Retrouvez l'intervention de Jean-Christophe... par PartiSocialiste
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Retrouvez le replay de Bureau Politique du 29 octobre 2016 avec Arnaud Montebourg, candidat à la Présidentielle 2017
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Présentation du 6ème Cahier de la présidentielle - « Être français au XXIème siècle »
Présentation du 6ème Cahier de la... par PartiSocialisteRetrouvez le sixième Cahier de la Présidentielle « Être français au XXIème siècle » avec Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, Guillaume Bachelay, secrétaire national chargé de l’Animation, de l’Expression et de la Coordination des pôles, Alain Bergounioux, Directeur des études politiques et Président du comité de rédaction du cahier, Corinne Narassiguin, Porte-parole du Parti socialiste et Laurent Dutheil, secrétaire national chargé du pôle « Préparation de l’avenir ».
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Paul Alliès - Les limites des Primaires
Le débat en cours sur et dans la Primaire de la Droite porte sur leurs limites politiques: doivent-elles aller jusqu'à l'électorat de gauche et de l'extrême-droite ? Ce faisant ce débat occulte un autre type de limite, celle sociale, de la population qui s'intéresse à elle et y participe.
La polémique sur l'espace politique est assez vaine. Les Primaires ouvertes partent du principe qu'elles ne sauraient se fonder sur une discrimination idéologique quelconque. Tous les citoyens inscrits sur les listes électorales (et parfois quelques autres catégories) peuvent librement y participer. Les partis organisateurs ont trouvé une formule pour limiter les risques de leur instrumentalisation par leurs adversaires. C'est la déclaration de principe préalable au vote lui-même par laquelle l'électeur dit partager "les valeurs républicaines de la droite et du centre" ou se reconnaitre "dans les valeurs de la Gauche et des écologistes" (formulation officielle des deux Primaires de 2016). Le flou de ces formules n'est pas de nature à empêcher une participation tactique d'électeurs aux convictions opposées, à l'une ou l'autre Primaire. En l'occurrence, c'est bien la question posée à l'UMP dont les candidats attirent inégalement les électeurs de gauche décidés à intervenir dans l'élection présidentielle dès cet avant-premier tour qu'est la Primaire pour ne pas avoir à affronter un deuxième tour où ils n'auraient ni candidat ni libre-choix pour éliminer Marine Le Pen. En réalité les partis français ont toujours eu peur de cet élargissement de leur électorat. Ce fut le cas au PS en 2011 (et cela semble être devenu un dogme chez Jean-Luc Mélenchon). Or l'expérience déjà ancienne des pays étrangers, des Etats-Unis à l'Italie, démontre que la loi du grand nombre (plusieurs millions d'électeurs) l'emporte et limite de manière infinitésimale les effets perturbateurs de la participation du camp adverse. En réalité la vraie limite du champ des Primaires est sociale.
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L'actualité des socialistes du 21 au 27 octobre
A LA UNE : ANDRE GORZ
Télérama - “Sur le capitalisme et ses dégâts humains et écologiques, André Gorz était visionnaire”
Décroissance, écologie, travail… Le philosophe et journaliste André Gorz, cofondateur du “Nouvel Observateur”, a proposé avant l’heure des alternatives au capitalisme. Un visionnaire, pour l’historien Willy Gianinazzi, qui publie une biographie de ce penseur.
En 2006, sa Lettre à D. l’avait fait connaître du grand public. André Gorz, le journaliste, le philosophe, signait un des plus beaux textes d’amour de la littérature. Soixante-seize pages poignantes et lumineuses sur son amour pour Dorine, absolu, fusionnel, « en deçà et au-delà de la philosophie ». C’était au soir d’une vie multiple et fantastique : un an plus tard, André, 84 ans, et Dorine, 83, se donnaient la mort ensemble.
REVENU DE BASE
Altereco, Guillaume Duval - Faut-il mettre en place un revenu de base ?
En cet automne, la question d’un revenu de base (ou d’existence ou encore universel selon les préférences sémantiques) est au cœur du débat public. Le député socialiste des Yvelines Benoît Hamon en a fait la mesure phare de sa candidature à la primaire socialiste, tandis qu’en face Nathalie Kosciusko-Morizet a choisi d’en faire elle aussi un marqueur dans la primaire de la droite. Les sénateurs de droite Jean-Marie Vanlerenberghe (UDI) et de gauche Daniel Percheron (socialiste) viennent de leur côté de présenter un rapport sur le sujet. Plus concrètement encore, le département de la Gironde veut l’expérimenter en 2018, tandis que le Premier ministre Manuel Valls s’est lui aussi emparé de l’idée en septembre, suite à un rapport remis par Christophe Sirugue au printemps dernier. Et on ne compte plus les débats et écrits sur ce sujet tant dans la sphère citoyenne que chez les universitaires, comme par exemple la journée de travail que l’OFCE y a consacré le 13 octobre.
