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Vidéo - Page 63

  • Fondation Jean Jaures, le 18 janvier à 18h30 : Balkans occidentaux : l'UE et les nouvelles géographies de l'élargissement

    La Fondation Jean-Jaurès organise un débat autour de la place des pays des Balkans dans l'Europe de demain. En effet, entre tensions et volonté de rapprochement avec l'Union européenne, cette région européenne redéfinit les tenants de la construction européenne. Pour en discuter, notre Observatoire des Balkans réunira : - Srđan Cvijić, président du Comité international consultatif du Belgrade Centre for Security Policy ; - Laure Delcour, professeure associée à l’Université Sorbonne-Nouvelle, visiting fellow au Collège de l’Europe ; - Teona Giuashvili, visiting fellow à l’Institut universitaire européen ; - Sylvain Guiaugué, directeur adjoint de l’Europe continentale au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères ; - Sonja Puntscher Riekmann, professeure émérite à l’Université de Salzbourg et directrice du Salzburg Centre of European Union Studies. La conférence sera animée par Florent Marciacq, directeur de l’Observatoire des Balkans à la Fondation Jean-Jaurès.

  • ÉLECTRICITÉ: LA FRANCE AU BORD DU GOUFFRE

    Les factures d'électricité et de gaz ont explosé en 2021-2022, et la production électrique française a souffert. Mais si on n'agit pas très rapidement, ça ne sera qu'un avant-goût de ce qui arrive. Dans cette vidéo, on présente l'effet falaise de la fermeture des centrales nucléaires.

  • France Culture : Marc Dugain : "Le pouvoir a sa propre narration qui est en dehors du réel"

    L'écrivain et réalisateur Marc Dugain nous fait entrer dans la tête d'un président de la République dans un futur prochee avec son nouveau roman, "Tsunami".

  • Sondage : la grogne et les vraies priorités économiques et sociales des Français [Olivier Passet]

    Depuis la réélection d'Emmanuel Macron, la réforme des retraites monopolise le débat, reléguant au second plan les difficultés et les aspirations mises à jour par la crise sanitaire ou la guerre en Ukraine. Rarement les citoyens n'auront été percutés dans un temps si bref par autant d'enjeux existentiels : prise de conscience du délabrement et de la sous-capacité de notre système de santé, hyper-vulnérabilité de nos approvisionnements stratégiques, défaut de reconnaissance sociale des travailleurs « invisibles », enchaînement de catastrophes climatiques, repolarisation hostile du monde.

    Or c'est ce moment de l'Histoire qu'Emmanuel Macron choisit pour rejouer la partition du « no alternative » thatchérien. Face à un front du refus qui rallie deux tiers de l'opinion, mille interprétations se bousculent : lassitude, crispation sur les acquis sociaux, rejet des élites, etc. Des interprétations qui réduisent complaisamment l'opinion française à sa dimension «réfractaire », arc-boutée sur les acquis sociaux. Mais renversons la perspective : que souhaitent au juste les Français ? Ne sont-ils que dans la résistance au changement ou aspirent-ils à autre chose ? Le sondage OpinionWay réalisé pour les Printemps de l'économie, a précisément pour but d'analyser les domaines d'engagement auxquels les Français accordent le plus d'importance, ainsi que les acteurs et les moyens qu'ils souhaitent pour les incarner. Sa lecture nous livre un éclairage nouveau sur les racines de leur mécontentement. [...]

  • Le capitalisme digital va se percuter contre le temps disponible [Olivier Passet]

    Le numérique ne cesse de nous égarer dans sa propre mythologie. De l'explosion digitale nous attendons un surcroît de productivité, notamment à travers la prise en charge des taches intellectuelles de plus en plus élaborées. Et nous attendons aussi une extension du domaine de la consommation, vers sa dimension la plus virtuelle. La consommation avait déjà connu sa mue immatérielle à travers la montée des services. Mais ces services qu'ils soient le loisir, de soin, d'éducation, de transport, demandent un fort engagement des individus et le plus souvent une forte interaction humaine entre le prestataire et le client, qui limite leur potentiel d'extension et leurs gains de productivité. [...]

  • Jacinda Ardern : « On peut être gentil... et diriger ! »

    Face au Parlement, l’ancienne première ministre néo-zélandaise, qui a démissionné en février, était émue à l’occasion de son dernier discours. « Vous pouvez être anxieux, gentil, un intello et diriger, tout comme moi », a-t-elle affirmé, les larmes aux yeux.