amirshahi
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Pouria Amirshahi : "L'Iran est dans un moment de grande fragilité"
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Revue de presse hebdomadaire du 4 au 11 mars
A LA UNE
Libé - Loi El Khomri : la gauche face à sa raison d’être
ANALYSES
Ce devait être un texte équilibrant les rapports entre salariés et employeurs, nourri par le récent rapport Lyon-Caen /Badinter sur « les principes essentiels du droit du travail ». Mais la « loi travail » s'est muée en un projet faisant la part belle aux revendications du Medef et des grandes entreprises. Résultat, à deux semaines de la présentation au Conseil des ministres du projet de loi de la ministre du Travail, Myriam El Khomri, la colère enfle : une pétition continue d'engranger des signatures (plus d'un million à ce jour), et mercredi aura lieu une manifestation à l'appel de plusieurs syndicats et d'organisations de jeunes (CGT, FO, FSU, Solidaires, l'Unef, les syndicats de lycées)… Dominique Méda, professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine et titulaire de la chaire Reconversion, travail, emploi au Collège d’études mondiales, spécialiste de la question du travail, auteur d’un Que sais-je ? sur le travail et co-auteure de Travailler au XXIe siècle, nous explique pourquoi la loi travail fait l'impasse sur les véritables défis du travail en France aujourd'hui.
OFCE - Le Jobs Act de Matteo Renzi : un optimisme très mesuré
par Céline Antonin
A l’heure où le débat sur la réforme du marché du travail cristallise les passions en France, l’Italie tire quant à elle les premiers enseignements de la réforme mise en place il y a un an. Il faut dire que la réforme du marché du travail, baptisée Jobs Act, faisait partie des promesses de campagne de Matteo Renzi. Le marché du travail italien souffre en effet de faiblesses chroniques, notamment la segmentation, la dualité entre salariés protégés et non protégés, le fort taux de chômage des jeunes, ou encore l’inadéquation des coûts à la productivité du travail. D’inspiration sociale-libérale, la réforme de Matteo Renzi prône la flexisécurité, avec l’introduction d’un nouveau contrat de travail à durée indéterminé et à protection croissante, une baisse des charges sociales sur les entreprises, et une meilleure indemnisation et un accompagnement des chômeurs. Le premier bilan est certes positif en termes de chômage et de créations d’emploi. Cela étant, il faut se garder de tout triomphalisme hâtif, car cette réforme intervient dans des circonstances particulièrement favorables avec le retour de la croissance, le policy mix accommodant, ou encore la stagnation de la population active.
OFCE - L’économie européenne 2016
par Jérôme Creel
Pour la première fois, l’OFCE vient de publier un ouvrage synthétique intitulé L’économie européenne 2016 dans la collection Repères des éditions La Découverte. Après soixante années, le chemin parcouru par l’Union européenne ne doit pas manquer de nous impressionner. Pourtant, de nombreuses interrogations demeurent quant à l’efficacité, voire à la pérennité, du projet européen d’intégration. Ce petit livre vise à éclairer le débat, en le resituant dans son contexte historique.
PORTRAIT
Libé - Benjamin Lucas : envoyer valser
Le président des Jeunes Socialistes s’oppose à la loi travail et appelle à manifester contre le gouvernement PS.
Dans ce bistrot de Belleville, ils sont alignés en brochette représentative, avec autocollant de leur «orga» sur le thorax. Les mandants des syndicats étudiants et lycéens comme les leaders des sections jeunes des partis de gauche viennent dire leur opposition à la loi El Khomri et annoncer la manifestation du 9 mars. Au-delà des revendications servies en plateforme, ce moment tient aussi du casting printanier pour nouvelles stars d’une activité très décriée. Les futurs Hollande, Besancenot, Duflot et compagnie ouvrent le bal des débutants et font leurs premières gammes. L’un des participants aimante évidemment l’attention, car sa position est délicate. Benjamin Lucas, président du Mouvement des jeunes socialistes (MJS), appelle à la mobilisation contre le gouvernement, soutenu par le parti père du MJS, le PS.
LYON
Pierre-Alain Muet - Invité de l’émission Droit de cité sur Lyon PremièreUn entretien d'1/2h avec Romain Meltz, journaliste, ainsi que Babacar, Julia et Marine, étudiants à l'université de Lyon 2, dans le cadre de l'émission Droit de Cité.
http://www.lyonpremiere.com/Pierre-Alain-Muet-depute-PS-du-Rhone_a12047.htmlParmi les sujets abordés :
- Le CICE, pourquoi ça n'a pas marché ? Fallait-il des contreparties ? Pouvait-on le centrer sur les entreprises exportatrices ?
- Les paradis fiscaux en Europe : le scandale des accords fiscaux au Luxembourg...
- La déchéance de nationalité
- La réforme fiscale, la CSG progressive... Quelle suite à l'amendement Ayrault-Muet après la censure du conseil constitutionnel ?
- La réforme du code du travail
- Lyon : Le musée des tissus, la privatisation de l'aéroport, les candidats à ma succession aux législatives de 2017...LA MANIF
Libé - «Faites l’amour, pas des heures sup»
Ce n’est pas un raz-de-marée, mais un premier rendez-vous plutôt réussi pour les syndicats et les organisations de jeunesse qui appelaient à la mobilisation, mercredi, contre le projet de loi travail. Près de 30 000 manifestants ont ainsi défilé dans la capitale (selon la police), et 224 000 dans toute la France. Une mobilisation rarissime sous un gouvernement de gauche, qui va sans aucun doute peser sur le niveau de concessions que l’exécutif s’apprête à faire. Dès la fin d’après-midi, le gouvernement faisait savoir qu’une surtaxe des CDD était envisagée. Pas de quoi refroidir l’Unef, qui appelait à une «nouvelle journée d’action dans les universités», jeudi 17 mars.....
14 heures. Paris, avec les frondeurs PS
A quelques encablures de la place de la République à Paris, le député Christian Paul avertit, sous le regard approbateur de la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann : «Le projet de loi n’est pas amendable en l’état, le gouvernement doit retirer le texte et récrire une nouvelle loi.» Une élue de la capitale se met un peu à l’écart. «C’est fou, on manifeste contre un gouvernement socialiste ! Mais bon, nous ne sommes pas en tort, c’est eux les fautifs.» Les frondeurs se mettent en marche vers la place de la République, se faufilent dans la foule, se perdent. Une militante socialiste regarde Jérôme Guedj et peste : «On aurait pu prévoir une bâche pour être visible, quand même !» L’élu de l’Essonne tire sur sa clope : «Oui, et qu’est ce qu’on aurait écrit sur cette bâche ?»
Le Monde - Entre 224 000 et 500 000 manifestants en France contre le projet de loi travail
Lycées bloqués, manifestations, grève dans les transports en commun… Le gouvernement était confronté, mercredi 9 mars, à une journée de contestation de sa réforme du code du travail portée par la ministre du travail, Myriam El Khomri. Alors que le premier ministre, Manuel Valls, doit rencontrer l’ensemble des dirigeants syndicaux lundi, deux autres appels à la mobilisation ont été lancés d’ici à la fin du mois contre ce texte.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/03/09/le-gouvernement-confronte-a-une-premiere-journee-de-mobilisation-contre-la-loi-travail_4879485_823448.html#crRXXqh7VL3my4bF.99Invité de l’émission Droit de cité sur Lyon Première - See more at: http://www.pierrealainmuet.fr/a-lyon/item/741-invit%C3%A9-de-l%E2%80%99%C3%A9mission-droit-de-cit%C3%A9-sur-lyon-premi%C3%A8re?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook#sthash.tQFs1bbY.dpufLOI TRAVAIL
Europe 1 - L'Unef téléguidée ? "Un fantasme de quelques politiques", selon Pouria Amirshahi
Le député frondeur Pouria Amirshahi a affirmé mercredi dans la Matinale d'Europe 1 qu'il n'avait pas poussé l'Unef à se mobiliser contre la loi Travail, contre laquelle des manifestations sont prévues dans tout l'Hexagone mercredi. Il a qualifié cette affirmation de "risible" : c'est "un fantasme de quelques politiques qui ont besoin de trouver une explication". Bon nombre de dirigeants et de cadres actuels du PS, dont son premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, sont issus de l'Unef et l'influence du premier sur le second est pointée du doigt en ce moment.