CHOMAGE
OFCE - Chômage : forte volatilité, faible baisse
Département Analyse et prévision (Equipe France)
Les chiffres du chômage du mois de septembre 2016, publiés par Pôle emploi, font apparaître une baisse spectaculaire du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) en catégorie A (-66 300 personnes en France métropolitaine). Cette forte baisse fait plus que compenser la hausse tout aussi spectaculaire du mois dernier (+50 200). Au total, sur trois mois, le recul du nombre de demandeurs d’emplois atteint 35 200, troisième baisse trimestrielle consécutive, ce qui n’avait plus été observé depuis le début de la crise au début de 2008. Le chiffre de septembre confirme ainsi le retournement progressif de la courbe des DEFM sur un horizon de temps plus long : depuis le début de l’année, les effectifs en catégorie A ont baissé de 90 000 personnes et de 59 500 sur un an. Si l’on ajoute aux inscrits en catégorie A ceux ayant réalisé une activité réduite au cours du mois (catégories B et C), la baisse mensuelle est moins prononcée (-38 000 personnes), probablement parce qu’une partie des inscrits sans aucune activité a changé de catégorie après avoir retrouvé une activité réduite.
HOLLANDE
Slate - 4% de satisfaits de François Hollande? Ce sondage est incomparable aux autres
Le président de la République n'atteint même pas la barre des 5% de satisfaits selon un dernier sondage. Un record historique? Pas vraiment.
4% de satisfaits. Le résultat de la dernière enquête Cevipof, réalisée par Ipsos et Sopra Steria pour Le Monde, a de quoi calmer les ardeurs d'un président de la République dont on ne sait toujours pas s'il se représentera en 2017. C'est le score le plus faible de la courte histoire de la collaboration entre le centre de recherches politiques de Sciences Po et le quotidien du soir. Jusque-là, François Hollande était tombé à 5% en juin et juillet 2016, mais il avait légèrement rebondi à 6% de satisfaits en septembre. Avant donc de replonger ce mois-ci.
VALLS
Libé - Manuel Valls, côté recours
Rester fidèle à une candidature de François Hollande ? Tout faire pour se présenter à la place du Président en difficulté au risque de se faire battre lui-même ? Plongée dans les tourments du Premier ministre, qui joue là son avenir politique.
MONTEBOURG
LCI - Arnaud Montebourg réactive le droit de vote des étrangers, promesse de François Hollande
ENGAGEMENT - Candidat à la primaire du Parti socialiste, Arnaud Montebourg a réaffirmé mercredi sa promesse d'instaurer le droit de vote des étrangers s'il était élu. Une promesse oubliée de la campagne de François Hollande en 2012.C'était une mesure symbolique du candidat Hollande en 2011. Plus précisément, son engagement numéro 50. Le droit de vote des étrangers extracommunautaires aux élections locales, promesse oubliée du quinquennat, sera celle d'Arnaud Montebourg si ce dernier remporte la primaire socialiste.
Mercredi soir, l'ancien ministre a confirmé son souhait de défendre cette mesure, lors des universités européennes de lutte contre le racisme et les discriminations organisées par la Maison des potes. Elle fera "partie de la réforme de la Constitution" souhaitée par le candidat.
NANTES
Revue Politique et Parlementaire, - Renouveau démocratique, l’expérience nantaise de « dialogue citoyen »
Année après année, chaque mois de janvier, le Cevipof nous livre son baromètre1 de la confiance.
Et année après année, chaque mois de janvier, les résultats du Cevipof montrent la solidité de la méfiance des Français vis-à-vis de la démocratie : « La défiance vis-à-vis du fonctionnement de la démocratie augmente nettement […] : en 2015, 67 % des personnes interrogées considèrent qu’elle ne fonctionne pas très bien ou pas bien du tout contre 49 % en 2009 (+18 points) ». La défiance est encore plus flagrante encore lorsqu’il s’agit d’évaluer le personnel politique : « L’opinion vis-à-vis des responsables politiques, si elle se situe déjà à un niveau très élevé en 2009, empire encore jusqu’en 2015 : 88 % d’opinions négatives contre 83 % (+5 points) »2.
NOTRE DAME DES LANDES
L'Express - Notre-Dame-des-Landes: ce que trahit le nouveau clash entre Valls et Royal
Le Premier ministre a estimé que la ministre de l'Ecologie, en s'opposant à la construction de l'aéroport, avait "affaibli l'autorité de l'Etat" ce mercredi, sur France inter. Une critique frontale sur fond d'élection présidentielle.
