Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Article du jour - Page 33

  • France Info - La socialiste Carole Delga élue pour trois ans à la tête des Régions de France

    La présidente de la région Occitanie succède au LR Renaud Muselier. La droite récupérera cependant ce poste dans trois ans.

    La socialiste Carole Delga a été élue vendredi 9 juillet présidente des Régions de France, l'institution qui représente les régions auprès des pouvoirs publics, pour trois ans. La présidente de la région Occitanie succède à Renaud Muselier, président (Les Républicains) de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui assumera la fonction de président délégué.

    Lire la suite
    ________________________
    ________________________

  • Libé - Billet A gauche, l’union ne va plus très Faure

    Le patron du PS, qui plaçait jusqu’ici l’unité avant l’identité de son parti, estime désormais qu’un «plafond de vert» peut empêcher la gauche de gagner.
     
     
    Le premier secrétaire du Parti socialiste a pris les clés de la vieille maison rose sur une promesse. Elle lui a causé quelques pépins. Les éléphants ont tenté de l’écraser. Depuis son élection au printemps 2018, Olivier Faure a résisté en chantant du matin à la nuit la même chanson : la gauche est au bord de la disparition et le mélange des forces reste le seul remède. Le député de Seine-et-Marne tenait un discours clair sur le sujet. C’était le seul. Pas question de mettre une couleur avant l’autre. Olivier Faure mettait l’union avant les noms. Une stratégie nouvelle pour les socialistes. Une manière de dire que l’hégémonie de sa famille était passée. Pas simple, l’exercice. Ça a mis en rogne les patrons d’hier (François Hollande, Stéphane Le Foll, François Rebsamen…).
     
    Lire la suite
    ____________________________
    ____________________________

  • Telos - Les relations euro-américaines après le voyage de Biden

    Le G7 et la tournée européenne de Biden ont consacré un rapprochement des Européens et des Américains en ce qui concerne les relations avec la Chine et avec la Russie. Après l’intempérance et les initiatives imprévisibles de son prédécesseur, qui avaient gravement dégradé l’image des États-Unis en Europe et alimenté des versions extrêmes de la recherche d’autonomie stratégique européenne, il suffisait au président américain, en un sens, de « ne pas être Trump ». Pour autant des différences subsistent, qui demandent à être scrutées de près si l’on veut apprécier les perspectives.

    Lire la suite
    ________________________
    ________________________

  • Libé - Illusions Régionales : à gauche, tous voués aux hégémonies

  • Les Echos - Régionales : les socialistes remplissent leurs objectifs

    Le Parti socialiste a solidement conservé dimanche soir les cinq régions qu'il dirigeait déjà et a envoyé ainsi un signal aux autres formations de gauche en vue de la présidentielle de 2022. En revanche, ses alliances avec les écologistes et parfois avec les Insoumis n'ont pas permis de conquérir de nouveaux fiefs.

    Contrat rempli pour le Parti socialiste. Dans des élections régionales qui ont vu dimanche les 13 présidents sortants conserver leur siège, les socialistes ont gardé haut la main le contrôle des cinq collectivités qu'ils dirigeaient déjà. En revanche, ses alliances avec d'autres forces de gauche n'auront pas permis d'arracher de nouveaux fiefs à la droite.

    Lire la suite
    __________________________
    __________________________

     

  • Les Echos - Régionales : les socialistes remplissent leurs objectifs

    Le Parti socialiste a solidement conservé dimanche soir les cinq régions qu'il dirigeait déjà et a envoyé ainsi un signal aux autres formations de gauche en vue de la présidentielle de 2022. En revanche, ses alliances avec les écologistes et parfois avec les Insoumis n'ont pas permis de conquérir de nouveaux fiefs.

    Contrat rempli pour le Parti socialiste. Dans des élections régionales qui ont vu dimanche les 13 présidents sortants conserver leur siège, les socialistes ont gardé haut la main le contrôle des cinq collectivités qu'ils dirigeaient déjà. En revanche, ses alliances avec d'autres forces de gauche n'auront pas permis d'arracher de nouveaux fiefs à la droite.

    Lire la suite
    __________________________
    __________________________

     

  • Marianne - Des scientifiques condamnent la fuite d’un brouillon de rapport du Giec par l’AFP

    Climat

    L’AFP a publié la nuit dernière de larges extraits d’un brouillon du prochain rapport du Giec. Le groupe d’experts a vivement réagi et de nombreux scientifiques français regrettent cette fuite.

