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  • Les décodeurs du Monde - Cinq questions sur la dette de la SNCF

    L’endettement colossal de l’opérateur ferroviaire, qui atteint 54,5 milliards d’euros, s’accroît d’année en année et compromet les investissements futurs.

    Le gouvernement a présenté mercredi 14 mars un projet de loi « pour un nouveau pacte ferroviaire », l’autorisant à légiférer par ordonnances pour réformer la SNCF avant l’ouverture à la concurrence. Si la remise en cause du statut des cheminots concentre l’essentiel des griefs des syndicats, le problème de la dette, aussi crucial, passe au second plan.

    La SNCF est-elle en bonne ou mauvaise santé financière ?

    Cela dépend de quoi on parle. Porté par le succès du TGV (nouvelle ligne Atlantique ouverte à l’été, offre low cost) et des hausses de fréquentation des transports en commun du quotidien (TER, Transilien, bus Keolis…), le groupe SNCF a publié d’excellents résultats pour 2017, avec un chiffre d’affaires en hausse de 4,2 %, qui atteint 33,5 milliards d’euros et un bénéfice net de 1,33 milliard d’euros.

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  • DÉFENSE : le Parti socialiste partage l’ambition de la loi de programmation militaire 2019-2025 mais exprime ses réserves sur sa sincérité

    Suite au vote par l’Assemblée nationale, le 27 mars 2018, de la loi de programmation militaire 2019-2025, le Parti socialiste rappelle que l’ambition d’atteindre en 2025 les 2 % du PIB pour les dépenses consacrées à la défense a toujours été son objectif, comme l’avait démontré la programmation militaire de 2012 réactualisée en 2015, et se félicite que les choix faits lors du précédent quinquennat dans ce domaine ne soient pas remis en cause.

    Le Parti socialiste exprime néanmoins ses réserves quant à la trajectoire budgétaire pour laquelle le gouvernement semble vouloir faire porter l’essentiel de l’effort sur le prochain quinquennat, alors même que le contexte de croissance plus favorable aujourd’hui permettrait une meilleure répartition. C’est ainsi que la hausse du budget prévue entre 2020 et 2022 est de 5,1 milliards d’euros, tandis que celle visée entre 2023 et 2025 est de 9 milliards d’euros.

    Au regard de ces chiffres, soulignons que le taux de surengagement de nos forces, tant à l’extérieur que sur le territoire national, est de 30 %, et ce depuis plus de dix ans. Comment ne pas s’interroger, et ne pas regretter dès lors, qu’en dépit d’un effort pour mieux financer les dépenses liées à ces opérations, le gouvernement ait quand même acté la fin de la solidarité interministérielle pour couvrir leur surcoût ?

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  • Xerfi Canal - Réforme de la SNCF : quelle logique économique ? [Olivier Passet]

    A l’heure où s’engage la réforme de la SNCF, on mesure comme souvent dans ces cas-là le déficit de pédagogie autour de ce type de réformes. Derrière elles, il y a un changement profond d’abord de ce qu’est un service public, un bien collectif. Ce n’est pas une mince affaire. [...]A l’heure où s’engage la réforme de la SNCF, on mesure comme souvent dans ces cas-là le déficit de pédagogie autour de ce type de réformes. Derrière elles, il y a un changement profond d’abord de ce qu’est un service public, un bien collectif. Ce n’est pas une mince affaire. [...]

  • Le Point - Pour les députés PS, sans les "provocations" du gouvernement, la grève à la SNCF aurait pu être évitée

    Les députés socialistes ont estimé mardi que la grève à la SNCF aurait pu être évitée sans "un certain nombre de provocations" du gouvernement sur le recours aux ordonnances ou le statut des cheminots, dénonçant "la méthode choisie".

    "Nous ne sommes pas des révolutionnaires du statu quo. Nous ne sommes pas hostiles par principe à une réforme", mais "ce que nous contestons, c'est bien souvent la méthode choisie par le gouvernement", a déclaré Boris Vallaud, un porte-parole des députés socialistes, lors d'un point de presse.

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  • Slate - Non, je ne crois pas que le voile soit compatible avec le féminisme

    Prétendre que le voile islamique est compatible avec le féminisme est pour le moins hasardeux. Comment un marqueur religieux établissant une différence entre les sexes pourrait-il porter des idées d'émancipation, de liberté et d'égalité?

    Rokhaya Diallo, je ne suis pas d’accord avec vous. Mais j’ai apprécié votre article, car il pose les termes d’un débat apaisé pour un sujet qui ne l’est pas beaucoup. Et je vais essayer de vous répondre dans le même ton.

    Rappelons d’abord quelques écueils. Comme vous le dites, le voile nous agite depuis trente ans. C’est beaucoup pour un bout de tissu. Tout, sans doute, a déjà été dit, écrit; les querelles, les injures, les violences n’ont pas manqué. Il est probable que les antagonismes demeureront encore longtemps.

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