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Le 30 décembre 2022, Une semaine en France avait décidé de terminer l’année en beauté et en chanson ce soir avec les Goguettes en trio, mais à quatre. Des chansonniers qui ont une passion pour l’actualité, qu’ils parodient en musique.
A l'occasion de leur venue en plateau, ils reprennaient "Hexagone" de Renaud, version 2022...
Le divorce historique entre la gauche et les classes populaires est-il en train de se refermer ? Le large score de Jean-Luc Mélenchon à l'élection présidentielle et le succès électoral de la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale (NUPES) semblent l'attester. Pourtant, une partie des classes populaires continue à s'abstenir massivement ou à se réfugier dans le vote Rassemblement national. Face à cet état de fait, plusieurs stratégies s'opposent pour les reconquérir. Chantal Mouffe est une théoricienne majeure du populisme de gauche et l'auteure de nombreux livres, dont « L'Illusion du consensus » et « Hégémonie et stratégie socialiste » avec Ernesto Laclau. François Ruffin commence son second mandat de député de la 1ère circonscription de la Somme, il est auteur et cinéaste.
@francois_ruffin : « Le conflit clé, ce n'est pas entre le Français et l'immigré, entre les campagnes et les quartiers, entre le travailleur et l'assisté, mais entre les riches et les pauvres. »
L'année est loin d'être terminée, pourtant, le jour du dépassement est déjà atteint. Mercredi 2 août, l'humanité aura consommé l'ensemble des ressources que la nature met un an à produire et à renouveler (le temps que les plantes repoussent, par exemple). Soit cinq jours plus tard que l'année précédente.
« On a des ouvriers qui se sont pris cette mondialisation droit dans la gueule avec une absence de réaction du corps politique. » @francois_ruffin analyse le divorce entre la gauche et les classes populaires dans cette conférence avec Chantal Mouffe
Ali Laïdi reçoit Éloi Laurent, économiste, enseignant à Sciences-Po Paris et à l'université de Stanford. Il est aussi l'auteur de "La raison économique et ses monstres" (éditions Les liens qui libèrent), un livre dans lequel il explique comment les systèmes économiques sont devenus autodestructeurs : "Le Covid-19 n'est pas tombé du ciel, il est venu de la terre", explique-t-il sur France 24. "Nous sommes en train de détruire les écosystèmes (...) qui sous-tendent nos économies".
Avec les incendies, nos forêts sont soumises à rude épreuve, le climat change, elles souffrent. La chercheuse et archéobotaniste Stéphanie Thiebault, et l'ingénieure forestière à l'ONF et Régine Touffait, sont les invités de France Inter.
Alors que la France et l’Europe traversent une importante crise énergétique, la sobriété est aujourd’hui perçue comme une solution consensuelle. Par conséquent, la rénovation énergétique des bâtiments s’impose. Comment rendre cette rénovation performante ? Que peuvent faire les pouvoirs publics? Y a-t-il des exemples européens à suivre ? Andreas Rüdinger répond aux questions de Sophie Larmoyer.
Comment sortir les véhicules les plus polluants des centres-villes en tenant compte des inégalités sociales ? Les effets sanitaires et environnementaux de la circulation des véhicules peuvent se résoudre par l’instauration de zones à faibles émissions (ZFE). C’est ce que prévoit la loi française pour toutes les grandes villes : en interdire l’accès aux véhicules les plus polluants - qui sont aussi les plus anciens. Mais quelles sont les implications sociales et économiques, et surtout, comment les prendre en compte ? Jean-Philippe Hermine répond aux questions de Sophie Larmoyer.
Voilà plusieurs années que les institutions culturelles françaises, publiques comme privées, affrontent des difficultés de recrutement, un turnover important, voire des pénuries dans certains champs de compétences. Comment expliquer cette désaffection ? De fait, beaucoup de structures se sentent démunies face aux charges administratives et financières qui pèsent sur elles, mais aussi, et c’est plus récent, face aux attentes nouvelles des jeunes générations (besoin d’une organisation plus encadrante, d’un management plus assumé, donc davantage à l’écoute, d’une évolution des carrières plus claire…). Comment répandre, dans ces institutions si essentielles, une culture managériale, attirer, retenir et faire grandir les talents ? Comment conjuguer liberté de créations et normes managériales ? « L’Obs » et l’Afdas sont heureux de s’associer pour un cycle de quatre conférences dédiées la question critique et cruciale, du management dans la culture.