Didier Guillaume (PS): «Si François Hollande... par Lopinionfr
- Page 6
-
-
"Pour François Hollande, la désignation probable de François Fillon est une bonne nouvelle"
"Pour François Hollande, la désignation... par lemondefrLa primaire de la droite a eu son lot de rebondissements et l'éventuelle désignation de François Fillon a relancé François Hollande. Analyse avec Bastien Bonnefous, journaliste au service politique du "Monde".
-
Altereco - Le long chemin de la démocratisation scolaire
En 1958, un peu moins de 1,2 million d’élèves étaient scolarisés au collège, et moins de 700 000 dans l’enseignement secondaire. En 2014, ils étaient respectivement près de 3,2 millions et plus de 2 millions, soit environ trois fois plus… Voilà de quoi saisir l’ampleur des bouleversements qu’a connus le système scolaire depuis une soixantaine d’années, souvent désigné sous le terme de « massification ». Le phénomène est d’autant plus impressionnant qu’il s’est en fait produit sur une période plus courte : les effectifs atteignent leur apogée dès la fin des années 1980, ne faisant plus que fluctuer depuis.
Lire la suite
__________________
__________________ -
PS - Deux candidats si semblables pour faire reculer la France
24 novembre 2016A l’issue de plusieurs mois de surenchère ultralibérale et réactionnaire dans le cadre de la primaire de la droite, les deux finalistes ne pouvaient qu’affirmer des mesures autoritaires et inégalitaires.
C’est ce qu’a confirmé le débat qui s’est déroulé ce soir entre François Fillon et Alain Juppé, dans lequel les différences ont été moins marquées que les convergences.
Ces deux anciens Premiers ministres ont en partage la casse des services publiques, la suppression drastique du nombre de fonctionnaires, le report de l’âge de la retraite, l’augmentation du temps de travail, l’autoritarisme à tous les étages… Une droite dure et conservatrice, pour ne pas dire réactionnaire. Une droite d’un autre temps.
Les deux sont donc d’accord sur la cure antisociale qu’ils souhaiteraient imposer aux Français. Ils ne divergent que sur son mode d’administration : par la force et une confrontation totale et radicale pour l’un, par la durée et dans ersatz d’union nationale pour l’autre.
Alors que tant d’efforts ont été investis pour redresser la France et que ces efforts portent maintenant leurs fruits, alors que tant de mesures de progrès ont été réalisées et qu’elles redessinent déjà notre société, alors que tant de défis pèsent aujourd’hui sur notre société et que ne pas les relever aurait de graves conséquences, les Français ne doivent pas s’y tromper : aucun de ces deux candidats de droite ne représente un choix souhaitable pour notre pays.
______________________
______________________ -
Christian Paul: «François Fillon, c'est une révolution conservatrice et libérale»
-
Huffington Post - La campagne de gauche de Juppé et des socialistes va-t-elle surmobiliser le camp conservateur?
En tirant à boulets rouges sur le programme "ultra-conservateur" de François Fillon, Alain Juppé et le PS font aussi le jeu du favori de la primaire.
PRIMAIRE DE LA DROITE - Dramatiser le clivage gauche-droite à l'intérieur même de la primaire... de la droite: voici la stratégie extrêmement risquée sur laquelle mise Alain Juppé pour refaire son retard d'ici le second tour du vote. Comme Le HuffPost vous l'expliquait dès dimanche soir, le maire de Bordeaux et ses soutiens n'ont plus d'autre choix: l'électorat de droite ayant plébiscité François Fillon au premier tour, les juppéistes sont contraints de surmobiliser l'électorat de centre-gauche pour reconquérir les 600.000 voix manquantes.
Lire la suite
___________________
___________________ -
L'actualité des socialistes du 18 au 24 novembre
CHRISTIAN PAUL
INTERVIEW - Dans son livre Les îles et l'archipel: pourquoi la gauche (re)vivra, le député de la Nièvre, Christian Paul, dresse un portrait au vitriol du président Hollande et de son quinquennat. Pourtant le chef de file des frondeurs socialistes est convaincu qu'une "alternance à gauche" est toujours possible en 2017. Ce proche d'Arnaud Montebourg œuvre, en coulisses, pour une candidature unique de l'aile gauche du parti lors du premier tour de la primaire.
