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  • AlterEco - Faut-il supprimer l’ISF ? Guillaume Duval

    A droite, tous les candidats à la primaire entendaient réduire la fiscalité dans quasiment tous les domaines. Mais un impôt concentre particulièrement leurs critiques : l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Pour l’opposition, il ne s’agit pas de le réduire, mais de le supprimer purement et simplement. Un mauvais procès.

    1/ Une vieille pomme de discorde

    Cet impôt, qui pèse sur le patrimoine des ménages les plus fortunés, est une vieille pomme de discorde. Il a été créé en 1982, suite à l’élection de François Mitterrand, le premier président de gauche de la Ve République. Mesure phare de son programme électoral, il se dénomme alors « impôt sur les grandes fortunes » (IGF). Quand la droite revient aux affaires en 1986, elle supprime immédiatement ce symbole de gauche. Mais dès 1988, elle perd de nouveau le pouvoir, et la gauche rétablit cet impôt sous le nom d’« impôt de solidarité sur la fortune ».

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  • Le Point - Christian Paul : "Notre courant peut gagner la primaire !"

    Le chef de file des frondeurs, rangé derrière la candidature de Montebourg, évoque la primaire de la gauche en prenant soin de ne pas diviser son courant.

    Le Point.fr : Vincent Peillon a officialisé dimanche soir sa candidature à la primaire ? Que vous inspire-t-elle ?

    Christian Paul : (long silence) Je pars d'un principe simple : il n'y a pas de candidature illégitime. Néanmoins, je ne pense pas que la multiplication des candidatures vienne simplifier la situation dans laquelle se trouve la gauche française à la veille de l'élection présidentielle

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  • L'actualité des socialistes du 2 au 8 décembre

    A LA UNE

    Libé - La gauche sans voix

    La social-démocratie perd son dernier représentant de poids en Europe avec la démission de Matteo Renzi. Si la poussée xénophobe sur le continent explique en partie la déroute de la gauche, celle-ci paye aussi le prix de ses compromissions libérales.

    France Info - François Hollande a-t-il tué le PS ?

    Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes, et qui n'est plus dominée par le PS.

    Rarement la gauche a abordé une campagne présidentielle avec la crainte de ne pas accéder au second tour. Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes. Le Parti socialiste, autrefois hégémonique et garant de la capacité de la gauche à remporter des combats électoraux, a perdu une grande partie de son influence.

    LAICITE

    Gilles Kepel : «L'enjeu de la laïcité c'est l'intégration»

    Société - Gilles Kepel, universitaire, spécialiste de l'Islam

    Jamais la laïcité n'a été autant en débat, comment l'expliquez-vous ?

    En 1905, la laïcité était basée sur la séparation. C'était la loi de séparation de l'Église et de l'État, une séparation qui avait pour but de lutter contre l'influence, jugée à l'époque excessive, du Vatican sur les consciences et la jeunesse, et qui, d'une certaine manière était perçue comme quelque chose qui faisait obstacle à la vocation de la République de former des citoyens. En 2005, 100 ans après, l'enjeu est un peu différent. L'objectif de la laïcité, c'est de construire l'inclusion et l'intégration, et non plus la séparation.

    France Info - "Quand les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics" : une journaliste de France 2 veut "briser la loi du silence"

    Le "20 heures" a diffusé jeudi un reportage consacré à des femmes qui alertent sur des quartiers dans lesquels elles ne sont plus les bienvenues. Pour franceinfo, l'auteure de l'enquête revient sur le sens de sa démarche. 

    CAZENEUVE

    Le Monde - Ce qui attend le gouvernement pour les cinq prochains mois

    Comme souvent à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure n’est attendue d’ici à avril, mais des dossiers délicats sont toujours en suspens.

    Nommé pour cinq mois, le gouvernement de Bernard Cazeneuve aura pour « mission » de « préparer l’avenir », a déclaré François Hollande mardi 6 décembre. Comme c’est souvent le cas à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure ne devrait toutefois être mise en œuvre. Reste que le nouveau gouvernement aura à gérer quelques dossiers politiques délicats en cette période électorale.
     
    PRIMAIRE
     
    Challenges - Primaire de la gauche: Montebourg et Valls au coude-à-coude

    L'ancien Premier ministre et l'ex-ministre de l'Economie sont donnés dans un mouchoir de poche au second tour de la primaire de la gauche.

