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Article du jour - Page 32

  • Marianne - Olivier Faure largement réélu à la tête d'un Parti socialiste rénové

    Le premier secrétaire du parti à la rose est reconduit dans ses fonctions après le vote de ses délégués. Alors qu'a débuté la campagne de la candidate à la présidentielle Anne Hidalgo, le Parti socialiste veut sortir neuf du chantier idéologique qui l'a occupé ces dernières années.

    Il reste. Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti socialiste a été reconduit dans ses fonctions par les délégués, dans la nuit de jeudi à vendredi. Ultra-favori, il a emporté l'adhésion de plus de 73 % des votants (résultats sur 80% des bulletins dépouillés en toute fin de soirée, jeudi). Sans surprise : il y a une semaine, son texte avait totalisé 72,02 % des suffrages contre 27,98 % pour sa rivale Hélène Geoffroy la maire de Vaulx-en-Velin.

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  • L'Obs - Le Parti socialiste veut être « la surprise » de la présidentielle

    « Pour gagner et transformer ce pays, la gauche et l’écologie doivent se rassembler », a affirmé Olivier Faure, réélu premier secrétaire du Parti socialiste réuni en congrès à Villeurbanne.

    Le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, largement réélu samedi 18 septembre, a affirmé dimanche que son parti était « la surprise » de la présidentielle, appelant une nouvelle fois au « rassemblement de la gauche et de l’écologie » derrière le PS.

    Dans son discours de clôture du 79e Congrès du PS à Villeurbanne, il a promis aux militants une campagne pour la présidentielle « comme nous n’en faisons plus depuis longtemps ».

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  • L'Obs - PS: Le Foll critique le "refus" du débat et veut se présenter face à Hidalgo

    Villeurbanne (AFP) - Le maire du Mans Stéphane Le Foll maintient sa candidature à l'investiture du PS pour la présidentielle, face à Anne Hidalgo, tout en critiquant un "refus du débat" au sein de son parti, indique-t-il au Journal du Dimanche.

    La maire de Paris et le Premier secrétaire Olivier Faure, confirmé samedi à la tête du PS en Congrès à Villeurbanne (Rhône), "refusent le débat" mais "s'il n'y a plus de débat au sein du PS, c'est la mort du parti tel qu'il a existé", avertit M. Le Foll.

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  • Le Monde - Olivier Faure réélu à la tête du Parti socialiste

    Le député de Seine-et-Marne, grand favori à sa propre succession, a recueilli plus de 73 % des votes face à Hélène Geoffroy. Il a été officiellement réélu lors de la ratification des résultats au Congrès du parti samedi.

    Le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Olivier Faure, a été largement réélu à la tête de la formation lors du vote qui l’opposait, jeudi 16 septembre, à la maire de Vaulx-en-Velin (Rhône), Hélène Geoffroy.

    Le député de Seine-et-Marne, en poste depuis 2018, a facilement disposé de sa seule concurrente par 73,6 % des voix contre 26,4 %, selon des chiffres transmis à l’Agence France-Presse (AFP) dans la nuit de jeudi à vendredi, sur la base de 80 % des bulletins dépouillés.

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  • France Info - De maire de Paris à candidate à la présidentielle, la mue d'Anne Hidalgo en vue de 2022

    La socialiste, qui ne voulait pas entendre parler de la présidentielle, a longuement muri sa décision avant de se présenter.

    Elle n'avait cessé de le répéter. Non, non et non, il ne faudrait pas compter sur elle pour 2022. "Je ne cherche rien d'autre (...) Paris me comble. Je ne serai pas candidate à la présidentielle", clamait encore Anne Hidalgo le 23 juin 2020, dans une interview à L'Express. Mais, en politique, on le sait, les promesses n'engagent que ceux qui les croient. Après des semaines de faux suspense, la maire de Paris a donc annoncé sa candidature à l'élection présidentielle de 2022, dimanche 12 septembre. "Je ne me projetais pas du tout dans cette candidature, mais j'ai vu aussi beaucoup de femmes et d'hommes, d'élus, de représentants d'associations, de Françaises et de Français, qui sont venus me dire : 'Tu ne peux pas échapper à cette responsabilité qui est la tienne'", a déclaré sur France 2 l'ancienne première adjointe de Bertrand Delanoë.

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  • Libé - Paris 2024 : le discours indécent du coach Macron

    Les athlètes français ne rapportent pas assez de médailles par rapport à l’argent public investi dans le sport, et il va falloir changer tout ça : c’est le message présidentiel transmis lundi soir aux médaillés de Tokyo qu’il recevait à l’Elysée.

    Ils n’avaient plus besoin de prouver qu’ils avaient un mental à toute épreuve. Les médaillés olympiques français viennent pourtant de le démontrer une nouvelle fois, en subissant lundi les consignes en vue de Paris 2024 concoctées par le coach Macron, qui les recevait à l’Elysée pour une cérémonie en leur honneur. Sauf que d’hommage, il a été peu question au beau milieu d’un exposé échevelé qu’on aurait pu intituler «le macronisme appliqué au sport», ponctué de quelques concepts inaudibles : «pacte de performance», «cordée du sport» ou «capital sportif-entrepreneur»

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  • Libé - Edito : Pour Anne Hidalgo, un chemin tortueux jusqu’à l’Elysée

    Longtemps sous-estimée, la maire de Paris ne cache plus sa détermination dans la course à la présidentielle. Mais la campagne reste un défi pour une candidate socialiste qui devra convaincre, malgré ses atouts, après la déroute de son parti.

