Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Non Fiction - Entretien avec Emmanuel Dockès, à propos de son Voyage en misarchie

    Avec son Voyage en misarchie, le juriste Emmanuel Dockès adopte la forme du roman, plutôt que de l’essai de philosophie politique, pour nous présenter les utopies auxquelles il croit ou qu’il nous soumet pour nous faire réfléchir. Le style en est très didactique. Son personnage débarque, contraint et forcé, en Arcanie, où il découvre les institutions du pays, censées réduire au maximum la domination, en se les faisant expliquer et parfois en payant de sa personne.

    L’association volontaire y tient une large place, ainsi que l’autogouvernement, encadrés simplement par quelques principes fondamentaux ou supplétifs. La monnaie fiduciaire y a été remplacée par la monnaie électronique, gérée par une banque unique – ce qui rend, soit dit au passage, toutes les transactions contrôlables par des fonctionnaires mandatés pour cela.

    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

  • Un peu d'histoire - François MITTERRAND à propos de l'histoire du Parti socialiste et du socialisme

    Claude LEFEVRE reçoit François MITTERRAND, premier secrétaire du parti socialiste, à l'occasion du prochain congrès du PS à Nantes. François MITTERRAND rappelle l'histoire de la création du parti socialiste, définit le socialisme et explique comment on adhère à cette idée.

  • Fekl (PS): le pari de "séduction" de Macron envers Trump "n'a pas fait bouger les grands sujets"

    "Le pari initial" d'Emmanuel Macron de "charme" et de "séduction" envers Donald Trump "n'a pas fait bouger d'un iota les grands sujets", a déploré mercredi l'ancien ministre socialiste Matthias Fekl.

    "Le pari initial du président Macron qui était de dire on déploie un maximum de charme, un maximum de séduction pour le président américain en le recevant le 14 juillet sur les Champs-Elysées (...) et ensuite en allant en visite d'Etat, pour l'instant, n'a pas fait bouger d'un iota les grands sujets", a regretté l'ancien ministre de l'Intérieur sur RFI.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Libé - Hamon, un an après : «Je suis arrivé au débat sans force»

    Coups bas des socialistes, fatigue, blessures… Le réalisateur Hugues Nancy a suivi le candidat PS entre sa victoire à la primaire et son score désastreux à la présidentielle. Son film est diffusé ce jeudi soir sur France 3.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • France Inter - 99 rue Molière à Ivry-sur-Seine, Olivier Faure a choisi son nouveau Solférino

    Le nouveau patron du parti socialiste a trouvé le bâtiment qui lui correspond en banlieue parisienne, à deux pas de la gare RER de cette ville du Val de Marne.... Au 99, rue Molière, à Ivry-sur-Seine, le dépaysement sera garanti pour les socialistes survivants, promet le maire d'Ivry Philippe Bouyssou : "Ils vont d'abord passer par la rue Lénine pour accéder à la rue Molière." ironise-t-il.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Le Parisien - Boris Vallaud, l’étoile montante du PS que Hollande appelle «Jaurès»

    Son mentor, Arnaud Montebourg, lui prédit un brillant avenir. Nouveau visage du PS, Boris Vallaud, 42 ans et époux de Najat Vallaud-Belkacem, vient d’être promu porte-parole du parti.

    Arnaud Montebourg lui avait pourtant sorti le grand jeu. Fin août, en marge de la Fête de la rose de Frangy-en-Bresse, dans sa chère Saône-et-Loire, l’ancien ministre avait choisi une bonne bouteille - cuvée du redressement ou pas, il ne le dit pas - et pris entre quatre yeux son « petit Boris », qui fut pendant sept ans son bras droit dans le département, puis à Bercy.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Non Fiction - Du militantisme à l’histoire (Benjamin Stora)

    Quinze ans après son autobiographie, La dernière génération d’octobre, Benjamin Stora propose la suite de ses mémoires, qui prolongent le premier volume. Il s’agit d’une évocation des décennies 1970 et 1980 qui sont marquées par l’engagement – militant puis en tant qu’historien – et la tragédie : le décès de sa fille, Cécile.

    Benjamin Stora propose une relecture de la période 1968-2018 à travers son itinéraire militant et plus largement une relecture de l’histoire d’une partie de la gauche, trotskiste d’abord, puis socialiste.

    La dernière génération d’Octobre soulignait la rage et les passions d’un jeune militant qui se frottait et se construisait contre l’ordre gaullien. Les héritages égarés portent un regard plus pacifié, soulignant les voies de l’intégration sociale et politique du jeune militant devenu enseignant. L’historien, même s’il a mis à distances ses engagements, garde, non pas une nostalgie, mais une forme de fidélité à son passé.

    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

  • Un peu d'histoire : La femme est-elle vraiment l'égale de l'homme (INA, 1966)

    La loi du 13 juillet 1965 portant sur la réforme des régimes matrimoniaux vient d'entrer en vigueur. Elle affranchit les femmes mariées du consentement de leur conjoint pour exercer une profession séparée, ou pour ouvrir un compte en banque et disposer de leurs propres biens. Yves GROSRICHARD anime un débat avec Odette LAUNAY, député de Paris, rapporteur de la loi; Marie-Madeleine DIENESCH, député des Côtes du Nord; Paule PAILLET, professeur de psychologie; Christiane COLLANGE, rédactrice en chef de "L'Express", autour de la question de la parité des femmes et des hommes rendue possible par l'application de cette nouvelle loi. Pour les invitées, si la loi constitue un progrès pour l'émancipation des femmes, la mentalité des femmes elles-mêmes et la maternité demeurent des obstacles à leur promotion socio-professionnelle. Lors du débat Monsieur GROSRICHARD soulève la question de l'inégalité des salaires entre les hommes et les femmes : " Il y a une chose qui est choquante les femmes qui font le même travail sont généralement moins payées que les hommes". Au sujet de la maternité, frein à l'émancipation des femmes, Madame PAILLET quand a elle souhaiterait que la société donne à la femme "la pleine liberté de la conception".

  • S. Le Foll dénonce "l'hyper-autorité" de Macron "il s'approprie tous les pouvoirs" 24/4

  • Emmanuel Macron :"L'hyperautorité d'aujourd'hui n'est pas la solution" Stéphane Le Foll

  • Le Foll - SNCF : La société anonyme "permet à l'Etat de reprendre la dette sans avoir à la reprendre"