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  • Le Grand rendez-vous avec Jean-Yves Le Drian


    Le Grand rendez-vous avec Jean-Yves Le Drian par Europe1fr

  • Matthieu Montalban - L’économie collaborative et la robotique : par-delà la science-fiction ?

    Le changement technique est source de transformations des rapports sociaux : Marx et Engels faisaient de la contradiction entre le développement des forces productives lié à la technique et les rapports de production existants la source des crises des modes de production. Mais une même technologie peut donner le meilleur et le pire selon les rapports sociaux dominants. Marx avait effectivement noté l’ambivalence de la technologie, qui peut autant accroître l’exploitation des travailleurs que leur offrir les conditions de leur émancipation. Marx et Schumpeter avaient bien compris que l’une des caractéristiques principales du capitalisme est un bouleversement permanent des conditions de production par l’utilisation systématique des technologies et de la science pour augmenter la productivité, une destruction créatrice permanente qui entraîne des cycles de longue période du produit par tête via la disparition douloureuse de secteurs, firmes et technologies obsolètes au profit de d’industries, d’organisations et de technologies nouvelles.

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  • Invitée : Aurélie Filippetti - Parlement hebdo (04/11/2016)


    Invitée : Aurélie Filippetti - Parlement hebdo... par publicsenat

  • France Culture : Les djihadistes ont-ils réussi à diviser les Français ? (2ème partie)

    ... Pour répondre à ces questions, Les Matins accueillent Gilles Kepel, directeur de la chaire Moyen-Orient-Méditerranée à l’Ecole normale supérieure et professeur à Sciences Po. Auteur de Terreur dans l’Hexagone. Genèse du djihad français paru l’année dernière chez Gallimard et il publie le 4 novembre La Fracture avec Gallimard et France Culture, un recueil des chroniques tenues dans Les Matins entre les étés 2015 et 2016.

    Pour écouter l'émission
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  • LCI - Pour Montebourg "on ne réforme pas la gauche en allant voter à la primaire de la droite"

  • L'actualité des socialistes du 28 octobre au 3 novembre

    A LA UNE : ALAIN TOURAINE

    Bibliobs - Alain Touraine, cet optimiste qui veut réconcilier Manuel Valls et Nuit debout

    Dans son dernier essai, le sociologue dénonce le gauchisme autant que le capitalisme rentier. Et rêve d'un projet moderniste.

    « Le Nouveau Siècle politique», le dernier livre d'Alain Touraine, est une analyse en forme de plaidoyer. Le sociologue appartient aux fondateurs de la sociologie française de l'après-guerre, issue d'un savant mélange d'excellence académique, d'immersion sur le terrain et de fréquentation de la sociologie américaine. A 91 ans, il rappelle que sa génération a toujours son mot à dire sur les évolutions contemporaines.

    LAURENT BOUVET

    Le Figaro - La gauche survivra-t-elle à François Hollande ?

    Avec 4% d'opinions favorables, François Hollande chute lourdement dans les sondages. Pour Laurent Bouvet, le président de la République a précipité dans l'abîme toute la gauche française de gouvernement.

    FIGAROVOX. - Avec 4% d'opinions favorables, le chef de l'État est en passe de redevenir «Monsieur 3%», comme en 2011. Au-delà du personnage de François Hollande, que dit ce chiffre sans précédent sur l'état de la gauche de gouvernement?

    Laurent BOUVET. - Le fait que François Hollande, président de la République, soit quasiment redescendu au score dans l'opinion qui était le sien avant qu'il devienne le favori pour la présidentielle en 2011 - c'est-à-dire avant la sortie de la course de Dominique Strauss-Kahn en mai à New York - est un symbole très fort de ce qu'il a fait de la responsabilité que lui ont confié les Français. Le sentiment de gâchis, à gauche, et sans doute au-delà, est terrible. Et évidemment, il a précipité avec lui dans l'abîme, même s'il n'en est assurément pas le seul responsable, toute la gauche de gouvernement française. Il a sans doute aussi achevé le PS tel qu'il était jusqu'ici et dont il a été le premier secrétaire pendant 11 ans.