    Manuel Valls arriverait largement en tête au 1er tour de la primaire organisée par le PS en vue de l'élection présidentielle, devant Arnaud Montebourg, mais les deux candidats seraient ensuite au coude à coude au second, selon un sondage Harris Interactive diffusé jeudi.

    L'Obs - Pourquoi la primaire de la gauche s'engage mal

    Devant le trop plein de candidatures, Jean-Christophe Cambadélis a dû siffler la fin de la récréation. Mais le premier secrétaire du PS n'a pas dissipé la confusion qui règne autour du scrutin.

    Des stars qui la jouent perso, des recrues en toc et une ribambelle de réservistes rêvant d'entrer sur le terrain... Avec ses 11 candidats, l'espace de quelques heures, la primaire de la gauche a davantage ressemblé à une équipe de Ligue 1 qu'au scrutin devant désigner le futur candidat socialiste à la présidence de la République. Et puis Jean-Christophe Cambadélis a mis le holà

     
    Le PS veut faire place nette. Face à l'afflux de candidatures à la primaire de la Belle alliance populaire, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, et Christophe Borgel, responsable des élections au sein du parti, lancent un avertissement: tous ne passeront pas. Les candidatures de Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), de Bastien Faudot (MRC) et de Sébastien Nadot (MdP) ont été recalées par le comité national d'organisation de la primaire, réuni mercredi.
     
     
    « Ils vont bientôt être dix, si ce n’est onze. C’est une équipe de foot, ce n’est plus une primaire ! » Ainsi Jean-Christophe Cambadélis raillait-il, au début de l’année, la prolifération de candidats à la primaire de la droite. Une déclaration en train de se retourner contre le premier secrétaire du PS, qui a mis sur les rails la primaire de la Belle Alliance populaire (BAP)... et se retrouve débordé par les candidatures, pleuvant ces derniers jours de tous côtés !
     

    « Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent », a déclaré mercredi le président du comité d’organisation du scrutin.

    Christophe Borgel, président du comité national d’organisation de la primaire de la gauche, s’est inquiété mercredi 7 décembre du grand nombre de candidatures au scrutin. Invité de la presse parlementaire, il a déclaré :

    « Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent. »
    LIENEMANN
     
     
    Figure historique de la gauche du PS, Marie-Noëlle Lienemann a été une des premières à s'engager dans la primaire de la gauche. Elle renonce à la course pour favoriser l'unité de son courant.
     

    La sénatrice de Paris veut éviter « un éparpillement des voix » et « regrette » que Montebourg et Hamon n’aient pas entendu ses appels à l’unité.

    Marie-Noëlle Lienemann annonce dans Le Monde qu’elle ne sera pas candidate à la primaire organisée en janvier par la Belle Alliance populaire. La sénatrice de Paris, située à l’aile gauche du Parti socialiste, a décidé de se retirer pour éviter « un éparpillement des voix », alors qu’Arnaud Montebourg et Benoît Hamon sont eux aussi candidats pour incarner une alternative à la majorité gouvernementale.
     
     
    Candidate à la primaire, Marie-Noëlle Lienemann enjoint à Hamon et Montebourg de s’associer à elle autour d’un socle commun.

    Cher Arnaud, cher Benoît, chers amis,

    En annonçant qu’il ne briguerait pas un second mandat, François Hollande a fait un constat lucide : il n’est pas en situation d’assurer un large rassemblement des forces de gauche et écologistes. Mais ce qui lui est impossible l’est tout autant pour son Premier ministre, Manuel Valls, concepteur de la thèse des deux gauches irréconciliables, et pour celles et ceux qui ont promu ou soutenu les choix et orientations qui ont creusé un fossé entre l’exécutif, le peuple de gauche et les Français.

    VALLS

    La Monde - Après la candidature de Manuel Valls, des doutes sur sa capacité de rassembler et son bilan

    Après l’annonce de la candidature de Manuel Valls à la primaire de la gauche, des doutes émergent sur sa capacité à rassembler la gauche, et à « occulter [son] bilan ».

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/12/05/apres-la-candidature-de-manuel-valls-des-doutes-sur-sa-capacite-de-rassembler-et-son-bilan_5043847_823448.html#DiB0EKgpiDf3xX70.99
    Avant même l’annonce de Manuel Valls, de se porter candidat à la présidence de la République à travers la primaire de la gauche, la maire socialiste de Lille, Martine Aubry, avait mis en doute, lundi 5 décembre, sa capacité à rassembler la gauche.
     