Karine Berger était l’invitée de Territoires d’Infos sur Public Sénat et Sud Radio. La députée socialiste des Hautes-Alpes est revenue sur la venue de Myriam El Khomri au bureau national de son parti hier soir. Elle note « une erreur politique » sur la manière dont le gouvernement à abordé la réforme de la Loi travail ».
BFMTV - Cambadélis "satisfait que le gouvernement ait choisi de discuter"
Jean-Christophe Cambadélis s'est déclaré "satisfait" mardi sur BFMTV que le gouvernement ait pris en compte la situation et décidé "de discuter avec les syndicats, les parlementaires de la majorité et le Parti socialiste" au sujet de la loi Travail de Myriam El Khomri. "J'ai été le premier, sur BFMTV, a dire que cette loi était déséquilibrée", a rappelé le premier secrétaire du PS alors que certains députés et sénateurs du parti rencontrent Manuel Valls dans la soirée.Le Monde - Au bureau national du Parti socialiste, Myriam El Khomri en position délicate
C’est à croire que les socialistes ont un sens aigu de la scénographie. Myriam El Khomri a défendu, lundi 7 mars, son avant-projet de loi sur le droit du travail devant le bureau national du Parti socialiste. Derrière elle, sur la fresque murale, une photo grand format de Martine Aubry, sa prédécesseure au ministère du travail du temps de Lionel Jospin. Devant elle dans la salle, la même Martine Aubry, en vrai cette fois-ci, venue redire devant ses camarades tout le mal qu’elle pensait de cette réforme. La scène, immortalisée sur Twitter par le député du Cher Yann Galut, symbolise à la fois le choc de générations entre les deux femmes et l’affrontement sourd qui menace la cohésion de la majorité.Le chef de file des frondeurs attend Myriam El Khomri de pied ferme, ce lundi soir, au bureau national du PS. Il est vent debout contre sa loi.
Boursorama - Loi Travail: le retrait "sans doute la meilleure mesure" déclare Hamon (PS)
Benoît Hamon, député PS frondeur, a déclaré lundi sur RTL que le retrait du projet de la loi Travail serait "sans doute la meilleure mesure".
Boursorama - Le PS demande des améliorations de la loi Travail
PARIS (Reuters) - Le Parti socialiste a demandé lundi soir des améliorations du projet de réforme du Code du travail lors d'une réunion exceptionnellement longue de son bureau national qui a donné lieu à des débats très vifs, selon plusieurs participants.
La ministre du Travail, Myriam El Khomri, était venue défendre son texte devant cette instance du principal parti de la majorité, profondément divisé sur cette réforme.
Selon le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, la moitié de ses 70 membres ont pris la parole pour demander, qui son retrait pur et simple - une minorité -, qui une réécriture plus ou moins détaillée, voire complète.
DECHANCE DE NATIONALITE
Public Sénat - Ces sénateurs PS opposés à la déchéance de nationalité
Le groupe PS du Sénat compte aussi ses opposants à la déchéance de nationalité. La résistance s’élargit au-delà des frondeurs. Les opposants représenteraient environ un tiers du groupe. Ils comptent bien se faire entendre lors du débat par un amendement de suppression
FRONDEURS
Libé - Le frondeur Amirshahi quitte le PS pour revenir au militantisme citoyen
Député de l'aile gauche depuis 2012, Pouria Amirshahi coupe les ponts avec le PS, dénonçant les «renoncements» de l'exécutif et sa politique néo-conservatrice.
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Pouria Amirshahi - « La rupture avec la jeunesse abandonnée est flagrante »
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Pouria Amirshahi (PS): «La France a une position déséquilibrée en faveur de l’Arabie Saoudite»
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L'actualité des socialistes du 16 au 29 novembre (mise à jour)
A la une
Le Figaro - Régionales : inquiétude au PS devant l'absence de stratégie face à la montée du FN
L'approche du premier tour des élections régionales et la nette progression du FN dans les sondages rend certains socialistes fébriles.
Quelles que soient les variations de l'opinion ou les surprises de l'actualité, la direction du PS répète sa ligne comme un mantra: aucune décision, aucune stratégie ne sera arrêtée pour réagir face à la poussée du FN avant le soir du premier tour. Une posture destinée à préserver la campagne des candidats sur le terrain, et à donner le change au ni-ni des Républicains. Mais à dix jours premier tour, alors que la montée du FN se profile après les attentats du 13 novembre, tous les socialistes ne veulent plus jouer à se faire peur en repoussant au dernier moment les décisions cruciales. «Je sais que c'est difficile à croire mais rien n'est arrêté» sur la stratégie au soir du premier tour, déplore le député PS Yann Galut dans Le Parisien ce jeudi.
27, 28 et 29 novembre
Libé - Régionales: le PS mise sur une campagne très courte, «sans trompettes ni fanfreluches»
Le PS mise pour les régionales sur une campagne très courte et sobre, qui ne reprendra son plein élan, l’espace d’une semaine, qu’après l’hommage national vendredi aux victimes des attentats, ses responsables étant persuadés que l’électorat ne se déterminera qu’au dernier moment.
Le Parisien - Le FN dopé par les attentats : la grande peur du PS
LE FAIT DU JOUR. Le sondage exclusif Odoxa pour notre journal et BFMTV révèle que le FN est le seul parti à progresser réellement depuis les attentats.
FranceTVinfo - Régionales : les candidats PS ne profitent pas de la popularité de François Hollande
Si le président de la République remonte dans les sondages, après les attentats, les socialistes sont quand même donnés perdants aux prochaines élections.
Cette réunion au ministère de l'Intérieur, qui sera hebdomadaire, doit permettre au Parlement de contrôler l'application de ce régime d'exception.25 et 26 novembre
Libé - Les socialistes repartent (presque) en campagne
Plus de dix jours après les attentats, les listes PS reprennent le chemin des marchés quand les ministres et la direction socialiste préfèrent temporiser.
Le PS mise pour les régionales sur une campagne très courte et sobre, qui ne reprendra son plein élan, l'espace d'une semaine, qu'après l'hommage national vendredi aux victimes des attentats, ses responsables étant persuadés que l'électorat ne se déterminera qu'au dernier moment.
Le Figaro - Les députés PS qui ont voté contre l'état d'urgence convoqués à Solférino
Les trois élus qui se sont opposés au projet de loi prolongeant l'état d'urgence jeudi dernier devront s'en expliquer devant la direction du parti après les régionales.
Le Point - Post-attentats : demandez l'argumentaire du PS !
La campagne régionale va reprendre vendredi au PS. La Rue de Solférino a préparé des arguments pour répondre aux critiques.
Le Progrès - Rhône-Alpes/Auvergne : Wauquiez et Queyranne restent au coude à coude
Selon un sondage Elabe diffusé lundi pour Les Echos, Radio Classique et Alila, le duel est toujours aussi serré, au deuxième tour du scrutin de décembre, entre les candidats Les Républicains-UDI-MoDem et PS-PRG.
23 et 24 novembre
WHAT HE SAYS ? - "C'est une sorte d'explication de texte que nous allons faire ensemble, comme si vous étiez dans une classe préparatoire." Guillaume Durand n'est pas qu'intervieweur politique, il est aussi un homme de lettres. Et c'est avec cette double casquette qu'il a interrogé Jean-Christophe Cambadélis, sur Radio Classique et LCI, lundi 23 novembre.
«Que les prières soient faites en arabe, ça peut se comprendre, mais que les prêches soient en français, c’est important (…) Les prêches, c’est là où il y a le message qui est délivré, il faut que ce soit fait en français. »
Cette phrase n’a pas été prononcée par un élu des Républicains, mais bien par Julien Dray, figure du parti socialiste, invité de RTL lundi 23 novembre. Il n’est pas le seul : la demande a aussi été formulée par le parti des radicaux de gauche.
