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Article du jour - Page 161

  • Libé - Najat Vallaud-Belkacem : «Il est temps de faire campagne !»

    Ayant gardé en mémoire le peu de soutien dont Ségolène Royal avait bénéficié en 2007 au sein de son propre camp, la ministre de l’Education nationale a décidé de soutenir activement le vainqueur de la primaire à gauche, Benoît Hamon. Elle appelle également Emmanuel Macron à sortir de l’ambiguïté et à clarifier son programme.

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  • Libé - Gauche : les lignes rouges du rassemblement Par Zaki Laïdi, politologue, ancien conseiller politique de Manuel Valls à Matignon

    Le programme défini par Benoît Hamon pour la primaire socialiste présente des aspects positifs, mais il ne saurait constituer un projet pour la France. Pour cela, il lui appartiendra de parler à toutes les forces de la gauche et à Emmanuel Macron, sans oublier l’écologie responsable. La tâche sera délicate : il faudra respecter les idées de tous les participants de la primaire et clarifier les positions sur les sujets les plus sensibles comme le travail et la laïcité.

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  • L'Express - Hamon: Fillon "persiste dans le déni"

    Arcueil (France) - Benoît Hamon, candidat socialiste à l'élection présidentielle, a estimé lundi que François Fillon commettait "une grave erreur" en persistant "dans le déni" après avoir défendu la légalité de l'emploi de sa femme.

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  • L'Express - Présidentielle: "On ne gagne pas une élection sur un bilan", juge Hamon

    Au micro de RTL, Benoît Hamon, candidat du PS à l'élection présidentielle, a une nouvelle fois refusé de polariser son programme autour du qinquennat de François Hollande.

    Benoît Hamon, candidat socialiste à la présidentielle, a jugé lundi qu'on ne pouvait "gagne(r) l'élection sur un bilan", alors que plusieurs ténors du parti le pressent d'assumer le quinquennat Hollande. 

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  • Lyon Capitale - Qui pour remplacer Kimelfeld à la tête du PS lyonnais ?

    David Kimelfeld, maire PS du 4e, se retrouve dans une position difficilement tenable. Il est le premier des socialistes dans le Rhône mais aussi un soutien d’Emmanuel Macron. Ses jours à la tête de la fédération du Rhône semblent comptés. Même si les hamonistes ne demandent pas sa tête.

    Les curiosités de la gauche lyonnaise débouchent sur des paradoxes frappants. Ce dimanche 5 février au matin, David Kimelfeld ne sera pas présent à la convention d’investiture de Benoît Hamon comme candidat du PS. Et pour cause : le premier secrétaire fédéral du Rhône a fait le choix, depuis des semaines, d’Emmanuel Macron.

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  • Slate, Gaël Brustier - Le peuple ou la gauche? Ce qui sépare Hamon et Mélenchon

    Rassembler la gauche et ses appareils partisans ou tenter de construire un sujet politique nouveau –le peuple– voilà la différence fondamentale entre Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon.

    La désignation de Benoît Hamon relance le débat stratégique à gauche. L’idée des «deux gauches irréconciliables» portée par Manuel Valls est désormais remisée au second plan par l’électorat des primaires citoyennes, sans que toutes les questions et les débats déterminant l’avenir de la gauche soient tranchés.

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  • Marianne - A son investiture, Hamon se tire habilement du bilan de Hollande…

    Au cours de son discours d'investiture ce dimanche 5 février à La Mutualité à Paris, Benoît Hamon s'est livré à une habile défense du bilan du quinquennat de François Hollande. Pour mieux passer rapidement à autre chose, en évitant les questions qui fâchent.

    Comment ne pas faire imploser le Parti socialiste tout en séduisant l'électorat déçu du quinquennat ? C'est la difficile équation qu'a tenté de résoudre Benoît Hamon ce dimanche 5 février à Paris, à l'occasion de la convention d'investiture du vainqueur de la primaire de la gauche pour l'élection présidentielle. Si François Hollande était devant son poste de télévision, il aura sans doute goûté l'habileté de la manoeuvre, en fin connaisseur.

