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Article du jour - Page 162

  • Lyon Capitale - Qui pour remplacer Kimelfeld à la tête du PS lyonnais ?

    David Kimelfeld, maire PS du 4e, se retrouve dans une position difficilement tenable. Il est le premier des socialistes dans le Rhône mais aussi un soutien d’Emmanuel Macron. Ses jours à la tête de la fédération du Rhône semblent comptés. Même si les hamonistes ne demandent pas sa tête.

    Les curiosités de la gauche lyonnaise débouchent sur des paradoxes frappants. Ce dimanche 5 février au matin, David Kimelfeld ne sera pas présent à la convention d’investiture de Benoît Hamon comme candidat du PS. Et pour cause : le premier secrétaire fédéral du Rhône a fait le choix, depuis des semaines, d’Emmanuel Macron.

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  • Slate, Gaël Brustier - Le peuple ou la gauche? Ce qui sépare Hamon et Mélenchon

    Rassembler la gauche et ses appareils partisans ou tenter de construire un sujet politique nouveau –le peuple– voilà la différence fondamentale entre Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon.

    La désignation de Benoît Hamon relance le débat stratégique à gauche. L’idée des «deux gauches irréconciliables» portée par Manuel Valls est désormais remisée au second plan par l’électorat des primaires citoyennes, sans que toutes les questions et les débats déterminant l’avenir de la gauche soient tranchés.

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  • Marianne - A son investiture, Hamon se tire habilement du bilan de Hollande…

    Au cours de son discours d'investiture ce dimanche 5 février à La Mutualité à Paris, Benoît Hamon s'est livré à une habile défense du bilan du quinquennat de François Hollande. Pour mieux passer rapidement à autre chose, en évitant les questions qui fâchent.

    Comment ne pas faire imploser le Parti socialiste tout en séduisant l'électorat déçu du quinquennat ? C'est la difficile équation qu'a tenté de résoudre Benoît Hamon ce dimanche 5 février à Paris, à l'occasion de la convention d'investiture du vainqueur de la primaire de la gauche pour l'élection présidentielle. Si François Hollande était devant son poste de télévision, il aura sans doute goûté l'habileté de la manoeuvre, en fin connaisseur.

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  • Le Monde - Paroles d’électeurs : « Hamon ne va pas changer de ligne pour faire plaisir à des élus du PS »

    Les électeurs de Hamon recontactés par « Le Monde » considèrent que ça n’est pas à leur candidat de rassembler la gauche, mais à la gauche de se rassembler derrière lui.

    Benoît Hamon doit-il défendre le bilan du quinquennat qui s’achève ? « Choisir » entre la ligne de Jean-Luc Mélenchon et celle de l’aile droite du Parti socialiste ? Tendre la main aux élus vallsistes ? Rien de tout cela selon ses électeurs. A la veille de l’investiture du vainqueur de la primaire à gauche, dimanche 5 février à Paris, et alors que les tractations vont bon train au sein des appareils politiques pour « rassembler la gauche » en vue de la présidentielle, ceux qui ont voté pour le député des Yvelines attendent surtout de lui qu’il reste fidèle au programme sur lequel il a été élu.
     
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  • Le Point - Benoît Hamon lance son OPA sur Jean-Luc Mélenchon

    Première étape pour le candidat officiellement investi par le PS : préempter l'électorat de Mélenchon avant de s'attaquer à Emmanuel Macron.

    Benoît Hamon est à Jean-Luc Mélenchon ce que Macron est à Valls : un candidat plus jeune, plus rapide, plus sympathique. Toute la scénographie de son investiture officielle, dimanche 5 février à la Mutualité, a été conçue dans le but unique de lancer son OPA sur l'électorat de Mélenchon. Deux prises de parole clés étaient prévues : celle d'Anne Hidalgo, puis celle de Christiane Taubira, en « vedette américaine » avant le discours final du candidat. Au premier rang, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon sont venus personnellement apporter leur soutien au vainqueur de la primaire. Manuel Valls était absent. Hamon s'est contenté de la présence de deux vallsistes du premier cercle, les sénateurs Luc Carvounas et Didier Guillaume, directeur de campagne de Valls.

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  • Lyon Capitale - La semaine où le PS n’a pas implosé

    Avec la victoire de Benoît Hamon, le PS aurait pu exploser en deux au profit d’Emmanuel Macron, qui se tenait prêt à accueillir les socialistes déçus. Au final, l’exode a été marginal. Du moins pour le moment.

    Pour Emmanuel Macron, Benoît Hamon était le vainqueur idéal de la primaire de la gauche. Plus à gauche que l’ancien ministre de l’Économie, il lui laissait entrevoir la possibilité de capter quasiment automatiquement la moitié du PS. Le scénario espéré par les “marcheurs” a bien eu lieu mais les conséquences attendues ne sont pas au rendez-vous.

