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Analyses - Page 224

  • OFCE - Le Royaume-Uni à l’approche des élections : l’économie, carte maîtresse de David Cameron (1)

    4 mai 2015

    Par Catherine Mathieu

    Au Royaume-Uni, à l’approche des élections générales qui auront lieu le 7 mai 2015, le suspense est tel que les bookmakers donnent le Parti conservateur vainqueur des élections et  Ed Miliband, le leader du Parti travailliste, comme prochain Premier ministre ! Non seulement le Parti travailliste et le Parti conservateur restent au coude à coude dans les sondages mais, avec des intentions de vote fluctuant entre 30 et 35 % depuis de nombreux mois, aucun des deux partis ne semble en passe d’obtenir une majorité suffisante pour gouverner seul.David Cameron, Premier ministre et leader des Conservateurs, a placé l’économie britannique au cœur de la campagne électorale. Il faut dire que les chiffres semblent plutôt flatteurs pour le gouvernement sortant : croissance, emploi, chômage, réduction des déficits publics… même si certaines faiblesses, moins visibles, de l’économie britannique demeurent.

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  • Le problème de l’investissement français n’est pas quantitatif

    30 avril 2015

    par Sarah Guillou

    L’investissement est devenu l’objet prioritaire des politiques européenne et française. Sa relance est devenue même urgente pour le gouvernement qui, en ce début de printemps 2015, souhaite accélérer l’investissement productif. L’investissement est à la fois un acte économique qui dessine la trajectoire de croissance de l’économie et un signal majeur de la vitalité des entreprises pour pérenniser leur capital productif ou l’accroître. Créer un environnement économique favorable à l’investissement doit être une priorité des politiques économiques. Encourager une augmentation des investissements des entreprises dans un contexte de faible croissance est fortement souhaitable. Mais pour bien cibler cet encouragement, il faut faire le bon diagnostic sur la nature de la faiblesse de l’investissement des entreprises françaises : il est moins quantitatif que qualitatif.

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  • Regards - Quand Emmanuel Macron déguise la financiarisation en "réindustrialisation"

    Le ministre de l’Économie a récemment voulu « retrouver l’esprit industriel du capitalisme ». En réalité, cet homme d’action(s) ne fait que préconiser de livrer un peu plus l’économie – et les salariés – aux marchés financiers.

    Il ne faut jamais se fier au titre d’une tribune. Celle qu’Emmanuel Macron a publié dans Le Monde du 24 avril s’intitule "Retrouver l’esprit industriel du capitalisme". Un titre qui pourrait laisser croire au lecteur pressé survolant le journal que le ministre de l’Économie socialiste aurait l’intention de combattre la financiarisation qui déstabilise le tissu industriel et fragilise l’économie réelle depuis trente ans. Pourquoi pas, après tout : le candidat Hollande n’avait-il pas déclaré en 2012 : « Mon adversaire, c’est la finance » ?

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  • "Une étude montre que les catégories populaires se sont tenues à l'écart de l'esprit du 11 janvier", dit Alba Ventura


    "Une étude montre que les catégories populaires... par rtl-fr

  • Gérard Collomb & les impôts à Lyon - DESINTOX - 28/04/2015


    Gérard Collomb & les impôts à Lyon - DESINTOX... par Desintox

  • OFCE - L’économie américaine à l’arrêt au premier trimestre : l’impact du pétrole de schiste

    29 avril 2015

     par Aurélien Saussay (@aureliensaussay)

     Le Bureau of Economic Analysis vient de livrer son estimation de la croissance américaine au premier trimestre 2015 : à 0,2% en rythme annualisé, ce chiffre est très en-deçà du consensus des principaux instituts américains qui s’accordaient sur une prévision légèrement supérieure à 1% – bien loin déjà des 3% encore espérés début mars.

    S’il est encore trop tôt pour connaître les raisons exactes de ce coup d’arrêt, un facteur semble devoir émerger : aux États-Unis, la « révolution » du pétrole de schiste semble au bord de l’implosion.  La baisse brutale des cours du brut au deuxième semestre 2014 a provoqué un effondrement de l’activité extractive : le nombre de foreuses pétrolières en activité aux États-Unis a chuté de 56% de novembre 2014 à avril 2015, pour revenir à son niveau d’octobre 2010 (voir graphique). La rapidité de ce ralentissement souligne la fragilité du boom du pétrole de schiste, et sa dépendance à un prix du baril élevé.

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  • Relations sociales en entreprise, Manuel Valls s'engage


    Relations sociales en entreprise, Manuel Valls... par Europe1fr

  • Observatoire des inégalités : Protection sociale : pourquoi les plus riches touchent trois fois plus que les plus pauvres

    29 avril 2015 -Notre système social coûte cher, mais ses dépenses bénéficient en premier aux plus aisés, qui reçoivent trois fois plus que les plus pauvres. Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités. Extrait d’Alterecoplus.


    Les 10 % les plus riches ont perçu 56 milliards de revenus redistribués en 2011 (17 % de l’ensemble), alors que 17 milliards (5 % de l’ensemble) sont allés aux 10 % les plus pauvres, selon les calculs du Centre d’observation de la société, réalisés à partir des données de l’Insee. Notre système social coûte cher, mais ses dépenses bénéficient d’abord aux plus aisés, qui reçoivent trois fois plus que les plus pauvres. Certes, cette distribution est plus équitable que celle des revenus. Même après impôts et prestations, les 10 % du haut de la pyramide reçoivent sept fois plus que ceux du bas.

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  • « Nous sommes sans doute entrés dans un nouvel ordre électoral » – Rencontre avec Pierre Martin

    Deux semaines après les élections départementales, nous avons rencontré Pierre Martin, chercheur au CNRS, l’un des meilleurs analystes français des élections politiques. Il nous dresse une analyse rigoureuse des résultats. A l’issue d’une élection où chacun a réclamé une partie de la victoire, ses conclusions ne sont pas toujours faciles à entendre, pour le PS, l’UMP, les partis minoritaires, et même pour le Front National.

     

    Les départementales ont été les élections de ce type les plus importantes depuis 30 ans, c’est-à-dire depuis les élections cantonales de 1985, qui elles-mêmes suivaient les élections européennes de 1984. Pour les analyser, il faut distinguer deux aspects dont aucun des deux ne peut être négligé ou écarté au profit de l’autre.

    Le premier est l’analyse classique du résultat effectif de ces élections, qui se traduit par une défaite massive de la gauche. Le second aspect concerne le bouleversement du paysage politique, ce que l’on peut appeler en termes plus scientifiques la cristallisation d’un nouvel ordre électoral.

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  • Paul Krugman - Personne n'a dit ça

    Imaginez que vous êtes un commentateur régulier des affaires publiques – peut-être un expert rémunéré, peut-être un soi-disant expert d’un domaine précis, peut-être juste un milliardaire qui a des idées. Vous avez du poids sur une initiative politique qui est prête à se produire, vous prédisez un désastre. La relance Obama, selon vous, va faire flamber les taux d’intérêt ; les achats d’obligations de la Fed vont "dévaluer le dollar" et entraîner une forte inflation ; l’Affordable Care Act va s’effondrer dans un cercle vicieux d’inscriptions qui sont moins nombreuses et de coûts qui augmentent.

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