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Article du jour - Page 158

  • Le Monde - Benoît Hamon en campagne sur le marché d’Alfortville avec la France qui se lève tôt

    Le candidat socialiste à la présidentielle tente de renouer avec les fondamentaux de la gauche, tels que le travail.

    « Bonjour, vous allez bien ? Ça va, pas trop dur ? Il fait encore nuit là… » Benoît Hamon a décidé de parler à la France qui se lève tôt. Mercredi matin, le candidat à la présidentielle s’est rendu à Alfortville, pour rencontrer les exposants du marché installé dans le centre-ville.
     
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  • L'Obs - Les banlieues sous François Hollande : trois renoncements et deux échecs

    Alors que des violences frappent plusieurs communes de Seine-Saint-Denis, le chef de l'Etat s'est rendu à Aubervilliers mardi matin.

    Entre les banlieues et François Hollande, l'histoire avait d'abord bien commencé. En 2012, c'est dans ces quartiers populaires que celui qui n'était encore que le candidat socialiste à la présidentielle a réalisé parmi ses plus hauts scores, bien aidé par la forte impopularité de son rival Nicolas Sarkozy. Mais si sa victoire et le retour de la gauche ont pu laisser croire que la donne allait changer, cinq ans après, le bilan apparaît modeste, et la déception des habitants particulièrement forte.

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  • Les Echos - L'instinct de survie du Parti socialiste

    Le PS, que l'on disait menacé d'éclatement, tient bon depuis la victoire de Hamon à sa primaire. L'exode annoncé des élus vers En marche n'a pas eu lieu.

    Rappelez-vous, c'était le mois dernier, il y a un siècle. La droite et le centre faisaient bloc derrière François Fillon, champion incontesté de son camp à la présidentielle. Et le Parti socialiste était menacé d'éclatement dans la perspective d'une victoire de Benoît Hamon à la primaire de la Belle Alliance populaire. En l'espace de quelques semaines, le paysage politique s'est renversé.

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  • Boursorama - Hamon candidat de la "bienveillance" face au "bulletin de vote qui veut faire mal"

    Le candidat PS à la présidentielle Benoît Hamon s'est présenté mardi sur France5 comme le candidat de la "bienveillance" face à un "bulletin de vote qui veut faire mal", celui que veut capter Marine Le Pen.

    "J'ai rencontré pendant ma campagne des primaires une auxiliaire de vie (...) elle était désormais au RSA (...) Je lui avais dit: +si vous étiez présidente de la République, qu'est-ce que vous feriez ?+. Elle m'avait dit: +vous baisser votre salaire+. (...) Comme si finalement elle n'entendait non seulement plus rien à la politique mais que son bulletin de vote avait comme intérêt d'abord de faire mal à ceux dont elle juge (...) qu'ils sont responsables de l'impasse dans laquelle elle est. Faire mal", a raconté M. Hamon.

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  • Les Inrocks - Hamon-Mélenchon et l’union des gauches: l’état d’urgence

    Une défaite historique se profile aux présidentielles pour la gauche divisée. Seule condition à la victoire : que Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon en rebattent sur leur ego et choisissent de s’allier.

    “Je me rends compte que c’est le nom d’Hamon qui sera associé à l’échec historique de la gauche si Marine Le Pen remporte la présidentielle. On oubliera ce qui s’est passé avant, le 21 Avril, les défaites antérieures. C’est le nom de mon grand-père, de mon père, de mes enfants, qui sera synonyme de ce naufrage historique. Je suis parfaitement lucide sur la gravité du moment.” Ainsi parle Benoît Hamon dans l’interview-fleuve qu’il a accordée aux Inrocks, réalisée par Justine Triet, Aurélien Bellanger et Miossec. La gravité du moment, et ça n’est pas un euphémisme.

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  • Sud Ouest - Baromètre : Fillon dégringole, pour Hamon les voyants sont au vert

    Alors que François Fillon voit sa cote d’adhésion s’étioler, celle du candidat PS gagne 10 points. Désormais, sa priorité est de contrer Macron

    Épargnée par les scandales, la candidature de Benoît Hamon à la présidentielle continue de gagner en épaisseur dans l’opinion. Alors qu’il avait déjà enregistré un premier bond dans les sondages après sa victoire sur Manuel Valls à la primaire de la gauche, sa cote d’adhésion vient de prendre 10 points selon notre dernier baromètre Odoxa.

