Alors que tous les eurodéputés socialistes français ont voté contre le traité, Matthias Fekl, porte-voix des négociations, vient de rejoindre l’équipe de Hamon, anti-Ceta.
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Alors que tous les eurodéputés socialistes français ont voté contre le traité, Matthias Fekl, porte-voix des négociations, vient de rejoindre l’équipe de Hamon, anti-Ceta.
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Parlementaires socialistes et proches de Hollande sont partagés entre attentisme et l’hypothèse d’un «vote utile» pour Macron.
Par la grâce de la primaire, ils sont devenus les nouveaux frondeurs. Depuis la victoire de Benoît Hamon, les proches de François Hollande et les socialistes légitimistes regardent la campagne du néo-candidat se déployer avec une inquiétude de moins en moins feinte.
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Un appel intitulé « PCF : sortons de l’immobilisme », qui a recueilli plus de 600 signatures en quarante-huit heures, plaide pour « une candidature commune pour la présidentielle ».
Les grandes manœuvres sont reparties place du Colonel-Fabien. Depuis le mardi 14 février, un appel intitulé « PCF : sortons de l’immobilisme » qui a recueilli plus de 600 signatures en quarante-huit heures, se répand de manière virale, auprès des cadres et des militants du Parti communiste. Il a notamment été signé par quatre parlementaires (les députés André Chassaigne, Patrice Carvalho, Gaby Charroux et la sénatrice Evelyne Didier), mais aussi par trois membres du comité national exécutif et par plus d’une trentaine de secrétaires départementaux qui étaient réunis, mercredi au siège du PC, à Paris.Vers une candidature commune, à condition qu’il s’agisse de la sienne. Jean-Luc Mélenchon est revenu, mercredi 15 février, sur la possibilité d’une union de la gauche pour l’élection présidentielle. Devant près de deux mille cinq cents sympathisants réunis dans la salle du Palais de la musique et des congrès de Strasbourg, le chef de file de La France insoumise (LFI) a proposé une rencontre aux candidats du Parti socialiste (PS), Benoît Hamon, et d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV), Yannick Jadot.
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Si l’épanouissement personnel doit continuer à être perçu à travers le prisme du travail, alors le partage de celui-ci s’impose comme une obligation face à son inévitable raréfaction......
Non, les jeunes qui tendent l’oreille lorsqu’on leur parle de revenu universel d’existence ne sont pas des traîne-savates, heureux de pouvoir rester tranquillement à la maison tandis que tomberait chaque mois dans leur portefeuille 750 euros consacrant le règne de l’oisiveté et de l’assistanat. Si l’épanouissement personnel et toutes les mécaniques économiques et sociales qui l’activent doivent continuer à être perçus à travers le prisme du travail, alors le partage de celui-ci s’impose comme une obligation face à son inévitable raréfaction.
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Le candidat socialiste à la présidentielle tente de renouer avec les fondamentaux de la gauche, tels que le travail.
Alors que des violences frappent plusieurs communes de Seine-Saint-Denis, le chef de l'Etat s'est rendu à Aubervilliers mardi matin.
Entre les banlieues et François Hollande, l'histoire avait d'abord bien commencé. En 2012, c'est dans ces quartiers populaires que celui qui n'était encore que le candidat socialiste à la présidentielle a réalisé parmi ses plus hauts scores, bien aidé par la forte impopularité de son rival Nicolas Sarkozy. Mais si sa victoire et le retour de la gauche ont pu laisser croire que la donne allait changer, cinq ans après, le bilan apparaît modeste, et la déception des habitants particulièrement forte.
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Le PS, que l'on disait menacé d'éclatement, tient bon depuis la victoire de Hamon à sa primaire. L'exode annoncé des élus vers En marche n'a pas eu lieu.
Rappelez-vous, c'était le mois dernier, il y a un siècle. La droite et le centre faisaient bloc derrière François Fillon, champion incontesté de son camp à la présidentielle. Et le Parti socialiste était menacé d'éclatement dans la perspective d'une victoire de Benoît Hamon à la primaire de la Belle Alliance populaire. En l'espace de quelques semaines, le paysage politique s'est renversé.
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Le candidat PS à la présidentielle Benoît Hamon s'est présenté mardi sur France5 comme le candidat de la "bienveillance" face à un "bulletin de vote qui veut faire mal", celui que veut capter Marine Le Pen.
"J'ai rencontré pendant ma campagne des primaires une auxiliaire de vie (...) elle était désormais au RSA (...) Je lui avais dit: +si vous étiez présidente de la République, qu'est-ce que vous feriez ?+. Elle m'avait dit: +vous baisser votre salaire+. (...) Comme si finalement elle n'entendait non seulement plus rien à la politique mais que son bulletin de vote avait comme intérêt d'abord de faire mal à ceux dont elle juge (...) qu'ils sont responsables de l'impasse dans laquelle elle est. Faire mal", a raconté M. Hamon.
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Une défaite historique se profile aux présidentielles pour la gauche divisée. Seule condition à la victoire : que Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon en rebattent sur leur ego et choisissent de s’allier.
“Je me rends compte que c’est le nom d’Hamon qui sera associé à l’échec historique de la gauche si Marine Le Pen remporte la présidentielle. On oubliera ce qui s’est passé avant, le 21 Avril, les défaites antérieures. C’est le nom de mon grand-père, de mon père, de mes enfants, qui sera synonyme de ce naufrage historique. Je suis parfaitement lucide sur la gravité du moment.” Ainsi parle Benoît Hamon dans l’interview-fleuve qu’il a accordée aux Inrocks, réalisée par Justine Triet, Aurélien Bellanger et Miossec. La gravité du moment, et ça n’est pas un euphémisme.
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Alors que François Fillon voit sa cote d’adhésion s’étioler, celle du candidat PS gagne 10 points. Désormais, sa priorité est de contrer Macron
Épargnée par les scandales, la candidature de Benoît Hamon à la présidentielle continue de gagner en épaisseur dans l’opinion. Alors qu’il avait déjà enregistré un premier bond dans les sondages après sa victoire sur Manuel Valls à la primaire de la gauche, sa cote d’adhésion vient de prendre 10 points selon notre dernier baromètre Odoxa.
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