    PAUL ALLIES

    Paul Alliès- Les limites des Primaires

    Le débat en cours sur et dans la Primaire de la Droite porte sur leurs limites politiques: doivent-elles aller jusqu'à l'électorat de gauche et de l'extrême-droite ? Ce faisant ce débat occulte un autre type de limite, celle sociale, de la population qui s'intéresse à elle et y participe.
     
    La polémique sur l'espace politique est assez vaine. Les Primaires ouvertes partent du principe qu'elles ne sauraient se fonder sur une discrimination idéologique quelconque. Tous les citoyens inscrits sur les listes électorales (et parfois quelques autres catégories) peuvent librement y participer. Les partis organisateurs ont trouvé une formule pour limiter les risques de leur instrumentalisation par leurs adversaires. C'est la déclaration de principe préalable au vote lui-même par laquelle l'électeur dit partager "les valeurs républicaines de la droite et du centre" ou se reconnaitre "dans les valeurs de la Gauche et des écologistes" (formulation officielle des deux Primaires de 2016).
     
    SONDAGE
     
     
    Selon notre sondage Kantar Sofres OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL, François Hollande est éliminé dans tous les cas de figure dès le premier tour de la présidentielle, systématiquement devancé par les candidats de la droite et du FN, mais aussi par Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Manuel Valls, quant à lui, ne fait pas mieux que le chef de l'État.
     
    RASSEMBLEMENT
     
     
    Valls, Le Foll ou encore Cambadélis ont appelé leur famille politique à ne pas se diviser. Le refrain pourrait s’entendre si l’exécutif n’était pas le premier responsable de cet éclatement de la gauche à quelques mois de la présidentielle.
     
    MARIANNE
     
     
    Il a vu partir sa sœur pour les terres de l’Etat islamique (EI) et, après deux années de silence, Amine Elbahi prend la parole pour dire cette colère que la République n’a pas su ou pas pu retenir. Bonne élève, elle s’ennuyait à la faculté de droit et a choisi la radicalisation. Pourquoi Marianne n’a-t-elle pas su ou pas pu la retenir? La panne de l’ascenseur social, les barrières à franchir quand on vient des «quartiers» et que l’on porte un nom qui dit que l’on n’est pas «gaulois», la volonté de dénoncer clairement ou subrepticement «eux» par rapport à «nous», comme le soulignent Karim Amellal et Béligh Nabli ? Tout cela y concourt. L’EI mène une offensive idéologique violente et les valeurs de la République se trouvent menacées. Amine Elbahi, 20 ans, va dans les écoles expliquer aux enfants et adolescents les raisons pour lesquelles il faut aujourd’hui se battre pour défendre la liberté, l’égalité et la fraternité, auxquelles Karim Amellal et Béligh Nabli proposent d’ajouter la laïcité comme valeur fondatrice
     
    REVENU DE BASE
     
     
    Un revenu versé à tous, sans condition ni contrepartie ? Longtemps cantonnée aux débats intellectuels, l'idée séduit désormais de plus en plus de partis politiques ou de mouvements citoyens en Europe. La plupart des partis Verts européens la défendent, en Espagne, elle figure sur la plateforme de Podemos. En avril 2015, en Finlande, la victoire du parti du Centre aux élections législatives a amené au pouvoir une formation dont le programme prévoit l'expérimentation d'un revenu de base. En revanche, en Suisse, l'initiative populaire qui a conduit à un référendum sur la question en juin 2016 s'est soldée par un rejet, à 76,9%, du revenu inconditionnel.
     
    PIKETTY
     
     
    Le fondateur de la Nouvelle Gauche a interpellé l’économiste sur son intention d’aller voter Alain Juppé à la primaire de la droite. Ce dernier lui répond et l’interroge sur les intentions de Mélenchon, que Hoang-Ngoc soutient.
     
