Après la théorie, la pratique. Au lendemain de son investiture officielle par le Parti socialiste (PS), Benoît Hamon doit maintenant poser les fondations de sa « véritable » campagne, présidentielle celle-là. De son discours assez brouillon de la Mutualité —« c'était plus le dernier meeting de la primaire que le premier de la présidentielle », résume un élu PS — les responsables des différentes sensibilités veulent surtout retenir les signes d'ouverture envoyés par le candidat. Tous en attendent la traduction concrète dans l'organigramme de campagne.
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