hollande : "Il n'y a pas eu de virage"
Le président de la République a répondu pendant près de deux heures aux question des journalistes.
Libé - «J’ai fait mes choix et je m’y tiens»
EXTRAITS François Hollande a tenu ce mardi après-midi sa première conférence de presse en tant que président de la République. TVA, droit de vote, Allemagne, mariage pour tous, crise... retrouvez ses principales déclarations.
Le Nouvel Obs - Hollande : la conférence de presse comme si vous y étiez
En 2h30, le président a répondu à toutes les questions sans se départir de son calme et de sa bonne humeur. Examen réussi.
Le Monde (blog) - Six mois à l’Elysée : François Hollande a-t-il tenu ses promesses ?
Les six premiers mois de la présidence Hollande se terminent sur une promesse tenue et une promesse brisée : en organisant sa première conférence de presse semestrielle pour rendre compte de son action, le président de la République se conforme à un de ses engagements de campagne. Mais en choisissant pour cadre le palais de l'Elysée, il rompt avec une autre promesse. Une contradiction symbolique, à l'heure de tirer un premier bilan de l'application de ses promesses.
Europe 1 - Cambadélis "sidéré" par les "hollandais"
Le député PS de Paris Jean-Christophe Cambadélis s'est dit "sidéré", lundi, de voir des ministres proches de François Hollande annoncer "sur un ton un peu comminatoire ce que devrait être" sa conférence de presse mardi.
Le Monde - Arnaud Montebourg : son projet explosif pour Petroplus
Créer un champion franco-libyen du pétrole. C'est le plan – explosif – concocté par Arnaud Montebourg pour sauver la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime), mise en liquidation judiciaire le 16 octobre et où 470 emplois sont menacés.
Les 12 et 13 novembre
Rue 89 Lyon - Eau du Grand Lyon : Collomb ne fait pas plier sa gauche
Sans surprise, le Grand Lyon, présidé par Gérard Collomb (PS), a adopté ce lundi le renouvellement de la gestion de l’eau par le privé. Mais sans les voix de communistes et des écolos, pourtant membres de la majorité. Favorables au passage à une régie publique, ils ont voté contre leur patron.Sondage Pour les Français interrogés par Viavoice pour «Libération», la chute de Hollande et Ayrault dans les enquêtes d'opinion est due à la crise.L’Elysée sait que la conférence de presse du Président, aujourd’hui, ne suffira pas à redorer son blason. Et préfère tabler sur la durée.Le Monde - François Hollande contraint de justifier son virage économique
Une conférence de presse tous les six mois, avait-il dit pendant la campagne. "Dans un lieu neutre", précisait-il à la veille de sa victoire. La première promesse sera tenue, pas la seconde. Mardi 13 novembre, François Hollande répondra aux questions des journalistes, mais depuis la salle des fêtes de l'Elysée, là où se pratique l'exercice depuis de Gaulle avec une périodicité fluctuante. "C'est la maison des Français, c'est normal que le président leur parle de là où il s'occupe de leurs problèmes", justifie son entourage.
Le Monde - Cahuzac veut intensifier la lutte contre la fraude fiscale
Le ministre du budget, Jérôme Cahuzac, déclare dans un entretien publié lundi 12 septembre par Libération vouloir renforcer le rendement des services fiscaux, grâce à un arsenal antifraude renforcé destiné à récupérer 1 milliard d'euros supplémentaire l'an prochain.
Libé - «Lutter contre le chômage, c’est une politique de gauche»
Interview Jérôme Cahuzac, ministre délégué au Budget, soutient à plein l’exécutif et son crédit d’impôt pour les entreprises. Et prévient : les efforts doivent être partagés par tous. Par GRÉGOIRE BISEAU, CHRISTOPHE ALIX
Réputé pour son franc-parler, le ministre délégué au Budget, Jérôme Cahuzac, a reçu Libération dans son bureau, au 5e étage de Bercy, samedi soir. Sous le cadre d’une couverture de Picsou Magazine offerte par ses amis pour ses 60 ans, le grand argentier de la République assume le choix de la rigueur.
Le Monde - Le "made in France" et ses limites industrielles
La photo d'Arnaud Montebourg posant en "une" du magazine du Parisien en marinière avec une montre française et un produit ménager tricolore n'a pas fini de faire des vagues. Le ministre du redressement productif voudrait remettre au goût du jour le "made in France", au point d'envisager la création de rayons consacrés aux produits français dans les supermarchés. Est-ce le retour du "patriotisme économique" exalté aussi en 2005 par Dominique de Villepin ?
Une semaine après l’annonce du pacte pour la compétitivité, la croissance et l’emploi, le ministre du Redressement productif revient en exclusivité pour L’Usine Nouvelle sur les mesures prises par le gouvernement. Il défend le crédit d’impôt compétitivité, tacle une fois de plus le bilan industriel de l’ère Sarkozy comparé à un champ de ruines et promet un plan pour promouvoir le made in France rapidement.