    HAMON
     
     
     
    Le candidat à la primaire à gauche a proposé ce jeudi dans L'Emission Politique de taxer les robots qui remplacent les emplois peu qualifiés afin de financer un revenu universel d'existence.
     

    Candidat à la primaire de la gauche, l’ancien ministre issu de l’aile gauche du PS a déroulé ses propositions en vue de l’élection présidentielle.

    On le présente souvent dans l’ombre d’Arnaud Montebourg avec qui il avait été sorti du gouvernement en août 2014. Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a affirmé ses différences, jeudi 8 décembre, en déroulant ses propositions sur le plateau de « L’émission politique » sur France 2. Temps de travail, éducation, cannabis, revenu universel… Voilà ce que l’on peut retenir de son intervention.
     

    Invité par La Fabrique écologique, après Nathalie Kosciusko-Morizet, le candidat à la primaire de la gauche plaide pour une politique environnementale et sociale plus audacieuse.

    Diesel, pesticides, santé publique, nucléaire… sans oublier l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. La liste est longue des critiques adressées par Benoît Hamon au gouvernement de Manuel Valls, gouvernement auquel il a appartenu jusqu’en août 2014. Le candidat à la primaire de gauche, en vue de l’élection présidentielle d’avril 2017, était l’invité, mardi 22 novembre, du deuxième petit-déjeuner organisé, à Paris, par La Fabrique écologique, « fondation pluraliste de l’écologie », en partenariat avec Le Monde, en vue d’éclairer les débats sur l’environnement du prochain rendez-vous électoral.
     

    Dans une tribune pour «Libération», Benoît Hamon répond à l'appel lancé par Marie-Noëlle Lienemann.

    Chère Marie-Noëlle,

    Ton interpellation sur la nécessaire unité d’une gauche alternative à l’occasion de nos primaires est juste et essentielle. Juste, car jamais la gauche ne gagne divisée. Essentielle, car alors que seuls 35% des Français comptent voter à gauche à l’occasion du premier tour de l’élection présidentielle, la présence de plusieurs candidats de gauche au premier nous condamne à l’échec.

    MONTEBOURG
     

    L’ancien ministre de l’économie se rend en Algérie du 10 au 12 décembre, sur les traces de sa famille mais aussi pour adresser un message aux Français d’origine maghrébine.

     Le Point - Primaire de la gauche : et si c'était Arnaud Montebourg ?
     
    VIDÉO. L'ex-ministre de l'Économie se voit déjà comme le conciliateur des gauches, celui par qui le rassemblement est possible. Sa tactique pourrait payer.
     
    Il n'est plus l'avocat volcanique qui enflammait les foules, combattait les paradis fiscaux, militait pour une VIe République, tentait de traîner le président Chirac devant la Haute Cour de justice ou vendait le « fabriqué en France » en marinière. Depuis trois mois, les Français découvrent une nouvelle cuvée montebourgeoise : un candidat sobre, un idéologue qui veut « libérer les Français » des « oligénarques » (une contraction d'oligarques et d'énarques).
     
    PEILLON

    Eduardo Rihan-Cypel: "Vincent Peillon sera le François Fillon de la primaire à gauche"

    Le député socialiste de Seine-et-Marne soutient la probable candidature de l’ancien ministre de l’Education nationale qui est selon lui "au coeur de la gauche". Une manoeuvre qui fait plutôt figure de torpille anti-Valls pour l’après 2017.

    L'Obs - Philo, cannabis et saumon fumé...10 choses à savoir sur Vincent Peillon

    L'ex-ministre de l'Education devrait annoncer sous peu sa candidature à la primaire de la gauche selon plusieurs députés socialistes. Voici 10 choses à savoir sur cet agrégé de philosophie.