    « Climat : la vie sur Terre peut se remettre d'un "changement majeur", pas l'humanité (projet rapport Giec) ». Diffusée par l’Agence France Presse dans le monde entier et dans toutes les langues à 3 h 02, heure française, ce mercredi 23 juin, cette alerte a été suivie par quatre autres puis par plusieurs longs articles. Sa source : un brouillon du prochain rapport du Giec obtenu par l’Agence qui en dévoile de larges extraits.

    Lire la suite
    __________________________
    __________________________

  • Le Monde - Dérèglement climatique : l’humanité à l’aube de retombées cataclysmiques, alerte un projet de rapport du GIEC

    Dans ce document, les experts du climat de l’ONU constatent que les impacts du dérèglement climatique vont s’accélérer, et devenir palpables bien avant 2050.

    Pénurie d’eau, exode, malnutrition, extinction d’espèces… La vie sur terre telle que nous la connaissons sera inéluctablement transformée par le dérèglement climatique quand les enfants nés en 2021 auront 30 ans, voire plus tôt, alerte un projet de rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’Organisation des Nations Unies (ONU), dont le contenu a été dévoilé, mercredi 23 juin, par l’Agence France-Presse.

    Lire la suite
    ___________________________
    ___________________________

  • France Info - Elections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes : Laurent Wauquiez, le roi de la com qui veut garder sa couronne

    L'ancien patron des Républicains a multiplié les publicités pour faire connaître sa nouvelle collectivité, quitte à irriter ses opposants, qui dénoncent un mélange des genres au service de sa réélection.

    Entre la Maurienne et la combe de Savoie, Laurent Wauquiez file à toute vitesse en direction du village d'Aiton. Le président-candidat de la région Auvergne-Rhône-Alpes (Aura) est en plein marathon électoral, montre de course vissée au poignet. Ce jeudi 3 juin, les conditions météorologiques et politiques sont au beau fixe. Le bleu clair domine la vallée et les sondages pour les élections régionales. A l'entrée de la commune, la couleur fétiche de l'éphémère président du parti Les Républicains (LR) s'affiche de nouveau sur un panneau flambant neuf : "La région aide ses communes", peut-on lire sous le logo de la puissante collectivité.

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • La Croix - Élections Régionales : dans les Hauts-de-France, un fragile laboratoire de l’union de la gauche

    Les gauches ont scellé un accord unique en France, derrière la tête de liste écologiste Karima Delli, pour reprendre une place dans l’hémicycle du conseil régional. Cette union EELV-PS-PCF-LFI n’a guère de chance d’être dupliquée pour soutenir un candidat commun à l’élection présidentielle en 2022.

    « C’est fait ! clamait le communiqué publié le 11 mars. Nous, Europe Écologie-Les Verts, France insoumise, Parti socialiste et Parti communiste français, faisons union pour les élections régionales » dans les Hauts-de-France (1). Tous se rangeaient alors derrière la tête de liste écologiste, la députée européenne Karima Delli, 42 ans, qui a grandi à Tourcoing.

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • Geo - Il y a 50 ans, le congrès d'Epinay fait renaître le Parti socialiste sous l'égide de Mitterrand

    Il y a 50 ans, les 11, 12 et 13 juin 1971, se tenait le congrès d'Epinay, marquant la renaissance d'un Parti socialiste unifié sous l'égide de François Mitterrand, leader charismatique, qui redonna de l'espoir à la gauche en faisant du PS une machine à gagner le pouvoir, jusqu'à la victoire de 1981.

    "On s'est dit que personne ne nous empêcherait de gagner un jour", se remémore auprès de l'AFP l'ex-ministre Pierre Joxe, mitterrandien de la première heure et l'un des principaux acteurs du congrès.

    Le futur premier président socialiste de la Ve République réussit à Epinay (Seine-Saint-Denis) à rassembler une famille politique éclatée en une multitude de chapelles se paralysant les unes les autres. Commençait alors une longue marche qui devait ramener la gauche au pouvoir en 1981, après 23 ans de règne sans partage de la droite. En 1971, le Front populaire de 1936, dominé par la figure tutélaire du socialiste Léon Blum, était un lointain souvenir, aussi exaltant fut-il, pour une gauche que le passage à Matignon, vingt ans plus tard, du discret Guy Mollet, Premier ministre de 1956 à 1957, n'avait pas réussir à revigorer.

    Lire la suite
    ____________________________
    ____________________________