Le Figaro - Interdire les prêches en arabe, une idée de droite qui gagne le PS
Réclamée de longue date par le FN et certains cadres des Républicains, cette mesure est désormais plébiscitée par Julien Dray.
L'Express - La proposition de loi "zéro chômeur de longue durée" bientôt à l'Assemblée
Une proposition de loi socialiste destinée à éradiquer le chômage de longue durée sera examinée en séance à l'Assemblée nationale fin novembre, avec le soutien du gouvernement. Et si c'était son arme ultime?
C'était une utopie, ce sera peut-être bientôt une loi. En juillet dernier, le député socialiste Laurent Grandguillaume a déposé une proposition de loi destinée à éradiquer le chômage de longue durée.
Ils n’ont été que six à dire non. Six députés - trois socialistes et trois écologistes - ont voté contre le projet de loi prolongeant l'état d'urgence le jeudi 19 novembre. Un petit nombre qui illustre le rassemblement de la gauche derrière certaines décisions de François Hollande, après les attentats du 13 novembre. Ainsi, Cécile Duflot a donné son "soutien" au gouvernement pour protéger les Français tandis que Jean-Luc Mélenchon s'est félicité de l'abandon des contraintes budgétaires européennes, tout en regrettant la logique sécuritaire du chef de l'État.
Francetvinfo - Régionales : la gauche est unie partout (...selon le ministère de l'Intérieur !)
Alors que la gauche part divisée dans toutes les régions, le ministère a baptisé "listes d'union de la gauche" celles du PS. De quoi susciter la colère des communistes.
RFI - Claude Bartolone: «Oui on peut combattre Daech, oui on peut triompher de Daech!»
Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, tête de liste PS pour les élections régionales en Ile-de-France était ce lundi l’invité du matin de RFI. Lutte contre le terrorisme, campagne électorale suspendue, marathon diplomatique de François Hollande, il répond aux questions de Frédéric Rivière.
France Info - Régionales : les attentats changent la donne au PS
"La République forte", c’est le nouveau slogan du candidat socialiste en PACA, Christophe Castaner.
Les attentats du 13 novembre à Paris et à Saint6Denis ont renforcé le Front national en Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA°. Selon un sondage exclusif IPSOS/Sopra Steria pour France Info et France 3, le FN bénéficie d’un effet "attentats".
Les Inrocks - Robert Badinter : “l’État de droit n’est pas l’État de faiblesse”
Deux jours avant les attentats qui ont touché la France, Robert Badinter a animé une conférence à Genève – à l’occasion des Rencontres internationales de la ville –, pour évoquer, entre autre, le “terrorisme et la loi”. L’ancien garde des Sceaux y révélait les dangers de l’adoption des lois et des juridictions d’exceptions, qui mettent en péril l’État de droit. Ses propos coïncident malheureusement avec l’actualité, et Robert Badinter les a réaffirmés lundi sur France 2.
21 et 22 novembre
BFMTV - Les cotes de popularité de Hollande et Valls en hausse après les attentats
La cote de popularité de François Hollande a crû de 8 points en novembre et celle de Manuel Valls de 3 points, selon un sondage BVA pour Orange et iTélé réalisé après les attentats du 13 novembre et publié ce samedi, mais ces progressions sont moindres que celles constatées après les attentats de janvier.
Libé - La semaine «ensanglotée» de François Hollande
«Monsieur le Président, le Quick a sauté.» Chuchotés à l’oreille du chef de l’Etat au Stade de France, ces mots ont marqué le début de l’«horreur». Coulisses des sept derniers jours.
Libé - Daech utilise Michel Onfray dans sa dernière vidéo de propagande
Caution intello.
L'état islamique a publié une nouvelle vidéo, la cinquième, pour revendiquer une fois encore les attentats de Paris. Mais la nouveauté cette fois-ci c'est que le groupe islamiste utilise des extraits de plusieurs interviews du philosophe Michel Onfray, dont un extrait où il appelle à cesser de combattre les jihadistesPolitis - Etat d’urgence : Valls admet ne pas respecter la Constitution
Le Premier ministre a déclaré devant le Sénat qu’il y aurait « un risque » à saisir le Conseil constitutionnel. Il y a dix ans, un propos similaire d’un ministre UMP avait suscité un tollé.
La Croix - Le PS reprendra le 28 novembre sa campagne pour les élections régionales
Le bilan des attentats a atteint 130 morts, a indiqué vendredi 20 novembre le premier ministre, après le décès d’un blessé à l’hôpital.
Le JDD - La campagne des régionales reprend, focalisée sur les attentats
Une semaine après les attentats de Paris, les candidats aux régionales reprennent doucement leurs déplacements. Mais le risque terroriste et l'enjeu sécuritaire deviennent une préoccupation majeure des discours de campagne.
Huffington Post - Après les attentats, la donne des régionales bouleversée selon un premier sondage
Tout doucement, la vie politique reprend son cours une semaine après les attentats de Paris. Après l'avoir suspendue vendredi 13, tous les partis n'ont pas officiellement repris la campagne en vue des élections régionales (le PS ne le fera qu'après les obsèques nationales du 27 novembre) mais de nombreux candidats sont déjà repartis à la rencontre des électeurs et les panneaux électoraux commencent à être installés dans les rues.
Boursier.com - Le FN en tête au premier tour des régionales dans deux sondages
Le Front national est en tête des intentions de vote pour le premier tour des élections régionales (27%) devant les listes PS-PRG (26%) qui devanceraient de peu les listes Républicains-UDI-MoDem (25%), selon un sondage Harris Interactive pour 20Minutes diffusé vendredi.
Le Lab - Régionales : le PS ne distribuera pas ses tracts dénonçant "les mauvais coups de la droite"
C’est l’histoire d’un tract de campagne particulièrement offensif qui n’inondera finalement pas les marchés français. Comme l’annonce l’AFP ce 18 novembre, le Parti socialiste a décidé de ne pas distribuer son tract pour les régionales dénonçant "les mauvais coups de la droite".
20 novembre
Libé - Les chroniques martiales de Valls
Lors du vote prolongeant et amplifiant l’état d’urgence à l’Assemblée jeudi, le Premier ministre a rappelé que certaines «libertés» seraient «limitées».
Le Point - Pourquoi ils ont dit non à la prolongation de l'état d'urgence
Ils sont six, trois socialistes frondeurs et trois écolos, à avoir voté contre l'extension de trois mois de l'état d'urgence souhaitée par le gouvernement.
Énième sursaut ? Régressions démocratiques ? Réveil des consciences ? Comment empêcher d’autres morts, d’autres destins brisés par des esprits aussi manipulés que résolus à tuer ? Ce qui se joue depuis janvier 2015 et novembre 2015, c’est-à-dire l’avenir de notre société, se dessine en ce moment. Sur le front extérieur comme intérieur, le président de la République a déclaré la France « en guerre ».Les députés ont adopté jeudi le projet de loi renforçant l’état d’urgence, les sénateurs devant se prononcer ce vendredi. Passage en revue des dispositions votées et envisagées par l’exécutif, et des éventuelles menaces qu’elles représentent pour les libertés publiques.Boursorama - Bartolone (PS): pas de "lien" entre "banlieues populaires" et "ces terroristes"Claude Bartolone, député PS de Seine-Saint-Denis et président de l'Assemblée nationale, a appelé mercredi à ne pas établir de "lien" entre "les banlieues populaires" et "ces terroristes", alors qu'une opération antiterroriste est en cours à Saint-Denis, au nord de Paris.
18 et 19 novembreFrance Info - Jean-Christophe Cambadélis : "Nous entrons dans les années de sang"
"Nous sommes dans une guerre totale", ce sont les mots du premier secrétaire du Parti Socialiste, Jean-Christophe Cambadélis lundi sur France Info. Après les attentats simultanés qui ont frappé Paris et Saint-Denis vendredi, "il faut passer de la solidarité à l'action", estime le responsable PS.
