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Lyon Capitale - La semaine où le PS n’a pas implosé

Avec la victoire de Benoît Hamon, le PS aurait pu exploser en deux au profit d’Emmanuel Macron, qui se tenait prêt à accueillir les socialistes déçus. Au final, l’exode a été marginal. Du moins pour le moment.

Pour Emmanuel Macron, Benoît Hamon était le vainqueur idéal de la primaire de la gauche. Plus à gauche que l’ancien ministre de l’Économie, il lui laissait entrevoir la possibilité de capter quasiment automatiquement la moitié du PS. Le scénario espéré par les “marcheurs” a bien eu lieu mais les conséquences attendues ne sont pas au rendez-vous.

“Tout le monde disait qu’il était le candidat le plus favorable pour Emmanuel Macron, mais attention à ne pas sous-estimer Benoît Hamon. Dans un premier temps, il va torpiller Jean-Luc Mélenchon et ensuite il s’attaquera à nous, redoute un membre d’En Marche. Les deux vont être en concurrence directe sur des pans électoraux majeurs : les jeunes et les abstentionnistes.”

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