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  • Le Monde - Paroles d’électeurs : « Hamon ne va pas changer de ligne pour faire plaisir à des élus du PS »

    Les électeurs de Hamon recontactés par « Le Monde » considèrent que ça n’est pas à leur candidat de rassembler la gauche, mais à la gauche de se rassembler derrière lui.

    Benoît Hamon doit-il défendre le bilan du quinquennat qui s’achève ? « Choisir » entre la ligne de Jean-Luc Mélenchon et celle de l’aile droite du Parti socialiste ? Tendre la main aux élus vallsistes ? Rien de tout cela selon ses électeurs. A la veille de l’investiture du vainqueur de la primaire à gauche, dimanche 5 février à Paris, et alors que les tractations vont bon train au sein des appareils politiques pour « rassembler la gauche » en vue de la présidentielle, ceux qui ont voté pour le député des Yvelines attendent surtout de lui qu’il reste fidèle au programme sur lequel il a été élu.
     
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  • Le Point - Benoît Hamon lance son OPA sur Jean-Luc Mélenchon

    Première étape pour le candidat officiellement investi par le PS : préempter l'électorat de Mélenchon avant de s'attaquer à Emmanuel Macron.

    Benoît Hamon est à Jean-Luc Mélenchon ce que Macron est à Valls : un candidat plus jeune, plus rapide, plus sympathique. Toute la scénographie de son investiture officielle, dimanche 5 février à la Mutualité, a été conçue dans le but unique de lancer son OPA sur l'électorat de Mélenchon. Deux prises de parole clés étaient prévues : celle d'Anne Hidalgo, puis celle de Christiane Taubira, en « vedette américaine » avant le discours final du candidat. Au premier rang, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon sont venus personnellement apporter leur soutien au vainqueur de la primaire. Manuel Valls était absent. Hamon s'est contenté de la présence de deux vallsistes du premier cercle, les sénateurs Luc Carvounas et Didier Guillaume, directeur de campagne de Valls.

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  • Lyon Capitale - La semaine où le PS n’a pas implosé

    Avec la victoire de Benoît Hamon, le PS aurait pu exploser en deux au profit d’Emmanuel Macron, qui se tenait prêt à accueillir les socialistes déçus. Au final, l’exode a été marginal. Du moins pour le moment.

    Pour Emmanuel Macron, Benoît Hamon était le vainqueur idéal de la primaire de la gauche. Plus à gauche que l’ancien ministre de l’Économie, il lui laissait entrevoir la possibilité de capter quasiment automatiquement la moitié du PS. Le scénario espéré par les “marcheurs” a bien eu lieu mais les conséquences attendues ne sont pas au rendez-vous.

    “Tout le monde disait qu’il était le candidat le plus favorable pour Emmanuel Macron, mais attention à ne pas sous-estimer Benoît Hamon. Dans un premier temps, il va torpiller Jean-Luc Mélenchon et ensuite il s’attaquera à nous, redoute un membre d’En Marche. Les deux vont être en concurrence directe sur des pans électoraux majeurs : les jeunes et les abstentionnistes.”

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  • RTL - Hamon-Montebourg, retour sur l'histoire de leur amitié

    INTERVIEWS - Les deux candidats ont été concurrents lors de la primaire de la gauche, mais pas seulement. Ils entretiennent aussi une amitié longue de quinze ans.

    Ils ont beau s'être affrontés pendant la primaire de la gauche, l'amitié ne semble pas entachée. Benoît Hamon et Arnaud Montebourg mettent tous les deux en avant leur amitié dans leurs discours. Avant l'officialisation des résultats du second tour de la primaire de la gauche, le candidat du "made in France" a affirmé qu'il était "disponible" et qu'il ferait ce que Benoît Hamon lui demande. À l'issue du premier tour, Arnaud Montebourg a pris la parole pour annoncer son soutien à Benoît Hamon : "Avec Benoît Hamon, nous avons combattu ensemble, dans le gouvernement, les politiques social-libérales, aujourd'hui désavouées par les électeurs de la primaire. Nous avons quitté le gouvernement ensemble et nous avons veillé ensemble malgré des désaccords à ce que nos prises de positions restent complémentaires et compatibles".

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