QUAND L'ARGENT FAIT SÉCESSION Dialogue entre... par forumdesimages
Réflexions - Page 114
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QUAND L'ARGENT FAIT SÉCESSION Dialogue entre Thomas Piketty, économiste et Thierry Pech, journaliste par Forum des images
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Non Fiction : Vers un nouveau pacte social entre les générations ?
Résumé : Une étude sur la crise par le prisme de la démographie avec les inégalités économiques entre générations en France, entre papy boomers aisés et actifs précaires.
"Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde" nous a appris Camus. Hakim el Karaoui, consultant, agrégé de géographie et normalien épaulé par son jeune collaborateur, Sami Fennich, ont tenté de nommer la crise que nous traversons actuellement dans un essai coup de poing paru en octobre 2013. Partant du postulat que cette crise n’est pas de nature financière mais bel et bien globale, ils nous désignent ses coupables, pointant du doigt la génération des papy-boomers née au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Les auteurs l’accusent d’avoir pris – silencieusement - le pouvoir démocratique et économique aux dépens des générations les plus jeunes. Il s’agit en l’occurrence de la première manifestation d’un phénomène inédit dans l’histoire de l’Occident. Reprenant André Masson pour qui "le tapis roulant des événements de la vie est plus ralenti pour les nouvelles cohortes nées lors des années 1970 et 1980", ce livre se veut un cri d’alarme. Un cri justifié par l’impasse qui est devant-nous et l’absence de débat argumenté sur cet enjeu démographique aux répercussions socioéconomiques concrètes sur le quotidien des centaines de millions de citoyens
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Pacte de responsabilité: les économistes Bertrand Martinot et Henri Sterdyniak s'interrogent
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Anne Sinclair sur Europe 1 : l'intégrale
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A QUOI SERT L'ARGENT ? Dialogue entre André Orléan, économiste, et Patrick Viveret, philosophe par Forum des images
A QUOI SERT L'ARGENT ? Dialogue entre André... par forumdesimages -
Caroline Fourest: l'invitée de Ruth Elkrief - 30/01
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Non Fiction : L’avènement du "populisme liquide"
Résumé : Dans un livre d’entretien, le sociologue Raphaël Liogier décrypte les vicissitudes de la société française, qu’il décrit en proie à l’islamo-paranoïa et à un populisme rampant.
"Populisme" : la notion, usuelle, demeure pourtant floue, quand elle n’est pas malmenée, ou parfois instrumentalisée dans les discours politiques et les débats d’idées. Le lecteur attendra donc beaucoup d’un ouvrage sobrement intitulé Ce populisme qui vient. Dans cet entretien fleuve avec l’anthropologue Régis Meyran, le sociologue des religions Raphaël Liogier, professeur et directeur de l’Observatoire du Religieux (World Religion Watch) à l’Institut d’Études Politiques d’Aix-en-Provence, livre ses considérations sur le populisme qui imprègne, d’après lui, la société française contemporaine. Et par "populisme", il faut entendre "le fait de parler en lieu et place du peuple tout entier" , un "Peuple" homogène, réifié, et détenteur de la Vérité. Le populisme est par essence une "pathologie de la modernité", conclura d’ailleurs Raphaël Liogier : la modernité désignant littéralement la reconnaissance de modes d’existence différents, légitimés et relevant de la subjectivité de chacun, le populisme serait l’envers de la modernité, en ce qu’il exalte le Peuple contre la subjectivité, contre l’individu.
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OFCE : Réglementation des activités financières des banques européennes : un quatrième pilier pour l’Union bancaire
30 janvier 2014
par Céline Antonin, Henri Sterdyniak et Vincent Touzé
Sous l’impulsion du Commissaire européen Michel Barnier, la Commission européenne a proposé le 29 janvier 2014 un nouveau règlement visant à limiter et encadrer la pratique d’activités de marché pour les banques de taille systémique, c’est-à-dire les fameuses « too big to fail« .
Réglementer les activités pour compte propre : un besoin né de la crise
En raison de la responsabilité particulière des banques dans la crise économique et financière de 2008, de nombreuses voix se sont élevées pour exiger une réglementation plus stricte des activités financières des banques. Cette exigence a donné naissance à deux approches, l’interdiction ou la séparation.
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"Théorie du genre" à l'école : "Le poids des réseaux sociaux"
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Observatoire des inégalités - 30 milliards d’euros de baisses de cotisations : ce que l’on pourrait faire à la place
16 janvier 2014 - Que faire avec 30 milliards d’euros ? Le gouvernement a choisi d’aider les entreprises à réduire leurs cotisations sociales. Il aurait pu en être autrement. Quelques exemples concrets.
Le Président de la République a annoncé, lors de ses voeux à la presse du 14 janvier, que le gouvernement allait réduire de 30 milliards d’ici 2017 les cotisations familiales versées par les entreprises et donc alléger leurs charges. Cette somme colossale ne veut rien dire pour la majorité de la population. Nous vous proposons un chiffrage très simple de ce qui aurait pu être fait en matière de services publics, si l’exécutif en avait décidé autrement. Et si, par exemple, il avait augmenté les dépenses au lieu de réduire les recettes, ce qui revient au même
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Libé - La mixité femmes-hommes, un enjeu oublié pour les classes populaires
Alors que le projet de loi sur l’égalité femmes-hommes vient d'être adopté mardi à l'Assemblée nationale, la mixité dans les milieux populaires reste un enjeu majeur.
Le projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes pose bien le caractère systémique des enjeux en présence : en particulier, le partage inégal du travail parental, indissociable des inégalités dans la sphère professionnelle. Au-delà, et comme nous l’exposons dans un rapport sur les stéréotypes filles-garçons remis à Najat Vallaud-Belkacem le 15 janvier dernier, un faisceau de contraintes cumulatives vient précocement fermer l’horizon des possibles des jeunes.
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