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Analyses - Page 223

  • OFCE, Eric Heyer - L’ « alignement des planètes » n’a pas toujours été favorable aux pays de la zone euro

     

     

     

    par Eric Heyer et Raul Sampognaro

     

     En 2015, les économies de la zone euro vont bénéficier d’un « alignement des planètes » favorable (euro et prix du pétrole en baisse, relâchement des contraintes financières qui pèsent sur l’économie) qui devrait enclencher un cercle vertueux de leur croissance. Au cours des quatre dernières années (2011-2014), un « alignement planétaire » s’était également produit mais avec une orientation diamétralement opposée.  Au cours de cette période, l’euro et le prix du pétrole étaient en hausse et les conditions de financement ainsi que l’orientation budgétaire étaient très fortement restrictives.

    Dans un article récent, nous proposons une évaluation de l’impact depuis 2011 de ces quatre facteurs sur les performances économiques de six grands pays développés (France, Allemagne, Italie, Espagne, Royaume-Uni et Etats-Unis).

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  • Euractiv - Le salaire minimum s'avère impuissant face à un niveau de pauvreté record en Allemagne

    Douze millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté outre-Rhin, un record selon l'étude d'une association allemande d’aide sociale. Qui estime que l'introduction du salaire minimum ne résoudra rien. Un article d'EurActiv Allemagne.  

    La pauvreté a atteint un niveau jamais atteint en Allemagne, selon un rapport réalisé par l'organisation d'aide sociale Paritätischer Wohlfahrtsverband. Le rapport indique qu'environ 12,5 millions de personnes étaient touchées par la pauvreté en 2013, soit une augmentation de 15 % à 15,5 % comparé à l'année précédente.

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  • Telos - Hollande et les jeunes: quel bilan ? Olivier Galland

    François Hollande a voulu faire de la jeunesse un des marqueurs de son quinquennat. L’ambition était louable car la situation de la jeunesse française méritait qu’on en fasse un axe fort des politiques publiques. Mais le diagnostic devait être bien posé. Or pour des raisons électorales François Hollande a voulu adresser un message simple et global à la jeunesse et lui proposer des solutions qui semblaient répondre immédiatement à ses difficultés : essentiellement les emplois aidés dans le secteur non marchand. Or tous les experts savent – et les conseillers de François Hollande ne devaient pas l’ignorer – que cet instrument n’est pas efficace en termes de retour à l’emploi dans le secteur marchand. Au mieux cette solution n’était qu’un palliatif en attendant un hypothétique retournement de la conjoncture, au pire elle risquait d’éloigner encore plus les jeunes bénéficiaires du marché du travail réel (si on ne lui associe pas un solide programme de formation, ce qui semble malheureusement rarement le cas).

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  • Telos - Les Républicains: les arrière-pensées d’un choix, Jérôme Jaffré

    Çà et là, on s’est étonné voire indigné du choix des Républicains comme nouveau nom de l’UMP. Pourquoi choisir un nom qui a priori ne les distinguera pas de la plupart des autres formations? Comment oser choisir un nom qui donne le sentiment de vouloir s’approprier ce bien commun qu’est la République?

    En essayant de décrypter les arrière-pensées qui sont à l’origine de ce choix et en relisant le discours prononcé le 7 novembre à Paris par Nicolas Sarkozy durant la campagne pour la présidence de l’UMP, ce choix apparaît mûrement réfléchi en s’inscrivant dans la stratégie sarkozyste pour 2017 et même avant pour la Primaire de la droite. Plutôt que de prétendre monopoliser la République, il s’agit de mettre en scène l’idée d’une République menacée dans son modèle et ses principes et d’un nouveau parti qui sera à la pointe du combat pour les défendre. L’objectif poursuivi est triple : mettre hors-jeu le Front national, mener intensément le procès de la gauche et – ce n’est pas tout à fait accessoire – marquer une forte différence avec Alain Juppé

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  • Avec Bartolone en Île-de-France, le PS en état de léthargie


    Avec Bartolone en Île-de-France, le PS en état... par LeNouvelObservateur

  • Telos - Alcatel: la débâcle en chantant, Elie Cohen

    Il y a trois manières de considérer la débâcle d’Alcatel. La réaliste : victime d’erreurs stratégiques à répétition au cours des dix dernières années, incapable de gérer ses gammes de produits et son rapprochement avec Lucent, pourvu d’une gouvernance dysfonctionnelle, après s’être cinq fois restructuré, au bord de la faillite, Alcatel a fini par se vendre pour préserver l’existant. D’après cette lecture, le marché sanctionne l’échec et l’État limite son propos à la défense de l’emploi sur le territoire national.

