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France Culture - Anne Hidalgo : "J'irai jusqu'au bout !"
Depuis ce jeudi 14 octobre, Anne Hidalgo, la maire de Paris est la candidate officielle du Parti socialiste pour l'élection présidentielle 2022. Qui est elle ? Quel est son programme ? Quelles sont ses chances pour 2022 ?
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L'Obs - Pourquoi le fantôme de François Hollande revient nous hanter
L’ancien président socialiste publie « Affronter » et s’affiche en soutien critique de la candidate Anne Hidalgo. Autant d’indices de sa volonté de ressusciter d’entre les morts politiques…
La Toussaint approche. Les Françaises et les Français nés avant 2012 sont épouvantés. Ils assistent à un phénomène paranormal : pourquoi diable François Hollande, le fantôme de SolfÉrino, revient-il les hanter ? N’avons-nous pas suffisamment de raisons de flipper avec la hausse du prix de l’énergie ? Et voilà que le spectre du septième président de la Ve République pousse des cris lugubres. « Macron est un traître », « les candidats de la gauche sont microscopiques », « Mélenchon est un boulet » et « Montebourg, un zozo », hulule Hollande, enveloppé dans le linceul de la social-démocratie.
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Lille : la convention qui désigne Anne Hidalgo
https://youtu.be/ct2vgwt5bto
A suivre sur YouTube ce samedi 22 octobre
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Le DDV - Massacre d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961 : honorer la mémoire, comprendre et mettre en garde
Par Fatima Besnaci-Lancou, membre de la Licra, présidente d’honneur de l’association Harkis et Droits de l’Homme et Alain David, Délégué de la Licra à la Commission nationale consultative des Droits de l’Homme
Il y a juste 60 ans, un 17 octobre, Paris fut le théâtre d’une chasse à l’homme ciblant les Algériens aboutissant à un nombre encore mal déterminé de morts (entre 30 et 200 selon les sources, dont beaucoup jetés dans la Seine), et de centaines de blessés. Cette atrocité marquant la fin de la guerre d’Algérie se produisit à l’insu de l’immense majorité des Parisiens. Elle fut globalement tue, à l’époque, par le monde politique et pratiquement ignorée de la grande presse.
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PS - Zap Parlementaire | Semaine du 18.10
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Fondation Jean Jaurès - Dix ans d’évolution du paysage politique français
Bientôt cinq années après le chamboulement du paysage politique français provoqué par l’élection d’Emmanuel Macron et la victoire de La République en marche aux élections législatives, que reste-t-il du « nouveau monde » ? Les élections nationales, que ce soit la présidentielle ou l’élection européenne, ont certes illustré la fin du duopole politique français du Parti socialiste et des Républicains (anciennement UMP). Pour autant, ces deux mouvements ont prouvé leur résilience en marginalisant leurs adversaires lors des élections locales (municipales, départementales et régionales). Cette double réalité complique la compréhension que l’on peut avoir du nouveau paysage politique en France, qui n’apparaît pas comme étant parfaitement stabilisé.
Ces dernières années, les partis politiques ont vu leur popularité se dégrader auprès des Français qui ne voient plus leur rôle d’un œil positif et bénéfique dans la résolution des grands enjeux. Dans ce contexte, et à partir d’un travail mené sur des cumuls de données Ifop sur la proximité partisane déclarée des Français depuis 2013, une analyse du système partisan inédite et moins contingente de la vie électorale peut être dressée. Cette étude fait apparaître une « balkanisation » de la sympathie partisane des Français avec en parallèle une progression forte de la désaffiliation politique (se traduisant par une spectaculaire hausse de l’abstention) qui crée une nouvelle « manne électorale » instable pour les candidats aux différentes élections. Le jeu électoral s’en trouve bouleversé et devient de plus en plus imprévisible.
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Présidentielle : les ex-PS Maurel et Lienemann soutiennent Montebourg
La Gauche Républicaine et Socialiste (GRS) soutiendra Arnaud Montebourg à l'élection présidentielle, a annoncé vendredi la formation des ex-PS Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann.
"Démondialisation, promotion du " made in France ", retour de l'État dans la vie économique et sociale, augmentation massive des bas salaires, transition écologique et objectif zéro pétrole, égalité territoriale, défense de la laïcité, 6eme République : les priorités politiques d'Arnaud Montebourg sont les nôtres", a justifié le parti. -
L'Est Républicain - Mélenchon, Jadot, Hidalgo, Montebourg... quelles alliances possibles à gauche ?
Les sept candidats de la gauche culminent ensemble à 27,5% selon le dernier sondage Odoxa. Si des alliances pourraient permettre d'espérer entrevoir le second tour, tous les candidats rejettent quelque ralliement que ce soit. Aucun d'entre eux ne dépasse donc la barre des 10%.
«Le second tour est à portée de petits points», affirmait Jean-Luc Mélenchon dimanche, à Reims, lors de la convention de l’«Union populaire». Une dizaine de points en réalité, le leader des Insoumis culminant à 9% dans le dernier sondage Odoxa paru vendredi, et au prix d'alliances fortes à gauche...
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____________________Sondage ODOXA du 15 octobre - Intentions de vote : Zemmour progresse toujours mais reste derrière Le Pen ; à gauche le salut pourrait venir d’une candidature d’union autour de Jadot
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France Inter - Présidentielle 2022 : Hidalgo doit déjà réenchanter sa campagne pour sauver sa candidature
Les jours se suivent et d’une certaine manière ils se ressemblent : ils apportent chaque fois leur lot de mauvaises surprises pour la maire de Paris. Sa campagne patine, sa candidature ne décolle pas, et elle accuse sévèrement le coup dans les sondages...
Elle était testée autour de 6-7% la semaine dernière - ce qui n’était déjà pas glorieux -, et voilà qu’elle chute désormais à 4 ou 5 à peine selon les instituts…
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Lyon Capitale - Reportage à Lyon : à la Guillotière, la mairie jongle entre aménagements et consternation des habitants
Vendredi 15 octobre, élus et habitants du quartier de la Guillotière se sont réunis pour discuter des prochains enjeux d'aménagements légers de la place Gabriel Péri. L'occasion également pour les plus mécontents, de manifester leur colère. Reportage.L'ambiance était tendue ce vendredi 15 octobre dans le gymnase de l'école Gilbert Dru du 7e arrondissement de Lyon. Devant quelques 130 habitants du quartier, les élus de la Ville et de la Métropole ont dû plusieurs fois se justifier au moment de leur présentation. "L'objectif est de discuter d'aménagements légers" lâche Fanny Dubot, maire du 7e arrondissement. Une réorganisation de l'espace public annoncée parmi une cinquantaine d'autres mesures par le maire de Lyon Grégory Doucet en juin dernier. Il n'en fallait pas plus pour faire réagir la foule une première fois, visiblement très remontée. "Légers ?", est repris ironiquement ici ou là de la salle par les participants.
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