Fondation Jean Jaurès - Les îles et l’archipel : pourquoi la gauche (re)vivra
En 2017, le pays décide de son avenir. Là se joue aussi le futur de la gauche française. Pour Christian Paul, rien n’est joué si elle a le courage de se réinventer. Ce n’est qu’en renouant avec leurs valeurs de manière ambitieuse que les « îles » de la gauche pourront faire « archipel ». Un archipel où les Français auront à nouveau le goût de se retrouver.
EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Figure libre, Enseignements primaires
Plus encore que la primaire socialiste de 2011, celle de la droite est un succès. Quatre millions d’électeurs, c’est énorme. On disait que le principe même d’une présélection démocratique n’était pas franchement conforme à la tradition gaulliste : manifestement, le désir d’alternance a été plus fort que les réticences ataviques. On savait le « peuple de droite » capable de mobilisation dans l’adversité, comme il l’avait démontré entre les deux tours de la présidentielle de 2012. Il l’est tout autant dans la revanche et la volonté de conquête.
MONTEBOURG
Le Parisien - Montebourg cible Macron, «candidat des magazines», et appelle Hollande à réfléchir
En pleine primaire à droite, Arnaud Montebourg a la tête dans la primaire à gauche. Ce jeudi matin, sur RTL, l'ancien ministre a une fois de plus invité Emmanuel Macron «à venir dans la primaire à gauche». «C'est le candidat des unes de magazines», a-t-il taclé au passage. Cette semaine, Emmanuel Macron, qui s'est déclaré à la présidentielle la semaine dernière, est encore en une de «Paris Match» en compagnie de son épouse. Il le met en garde en expliquant que pour la primaire à droite, «les éditorialistes» avaient «fait un choix mais la base a fait autre chose c'est certainement ce qui va se passer dans la primaire de la gauche les 22 et 29 Janvier».
La Vie - Patriotisme, nationalisations, Dieu : Arnaud Montebourg en six extraits
Invité à La Vie lundi 21 novembre, Arnaud Montebourg a répondu aux questions de la rédaction, poursuivant notre série de rencontres avec des personnalités politiques qui entendent structurer le débat au niveau national. Au cœur des discussions : identité, économie, Europe et catholicisme. Extraits choisis.
A perdre la raison - Montebourg seul recours pour la gauche face aux Trump français ?
.... En France et en Europe, la mondialisation heureuse de l'OMC surtout depuis que la Chine y a été intégrée, fait des ravages depuis longtemps mais la droite et la gauche de gouvernement ici ou là en Europe font les sourdes et aveugles et font fi de la colère des peuples, on continue tranquillement comme avant, on gère les déficits, on gère la dette on tente de respecter des accords obsolètes comme celui de Maastricht et ses fameux 3% et advienne que pourra.
HAMON
Libé - Benoît Hamon, premier sur les tours
Le député des Yvelines, candidat à la primaire socialiste, a nommé comme porte-parole et comme directeur de campagne deux députés de banlieue parisienne.
Une équipe de banlieusards. Le candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire, Benoît Hamon a nommé ses porte-parole. Il s’agit du député de la Loire, Régis Juanico. Et celui des Hauts-de-Seine, Alexis Bachelay. «Dans la période difficile que traverse la gauche, où l’on observe une perte des valeurs et des repères, Benoît Hamon incarne une identité claire et affirmée, une gauche exigeante et moderne, sur tous les plans : la démocratie, l’écologie, l’économie et le social», explique ce dernier dans un entretien à l’Obs. Autre point commun entre les deux hommes : ils refusent de mettre les questions d’identité au cœur du débat. Une sorte de contre-pied à Manuel Valls.