    L’historique : fleuron du colbertisme high tech, leader technologique des années 80 dans la téléphonie fixe et mobile, élève modèle de l’État entrepreneur, Alcatel a mal négocié le tournant Internet, la libéralisation des télécom, la mondialisation des marchés. La descente aux enfers aura duré 10 ans. Cette lecture soulève nombre de problèmes sur la dynamique de spécialisation et sur le rôle de l’État pour l’orienter sur la durée.

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  • Le Monde - Hollande à l'Élysée depuis 3 ans : "le bilan est peu glorieux"


    Hollande à l'Élysée depuis 3 ans : "le bilan... par lemondefr

  • OFCE - Elections britanniques : questions de frontières (2/2) Par Catherine Mathieu

    David Cameron a placé l’économie au premier plan de sa campagne électorale, faisant des bonnes performances de l’économie britannique une carte maîtresse du programme des Conservateurs (voir « Le Royaume-Uni à l’approche des élections… »). Mais, selon les sondages, au soir du 7 mai, aucun parti ne sera en mesure de gouverner seul. Alors qu’en 2010, l’incertitude était de savoir si les Libéraux-Démocrates choisiraient de s’allier avec les Conservateurs ou avec les Travaillistes, cette fois l’incertitude est encore plus grande, car plusieurs partis sont susceptibles de jouer les arbitres. Les Libéraux-Démocrates ont en effet perdu en popularité depuis cinq ans de participation au gouvernement et recueillent moins de 10 % des intentions de vote, derrière le parti nationaliste UKIP (environ 12 % d’intentions de vote), partisan de la sortie du Royaume-Uni de l’UE et arrivé en tête lors des dernières élections européennes. Face à la montée de l’euroscepticisme, notamment dans les rangs des Conservateurs, David Cameron a promis d’organiser un référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l’UE d’ici la fin 2017, s’il redevenait premier ministre en 2015. De leur côté, si les Travaillistes sont en mesure de former un gouvernement de coalition, ils pourraient s’allier avec le SNP, parti national écossais. Mais les Travaillistes excluent cette possibilité, face aux attaques de David Cameron, qui agite l’épouvantail d’une fragmentation du Royaume-Uni auprès d’un électorat anglais, à peine remis de sa frayeur de risquer de voir l’Ecosse devenir indépendante lors du référendum de septembre 2014. Les Travaillistes bénéficieraient néanmoins du soutien du SNP et pourraient former une coalition avec les Libéraux-Démocrates. Ceux-ci ont tracé plusieurs lignes rouges pour envisager d’entrer dans un gouvernement de coalition : moins d’austérité budgétaire s’ils s’allient avec les Conservateurs, davantage de rigueur budgétaire s’ils s’allient aux Travaillistes, sauf en matière d’éducation où les Libéraux-Démocrates souhaitent davantage de moyens que les deux grands partis.

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  • Telos - Cameron’s gamble, ou le risque du brexit selon Roger Liddle, Gérard Grunberg

    Roger Liddle, président du think tank progressiste Policy Network, vient de publier un texte du plus grand intérêt, The Risk of Brexit, sur l’évolution des positions du parti conservateur à propos de l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne et sur la gestion par le Premier ministre, David Cameron, de cet enjeu fondamental. Les élections législatives qui auront lieu le 7 mai prochain seront cruciales pour l’avenir de la relation de ce pays à l’UE. Cameron pourra-t-il obtenir une majorité parlementaire puis mener à bien sa politique européenne?

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