Jean-Luc Mélenchon, député France Insoumise, était l'invité de la rentrée de Nos causes communes, mouvement initié notamment par Emmanuel Maurel, le 9 septembre 2018.
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Nos Causes Communes : JL Mélenchon, Marseille, le 9 septembre
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Nos Causes Communes : discours de conclusion d'Emmanuel Maurel, Marseille, le 9 septembre
Emmanuel MAUREL est député européen et membre du BN du PS "Fixons-nous un objectif. La constitution d’un nouveau Front Populaire, uni aux prochaines élections nationales, capable de gagner les élections mais aussi d’exercer le pouvoir pour changer la vie des gens."
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Libé - Libé - Mélenchon aux socialistes: «Que finisse cette longue solitude pour moi d’avoir été séparé de ma famille»
Le leader de La France insoumise a profité de son invitation à l'Université des causes communes pour faire ami ami avec ses anciens camarades du PS. Manière de draguer l'aile gauche du PS en vue des européennes et au-delà.Une sorte de retour à la maison. Ou l’inverse. L’accueil de ses anciens copains dans sa nouvelle maison : chacun se raconte sa propre histoire. Les faits : dimanche matin, Jean-Luc Mélenchon s’est pointé à l’Université de causes communes – un club politique –, organisé par le Mouvement républicain et citoyen (MRC) et… les socialistes Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann : une première depuis son départ du PS, le 7 novembre 2008. Il n’a pas esquivé son histoire. Et il a tenté de renouer les liens. -
Jean-Luc Mélenchon invité à l'université de rentrée de la gauche : il faut être capable "de frapper ensemble", estime Emmanuel Maurel
L'eurodéputé PS Emmanuel Maurel réunit la gauche de la gauche dimanche à Marseille. Il était invité sur franceinfo samedi.
L’eurodéputé PS Emmanuel Maurel réunit en ce moment la gauche de la gauche à Marseille, avec en invité de marque Jean-Luc Mélenchon dimanche, pour des Universités de rentrée du mouvement de gauche 'Nos causes communes'. Des causes communes qui vont jusqu’à La France Insoumise, a confirmé, samedi sur franceinfo, Emmanuel Maurel.
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Le Vent se lève - « Progressistes » contre « nationalistes » : Macron et Salvini, meilleurs ennemis ?
C’est la rentrée, et avec elle, le coup d’envoi de la bataille pour les élections européennes. A neuf mois du scrutin qui se tiendra en mai 2019, Emmanuel Macron passe à l’offensive en construisant un clivage entre nationalistes et progressistes en France et en Europe.
L’Elysée avait promis une « rentrée européenne de combat ». L’expression vaut aussi bien pour la scène internationale qu’en matière de politique intérieure. La séquence qui s’ouvre est en effet celle des élections européennes, thème qui dominera l’actualité politique pour l’année à venir. Dans la bataille qui s’annonce, Emmanuel Macron poursuit la stratégie appliquée depuis le début de son mandat : incarner l’ouverture contre le repli sur soi. En d’autres termes, dichotomiser l’espace politique entre progressistes et populistes.
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"Je trouve que c'est dommageable qu'il y ait eu tout ce pataquès", déplore Michel Sapin
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Impôt à la source: "Le pouvoir a créé une anxiété qui ne devait pas exister", estime Olivier Faure
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L'Obs - Elections européennes : un sondage inquiétant pour La République en Marche
La formation d'Emmanuel Macron, qui ambitionne de réunir les pro-européens, reste en tête mais avec seulement 20% des intentions de vote.
La fragmentation du paysage politique reste le meilleur atout d'Emmanuel Macron. Son parti La République en Marche reste ainsi en tête des intentions de vote, à l'approche du scrutin européen du 29 mai 2019. Mais avec tout juste 20% des voix...
C'est une baisse de deux points par rapport à un précédent sondage réalisé il y a deux mois, avant l'été, selon un sondage Ifop-Fiducial réalisé pour "Paris Match", CNews et Sud Radio et rendu public ce mercredi 5 septembre. La République en Marche, alliée au MoDem de François Bayrou, affiche pourtant l'ambition de rassembler les pro-européens.
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Le Figaro - Pendant que Macron s'enlise, le PS resserre ses rangs
La direction du PS a fait sa rentrée mardi soir à Paris dans une ambiance moins divisée que prévu. Les rangs socialistes se resserrent alors qu'Emmanuel Macron dévisse dans les sondages.
Mardi soir lors du bureau national de rentrée du PS, deux ténors se sont sérieusement accrochés: la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann et le maire du Mans Stéphane Le Foll. Deux interventions de colère. L'une menaçant sérieusement de quitter le parti si aucune clarification de ligne n'intervenait rapidement - Lienemann est plutôt favorable à une alliance avec Jean-Luc Mélenchon aux européennes et dénonce le retour de François Hollande - et l'autre lui répondant de partir, soulignant son ras-le-bol d'une menace permanente... Mais en dehors de ces mises au point, les autres interventions, une quinzaine en tout, se sont déroulées dans le calme.
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L'Obs - Macron devient plus impopulaire que Hollande à la même époque
Un sondage IFOP publié mardi indique une chute de popularité de 10 points du chef de l'Etat. Il en sort plus impopulaire que son prédécesseur au même stade de son mandat.
La dégringolade est brutale. Entre juillet et septembre 2018, Emmanuel Macron a vu sa cote de popularité chuter de quelque 10 points, d’après un sondage IFOP de ce mardi 4 septembre. L’étude publiée par "Paris Match" attribue seulement 31% d’opinions favorables au président… Son pire niveau de popularité depuis le début du quinquennat. Pire aussi – mais de peu – que celui de François Hollande à la même période, qui rassemblait 32% de Français satisfaits en septembre 2013.
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La Nouvelle République - André Laignel : un manifeste pour les municipales
Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a demandé au maire d’Issoudun de réfléchir à une stratégie pour les municipales de 2020. Un enjeu pour la reconquête du pouvoir.
Interview :
Emmanuel Bédu
Premier vice-président de l’Association des maires de France, président du comité des finances locales, maire d’Issoudun et maintenant chargé de la stratégie nationale des élections municipales de 2020. A l’heure du non-cumul des mandats, vous n’êtes pas en phase ?Lire la suite
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