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  • La revue de presse du 4 novembre

    France Info - Motion de censure défendue par la Nupes : il n'y a pas eu de réécriture du texte pour obtenir les voix du Rassemblement national

    Les députés du Rassemblement national ont voté lundi en faveur de la motion de censure déposée par l'alliance de gauche.

    Depuis que la motion de censure défendue par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) à l’Assemblée nationale a aussi été votée par le Rassemblement national, le gouvernement accuse l’alliance de la gauche d’avoir réécrit son texte avant le vote pour pactiser avec les troupes de Marine Le Pen.

    Fondation Jean Jaurès - Droit à la paresse contre droit au travail ?

    La récente polémique au sein de la gauche autour du travail, des allocations sociales et de l’emploi a vu la convocation dans le débat public du Droit à la paresse1, texte le plus célèbre de Paul Lafargue. Au-delà de la controverse et pour saisir la portée de cet écrit, l’historien Gilles Candar le resitue dans le socialisme de son temps.

    La polémique récente au sein de la gauche à propos du travail, des allocations sociales et de l’emploi illustre une fois de plus la difficulté de parler sérieusement par tweets, petites phrases ou courts billets. Chacun le sait, même si beaucoup se résignent aux formules expéditives, puisque l’objectif n’est pas toujours d’argumenter ou de discuter, mais parfois d’obtenir un succès d’impression ou d’imposer un slogan. Tant pis. Je souhaite ici revenir simplement sur un texte évoqué au cours de ces échanges médiatiques,

    Observatoire des inégalités - La pauvreté se stabilise en France

    Données 14 octobre 2022

    La France compte cinq ou neuf millions de pauvres, selon la définition adoptée. La part de la population pauvre est stabilisée depuis le début des années 2000. Le nombre de pauvres augmente, car la population s’accroit.

    La France compte 4,8 millions de pauvres si l’on fixe le seuil de pauvreté à 50 % du niveau de vie médian [1] et 8,9 millions si l’on utilise le seuil de 60 %, selon les données 2020 (dernière année disponible) de l’Insee. Dans le premier cas, le taux de pauvreté (la part de personnes pauvres dans la population) est de 7,6 % et dans le second, de 13,9 %. Quelle que soit la définition que l’on utilise, les niveaux sont importants.

    Fondation Jean Jaurès - Vieillissement : et si on transformait les Ehpad en tiers-lieux ?

    La crise liée à la Covid-19 et le scandale d’Orpéa ont mis en lumière les conditions de vie terribles de personnes âgées dans certaines maisons de retraite. Comment réinventer ces lieux et les sortir de l’isolement ? La philosophe Gabrielle Halpern propose de les ouvrir en les transformant en espaces d’échanges, d’apprentissage, de vie : bref, en tiers-lieux. Elle évoque sa réflexion dans cet entretien avec Roman Bornstein, responsable de projets à la Fondation Jean-Jaurès.

    Cet épisode est le sixième d’une émission intitulée “L’avenir en trente propositions”. Institutions, transition énergétique, Europe, politique étrangère, éducation, pauvreté, égalité, pauvreté, identité ou encore sécurité, les Français et leurs élus doivent faire des choix alors qu’un nouveau quinquennat débute. Pour l’occasion, la Fondation Jean-Jaurès apporte sa contribution au débat en trente propositions réunies dans un podcast.

    Observatoire des inégalités - À quels niveaux se situent les seuils de pauvreté en France

    Données 17 octobre 2022

    En France, le seuil de pauvreté est de 940 euros ou de 1 128 euros, selon qu’il est fixé à 50 % ou à 60 % du niveau de vie médian. Une personne est considérée comme pauvre lorsque ses revenus sont inférieurs.