    NATHALIE PERRIN-GILBERT
     
    Libé - Réinventer l’accueil dans les métropoles Par Nathalie Perrin-­Gilbert, Élue du 1er arrondissement de Lyon et conseillère de la Métropole de Lyon (Groupe Gram) et André Gachet, Élu du 1er arrondissement de Lyon et conseiller de la Métropole de Lyon (Groupe Gram)

    L’évolution du sans-abrisme conduit à décloisonner la réflexion, à Lyon, comme ailleurs.

    Comme toutes les métropoles, Lyon est confrontée à la présence de personnes sans abri. La grande ville attire, elle concentre des opportunités sur lesquelles se fondent des espoirs parfois démesurés. Mais lorsqu’elle ne se donne pas les moyens d’un véritable accueil, la métropole devient alors le lieu de toutes les errances.

    CNIL
     
     
    La CNIL a épinglé le Parti socialiste en raison de manquements graves à la protection des données personnelles, après avoir constaté que les mesures élémentaires de sécurité n'avaient pas été mises en oeuvre sur la plateforme gérant les primo-adhésions au parti. Une faille du système pouvait entraîner une fuite sur les coordonnées de plusieurs dizaines de milliers d'adhérents.
     
    USA
     
     
    « Les changements démographiques de portée historique et l'évolution des mentalités de la jeune génération (les millennials) sont en train d'esquisser une Amérique jeune, multicolore et progressiste. D'ici une génération, cette Amérique sera majoritaire.» Ce n'est pas vraiment l'image que l'on a de ce pays, mais il va falloir s'y habituer : les Etats-Unis sont en train de changer. On le comprend grâce à la remarquable analyse des évolutions de la société américaine que propose, dans un récit limpide et passionnant, le journaliste Christophe Deroubaix, auteur du livre L'Amérique qui vient (Les éditions de l'atelier, 2016).
  • Montebourg 2017

    6 novembre
     

    Arnaud Montebourg, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, a refusé samedi, « par délicatesse », de commenter le refus par les cadres du PCF d’un ralliement à Jean-Luc Mélenchon, et prôné à nouveau « l’union des gauches ».

    « Les partis politiques s’autodéterminent librement. Je n’ai pas à intervenir dans les choix des autres partis de gauche (...)
    Je peux dire en revanche ce que je fais, je construis l’union des gauches, c’est-à-dire la capacité à avoir une solution et une offre politique à vocation majoritaire qui nous permette de gouverner la France, et d’éviter que les électeurs de gauche se retrouvent dans la situation d’avoir à arbitrer les élégances entre la famille Le Pen et un des candidats de la droite. »

    L'Obs - Présidentielle : Montebourg rêve de libérer la France

    ... Montebourg ne veut pas dévier de sa ligne : "Je défends mon programme. Je construis une offre politique nouvelle, innovante et originale", pérore-t-il. Il ne veut pas être dans le commentaire de la vie politique, des péripéties des uns et des autres. La descente aux enfers de François Hollande pourrait l'empêcher de se présenter, l'ancien ministre du redressement productif ne sait pas qui il affrontera les 22 et 29 janvier prochain dans la primaire socialiste.

    Libé - Montebourg esquisse son libéralisme

    Le candidat socialiste à la primaire à gauche à tenté, ce samedi à Paris pour les «Etats généraux» de son «Projet France», de se positionner dans un «autre couloir» que celui de l'Economie et de l'Europe : celui de «l'innovation». Manière de chercher la position politique adéquate en attendant Hollande.

    Le Parisien - Présidentielle : et un obstacle de moins pour Montebourg !

    Arnaud Montebourg n'a pas bougé hier du premier rang de la salle Olympe-de-Gouges (Paris XIe), où se tenaient les états généraux de son Projet France. Imperturbable. « Je veux écouter, c'est intéressant. » Et ce, malgré une divine surprise qui bouscule la donne. Contre toute attente, les cadres du Parti communiste ont en effet refusé tout net hier d'apporter leur soutien à Jean-Luc Mélenchon ! Certes, les militants du PCF auront encore leur mot à dire à la fin du mois. Mais en attendant, le « robinet à 500 signatures » reste fermé pour le leadeur de la France insoumise, qui peine à trouver les 500 sésames nécessaires pour se présenter. Et la porte ouverte pour Montebourg qui a eu, pas plus tard que vendredi, une discussion « très amicale » avec le numéro un communiste Pierre Laurent.