L'Obs - Le député socialiste frondeur Pouria Amirshahi critique le côté sécuritaire du discours de François Hollande devant le Congrès. "Il y a eu 11 lois sécuritaires en 5 ans, est-ce que cela a empêché les attentats ?"
Paris - Le président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas (PS), a assuré mardi que les mesures législatives proposées en accompagnement de la prolongation de l'état d'urgence ne changent pas "le droit existant".
Public Sénat - Syrie : le PS prêt à suivre Hollande dans son rapprochement avec Poutine
Depuis la série d’attentats à Paris et Saint-Denis, François Hollande n’a plus d’autre choix que de dégeler ses relations avec Poutine pour faire front face à Daesh. La gauche sénatoriale préfère mettre en avant la future coalition internationale plutôt qu’un rapprochement avec Moscou.
L'Obs - Hollande offensif sur les fronts intérieur et extérieur contre l'Etat islamique
François Hollande a annoncé lundi que la France allait intensifier ses frappes en Syrie et qu'il rencontrerait les présidents Barack Obama et Vladimir Poutine en vue d'une "grande coalition" pour "détruire" le groupe Etat islamique (EI), parallèlement à un renforcement de la sécurité intérieure.
L'Obs - Hollande veut étendre la déchéance de nationalité aux binationaux "nés Français"
Le président François Hollande a annoncé lundi au Parlement, réuni en Congrès à Versailles, son souhait que la déchéance de nationalité puisse être étendue aux binationaux "nés Français" en cas de terrorisme.
16 et 17 novembre
L'Obs - Urvoas (PS) contre les propositions de la droite sur la sécurité
Paris (AFP) - Placer en résidence surveillée ou sous bracelet électronique les personnes faisant l'objet d'une fiche S signalant leur radicalisation est "une mauvaise idée", a estimé lundi le président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas.
Le JDD - Attentats de Paris : la campagne électorale suspendue
Le PS, Les Républicains et le FN ont annoncé vendredi soir la suspension de leur campagne pour les élections régionales, le mois prochain, après les attentats sans précédent à Paris.
Alors qu’un djihadiste-kamikaze responsable du drame du 13 novembre au Bataclan a été identifié et s'avère être Français, Claude Bartolone est interrogé, ce dimanche 15 novembre sur RTL, sur la notion "d’ennemi de l’intérieur", avancée par Manuel Valls en 2013 et plus récemment par plusieurs personnalités de l’opposition de la droite et du centre comme la porte-parole de LR Lydia Guirous, Nadine Morano ou Christian Estrosi.
Libé - Un gouvernement d’union nationale? «Pourquoi pas?», répond Bartolone
Interrogé sur cette possibilité au Grand Jury RTL-Le Figaro- LCI, M. Bartolone a jugé que «si à un moment donné, des hommes et des femmes qui viennent de bords différents sont capables de se rassembler sur le même projet politique, pour éviter les débauchages individuels (...) pourquoi pas».
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Mouvement commun, le Yes, we can à la française de Pouria Amirshahi-LCI le 10 novembre 2015
Mouvement commun, le Yes, we can à la française... par PouriaAmirshahi -
Pouria Amirshahi sur RFI le 2 novembre
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L'actualité des socialistes du 19 octobre au 2 novembre (mise à jour)
A la une
France Inter - La fin des frondeurs ?
Y a-t-il encore des frondeurs à l'Assemblée nationale? Jamais, ils n'ont été aussi discrets... Faut-il y voir la fin d'un mouvement, et surtout, une victoire de Manuel Valls qui - face à eux - n'a jamais cédé ?
France Info - Le député PS Pouria Amirshahi lance le "Mouvement commun"
Il a voté contre le budget 2016 mardi dernier, ce qui pourrait lui valoir une exclusion de son parti. Le 8 novembre, le député socialiste des Français de l'étranger participera à la naissance d'un nouveau collectif militant.
Son constat : la défaillance des gouvernants, "incapables de faire face aux possédants". Ses mots d'ordre : "radicalité démocratique" et "sincérité". Le 8 novembre, à la Parole errante à Montreuil, le député socialiste des Français de l'étranger Pouria Amirshahi lancera le Mouvement commun.
29, 30, 31 octobre et 1er et 2 novembre
Rue 89 - Des socialistes du Rhône prédisent la défaite de Jean-Jack Queyranne et le lâchent
La guerre des places sur les listes du candidat socialiste aux élections régionales fait rage. Le journal le Progrès annonce ce mercredi plusieurs départs de la liste Nouveau Rhône du candidat socialiste Jean-Jack Queyranne -le quotidien se trompant sur le nombre de colistiers : ils sont en fait 4 au lieu des 6 annoncés (Jules Joassard, Jean-Henri Soumirieu, Michèle Brun-Piguet et Rafi Nakas).
C’est Jules Joassard, conseiller municipal à Sérézin-du-Rhône, qui est le plus déçu : il s’attendait à être tête de liste et n’a finalement obtenu que la troisième place. Qu’il a donc choisie de ne pas prendre.
Slate - Maintien, retrait ou fusion des listes au second tour des régionales: qui pense quoi au PS?
Voici les déclarations de dix ténors du PS et d’un ministre «anonyme» sur la stratégie électorale socialiste au second tour des élections régionales de décembre.
Au second tour des régionales, et face à un risque élevé dans certaines régions, comme dans le Nord-Pas-De-Calais-Picardie ou en Provence-Alpes-Côte d’Azur, de voir le Front national remporter les élections, quelle attitude doit adopter le Parti socialiste? La majorité se déchire actuellement sur cette question, hésitant entre un maintien des listes, un «Front républicain» classique (se retirer au second tour pour laisser plus de chances au parti de Nicolas Sarkozy de remporter la mise) ou une fusion des listes. Pour y voir plus clair sur «qui pense quoi?» à Solférino, voici les déclarations de dix ténors du PS et d’un ministre «anonyme», classées en trois catégories
Libé - Comment le PS s’est englué dans le front républicain
Fin juin, nous écrivions déjà qu’«en étant clairs aujourd’hui» sur leur attitude dans l’entre-deux tours pour faire barrage au FN - maintien ? retrait ? fusion ? - «les chefs de file PS n’auront plus à répondre à cette question durant la campagne. Ils pourront se concentrer sur leur projet, seule chance de ne pas finir troisième». On y est : après avoir réussi, grâce à l’astuce d’un référendum baroque, à imposer la question de l’unité de la gauche dans le débat des régionales, la direction du PS voulait enclencher la deuxième étape de sa campagne : celle de son programme. Raté. Les mauvais sondages s’accumulant dans les régions à risque FN (Paca, Nord-Pas-de-Calais-Picardie), les médias n’ont cessé d’interroger le moindre socialiste sur sa position sur le second tour.
Public Sénat - Régionales : le front républicain sème la confusion au PS
En ouvrant la porte au Front républicain pour barrer la route au FN, Manuel Valls relance un débat qui divise aujourd’hui le PS. Si les élus du Nord-Pas-de-Calais-Picardie ne veulent pas en entendre parler, la sénatrice des Bouches-du-Rhône Samia Ghali ne dit pas non. A droite, le sénateur LR de l’Aisne Antoine Lefèvre défend l’idée et se dit même favorable à une « coalition gauche/droite ».
Le JDD - Front républicain : le PS renvoie la balle à la droite
Au Parti socialiste, l’idée d’un front républicain au second tour face au FN fait son chemin. En coulisses, des ténors du parti attendent désormais des gages des Républicains.
26, 27 et 28 octobre
Ouest-France - Elections régionales. Le PS a adopté sa stratégie pour décembre
Ce lundi soir, le bureau national du Parti Socialiste s'est réuni pour mettre au point une stratégie pour sa campagne des élections régionales, sous la houlette de Cambadélis.
Le bureau national du PS a adopté ce lundi soir sa stratégie pour la campagne des régionales, Jean-Christophe Cambadélis lançant une mise en garde contre toute hypothèse concernant le second tour, a indiqué à l'AFP Corinne Narassiguin, porte-parole du PS.
