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Analyses - Page 222

  • Paul Krugman - Les vampires de Wall Street

    L’année dernière, les vampires de la finance se sont offert le Congrès. Je sais, ce n’est pas très sympa de les appeler comme ça mais j’ai mes raisons, que je vais expliquer dans un instant. Pour l’instant, par contre, notons simplement que ces temps-ci, Wall Street est plus que largement en faveur du GOP, alors qu’il était auparavant divisé entre les deux partis. Et les républicains qui sont arrivés au pouvoir cette année rendent la pareille en tentant de tuer Dodd-Frank, la réforme de la finance mise en place en 2010.

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  • Marianne - "L’Europe se désagrège et personne ne sait quel sera le premier domino à tomber"

    Grèce, Royaume-Uni, l'Union européenne craque de toutes parts. Pour Coralie Delaume, auteur de l'essai "Europe. Les États désunis" (Michalon), l’UE se délite en raison de ses propres règles. Pour l'animatrice du blog "L'Arène nue", ça ne fait en effet aucun doute : la crise que traverse l'UE trouve en effet ses fondements "dans les choix mêmes des pères fondateurs de l’Union européenne".

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  • Slate, Fabien Escalona - Élections au Royaume-Uni: ce qui se joue pour le système politique britannique

    Le scrutin du 8 mai confirme plusieurs tendances lourdes de la vie électorale britannique, dont la fin déjà ancienne du bipartisme. La fragmentation politique du pays est aussi territoriale. Le principal parti d'opposition, le Labour, se retrouve sans leader ni stratégie évidente. Une mauvaise nouvelle de plus pour le centre-gauche européen.

    Les résultats des élections législatives au Royaume-Uni ont créé la surprise, en permettant aux conservateurs de remporter non seulement une victoire, mais une majorité à eux seuls à la Chambre des communes. L’ampleur de la défaite travailliste et la vague nationaliste en Ecosse font partie des autres faits marquants de cette élection, qui ne s’inscrit pas moins dans certaines tendances lourdes de la vie électorale britannique.

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  • Libé - Congrès PS : Cambadélis en tête, le parti rassemblé ?


    Congrès PS : Cambadélis en tête, le parti... par libezap

  • Libé - Caroline Fourest: «On ne fera pas baisser le racisme en trouvant des excuses sociologiques aux fanatiques»

    Caroline Fourest Essayiste et journaliste

     

    Etre ou ne pas être Charlie. Telle n’est plus la question. Plus de quatre mois après les manifestations du 11 janvier, deux camps s’affrontent pour dire qui est vraiment Charlie. Pour l’un, c’est un républicain, défenseur de la laïcité et du droit au blasphème. Pour l’autre, c’est un islamophobe qui se cache derrière la République pour stigmatiser une partie de la population (thèse du dernier essai de l’historien et démographe Emmanuel Todd). Dans son dernier livre, Eloge du blasphème qui vient d’être publié chez Grasset, l’essayiste Caroline Fourest, qui a travaillé plusieurs années à Charlie Hebdo, répond au procès en islamophobie fait aux caricatures et met en garde contre le détournement de la laïcité à des fins identitaires.

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  • Congrès du PS : "C'est morne plaine chez les militants socialistes", constate Alba Ventura


    Congrès du PS : "C'est morne plaine chez les... par rtl-fr

  • Comprendre en 5 minutes l'étude Terra Nova " Baisse des prix du pétrole" Antoine Guillou


    Comprendre en 5 minutes l'étude Terra Nova... par terranova

  • La Tribune - Zone euro : une reprise qui ne cache pas les échecs politiques du passé

    La croissance européenne s'accélère légèrement, mais les fondamentaux restent très fragiles. Les conséquences des erreurs commises depuis 2010 se font encore sentir.

    Avec une croissance au premier trimestre 2015 de 0,4 % après 0,3 % au trimestre précédent, l'économie de la zone euro accélère, mais elle accélère mollement. Surtout, le principal moteur de cette croissance reste la consommation des ménages.

    Le détail de plusieurs chiffres nationaux n'est pas encore connu, il faut donc certes se montrer prudent. Mais la répartition géographique de la croissance laisse peu de doute sur ce sujet : les économies fortement dépendantes de la demande externe enregistrent de mauvais chiffres (la Lituanie et l'Estonie sont en contraction, l'Allemagne, la Lettonie et les Pays-Bas ralentissent fortement), ceux plus dépendantes de la demande interne et de la consommation font mieux que prévu (c'est le cas de la France, de l'Italie ou de l'Espagne).

    Le cas français, où la croissance est tirée par la seule consommation, est sans doute caricatural, mais il n'est pas isolé.

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  • L'Express - 4 économistes allemands critiquent le modèle germanique

    Malgré la réussite insolente de leur pays, quatre économistes ont pris la plume afin de démontrer les limites du miracle germanique. Paroles d'iconoclastes.

    Après le German loving, avec déclaration d'amour à l'orthodoxie budgétaire et cour appuyée à l'industrie allemande, place au German bashing. Le nouveau gouvernement grec n'épargne pas Angela Merkel, suivi dans ses attaques par les gauches du sud de l'Europe. Et même à la Commission européenne de Bruxelles, d'ordinaire si conciliante, les reproches fusent.  

    Mais un nouveau type de contempteurs vient depuis peu grossir les rangs des germano-critiques: les intellectuels... allemands. Des livres sortent - aux titres très explicites, comme Die Deutschland-Illusion - et font jaser outre-Rhin. Et pour cause: les auteurs visent le flanc le plus robuste du pays, touchent à l'intouchable: l'économie allemande.  

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  • Observatoire des inégalités - Le taux de chômage des immigrés en France

    12 mai 2015

    Près d’un cinquième des immigrés actifs sont au chômage, contre 9 % des Français nés en France.


    17,2 % des immigrés [1] actifs sont au chômage contre 9 % des Français nés en France, selon l’Insee (données 2013). Le taux atteint 21,2 % pour les actifs non-ressortissants de l’Union européenne.

    Cet écart est d’abord lié au diplôme : les immigrés sont en moyenne moins qualifiés que les personnes nées en France. Dans notre pays, le titre scolaire compte plus qu’ailleurs pour trouver un emploi. En 2013, 45,3 % des immigrés de 15 à 64 ans disposent au maximum du brevet des collèges ou du certificat d’études primaire selon l’Insee, contre 28,1 % pour l’ensemble de la population vivant en France de cet âge.

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