    “Tout le monde disait qu’il était le candidat le plus favorable pour Emmanuel Macron, mais attention à ne pas sous-estimer Benoît Hamon. Dans un premier temps, il va torpiller Jean-Luc Mélenchon et ensuite il s’attaquera à nous, redoute un membre d’En Marche. Les deux vont être en concurrence directe sur des pans électoraux majeurs : les jeunes et les abstentionnistes.”

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  • RTL - Hamon-Montebourg, retour sur l'histoire de leur amitié

    INTERVIEWS - Les deux candidats ont été concurrents lors de la primaire de la gauche, mais pas seulement. Ils entretiennent aussi une amitié longue de quinze ans.

    Ils ont beau s'être affrontés pendant la primaire de la gauche, l'amitié ne semble pas entachée. Benoît Hamon et Arnaud Montebourg mettent tous les deux en avant leur amitié dans leurs discours. Avant l'officialisation des résultats du second tour de la primaire de la gauche, le candidat du "made in France" a affirmé qu'il était "disponible" et qu'il ferait ce que Benoît Hamon lui demande. À l'issue du premier tour, Arnaud Montebourg a pris la parole pour annoncer son soutien à Benoît Hamon : "Avec Benoît Hamon, nous avons combattu ensemble, dans le gouvernement, les politiques social-libérales, aujourd'hui désavouées par les électeurs de la primaire. Nous avons quitté le gouvernement ensemble et nous avons veillé ensemble malgré des désaccords à ce que nos prises de positions restent complémentaires et compatibles".

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  • Taubira : "La voix de Hamon est un vrai renouvellement"

    Dans une interview aux Inrocks à paraître mercredi, Christiane Taubira revient en quelques mots sur la campagne présidentielle. L'ancienne ministre évoque Benoît Hamon et l'importance "de dire que la droite et la gauche, c'est différent". 

    Désormais, Christiane Taubira veut avant tout s'adresser à la jeune génération. Celle qui fera l'avenir de la France. Dans une interview aux Inrocks à paraître mercredi, l'ancienne ministre de la Justice échange avec Mehdi et Badrou, tous deux âgés de 24 ans, ex-chroniqueurs à France Inter et ex-journalistes au Bondy Blog, qui sortent leur deuxième ouvrage intitulé Minute (Seuil). Dédié à Adama Traoré, ce livre chronique les 60 secondes précédant l'annonce de la victoire de l'extrême droite à la présidentielle. "Quel est l'intérêt de m'adresser à la jeunesse si je ne l'accompagne pas? Je veux qu'elle fasse son expérience, mais je veux être à ses côtés", explique l'auteur de Murmures à la jeunesse.

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  • Paris Match - Sondage exclusif : Fillon décroche, Hamon décolle

    Hamon ringardise Mélenchon

    L’enseignement le plus spectaculaire c’est le décollage de Benoît Hamon dans les sondages. Le candidat victorieux de la primaire de gauche connaît un inattendu état de grâce. En un mois, il multiplie par trois son score passant de 6 à 18% ! Un score inimaginable encore il y a quelques jours. Confronté au défi du rassemblement des socialistes, l’ancien ministre de François Hollande est en train de réussir la synthèse de la « vieille gauche », celle qui va des communistes aux écolos et aux socialistes purs et durs. Le député des Yvelines ringardise Jean-Luc Mélenchon. Le candidat de « la France insoumise » décroche passant de 14 à 9%. A la veille de sa rencontre avec François Hollande, Benoît Hamon a l’occasion de rassurer les socialistes et retenir les députés tentés par l’aventure Macron. 

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  • Alternatives Economiques - Entretien Julien Dourgnon : « Le revenu universel est un dû »

    Incitation à la paresse, coûteux, irréalisable le revenu universel ? Loin de là, assure Julien Dourgnon, auteur d’un livre à paraître sur le sujet, et conseiller de Benoît Hamon.

    Pourquoi défendez-vous la mise en place d’un revenu universel d’existence ?

    Le salariat comme mode d’organisation du travail butte sur ses propres limites. Cela se manifeste sous nos yeux de manière évidente, et c’est pourquoi il faut trouver des outils pour changer notre rapport au travail : le revenu universel est l’un d’eux.

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  • Les Echos - Parti socialiste : Valls incite ses soutiens à rester "ensemble" plutôt que de rejoindre Macron

    Le finaliste de la primaire à gauche a mis en garde ses proches.

    Après la victoire de Benoît Hamon à la primaire à gauche, le Parti socialiste se doit d'éviter l'implosion. C'est en résumé ce qu'a soufflé Manuel Valls à ses soutiens réunis à Paris ce mardi 31 janvier. Le finaliste de la primaire à gauche les a appelé à rester "ensemble" et à ne pas aller "ailleurs", dans un appel transparent à rester au Parti socialiste plutôt que de rejoindre Emmanuel Macron.

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