Le Parisien - Parti socialiste européen : le cadeau de Cambadélis à Tsipras
Entre Syrisa et le PS français, tout va désormais pour le mieux. Pourtant, l'idylle avait plutôt mal commencé. Lors de l'arrivée au pouvoir à Athènes du «parti de la gauche radicale», le 25 janvier 2015, les socialistes français étaient plutôt inquiets.
Le JDD - Au PS, bientôt la fin des frondeurs?
L'heure n'est plus à la fête. Après avoir vu leurs effectifs fondre de moitié, les frondeurs sont gagnés par un certain spleen. Dans le Parisien, ils sont plusieurs à annoncer que le mouvement décline.
23, 24 et 25 octobre
Slate- Les candidats PS aux régionales ont le choix entre l'inconnu et le trop connu
Pour garder leurs régions, les candidats socialistes doivent jouer les équilibristes: défendre leur bilan ou leur programme local sans trop parler de François Hollande. Problème: le président est souvent plus connu que les candidats.
Que choisira de faire le Parti socialiste aux régionales dans les zones où le FN arrivera en tête des sondages et que son candidat se classera en troisième position derrière Les Républicains?
La gauche décidera-t-elle d'"aider la droite ou favoriser le FN?". C'est la question que se pose en Une samedi 24 octobre Le Monde. Une interrogation qui n'est apparemment pas du goût de Jean-Christophe Cambadélis.
Boursorama - Régionales : le FN en force dans les sondages, une majorité de régions à droite
Le Front national proche de la victoire dans le nord et en PACA, la droite qui rafle les deux tiers des régions et le PS qui perd la plupart de ses bastions : à six semaines du 1er tour des régionales, les sondages prédisent un nouveau désaveu cinglant pour l'exécutif.
Trois principaux enseignements de cette première vague d'enquêtes. Le FN confirme sa poussée et Marine Le Pen peut clairement l'emporter en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, la droite et le centre devraient s'imposer dans au moins sept régions et le PS et ses alliés, en net recul, conserveraient trois de leurs fiefs.
Il n'y a "pas de dialogue social réel" à Air France, ont jugé jeudi des députés socialistes après une rencontre avec l'intersyndicale, qui sera auditionnée tout comme la direction de la compagnie aérienne prochainement à l'Assemblée nationale.
Huffington Post - Philippe Kaltenbach, sénateur PS, condamné à un an de prison ferme pour corruption
Le sénateur PS Philippe Kaltenbach a été condamné à deux ans d'emprisonnement, dont un ferme, pour corruption passive, jeudi 22 octobre, par le tribunal correctionnel de Nanterre, ainsi qu'à une inéligibilité de 5 ans et 20.000 euros d'amende.
L'Obs - Face au FN, le PS préfère les calculs aux valeurs
D'un côté, Hollande sonne le tocsin contre le FN. De l'autre, des élus socialistes de poids laissent entendre qu'il faut en finir avec le front républicain. Un double discours au mieux hypocrite, au pire irresponsable.
21 et 22 octobre
20 minutes - Vote du budget 2016: Pourquoi la fronde socialiste s’essouffle
Le vent de fronde est-il retombé ? L’Assemblée nationale a adopté mardi la première partie du budget de l’Etat. Le vote a été obtenu avec une majorité légèrement plus large que l’année précédente et une fronde réduite de moitié. 18 « frondeurs » PS se sont abstenus mardi contre 39 en octobre 2014. 20 Minutes dresse 4 raisons de l’affaiblissement du mouvement avec l’historien Jean Garrigues.
Rue 89 - Référendum du PS : « L’objectif n’était pas un chiffre ! »
On a enfin des précisions sur le « référendum » organisé par les socialistes sur la question de l’unité de la gauche aux régionales : les chiffres annoncés sont des estimations. Et ce n’était pas un « vote », mais un « ovni ».
Lors de la préparation de notre article sur le « référendum » organisé par les socialistes à la fin de la semaine dernière sur l’envie de voir la gauche unie pour les régionales, les cadres du parti, chargés de la logistique, nous avaient promis des réponses, mais seulement ce mardi. De vive voix.
Nous les avons donc rencontrés pendant près d’une heure et demie pour une explication de texte, dans un café à deux pas de Solférino.
Libé - Le tandem Ayrault-Muet et l’exécutif ne se lâchent plus
L’exécutif ne prend pas à la légère l’amendement Ayrault introduisant une dose de progressivité de la CSG. Loin de là. Si le débat autour de cet amendement signé par 137 députés PS a été reporté au 12 novembre, les ministres et François Hollande sont à l’écoute de ses deux auteurs. Et dieu sait qu’ils ne sont pas chauds pour mettre en place ce dispositif dès 2016. Mardi dernier, le député Pierre-Alain Muet a rencontré le ministre des Finances, Michel Sapin, et son secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert. Rebelote le soir, en présence de l’ex-Premier ministre. Entre-temps, Muet, reçu à l’Elysée avec d’autres parlementaires, en a touché un mot à Hollande. Lequel s’est ensuite entretenu avec Ayrault lors d’un déplacement à Saint-Nazaire. Quatre entrevues en une journée : «On ne peut pas dire qu’on a été mal traités», admet Pierre-Alain Muet.
Le JDC- Le député PS Christian Paul s'abstient sur le volet du Budget 2016 consacré aux recettes
..... 247 députés ont voté contre et 32, dont 18 socialistes (ils étaient 39 l'an dernier), se sont abstenus. Parmi ces derniers, le député PS de la Nièvre Christian Paul, qui a justifié son choix par les mots suivants : "Le budget ne répond pas à la crise économique, au chômage de masse et aux inégalités des territoires".
RTL - PS : Julien Dray descend Claude Bartolone et Jean-Christophe Cambadélis dans un enregistrementLe secrétaire national du Parti de Gauche Alexis Corbière a publié un enregistrement compromettant où Julien Dray qualifie les deux ténors du Parti socialiste de "manipulateurs" et de "fainéants".
Metro - Ce député PS frondeur qui votera contre le budget du gouvernement
RÉBELLION - Alors que les députés de l'aile gauche du PS hésitent entre voter ou s'abstenir sur le projet de budget du gouvernement mardi, l'un d'eux va plus loin. Pouria Amirshahi votera contre, nous indique son entourage.
Le Parisien - Référendum PS : les frondeurs écrivent à Cambadélis pour regretter «un coup de pub»
Des parlementaires fondeurs socialistes, dont Christian Paul, Benoît Hamon et Marie-Noëlle Lienemann, ont écrit à Jean-Christophe Cambadélis au lendemain des résultats du référendum sur l'unité aux régionales.
Libé, Désontox - Taubira, le laxisme, la justice : une semaine d'intox
Prison, récidive, peines planchers... Désintox revient sur une semaine de débat à propos du laxisme de la justice, et relève huit intox. Dans les deux camps.
19 et 20 octobre
Le Monde - Régionales : le PS présente son programme national
Campagne locale, mais programme national. La direction du Parti socialiste a présenté lundi 20 octobre la liste des mesures que tous les candidats aux élections régionales devront défendre sur le terrain, en plus de leurs engagements personnels. Lors de la réunion hebdomadaire du bureau national, Christophe Borgel, le responsable des élections à Solférino, a détaillé les promesses de campagne qui ont été élaborées au sein du comité de campagne qui réunit l’ensemble des têtes de liste des 13 régions. La plupart d’entre elles sont issues des programmes des différents candidats à travers le pays.Lors de sa conférence avec les partenaires sociaux, lundi, François Hollande s’est posé en défenseur du dialogue social en vue de 2017. Avec qui, contre qui et avec quels moyens ? Eléments de réponse.Au son de sa voix, on sent qu’il est atterré. Alexis Braud a organisé la primaire présidentielle écologiste en 2011. C’est lui qui avait dénoncé les dysfonctionnements du vote électronique lors de la primaire de l’UMP, avant les municipales, en 2013 à Paris. Cette fois, c’est au tour des socialistes :
« Il n’y a pas de raisons que le PS ne mange pas s’il fait aussi n’importe quoi. »
L’élu écolo vient de poster un courrier adressé à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Il y dénonce les conditions d’organisation du référendum voulu par Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste.