    Une personne vivant seule est considérée comme pauvre en France quand ses revenus mensuels sont inférieurs à 940 euros ou à 1 128 euros, selon que l’on utilise le seuil de pauvreté fixé à 50 % ou 60 % du niveau de vie médian (données 2020, données communiquées mais non validées par l’Insee [1]). Ce niveau de vie médian correspond au montant pour lequel la moitié des personnes touche moins et l’autre moitié davantage (voir notre encadré méthodologique). Il est mesuré après impôts et prestations sociales. 14 % de la population vit moins que l’équivalent de 1 128 euros pour une personne et 8 % avec moins de 940 euros

    Charlie - Cathos intégristes contre recherche médicale : la guerre des embryons

    La Fondation Jérôme-Lejeune, tête de pont des anti-IVG, attaque systématiquement en justice les laboratoires qui font de la recherche médicale sur des embryons. Au nom d’une pseudo-défense de la vie, cette fondation, parée du statut « d’utilité publique », entrave les scientifiques dont les travaux servent précisément à sauver des vies humaines.

    Il y a des combats très médiatisés et d’autres qui le sont moins. Les soldats du foetus font la « une » avec leurs manifs antiavortement. Mais ils mènent des combats tout aussi féroces en catimini. C’est le cas des procès récurrents intentés par la Fondation Jérôme-­Lejeune à certains laboratoires.

    Leurs bêtes noires sont les scientifiques qui mènent des recherches sur l’embryon ou les cellules souches embryonnaires. Ces recherches sont pourtant porteuses d’immenses espoirs, pour améliorer les fécondations in vitro, mais surtout pour développer des traitements contre un tas de maladies incurables.

    Le Point - Parti socialiste : petit meurtre en famille

    Dans « Autopsie du cadavre », le journaliste Olivier Pérou enquête sur les raisons de la débâcle du PS à la présidentielle. Et cherche le coupable.

    Les meurtres en politique ont toujours fasciné. Il y a les meurtres réussis, comme celui de Chaban-Delmas par Chirac en 1974 ou celui de Giscard par le même Chirac, décidément tueur en série ; il y a les meurtres ratés, comme celui de Le Pen par Mégret en 1998 ou de Chirac par Séguin et Pasqua en 1990. Et il y a ceux qui passent complètement inaperçus. Olivier Pérou s'intéresse à l'un d'eux dans Autopsie d'un cadavre (Fayard). Le journaliste de L'Express se transforme en enquêteur dans un récit à la Agatha Christie avec la précision d'un procès-verbal. La victime : le Parti socialiste, tombé le 10 avril 2022 avec le pire score de son histoire (1,7 %). Les suspects : ils sont sept et ont tous de bons mobiles pour avoir tué une institution qui a structuré depuis 50 ans la politique française. « Il ne reste plus grand monde pour pleurer, ni électeurs à l'évidence, ni vieille garde non plus, ni ex-présidents, ni militant », constate l'auteur.

  • Emilie Frèche : "Je suis atterrée par les discours politiques ambiants que j’entends"

    Emilie Frèche, autrice et réalisatrice, accompagnée de l'acteur Benjamin Lavernhe, viennent présenter le film "Les engagés", au cinéma le 16 novembre

  • Les super bassines - Le Moment Meurice

    Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé voir les gens au Salon international des solutions et technologies pour une agriculture performante et durable (SIMA).

  • Reporterre - Ep.7 - Jean-Luc Mélenchon : « Je souhaite être remplacé »

    Il se confie sur son avenir et développe sa vision des enjeux énergétiques, du capitalisme et de la politique de l’eau : Jean-Luc Mélenchon est l’invité des Grands entretiens de Reporterre.

  • Biden à mi-mandat : ces succès qui ont masqué les problèmes structurels [Olivier Passet]

    Comment caractériser le bilan à mi-mandat de Joe Biden ? Si l'on se fie à la surface des choses, le chômage est à son plus bas historique. En d'autres temps cela aurait suffi à qualifier de success-story cette première moitié du mandat démocrate. La job machine continue à tourner à plein, sur des rythmes supérieurs à 1 million sur 3 mois en septembre. [...]