Entre Manuel Valls et Ségolène Royal, les désaccords sont publics et les accrochages nombreux. En témoigne l'épineux dossier de l'aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Le premier veut faire évacuer la zone occupée par les zadistes "à partir de cet automne" pour mieux débuter les travaux, tandis que la seconde ne croit pas dans le projet.
BUDGET
Europe 1 - Un budget 2017 étiqueté aile gauche du PS ?
Le vote des recettes du budget 2017, mardi à l'Assemblée, a ravivé les clivages qui minent le groupe socialiste.
Le dernier budget du quinquennat porte-t-il plus la marque de l'aile gauche que les précédents ? Les députés ont adopté mardi après-midi, en première lecture, le volet recette du dernier projet de loi de finances du mandat de François Hollande, par 285 voix contre 242. L'ambiance délétère qui a régné lors des débats a notamment permis à l’aile gauche du PS de faire passer, parfois avec le soutien des écologistes, des communistes et même de quelques voix de la droite, plusieurs amendements contre l’avis du gouvernement. Des "allures de fin de règne", allait jusqu’à titrer lundi Le Monde. De son côté, l’exécutif tempère : "Les votes qui sont intervenus, parfois contre l’avis du gouvernement, ne dégradent pas le solde et ne remettent pas en cause nos engagements", a déclaré mardi aux Echos le secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.
Le Monde - Un budget aux allures de fin de règne
Dans un climat de déliquescence de la majorité, le gouvernement a été mis en minorité à plusieurs reprises.
Il flotte une drôle d’ambiance autour de la discussion de ce dernier projet de loi de finances du quinquennat, dont la première partie (les recettes) doit être votée mardi 25 octobre à l’Assemblée nationale. La droite s’est efforcée de démontrer que le gouvernement actuel allait laisser à son successeur « quantité de factures impayées dans son armoire », comme l’a dénoncé le président (LR) de la commission des finances, Gilles Carrez. « La marque de fabrique de ce projet de budget pour 2017 : on gonfle les recettes à encaisser en 2017 et on reporte au maximum les dépenses sur 2018 et au-delà », a-t-il expliqué.CAMBA
Jean-Christophe Cambadélis : « Une primaire pour surmonter les désaccords »
Retrouvez ci-dessous l’interview de Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, à la Nouvelle République, parue le 22 octobre.
IDENTITE
Le Point - Le PS se positionne sur la question de l'identité
Jean-Christophe Cambadélis a présenté ce mardi le sixième Cahier de la présidentielle du PS, intitulé "Être français au XXIe siècle".
Ce mardi, le PS a avancé une série de propositions sur le thème de l'identité française. Son objectif : ne pas laisser la droite s'emparer seule de cette question « trop sérieuse » dans la campagne présidentielle. « Nous nous opposons frontalement avec la droite qui partage la même conception de la Nation que l'extrême droite », a fustigé le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, au siège du Parti socialiste à Paris, lors de la présentation du sixième Cahier de la présidentielle du PS, intitulé « Être français au XXIe siècle ».
CAROLINE FOUREST
Mon vrai désaccord avec Jean Baubérot
Jean Baubérot se défend de prôner une « laïcité ouverte ». Formidable, mais ce n’est pas mon propos… Je précise dans mon livre qu’il n’utilise plus cette expression depuis qu’elle est fortement critiquée.
Mon reproche est ailleurs. Il concerne sa vision relativiste de l’histoire de la laïcité (où toutes les interprétations de 1905 se valent), sa volonté de renégocier la Séparation, son militantisme obstiné pour importer les accommodements religieux » et le modèle canadien, son soutien aux sectes, son vocabulaire caricatural et inversé minimisant le danger du radicalisme religieux tout en parlant de danger « laïciste » et d' »intégrisme républicain ».
Une conception désarmante de la laïcité qui va jusqu’à la complaisance affichée envers les mouvements religieux radicaux, sexistes et homophobes, comme l’UOIF, qui l’invite presque chaque année à son Congrès.
Jean Baubérot se défend de placer la liberté religieuse avant l’égalité, mais tous ses travaux et ses prises de positions militent dans ce sens…
BOUALEM SANSAL
Le Soir - Boualem Sansal sur l’islamisme: «En Occident, vous êtes dans le déni»
Pour l’écrivain, les attentats sont le signe que l’islamisation se propage.
Il se dégage de Boualem Sansal une sérénité, une douceur même, qui contraste avec l’univers aride, sombre et dur du roman 2084. La fin du monde, Grand Prix du roman de l’Académie française en 2015. Cette œuvre, qui projette le lecteur en Abistan, empire entier régi uniquement par la loi de Yölah, révélée par son prophète Abi, où tout libre arbitre, toute pensée et tout doute se voient strictement interdits, vient d’être traduite en néerlandais.