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  • Paris Match - Sondage présidentielle : Macron, la fin de la magie

    En recul d'un point dans le sondage quotidien sur la présidentielle en temps réel réalisé par l'Ifop-Fiducial pour Paris Match, iTELE et Sud-Radio, Emmanuel Macron passe sous la barre des 20% d'intentions de vote.

    Trou d'air pour Emmanuel Macron. Pour la première fois depuis le lancement de notre sondage quotidien sur la présidentielle en temps réel réalisé par l'Ifop-Fiducial pour Paris Match, iTELE et Sud-Radio, le candidat d'En Mache! reçoit moins de 20% d'intentions de vote au premier tour. Après une première baisse (-0,5) vendredi dernier, l'ex-ministre perd encore un point ce lundi.

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  • Le JDD - Hamon, dix jours pour trouver un accord avec les Verts

    Les écologistes sont plus que jamais demandeurs d’une entente avec le candidat socialiste. Mais Hamon tarde à leur répondre.

    Il s'impatiente. "Est-ce que la priorité c'est de se réconcilier avec les valsistes ou de mettre sur pied un projet social-écolo-européen?" se demande Yannick Jadot. Le candidat d'EELV à la présidentielle, prêt à soutenir Benoît Hamon sous condition, déplore une dynamique qui "s'étiole". "Si Hamon continue à s'occuper du PS, ça ne marchera pas : les négociations d'appareil, ça déprime tout le monde", ajoute-t-il. "Je ne veux rien précipiter!" réplique Hamon, à distance. Depuis une dizaine de jours, rien n'avance vraiment. "Plus on ira vite, mieux ce sera", assure pourtant l'eurodéputé Guillaume Balas, un proche de Benoît Hamon.

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  • Libé - Hamon à la ferme : plan alimentation et patates bio

    Nouvelle étape de campagne ce lundi pour le candidat socialiste, qui a déroulé son «plan alimentation de qualité» dans une exploitation bio de Seine-et-Marne.

    Le ciel se lève sur Paris. Une poignée de journalistes se retrouvent devant le QG de Benoît Hamon. On embarque dans un bus, direction Châtenoy (Seine-et-Marne), une ferme bio autonome. Le candidat, lui, est déjà sur place, les chaussures dans la boue, entouré des deux propriétaires de la ferme. Mais pas que. Des caméras, des flashs, des stylos. La foule demande des images, une scène à décrire pour le grand cirque de la présidentielle. Elle sera servie.

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  • France Info - En visite dans une ferme, Benoît Hamon défend une transition écologique et alimentaire d'ici 2025

    Benoît Hamon était en Seine-et-Marne ce 13 février pour visiter une ferme bio. Le candidat socialiste à l'Élysée en a profité pour défendre son programme de transition écologique.

    Benoît Hamon poursuit sa campagne présidentielle. Le candidat socialiste a visité ce 13 février une ferme bio à Châtenoy, en Seine-et-Marne. Et quand il s'agit d'agriculture, Benoît Hamon se sent plutôt à l'aise. En 2013, il avait notamment dû gérer la crise de la viande de cheval. Depuis son discours n'a pas changé : il prône une transition écologique et alimentaire d'ici 2025

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  • Le JDD - Mélenchon rejette l'idée d'une "majorité composite" avec Hamon et Jadot

    Jean-Luc Mélenchon, interrogé sur la pétition demandant une alliance entre lui, Benoît Hamon et Yannick Jadot, a assuré qu'il "n'échangerai(t) pas des bouts de programmes contre des sièges aux législatives", dans un entretien à La Provence à paraître dimanche.

    Jean-Luc Mélenchon a tiré les leçons de la gauche plurielle et de son échec en 2002, quand la gauche était éclatée lors de la campagne présidentielle qui a vu Lionel Jospin éliminé au soir du premier tour. Dans un entretien à paraître dimanche dans La Provence, il refuse d'imaginer une "majorité composite" qui verrait s'unir le PS, les Verts et la gauche radicale pour gouverner. "Personne ne peut croire qu'il est possible de gouverner un pays avec une majorité composite de gens qui s'attendent les uns les autres au coin du bois", explique ainsi le candidat de la France insoumise à la présidentielle.

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