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Parti socialiste : les ardoises d'Arnaud Montebourg et de Vincent Peillon

Les deux candidats à la primaire n'ont pas payé leurs cotisations pendant des années. Si Peillon dit avoir réglé sa note, Montebourg conteste ces impayés.

« Ça commence très fort ! » Ce député est un peu abasourdi par la manière dont s'enclenche la primaire de la gauche. Si celle de la droite et du centre s'est plutôt déroulée avec fair-play, la compétition du Parti socialiste (et des radicaux de gauche) donne depuis ce mercredi un tout autre spectacle. C'est d'abord Vincent Peillon, entré en scène dimanche, qui est montré du doigt pour avoir « omis » de payer près de 20 000 euros de cotisations dues, comme tout parlementaire, au Parti socialiste (il est député européen et doit, à ce titre, verser 10 % de ses indemnités au PS chaque année). En fin d'après-midi, l'ex-ministre de l'Éducation assurait avoir réglé sa note. Il n'avait plus beaucoup de temps pour apurer la situation : les candidatures sont closes jeudi, officiellement annoncées samedi, et chaque candidat doit être à jour de cotisation pour pouvoir concourir.

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