C’est l’une des principales critiques formulées contre Emmanuel Macron, qui se veut candidat hors système : l’ex-ministre de l’Economie serait pleinement issu du système. Ce jeudi 17 novembre, Benoît Hamon a remis une petite pièce dans le jukebox. Le candidat socialiste à la primaire de la Belle alliance populaire a lancé sur RMC et BFMTV un appel à Emmanuel Macron, qui s’est lancé dans la course à la présidentielle la veille
HOLLANDE
Le Parisien - Présidentielle. Boutih : «Nous sommes nombreux à faire en sorte que Hollande renonce»
Arnaud Montebourg a expliqué ce jeudi matin que François Hollande s'honorerait à ne pas être candidat. Le député socialiste Malek Boutih va lui plus loin en expliquant qu'au PS «nous sommes nombreux à poursuivre le même objectif, avec détermination, avec sérieux: faire en sorte que François Hollande renonce».
TEFAL
Communiqué de l'intersyndicale CGT-SUD-SNU-FO-CNT, le 16 novembre 2016. Nous sommes consternés par ce jugement à l’encontre d’une inspectrice du travail qui est condamnée pour avoir fait son travail et dénoncé les pratiques de la multinationale visant à l’écarter de son poste avec le relais de sa hiérarchie. Nous nous insurgeons contre cette nouvelle condamnation d’un salarié lanceur d’alerte et ne pouvons que constater que la justice française, au-delà des discours convenus, ne protège pas ceux et celles qui risquent leur emploi pour dénoncer les pratiques délictueuses des entreprises.
LE FOLL
Le porte-parole du gouvernement ne cache pas que la victoire de la ligne ultralibérale et conservatrice de François Fillon à la primaire est une bonne nouvelle pour le PS. Et s’accroche à la candidature de Hollande.
Eternel fidèle de François Hollande, Stéphane Le Foll n’a aucun doute sur une candidature du Président en 2017. Après le score surprise de Fillon, il met en garde contre les pronostics et demande à Manuel Valls du «respect» pour la «fonction présidentielle».
FILLON
Le Monde, Les décodeurs - François Fillon repeint en rose les années Thatcher
François Fillon, héritier de Margaret Thatcher ? Le favori du deuxième tour de la primaire à droite lui-même ne rejette pas la comparaison avec la première ministre conservatrice, qui dirigea le gouvernement britannique de 1979 à 1990. « Je n’ai jamais de problème à être comparé à une personne qui a sauvé son pays », a-t-il répondu sur BFM-TV, mardi 22 novembre.
Marianne - Contre toute logique, Hollande voit dans la réussite de Fillon "une divine surprise"
La percée de François Fillon à la primaire de la droite inquiète-t-elle François Hollande ? A en croire son entourage, pas le moins du monde ! En privé, le Président qualifie même ce jeudi 24 novembre le succès du député de Paris de "divine surprise". Selon lui, une victoire du député de Paris le relancerait complètement pour 2017...
Le JDD - A gauche, Fillon est le meilleur ennemi possible
Ce ne sera pas Nicolas Sarkozy, et peut-être même pas Alain Juppé, pourtant longtemps favori. François Fillon a pris la pole position à droite. Une victoire du député de Paris pourrait ne pas être une mauvaise chose pour le Parti socialiste en vue de 2017.
JUPPE
En tirant à boulets rouges sur le programme "ultra-conservateur" de François Fillon, Alain Juppé et le PS font aussi le jeu du favori de la primaire.
PRIMAIRE DE LA GAUCHE
Europe 1 - Primaire du PS : il y aura bien 8.000 bureaux de vote, assure Christophe Borgel
Arnaud Montebourg s'inquiétait des conditions d'organisation de la primaire socialiste qui doit se tenir les 22 et 29 janvier.
Le député Christophe Borgel, président du Comité national d'organisation de la primaire (Cnop) du Parti Socialiste, a assuré mardi qu'il y aurait bien au moins 8.000 bureaux de vote, en réponse aux inquiétudes du candidat Arnaud Montebourg. "L'engagement de 8.000 bureaux de vote (pris par le conseil national du PS le 2 octobre, ndlr) sera tenu", a-t-il déclaré.