Libé - Dray et Mélenchon se castagnent à coups de vieux dossiers
Jean-Luc Mélenchon et Julien Dray : une histoire sans fin. Elle est née à la fin des années 80. François Mitterand, le président de la République, file une circonscription dans l’Essonne à Julien Dray : le territoire de Jean-Luc Mélenchon. Les deux hommes s’allient politiquement, malgré leurs différences et une sorte de rivalité. Les années passent. Des hauts, des bas. A l’aube des années 2000, ils se séparent. Depuis, ils se guettent de loin. Ces derniers jours, ils ont repris le contact de manière un peu particulière. Histoire en deux épisodes. -
Entretien de Pouria Amirshahi au site Délits d'opinion
« Si les citoyens se rassemblent et se mobilisent, tout peut changer. C’est cela le Mouvement Commun à venir »
Pouria Amirshahi
« La Révolution française n’est pas achevée »
Reproduction de l’interview copiée du site de Pouria Amirshahi
Député de la 9ème circonscription des Français établis à l’étranger (Afrique du Nord et de l’Ouest), Pouria Amirshahi est l’un des principaux chefs de file des « Frondeurs ». Il analyse pour Délits d’Opinion pourquoi, selon lui, la gauche s’est reniée et relie le triomphe du libéralisme à la soumission des élites au « tout-anglais ».
Délits d’opinion : Défaite culturelle de la gauche, dites-vous. Illustrée dernièrement par la loi Macron ou la loi sur le Renseignement. Comment l’expliquer ?
Pouria Amirshahi : Elle résulte de la déferlante libérale et sécuritaire, initiée dans les années 1980 par Reagan et Thatcher. L’organisation du monde est, depuis, guidée par la finance, un productivisme aliénant et mène à un modèle de développement qui ne pourra de toute façon pas tenir longtemps.
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Politis - Pouria Amirshahi : Construire ensemble le mouvement commun
TRIBUNE. Ce qui anime cette démarche, c’est de partir nous-mêmes à la recherche des réponses souhaitables aux bouleversements actuels.
Nous avons la chance de vivre en France, riche de son métissage, dans un système républicain dont la loi fondamentale, progressiste et généreuse, proclame un des plus beaux triptyques humanistes universels. Ses principes de solidarité et de redistribution sont le fruit d’une longue histoire politique et sociale, propulsée par la Révolution française et approfondie par les Républiques qui lui ont succédé, et particulièrement la Constitution de 1946 dans son préambule. Pour beaucoup une référence et un idéal. C’est pourtant dans notre pays éminemment « politique » que le débat public formel s’enferme chaque jour dans une parole technocratique. Faite de chiffres abscons, voire mensongers, ou de mots tellement galvaudés que plus personne n’y croit. L’humanisme qui doit fonder notre conscience s’étiole, des discours de haine et de stigmatisation progressent et trop de responsables politiques s’installent, pour les incarner plus ou moins, dans une tentation autoritaire. Nos protestations, souvent éparpillées ou marquées a priori d’une étiquette de « déjà-vu » ou de « plus à gauche » – réductrice à plus d’un titre – ne se projettent pas encore dans l’après car elles s’inscrivent dans une confrontation permanente, légitime et utile… mais finalement épuisante.
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L'actualité des socialistes du 7 au 14 juin (mise à jour)
A la une
Libé - Martine Aubry, naufragée de Poitiers
La maire de Lille a perdu sa fédération du Nord, et ce qu'elle portait dans le congrès PS risque bien de ne pas être appliqué.
14 juin
Le Monde - François Hollande multiplie les déplacements mais nie toute arrière-pensée électorale
Le faire, plus que jamais. Mais en convenir, surtout pas. Engagé dans une intense série de déplacements (onze en quatre jours, de Nantes à Alger en passant par Le Mans, Bordeaux ou encore Vitry-sur-Seine), François Hollande a nié toute arrière-pensée politique et électorale. Contre toute évidence, et alors même que son agenda ressemble de plus en plus à une partie de campagne.Le gouvernement pourrait bien activer une deuxième fois la procédure du 49.3 pour passer en force sur la loi Macron. Avant de l'utiliser une troisième fois après la navette parlementaire ?
Le Monde - Les 24H du Mans : début de course mouvementé pour François Hollande
Du jamais-vu depuis 1972. François Hollande est le premier président de la République en exercice depuis quarante-trois ans et Georges Pompidou à assister au départ des 24 Heures du Mans, la plus grande course d'endurance au monde. Plus de 250 000 spectateurs sont attendus ce week-end autour du mythique Circuit des 24 Heures, long de 13,629 km et dont la fameuse ligne droite des Hunaudières est utilisée, le reste de l'année, par les conducteurs de tous les jours.Frédéric Sawicki, politologue à la Sorbonne, explique pourquoi Martine Aubry a perdu la fédération PS du Nord. Et les conséquences politiques de ce résultat surprenant.
Le Monde - Le camp de Martine Aubry perd la fédération PS du Nord
C’est un petit séisme local qui pourrait avoir de grandes répercussions nationales. Martine Aubry a perdu dans la nuit de jeudi à vendredi le contrôle de la fédération socialiste du Nord. Son candidat, Gilles Pargneaux, a été défait pour l’élection du premier secrétaire par Martine Filleul, conseillère générale et ancienne adjointe à la mairie de Lille.Le Monde - Martine Filleul prend la tête de la fédération socialiste du Nord
« Sans ambiguïté, Martine Filleul est devant. J’ai donc pris la décision personnellement, puis avec mes amis, de me retirer du second tour. » Libéré, Gilles Pargneaux affiche son soutien à la nouvelle secrétaire fédérale, Martine Filleul. Réunis vendredi 12 juin dans les locaux de la fédération socialiste du Nord, l’ancien et la nouvelle chef des socialistes répètent d’une même voix que l’heure est à « l’apaisement, au rassemblement ».Marianne - Martine Aubry : "Une fin de cycle qui fait bloup" !
Ni les interventions de Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, ni la pression de l’Elysée n’auront réussi à changer la donne. Gilles Pargneaux, le patron de la puissante fédération du Nord et proche de Martine Aubry, vient de perdre, après dix ans de règne incontesté, son fauteuil au profit Martine Filleul, ex-vice-présidente du conseil général. Un coup dur surtout pour la maire de Lille qui se voit contestée jusque sur ses propres terres.
13 juin
Libé - Régionales : Valls aimerait déminer la guerre du Sud-Ouest
Le Premier ministre réunit lundi à Paris les candidats à la présidence de la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées et le maire de Montpellier, dissident, qui fait monter les enchères.
Libé - En Paca, la gauche risque l'éparpillement régional
Le chef de file des socialistes, Christophe Castaner, a lancé sa campagne ce vendredi à Marseille. Avec un premier exercice toujours compliqué, rassembler les siens.
Le Figaro - Voyage de Valls à Berlin : une affaire «grave» pour deux Français sur trois
68% des Français estiment ainsi que l'image du premier ministre s'est détériorée en se rendant à Berlin dans un avion de la République pour assiter à la finale de la Ligue des champions.
Rue 89 - A la fédération PS du Rhône, l’après-Collomb se joue dès maintenant
Les militants socialistes du Rhône sont appelés à voter ce jeudi 11 juin pour désigner le président de leur fédération. David Kimelfeld, maire du 4è arrondissement, devrait retrouver son fauteuil. Mais ce ne sera pas sans avoir eu à essuyer l’affront d’une habituée des coups d’éclats, une « camarade » de 31 ans, Cécile Michaux, élue dans le 6è et représentante des frondeurs. Elle est l’unique candidate se présentant face à lui. Alors, ça se passe comme ça à Lyon ?