  • OFCE - France : croissance malmenée

    28 octobre 2016

    par le Département Analyse et prévision

    Ce texte résume les perspectives 2016-2017 pour l’économie française. Cliquer ici pour consulter la version complète.

    La publication, le 28 octobre, d’une croissance de l’économie française de 0,2 % au troisième trimestre 2016 constitue un signal conjoncturel conforme à notre analyse de la conjoncture de l’économie française. Ce chiffre, proche de notre dernière prévision (+0,3% prévu au troisième trimestre), reste en ligne avec notre scénario de croissance à l’horizon 2018.

    En effet, après trois années de croissance très faible (0,5 % en moyenne sur la période 2012-14), un modeste rebond de l’activité s’est dessiné en France en 2015 (1,2 %), tiré par la baisse des prix du pétrole, la dépréciation de l’euro et une consolidation budgétaire moins forte que par le passé. Pour la première fois depuis 2011, l’économie française a renoué avec les créations d’emplois salariés dans le secteur marchand (98 000 sur l’ensemble de l’année), favorisées par les dispositifs fiscaux réduisant le coût du travail. Cumulées à une hausse des effectifs dans le secteur non-marchand (+ 49 000) et des créations d’emplois non-salariés (+56 000), le nombre de chômeurs au sens du BIT a diminué en 2015 (-63 000, soit -0,2 point de la population active). De son côté, dynamisé par le suramortissement fiscal sur les équipements industriels, l’investissement des entreprises a connu un redémarrage en 2015 (+3,9 % en glissement annuel). 

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  • Présidentielle : pour Michel Sapin, Valls sera « un candidat parfaitement naturel » si Hollande ne se présente pas


    Présidentielle : pour Michel Sapin, Valls sera... par franceinfo

  • Jean Gadrey - Trois graphiques sur les fonctionnaires « trop nombreux »

    Je n’ai pas suivi en direct la primaire de la droite, mais il paraît qu’ils se sont livrés à une compétition féroce pour savoir qui supprimerait le plus grand nombre de postes de fonctionnaires. Voici sur ce sujet trois graphiques portant sur des comparaisons internationales. Il semblerait en effet que notre pays batte des records de mauvais cholestérol public, le bon étant privé lucratif.

    Pour cette fois, à titre exceptionnel, je n’ai pas produit moi-même ces beaux graphiques. Je les ai piqués sans vergogne à Olivier Passet, « directeur des synthèses » à Xerfi Canal, une chaîne d’analyses économiques sur Internet où l’on trouve de très bonnes choses, qui nous changent de la pensée unique de François Lenglet et consorts. En passant, parmi les invités récents de Xerfi, on trouve l’amie Florence Jany-Catrice interrogée sur le PIB et les indicateurs alternatifs, et c’est fort intéressant.

    Sous le titre « Le grand mythe de la baisse massive du nombre de fonctionnaires », Olivier Passet a présenté le 14 octobre une vidéo de 4’30 dont je recommande le visionnage intégral. Y étaient projetés notamment les trois graphiques qui suivent. Les commentaires sont de moi, mais les idées sont bien celles d’origine. C’est du beau travail de décryptage. Seul petit inconvénient, lié au genre des vidéos courtes : la source des données n’est pas précisée. Mais tout porte à croire qu’il s’agit de l’OCDE.

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  • Le Monde - « L’islam et les femmes, entre fantasmes et réalités »

    Avec Houria Abdeloualeh, Chahla Chafiq, Asma Lamrabet et Inès Safi, un débat animé par Virginie Larousse, rédactrice en chef du Monde des Religions.