    Petit conseil à ceux qui seraient tentés d’enterrer Anne Hidalgo sitôt sa candidature à la présidentielle officialisée hier à Rouen : se méfier d’eux-mêmes. Le portrait que Libération consacre à celle qui va représenter le Parti socialiste en 2022 rappelle comment tous ceux qui ont sous-estimé il y a vingt ans la discrète, voire l’effacée, ex-conseillère de Martine Aubry, s’en sont mordu les doigts. Se replonger dans le parcours de la «dauphine» de Bertrand Delanoë, c’est comprendre la détermination qui se cache derrière un phrasé trop monotone, la patience qui a précédé la prise de lumière, l’ambition dissimulée mais chevillée au corps qui l’a aidée à se tanner le cuir.

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  • Le Monde - Election présidentielle de 2022 : Anne Hidalgo officialise sa candidature

    La maire de Paris a officiellement lancé sa campagne à Rouen. Dans ce discours, elle a évoqué ses racines familiales et critiqué le bilan d’Emmanuel Macron.

    Cette fois, c’est officiel. La maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, a annoncé à Rouen, dimanche 12 septembre, sa candidature à l’élection présidentielle de 2022. « Aujourd’hui, je suis prête. C’est pourquoi, humblement, (…) j’ai décidé d’être candidate à la présidence de la République française. (…) Je suis candidate pour offrir un avenir à nos enfants, à tous nos enfants. »

    En déclarant sa candidature, elle a évoqué ses racines familiales : « Aujourd’hui, sur ce port de Rouen, je pense à mon père qui fut ouvrier sur le chantier naval de Cadix. Je pense aussi à ma mère, couturière », a expliqué Anne Hidalgo, évoquant son parcours de « femme française, née en Espagne » avant son arrivée dans « cette France qui [lui] a donné [sa] chance ». La maire a ajouté : « Nous devons réinventer notre modèle français fragilisé par ces crises multiples », et a affirmé vouloir rétablir « le respect » et l’unité du pays.

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  • Le Vent se lève -  Trump : vers un retour inexorable au pouvoir

     

    Loin d’avoir tourné la page du trumpisme, le Parti républicain redouble d’efforts pour permettre le retour au pouvoir du milliardaire, mettant en place des centaines de lois visant à affaiblir le processus électoral et les institutions. Au lieu de réagir à ce qu’ils dénoncent comme une attaque inédite contre la démocratie américaine, Joe Biden et le Parti démocrate semblent coincés dans une réalité alternative où les compromis bipartisans avec une opposition aux velléités putschistes doivent primer sur une action politique susceptible de protéger le fonctionnement des institutions.

  • Le Vent se lève - Verts, sociaux-démocrates : et soudain, tout le monde devint progressiste…

    À l’heure où la question de l’union de la gauche agite les partis politiques français, il n’est pas inutile de se tourner de l’autre côté du Rhin, où cet enjeu est plus brûlant encore. Ni les Verts allemands, ni les sociaux-démocrates du SPD, ni la gauche post-communiste de Die Linke ne sont particulièrement enthousiastes à l’idée d’une coalition verte-rose-rouge. Néanmoins, cette alliance de centre-gauche n’est pas formellement exclue. Pourra-t-elle entamer le statu quo néolibéral pour autant ? L’agenda politique des Verts et des sociaux-démocrates permet, à tout le moins, d’en douter — qui plus est, dans un contexte de retour en force de la crainte de l’inflation au sein de la population allemande. Traduction par Jean-Baptiste Bonnet.

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  • Idées d'été - Charlie Hebdo - Les faux-culs de la laïcité

    C’est un vibrant plaidoyer pour la laïcité. Ou plutôt pour l’Observatoire de la laïcité et son ex-président, le bedeau Jean-Louis Bianco. Une tribune furieusement citoyenne, publiée le 7 avril dans Le Monde, dénonçant une « dangereuse récupération idéologique ». Selon ses signataires, 119 éminents universitaires, une grave menace pèse sur la laïcité. Les pressions religieuses ? Non. La menace terroriste ? Pas davantage. Les obsessions identitaires ? Encore moins. Non, ce qui met en péril la laïcité, c’est la décision de dissoudre cet observatoire qui mettait un point d’honneur à ne rien voir, pour le remplacer par une structure gouvernementale ­dédiée. Ce serait une grave dérive politicienne qui voudrait faire de la laïcité « un outil répressif, de contrôle et d’interdiction, en contradiction totale avec son projet initial et avec la loi de 1905 ». Avec le danger de « restrictions de l’expression des convictions dans l’espace public [qui] provoqueraient, par ricochet, la réduction progressive d’autres droits et libertés »

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