Libé - Omerta pour le rapport sur le CIR
Le Crédit d'impôt recherche est-il si sulfureux ? Au point qu'il faille organiser l'omerta sur un rapport d'enquête parlementaire à son sujet ? C'est ce que laisse penser la décision des sénateurs de droite (LR et UDI) ainsi que du Parti Socialiste d'empêcher la publication du rapport de la sénatrice communiste Brigitte Gauthier-Maurin rédigé dans le cadre de la commission d'enquête parlementaire diligentée sur ce sujet. C'est ce que l'on apprenait ce matin au Sénat, après un vote des membres de la commission d'enquête qui a eu lieu mardi. Un vote "incompréhensible", s'exclame le sénateur communiste Eric Bocquet.
12 juin
Les Echos - L'image de Valls abîmée par son « erreur "
En remboursant le trajet à Berlin de ses deux fils, le Premier ministre tente d'éteindre la polémiqueL'Express - Vallsgate: le commando qui soutient le Premier ministre même dans la tempête
Autour du Premier ministre, ce n'est pas une équipe, c'est une garde prétorienne. Pour le meilleur - l'ascension jusqu'à Matignon - et le pire - un aller-retour à Berlin pour un match de foot. Zoom sur le carré des plus proches conseillers de Manuel Valls.Boursorama - Crédit d'impôt recherche : un rapport à charge écarté au Sénat
Un rapport très critique sur l'efficacité du Crédit d'impôt recherche (CIR) a été rejeté par la Commission d'enquête sénatoriale. Les sénateurs communistes demandent tout de même sa publication.
Libé - «Déni», «paranoïa», «aura d’un seul homme»... deux cadres du PG claquent la porte
Dans un courrier, deux cadres parisiens du Parti de gauche dénoncent «un parti quand tout repose sur une seule personne». «Critiques à contre-temps», répond la direction.
11 juin
Politis - Les frondeurs dos au mur
Chacun fera comme il voudra, mais il sera difficile après Poitiers de faire encore semblant de croire à un possible changement d’orientation
Libé - Bartolone: la France doit être «en mesure de proposer des accueils d’urgence» aux migrants
Le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone (PS) estime que «la multiplication des barrières n’a jamais empêché ni réduit les flux migratoires» et que la France doit être «en mesure de proposer des accueils d’urgence» aux migrants répartis sur tout le territoire.
Le Monde - Discriminations : les députés autorisent les actions de groupe
Les victimes de discriminations pourraient bientôt s’unir pour porter leurs cas respectifs en justice. Les députés ont approuvé mercredi 10 juin une proposition de loi socialiste visant à instaurer une action de groupe contre les discriminations, une mesure qui vise à encourager les victimes à porter plainte.Oui, car il s'agissait d'un voyage privé, estime Sébastien Huygue (Les Républicains). Non, toutes les règles ont été respectées, selon René Dosière (apparenté PS).
Christian Paul - Mes réponses aux questions du Figaro
Ils dénoncent un "cadeau" au Medef, après l'annonce du plafonnement des indemnités prud'homales, accordées en cas de licenciement abusif.
10 juinEn quatre jours, à force d’amender sa version sur son aller-retour express Poitiers-Berlin, samedi, le Premier ministre a commis son premier écart de conduite..... Interrogé par Le Monde, un député aubryste estime, sous couvert de l’anonymat, que Manuel Valls « remet en question des choses que nous avions écrites dans la motion, ce n’est même plus de la provocation, là, c’est incompréhensible (…). Il va tout faire passer en 49-3, mais après ? Déjà, faire sans l’aile gauche du PS c’était compliqué, mais faire sans les aubrystes, c’est impossible ! »L'Obs - #Emploi Ça coince au PS. Laurent Baumel ne digère pas l'annonce par Manuel Valls d'un plafonnement des indemnités accordées aux prud'hommes en cas de licenciementMembre de l'aile gauche du PS, le député Laurent Baumel faisait partie des opposants les plus résolus au projet de loi Macron. La fronde va-t-elle reprendre au sein du groupe socialiste ?Manuel Valls a fait ce mardi une série d’annonces pour doper l’économie des petites et moyennes entreprises et notamment la possibilité de renouveler deux fois les CDD. Pourtant, en 2012, François Hollande voulait atténuer la proportion de ces contrats précaires.L'expansion - La tribune de Montebourg est-elle d'une "faiblesse" sidérante?
Arnaud Montebourg dénonce avec Mathieu Pigasse la politique économique du gouvernement, dans une tribune jugée d'une "faiblesse" sidérante par Stéphane Le Foll. Que vaut ce texte? Examen.9 juinCRICRI LA MENACE - Il a passé son week-end poitevin, lors du 77e congrès du PS, a joué l’opposition constructive. Actant l’existence de "deux gauches" au sein du PS, le frondeur Christian Paul n’a cessé d’appeler à un débat et un dialogue au sein du parti permettant de trouver un compromis sur la décriée loi Macron, qui revient cette semaine à l’Assemblée nationale.La maire de Lille dénonce l'attitude d'Arnaud Montebourg après la publication d'une tribune dimanche dernier dans la presse, dans laquelle il étrille l'exécutif.Claude Bartolone a annoncé lundi 8 juin qu’il annulait le déplacement d’une délégation de députés à Moscou, prévu le 18 juin. Le président de l’Assemblée nationale a pris cette décision en réaction à la « liste noire de personnalités » qui interdit de territoire russe quatre-vingt-neuf personnalités européennes, dont Bruno Le Roux, président du groupe socialiste au Palais Bourbon.C’est reparti pour un tour. Après l’échec – prévisible – de la commission mixte paritaire, la commission spéciale de l’Assemblée nationale a repris, lundi 8 juin, l’examen du projet de loi sur la croissance et l’activité – dit « loi Macron » –, dont la discussion en séance débutera mardi 16 juin. Même si le gouvernement et les rapporteurs du texte à l’Assemblée s’appliquent à souligner « la qualité du travail du Sénat », pour l’essentiel, c’est le retour à la version issue de l’Assemblée en première lecture qui devrait prévaloir.Le texte du ministre de l'Economie est de retour à l'Assemblée. Après le congrès du PS, l'exécutif ne semble pas franchement disposé à rouvrir la négociation avec les frondeurs de sa majorité.France Info - Manuel Valls, chassez le naturel...
A gauche, il est au centre du jeu politique. C'est lui qui a fait l'événement, lors du 77ème congrès du Parti socialiste ces trois derniers jours à Poitiers : Manuel Valls est parvenu à rassembler sa famille politique. Mais ce rassemblement ne va pas sans accrocs, et le Premier ministre lui-même n'a pas évité quelques faux pas.
Le Parisien - Cambadélis tente de ramener le calme à la fédération PS du Nord
Au lendemain du congrès de Poitiers, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, s'est rendu lundi à Lille prêcher le rassemblement à l'importante Fédération socialiste du Nord, en se prononçant pour la réélection à sa tête de l'"aubryste" Gilles Pargneaux, contestée en interne.
Directmatin - Le tweet que le PS regrette amèrement
Le déplacement du Premier ministre Manuel Valls à Berlin pour assister à la finale de la Ligue des Champions à bord du Falcon de la République suscite la controverse. Et pour ceux qui gèrent le compte twitter du PS, cette polémique se double d'une belle gène.
L'Obs- Manuel Valls aurait-il vu la finale à Berlin s'il s'était déplacé comme tout le monde ?
Sans le savoir, le contribuable français a offert au Premier ministre un voyage express à Berlin, pour voir la finale de la Ligue des champions. "L’Obs" a imaginé ce même week-end, mais sans Falcon.
REPLAY / ÉDITO - Le 77ème Congrès du PS a été gâché par Arnaud Montebourg. Dimanche dernier, il a sévèrement taclé la politique du gouvernement dans "Le JDD".
Le JDD - La tribune de Montebourg et Pigasse : "Hébétés, nous marchons vers le désastre…"
TRIBUNE - L'ancien ministre Arnaud Montebourg se rappelle au bon souvenir de François Hollande et Manuel Valls. Avec le banquier d'affaires Matthieu Pigasse, il publie dans le JDD une tribune au vitriol contre la politique du gouvernement. La voivi en intégralité.