LEGISLATIVES
Marianne - Terminer au moins devant Mélenchon en 2017 : le dernier objectif désespéré des élus PS
De nombreux élus PS, inquiets pour leur réélection, affirment qu'ils choisiront le candidat le plus à même de rassembler en 2017. Pas pour passer au second tour, juste pour limiter les dégâts aux législatives qui suivront en restant devant un Mélenchon ou un Macron.
Il n'y a pas de candidat naturel pour la présidentielle de 2017. A six mois du scrutin, ce constat dressé par un grand nombre de députés PS interpelle. Repartir avec Hollande, passer chez Valls, temporiser avec Royal ou renverser la table avec Montebourg ? Ceux qui ne font partie d'aucune écurie s'interrogent particulièrement. Plus que sur les orientations programmatiques, de nombreux responsables socialistes affirment aujourd'hui qu'ils feront leur choix en fonction des sondages. Faute de pouvoir s'appuyer sur un candidat susceptible de l'emporter, plusieurs élus affirment d'ores et déjà vouloir se ranger derrière l'homme qui leur assurera... la troisième place, pourtant synonyme d'élimination au premier tour
MACRON
Huffington Post - Les cadres socialistes de "En Marche!" vont-ils être exclus du PS?
Ce mercredi 26 octobre, Emmanuel Macron dévoilait l'organigramme de son mouvement dans lequel figurent plusieurs membres du PS.
Devant un parterre de journalistes venus nombreux au Pavillon Gabriel à Paris, Emmanuel Macron a présenté ce mercredi 26 octobre l'état-major de son mouvement "En Marche!". Un secrétaire général et neuf délégués issus du monde politique et économique parmi lesquels on retrouve trois élus socialistes: Richard Ferrand (député du Finistère), Stéphane Travert (député de la Manche) et Bariza Khiari (sénatrice de Paris).
PAUL MAGNETTE
Arnaud Montebourg - Hommage des Français à Paul Magnette
Voici la version longue de la tribune d’Arnaud Montebourg dans le Monde du 26 octobre 2016
La mondialisation, présentée comme irréversible, ne serait elle pas en train de rétrécir et de s’inverser ? Loin des prédictions des partisans de la mondialisation heureuse, il ne s’agit en rien d’un repli sur soi, mais du mouvement irrésistible des origines, et du retour de l’histoire et de la géographie. Voilà pourquoi il parait anachronique de signer ou ratifier les traités TAFTA et CETA de libre-échange avec les Etats-Unis et le Canada et de supprimer comme l’envisage, encore en toute discrétion, la Commission Européenne les dernières protections commerciales vis à vis de la Chine.
La dernière décennie consacra le triomphe des marques : dans le moteur lancé de la division internationale du travail, on trouve les délocalisations, comme outil d’optimisation des marges des entreprises, la montée du low-cost comme outil d’exploitation des travailleurs au nord comme au sud, la financiarisation des entreprises, comme outil de domination de l’économie réelle, et la sacralisation du consommateur, comme objet de la toute puissance acquise du marketing. Pour réussir ce cycle de transformation culturelle de l’économie mondialisée derrière les marques, il convenait d’obtenir l’assentiment et une certaine complicité passive du consommateur.
La Tribune - Ceta : la Wallonie, mauvaise conscience de l'UE
La région wallonne n'a pas cédé et rejette toujours le traité de commerce euro-canadien. Un refus qui place l'UE devant ses contradictions et ses limites.
Haro sur la Wallonie ! Jusqu'ici, la très discrète entité fédérale belge n'intéressait à peu près personne en dehors des frontières du Royaume des Belges. Mais depuis que son parlement a refusé d'accorder au gouvernement fédéral belge le droit de signer le traité de commerce entre l'Union européenne et le Canada (Ceta), elle est devenue « l'ennemie public numéro un » des dirigeants européens. Ce lundi 24 octobre, l'ancien premier ministre belge Elio di Rupio, lui-même ancien ministre-président de Wallonie, a dénoncé les « pressions invraisemblables » sur l'actuel chef du gouvernement wallon, Paul Magnette.
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Le Figaro - 2017 : les Français ne veulent ni de Hollande ni de Valls
Selon notre sondage Kantar Sofres OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL, François Hollande est éliminé dans tous les cas de figure dès le premier tour de la présidentielle, systématiquement devancé par les candidats de la droite et du FN, mais aussi par Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Manuel Valls, quant à lui, ne fait pas mieux que le chef de l'État.
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Questions d'éco: "Je ne voterai pas le Ceta", Benoît Hamon