    EMPLOI

    La Tribune - La France renoue avec de fortes créations d'emplois

    51.200 postes ont été ét créés dans le secteur marchand au troisième trimestre selon l'Insee. Sur un an, les créations nettes d'emplois atteignent 178.700

    Bonne nouvelle, au troisième trimestre 2016, selon l'Insee, l'emploi dans le secteur marchand a continué de croître avec 51.200 créations de postes, soit une progression de 0,3%. Un volume jamais vu depuis 2007. Déjà au trimestre précédent, 29.400 postes nouveaux postes avaient été enregistrés. C'est le sixième trimestre consécutif de hausse. Sur un an, au total, les créations nettes d'emplois ont atteint 178.700 (+1,1%). Or, la population active progressant « naturellement » d'environ 120.000 personnes par an, il y a donc eu assez de postes pour « absorber » ces nouveaux entrants, ce qui explique, en partie, la récente baisse du nombre des demandeurs d'emploi... qui arrive trop tard pour François Hollande.

    PISA

    Le Parisien - Etude Pisa sur le niveau des élèves : l’OCDE met en garde la droite française

    L'étude Pisa dévoilée mardi révèle que les élèves français de 15 ans affichent des performances dans la moyenne de leurs pairs des pays de l'OCDE en sciences, mathématiques et compréhension de l'écrit. Mais la France se distingue par le poids de l'origine sociale des enfants sur les résultats.

    Altereco - Rien de nouveau sous le soleil de Pisa

    Les résultats 2015 de la désormais fameuse enquête Pisa (livrée tous les trois ans) risquent de décevoir aussi bien les défenseurs que les contempteurs du système éducatif français. Le « choc » qu'avait produit l'édition précédente (2012) a en tout cas peu de chances de se produire, tant cette nouvelle édition confirme ce que l'on savait déjà, à savoir que les performances de l'école française se situent globalement dans la moyenne des pays de l'OCDE, mais que le lien entre niveau des élèves et leur milieu social y est plus fort que n'importe où ailleurs.

    Le Monde - Enquête PISA : ce que disent les profs sur les inégalités sociales et scolaires

    La sixième édition de l’étude de l’OCDE décrit une école française marquée par les déterminismes sociaux. Des enseignants racontent comment ils les vivent et tentent de les déjouer

    De l’enquête PISA, parue mardi 6 décembre, ils ne parlent pas (ou peu) en salle des profs. Ils préfèrent laisser cette étude, son tumulte médiatique – et les polémiques qu’elle suscite – aux portes de leur classe. « Les enseignants regardent PISA avec distance, voire suspicion ou crainte », observe Jacques Vince, professeur dans un lycée lyonnais. Ce n’est pas que les résultats ne les touchent pas ou qu’ils éludent le débat. Non : « C’est l’instrumentalisation politique de l’enquête comme un outil de pilotage qui nous heurte, alors qu’on ploie déjà sous les injonctions », ajoute celui qui est aussi en charge du suivi des réformes au sein de l’Union des professeurs de physique et de chimie.
     
    PS
     
    Syrie : Le Parti socialiste est solidaire de la population martyre d’Alep, 07 décembre 2016

    Le Premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a reçu ce jour M. Brita Hagi Hasan, Président du Conseil local d’Alep et les représentants des associations qui, en France, se mobilisent pour sauver la population d’Alep affamée et massacrée.

  • Le Lab - Arnaud Montebourg dément être en retard de cotisations au PS

    Épinglé pour ses retards de paiement (cotisations et quote-part d'élu) vis-à-vis du PS, Vincent Peillon a dénoncé une "boule puante" lancée par le camp Valls tout en assurant qu'il allait immédiatement régler son ardoise  de quelque 20.000 euros. Car tout candidat à la primaire de la BAP doit être à jour de ce côté-là s'il veut pouvoir concourir. Et si l'ancien ministre de l'Éducation nationale n'était pas le seul dans ce cas ? Arnaud Montebourg est-il concerné ?

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  • Parti socialiste : les ardoises d'Arnaud Montebourg et de Vincent Peillon

    Les deux candidats à la primaire n'ont pas payé leurs cotisations pendant des années. Si Peillon dit avoir réglé sa note, Montebourg conteste ces impayés.

    « Ça commence très fort ! » Ce député est un peu abasourdi par la manière dont s'enclenche la primaire de la gauche. Si celle de la droite et du centre s'est plutôt déroulée avec fair-play, la compétition du Parti socialiste (et des radicaux de gauche) donne depuis ce mercredi un tout autre spectacle. C'est d'abord Vincent Peillon, entré en scène dimanche, qui est montré du doigt pour avoir « omis » de payer près de 20 000 euros de cotisations dues, comme tout parlementaire, au Parti socialiste (il est député européen et doit, à ce titre, verser 10 % de ses indemnités au PS chaque année). En fin d'après-midi, l'ex-ministre de l'Éducation assurait avoir réglé sa note. Il n'avait plus beaucoup de temps pour apurer la situation : les candidatures sont closes jeudi, officiellement annoncées samedi, et chaque candidat doit être à jour de cotisation pour pouvoir concourir.