Le JDD - Le socialiste Pouria Amirshahi veut créer un nouveau "mouvement citoyen"
TRIBUNE - Le député socialiste Pouria Amirshahi assume, dans une tribune que publie leJDD.fr, "être Socialiste, Républicain et frondeur". Il appelle les élus et militants de gauche "d'engager dès maintenant un mouvement national citoyen de type nouveau".
7 et 8 juin
Les Echos - Réformes : une semaine test pour l’exécutif
Et maintenant ? Le congrès du PS étant clos, François Hollande et son gouvernement sont attendus de pied ferme sur le fond des réformes, eux qui avaient fait le choix de ne pas multiplier les annonces ces dernières semaines. Lundi, la loi Macron revient en commission à l’Assemblée. Puis, mardi, le chef de l’Etat doit arrêter à l’Elysée, avec les ministres concernés, les mesures en faveur des TPE et PME, annoncées dans la foulée par Manuel Valls. Comme autant de tests de la volonté réformatrice affichée par l’exécutif. « Nous devons continuer à réformer. Il n’y aura pas de pause », a assuré le Premier ministre à Poitiers. « Alors que la reprise se dessine, il faut tout faire pour renforcer la croissance et l’enrichir en emplois », insiste l’entourage du président.Les Echos - Montebourg se pose en meneur de la fronde
Le coup est venu de l’extérieur, imprévisible comme sait l’être son auteur, Arnaud Montebourg. Tout avait pourtant été prévu pour que le 77e congrès du PS se passe bien. Jean-Christophe Cambadélis avait réussi à réunir tous les poids lourds du parti autour de sa motion. Les frondeurs avaient été applaudis par les militants quand ils avaient dénoncé la dérive « sociale-libérale » du gouvernement. Et ces mêmes militants avaient ovationné le discours de Manuel Valls, qui n’avait pas lésiné dans ses hommages à François Hollande, « grand président de la République » qui « incarne avec courage la voix de la France ».
Congrès PS : Manuel Valls joue l'unité malgré l'épisode Montebourg
Le Premier ministre Manuel Valls a vivement répliqué après la tribune d'Arnaud Montebourg et Matthieu Pigasse, qui critiquent vertement l'action du gouvernement.
Le Premier ministre, Manuel Valls, a répliqué dimanche à Arnaud Montebourg qu'il a taxé d'"irresponsabilité" lors du congrès du PS à Poitiers. Son ancien ministre, dans une tribune commune avec le banquier Matthieu Pigasse, a largement critiqué l'action du gouvernement dans le JDD.
Slate - Annoncé tranquille, le Congrès du parti socialiste a finalement été très agité
Entre la contestation des frondeurs, la tribune d'Arnaud Montebourg et l'aller-retour à Berlin de Manuel Valls, le 77e congrès du Parti socialiste n'a pas été de tout repos.
Ce devait être le rassemblement d'une famille politique, une semaine après le congrès tendu des Républicains. Samedi matin, Francetvinfo titrait ainsi un de ses articles «Au congrès du PS à Poitiers, une ambiance si "apaisée" qu'on s'ennuierait presque».
Huffington Post - Congrès PS: l'unité se fait autour des attaques visant Nicolas Sarkozy
"La devise de la France, c’est Liberté, égalité, fraternité, ce n’est pas Fouquet’s, Rolex et Kärcher". Cette phrase signée Jean-Christophe Cambadélis en clôture du Congrès du Parti socialiste à Poitiers, permet d'apprécier l'ambiance de ce week-end pictavien au cours duquel l'unité de la majorité s'est surtout manifestée à travers les attaques visant Nicolas Sarkozy.
Le Monde - « Si le PS venait à disparaître, la République perdrait sa meilleure défense »
Il n’a pu réprimer un sourire de contentement en montant à la tribune. Jean-Christophe Cambadélis a conclu par un long discours, dimanche 7 juin, le 77e congrès du Parti socialiste, celui de son adoubement comme premier secrétaire par les militants. Son triomphe est indiscutable : les frondeurs ont été mis en minorité et il a réussi à réunir sur son nom une large majorité, de Manuel Valls à Martine Aubry, pour soutenir l’action du chef de l’Etat. Mais la mine de satisfaction s’est rapidement effacée. Car M. Cambadélis se retrouve roi au milieu d’un champ de ruines.Le Monde - A Poitiers, le socialisme ne mourra pasPoitiers ou l'art du double temps : soutenir le président de la République bien sûr, le faire applaudir évidemment, rendre possible une nouvelle candidature en 2017 certes, mais aussi bétonner l'avenir – avec ou sans le chef de l'Etat : le socialisme ne mourra pas. Ils le clament tous, au deuxième jour de ce congrès tout à fleuret moucheté.
Christian Paul, le chef des frondeurs est le plus brutal. Il a cette formule : "la prochaine gauche", comme si l'actuelle était déjà morte.
Libé - Cambadélis : «si le PS venait à disparaître, la République perdrait sa meilleure défense»
Au congrès du PS à Poitiers, le Premier secrétaire a livré un discours sans surprise.
Le congrès du PS s'est achevé dimanche à Poitiers, un rendez-vous que Jean-Christophe Cambadélis voulait comme un grand rassemblement unitaire de la majorité pour réussir la fin du quinquennat Hollande, mais les critiques d'Arnaud Montebourg et des frondeurs ont joué les trouble-fête.
Libé - «Hébété», Montebourg s'invite au Congrès du PS
L'ancien ministre socialiste publie une tribune dans le «Journal du dimanche», avec Mathieu Pigasse, dénonçant la politique de François Hollande. A Poitiers, certains élus y voient une «insulte aux militants», d'autres un «esprit libre».
Le JDD - Le retour fracassant de Montebourg
EXCLUSIF JDD - En plein congrès socialiste, l’ancien ministre de l'Economie s’alarme du désastre français dans une tribune commune avec le banquier Matthieu Pigasse. "Est-il encore possible de sauver le quinquennat?", lance-t-il. Ses propositions pour la baisse des impôts, contre le chômage et pour rompre avec Bruxelles et Berlin.
Le Lab - Les frondeurs accueillent la tribune d'Arnaud Montebourg dans le JDD avec enthousiasme
La tribune d'Arnaud Montebourg au JDD du 7 juin a rompu la monotonie d'un congrès où même les frondeurs ont préféré boire un coup plutôt que de siffler Manuel Valls. En prenant une position très critique vis-à-vis de l’exécutif, Arnaud Montebourg marche dans les pas des députés frondeurs et a reçu en retour des critiques positives de la part de ces derniers.
Francetvinfo - Comment les frondeurs ont brisé l'unité (de façade) du PS
La direction du PS souhaitait afficher l'image d'un parti rassemblé lors du congrès, mais l'aile gauche a tenu sa promesse de ne pas "rentrer dans le rang". Récit d'un week-end de fronde.
Public Sénat - Congrès du PS: photo de famille sans les "frondeurs" ni Martine Aubry
Les "frondeurs" et l'aile gauche du Parti socialiste, désireux de signifier "symboliquement" qu'ils ne "baissaient pas la garde", n'ont pas participé à la photo de famille marquant la clôture des débats du congrès du parti à Poitiers, non plus d'ailleurs que Martine Aubry.
Public Sénat - Congrès du PS : Cambadélis clôture un congrès sans passion
« Tout va changer au PS » a promis le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis pour son discours de clôture du congrès du PS, à Poitiers. Ce qui change, c’est surtout le relatif calme du rassemblement, tout juste troublé par Arnaud Montebourg et quelques frondeurs. Manuel Valls s’est fait plus rassembleur, à deux ans de la présidentielle.
Francetvinfo - Montebourg fait polémique à Poitiers
La tribune d'Arnaud Montebourg contre le gouvernement dans le JDD ce 7 juin a fait réagir politiques et militants au congrès du PS à Poitiers.
Francetvinfo - Valls et Cambadélis répondent sèchement à Montebourg après sa tribune
L'ancien ministre de l'Economie Arnaud Montebourg a co-signé dans le "JDD" une tribune sévère à l'encontre de la politique du gouvernement.