  • LVSL - Élections de mi-mandat : les démocrates pris à leur propre piège

    Rattrapés par une situation économique préoccupante, les démocrates voient leurs espoirs électoraux s’évaporer à l’approche des élections de mi-mandat, pourtant déterminantes pour leur avenir. Depuis l’élection de Joe Biden, ils ont dépensé autant d’énergie à combattre la percée des « progressistes » liés à Bernie Sanders qu’à lutter pour des mesures ambitieuses en termes sociaux et environnementaux. Les électeurs, frappés de plein fouet par l’inflation et la récession économique, risquent de s’en détourner…

    Les traditionnelles élections de mi-mandat se tiendront le 8 novembre prochain aux États-Unis. L’ensemble de la Chambre des représentants du Congrès ainsi qu’un tiers du Sénat seront renouvelés, de même que 36 gouverneurs et les élus locaux (procureur général, ministre de l’Intérieur, parlements) de la majorité des États. 

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  • Fondation Jean Jaurès - Midterms 2022 : le point de vue d’un militant démocrate de Los Angeles

    Le 8 novembre prochain, les Américains sont appelés aux urnes pour les élections de mi-mandat. Ce scrutin complexe se déroule en réalité sur plusieurs semaines, dans un contexte de vives tensions entre démocrates et républicains et alors que le système électoral américain est fondamentalement différent du système français. Steve Cron, président du club des démocrates de Pacific Palisades (Los Angeles), nous éclaire sur les activités du Parti démocrate au niveau local et sur le vote du 8 novembre qui regroupe des élections à de nombreuses fonctions municipales, nationales et un vote « référendaire » sur des sujets variés.

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  • Le JDD - TRIBUNE. Congrès du PS : plus de 1 000 élus et militants socialistes apportent leur soutien à Hélène Geoffroy

    Pour « refonder, rassembler, gouverner », plus de 1 000 élus et militants socialistes appellent, autour d’Hélène Geoffroy, candidate au congrès du PS, à construire « une gauche des solutions, déterminée à gouverner aux antipodes de la gauche de l’incantation ». Parmi les signataires : Marie-Arlette Carlotti, Patrick Mennucci, François Kalfon ou encore Jean-Christophe Cambadélis.

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  • Charlie Hebdo - Dans le drôle de cabinet du ministre Béchu , Fabrice Nicolino · Mis en ligne le 3 novembre 2022 · Paru dans l'édition 1580 du 2 novembre

    Aujourd'hui 3 novembre, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu se rend en Gironde pour rencontrer les personnes impactées par les incendies qui ont ravagé la région durant l'été et à la rentrée et promettre la plantation d'un milliard d'arbres en dix ans. Quel écolo ce ministre vous dites-vous peut-être ! Lisez plutôt son CV et la composition de son cabinet pour vous faire une idée des préoccupations principales du ministre.

    Pourquoi Béchu à l’Écologie ? Parce qu’il est le pote de Macron, ce qu’on a déjà dit ici. Et que donc, il ne l’embêtera pas. Que fera-t-il ? Rien. Il a déjà fait, autorisant la chasse à l’alouette, alors qu’il la sait illégale, car contraire à une directive européenne inscrite dans le droit français. Le temps que le Conseil d’État se réveille – et annule la décision –, 10 000 alouettes auront été butées par les amis chasseurs de Macron-Béchu. Toujours ça de pris.

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  • «Jérôme Guedj : Le Rassemblement national prétend rassembler la nation mais ne sait que la diviser par la haine »

    Vendredi 4 novembre, Jérôme Guedj intervenait à la tribune de l'Assemblée nationale dans le cadre de la discussion et du vote de la #MotionDeCensure déposée par La France insoumise après un quatrième recours à l'article 49-3 par le gouvernement, cette fois-ci pour adopter l'ensemble du projet de loi finances en première lecture. Découvrez son discours en intégralité

  • L'Express - Boris Vallaud : "Il ne faut jamais arrêter de dire que Marine Le Pen est d'extrême droite"

    Le chef de file des députés socialistes estime que l'heure de faire chuter le gouvernement n'est pas venue, car il n'existe pas de majorité alternative.

    Ce n'est pas simple d'être député socialiste en 2022. Il faut s'accorder avec de nouveaux alliés Insoumis qu'ils conspuaient hier, et avoir dans son dos les vieux et encombrants éléphants du parti, tout en espérant des jours meilleurs pour le PS. Et puis il y a ces 89 députés du Rassemblement national, une réalité que Boris Vallaud, patron du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, n'ignore pas mais qu'il refuse de "banaliser".   

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