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  • Le Monde - Arnaud Montebourg conteste « formellement » devoir 80 000 euros au PS

    D’après deux sites d’information, le candidat à la primaire de la gauche aurait une dette envers le Parti socialiste, à qui il n’aurait pas versé les cotisations dues quand il était député entre 2007 et 2012.

    Le candidat à la primaire de la gauche Arnaud Montebourg devrait 80 000 euros d’arriérés de cotisations au PS, selon deux articles de presse parus mercredi 14 décembre. Alors député de Saône-et-Loire et président du conseil général du département, M. Montebourg n’aurait reversé que 45 euros par an entre 2007 et 2012, contre les 6 000 euros demandés, d’après le Huffington Post. Soit 30 000 euros environ de manque à gagner pour sa fédération locale.
     
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  • Huffington Post - La côte de popularité de François Hollande continue de monter, selon un sondage Ifop-Fiducial

    Après plusieurs mois en bas du classement, le président de la République profite des conséquences de son renoncement.

    La popularité de François Hollande fait un bond de 14 points après sa décision de ne pas se représenter en 2017 et le Premier ministre Bernard Cazeneuve se hisse en tête du classement des personnalités au détriment d'Alain Juppé, selon un sondage Ifop-Fiducial diffusé ce mardi 13 décembre.

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  • Djemila Benhabib, écrivaine et militante politique

    Djemila Benhabib, auteure et militante politique était ce vendredi 9 décembre, l'Invitée du matin de RFI. Née en Ukraine d’un père algérien et d’une mère chypriote-grecque, elle a grandi à Oran en Algérie où sa famille est très engagée socialement et politiquement. En 1994, sa famille quitte l’Algérie pour raisons politiques. A l’occasion de la Journée nationale de la laïcité et de la condition de la femme, Djemila Benhabib nous donne son point de vue sur la situation de la laïcité en France. Elle répond aux questions de Frédéric Rivière.

  • L'Obs - François Hollande renonce : 4 économistes liquident son bilan

    Chômage, impôts, croissance... Thomas Piketty, Philippe Aghion, Thomas Porcher et Daniel Cohen dressent le bilan du quinquennat de François Hollande. C'est sévère.

    Au lendemain du renoncement de François Hollande à se représenter à l'élection présidentielle, "l'Obs" a interrogé les économistes Philippe Aghion et Thomas Porcher sur le bilan économique du quinquennat. Verdict : "un échec", "il a raté l'occasion de réformer le pays". Nous republions également des extraits des entretiens avec Thomas Piketty et Daniel Cohen, déjà parus dans "l'Obs", dans lesquels eux aussi jugeaient sévèrement l'action du président.

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  • Le Parisien - Débat : le Parti socialiste est-il fini ?

    Le quinquennat de François Hollande sonnera-t-il le glas du Parti socialiste ? Un président sortant décrédibilisé qui renonce à se représenter, des législatives qui se profilent comme la chronique d'une déroute annoncée... Et, surtout, une ligne idéologique tellement distendue que la primaire, qui s'ouvre le 17 décembre, n'aura jamais été aussi riche ou encombrée (selon les points de vue) de projets et d'ambitions en marche. Du social-libéralisme de Manuel Valls au patriotisme économique d'Arnaud Montebourg, en passant par l'encore indéfinissable Vincent Peillon... sans compter ceux qui, aux deux extrêmes du spectre à gauche, briguent l'Elysée en sautant la case primaire, comme Jean-Luc Mélenchon ou Emmanuel Macron. Quelle famille ! A n'en pas douter, le Parti socialiste de Mitterrand et de Jospin, pôle fédérateur de toutes les gauches, a vécu. Peut-il donner naissance à un autre PS ?

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  • "J'aurais aimé savoir comment Emmanuel Macron a payé son meeting à hauteur de 400 000 euros" A Filippetti (12/12/2016)


    "J'aurais aimé savoir comment Emmanuel Macron a... par radioclassique