01.net - Après s'en être réjoui, Arnaud Montebourg déplore l’arrivée de Free Mobile
Dans un entretien à L'Usine nouvelle, le ministre du Redressement productif estime que Huaweï et ZTE ont été favorisés par rapport à Alcatel et que Free Mobile a causé un désastre social.
Le Monde - La justice demande à nouveau de lever l'immunité parlementaire du sénateur PS Guérini
Le juge Charles Duchaine souhaiterait placer en garde à vue Jean-Noël Guérini, dans un dossier connexe à celui dans lequel il avait été mis en examen le 8 septembre 2011, a-t-on appris lundi.
Le Monde - François Hollande : six mois pour tout (re)commencer, Post de blog
La question de fond à aborder mardi pour sa première conférence de presse, c'est François Hollande lui-même qui l'a formulée : "Est-on parti pour cinq ans de crise ou pour un quinquennat de redressement ?"
Le dossier de Rue 89 Lyon sur la gestion de l'eau par le Grand Lyon
Libé - Commission Jospin : la rénovation laisse sur sa faim
Récit L’ex-Premier ministre a remis, vendredi, au Président son rapport sur la vie publique. Des propositions qui, pour certains, ne vont pas assez loin. Par JONATHAN BOUCHET-PETERSEN
Entre le «peut mieux faire» et le «c’est déjà ça». C’est ainsi que plusieurs membres de la Commission de rénovation et de déontologie de la vie publique, présidée par Lionel Jospin, décrivent le rapport qu’ils ont collectivement remis à François Hollande, vendredi à l’Elysée. Un son de cloche loin de «l’exercice d’autosatisfaction un peu déplacé», selon l’un d’eux, auquel l’ancien Premier ministre socialiste, assez détendu, se serait livré lors de la conférence de presse qui s’est tenue dans la foulée dans les locaux de la commission.
Le Monde - Une majorité entre fractures et ruptures
Heureusement pour le Parti socialiste, il a la majorité absolue à lui tout seul - ou plus exactement avec le concours des radicaux et des divers gauche. S'il devait compter sur l'appui d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) et du Front de gauche, il n'arriverait pas à gouverner.
EELV a deux ministres mais, à rebours des communistes en 1936 qui pratiquaient le "soutien sans participation", il participe avec un soutien à géométrie variable. Quant au Front de gauche, sous la houlette de Jean-Luc Mélenchon, il se singularise en s'opposant.
Le Monde - Entre les écologistes et le PS, les sujets qui fâchent se multiplie
Les sujets de désaccord ne cessent de se multiplier entre les écologistes et le PS. Si les principaux dirigeants d'EELV ont tenté, vendredi 9 novembre, d'atténuer les propos de Jean-Vincent Placé, président du groupe écologiste du Sénat, sur l'hypothèse d'une sortie des ministres écologistes du gouvernement, en parlant de "déclaration personnelle", ils n'ont pu s'empêcher de faire part de "signaux inquiétants" dans la vie de la majorité. Décryptage des principaux facteurs de tensions.
Le Figaro - Encore un effort, M. Hollande !
Les décisions prises au lendemain du rapport Gallois annoncent-elles un tournant dans le quinquennat ? Une fois de plus, François Hollande entretient le flou sur ses intentions. «Êtes-vous au pouvoir?» Quand son interlocuteur formule cette question devant lui, François Hollande a un temps d'hésitation. Un peu interloqué, le président lui demande la raison de cette interrogation. Retiré de la vie politique active, occupant aujourd'hui un poste d'influence, l'homme lui explique: «On a l'impression que ce sont les groupuscules du PS, les think tanks, qui ont le pouvoir. Pas vous.» François Hollande a-t-il compris le message? Certains de ses visiteurs en doutent. L'un d'eux raconte: «Quand vous lui expliquez quelque chose, il vous donne l'impression d'avoir compris et d'être d'accord avec vous. Mais quelques jours après, vous vous rendez compte qu'il fait l'inverse!»
Le Nouvel Obs - Batho s'entoure de 5 "sages" pour débattre sur l'énergie
La présence d'Anne Lauvergeon et de Pascal Colombani dans le comité provoque la colère des ONG.
Le Monde - Michel Rocard : "Un signal a été donné aux entreprises. Il était temps"
Il a accepté l'entretien bien volontiers, même s'il s'amuse qu'on soit venu le voir alors qu'il n'est plus, comme il dit, "en service actif". A 82 ans, pourtant, c'est un Michel Rocard en pleine forme qui reçoit Le Monde dans son bureau des Champs-Elysées où trône une immense photo de lui emmitouflé dans le froid, qui rappelle qu'il est depuis 2009 ambassadeur chargé des négociations internationales relatives aux pôles Arctique et Antarctique.
Le Progrès - Politique. Gérard Collomb : « Les élus des grandes villes doivent siéger au Sénat »
Mesure phare du rapport Jospin sur la rénovation de la vie politique remis hier à l’Elysée, l’interdiction de cumuler un mandat de parlementaire avec celui d’un exécutif local, a suscité la levée de boucliers attendue au Sénat par 348 sénateurs.
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