Le Figaro - Pendant ce temps, la primaire de la gauche est au point mort
Arnaud Montebourg a adressé un courrier à la haute autorité éthique du PS pour souligner les retards pris dans l'organisation de la primaire de gauche.Le succès des uns attise l'inquiétude des autres. Au Parti socialiste, on regarde avec angoisse la barre placée très haut par le franc succès de la primaire de la droite dimanche 20 novembre, et ses 4 millions de votants. À tel point que l'un des principaux participants de la primaire du PS, Arnaud Montebourg, a saisi lundi la haute autorité éthique du PS. L'ancien locataire de Bercy entendait faire part de ses «inquiétudes» concernant l'organisation de cette dernière, et lister les «conditions» de sa «réussite».
France 3 - Christian Paul déplore un "retard à l'allumage" pour la primaire du PS
Le chef de file des frondeurs Christian Paul a déploré ce vendredi 19 novembre un "retard à l'allumage" dans l'organisation de la primaire initiée par le PS, qui doit se dérouler les 22 et 29 janvier.
CAMBADELIS
Cambadélis : « Le PS va mieux qu’on ne le croit » – Interview dans les quotidiens du groupe EBRA
Ci-dessous, retrouvez l’interview de Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, au groupe EBRA, publiée le samedi 19 novembre 2016.
La droite a réussi sa campagne de la primaire, non ?
La primaire de la droite ne réglera pas la question stratégique qui oppose ceux qui veulent rassembler la droite et le centre et ceux, qui d’un autre côté, cherchent les voix de l’extrême droite. On voit bien que personne ne s’impose réellement et on ne sent pas dans le pays un désir de droite. Au contraire, je note un début d’inquiétude sur le contenu des programmes qui s’attaquent tous au modèle social français. La France n’a pas besoin d’une purge libérale, mais d’une échelle mobile sociale qui réduise les inégalités.
-
Arnaud Montebourg était l'invité de RTL jeudi 24 novembre
-
Le Monde, Les décodeurs - François Fillon repeint en rose les années Thatcher
François Fillon, héritier de Margaret Thatcher ? Le favori du deuxième tour de la primaire à droite lui-même ne rejette pas la comparaison avec la première ministre conservatrice, qui dirigea le gouvernement britannique de 1979 à 1990. « Je n’ai jamais de problème à être comparé à une personne qui a sauvé son pays », a-t-il répondu sur BFM-TV, mardi 22 novembre.
Invité d’Europe 1 mercredi, le Sarthois a été interrogé sur le bilan économique de Margaret Thatcher, présenté de manière assez peu flatteuse par les journalistes. « N’importe quoi », a répondu le candidat, assez remonté. A tort ou à raison ?
Lire la suite
____________________
____________________ -
Libé - Le labo des gauches gagne en expérience
La coalition entre PS, PC et «Bloc», qui dirige le pays depuis un an, est parvenue à sortir le pays de l’austérité. La dette publique de 130% du PIB inquiète, mais les premiers résultats sont prometteurs.
Dans un recoin oublié de cette Europe en proie aux plus inquiétantes convulsions, il est une nation où l’intégration des minorités est plutôt réussie, où les autorités mènent une campagne pour attirer davantage de réfugiés (ils pouvaient en accueillir 10 000, seuls 740 sont venus), où aucun leader populiste ne montre le bout de son nez. Et où l’extrême droite xénophobe est ultraminoritaire, au point de passer inaperçue ailleurs que dans les stades de football. Un pays de cocagne politique, le Portugal, malgré les sérieuses difficultés économiques d’une bonne partie de la population ? Un pays apaisé, en tout cas, sans stridences ni leaders messianiques. Et assurément, aux yeux d’une gauche aux abois dans la majeure partie de l’Union européenne, un eldorado : samedi, cela fera un an jour pour jour qu’une «majorité progressiste» gouverne le pays, sans à-coup, bénéficiant du satisfecit de l’essentiel de l’opinion
Lire la suite
____________________
____________________ -
Vers un retour aux valeurs conservatrices ? Caroline Mécary et Bérénice Levet débattent - L'invité de 8h20
Vers un retour aux valeurs conservatrices... par franceinter