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Montebourg 2017

6 novembre
 

Arnaud Montebourg, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, a refusé samedi, « par délicatesse », de commenter le refus par les cadres du PCF d’un ralliement à Jean-Luc Mélenchon, et prôné à nouveau « l’union des gauches ».

« Les partis politiques s’autodéterminent librement. Je n’ai pas à intervenir dans les choix des autres partis de gauche (...)
Je peux dire en revanche ce que je fais, je construis l’union des gauches, c’est-à-dire la capacité à avoir une solution et une offre politique à vocation majoritaire qui nous permette de gouverner la France, et d’éviter que les électeurs de gauche se retrouvent dans la situation d’avoir à arbitrer les élégances entre la famille Le Pen et un des candidats de la droite. »

L'Obs - Présidentielle : Montebourg rêve de libérer la France

... Montebourg ne veut pas dévier de sa ligne : "Je défends mon programme. Je construis une offre politique nouvelle, innovante et originale", pérore-t-il. Il ne veut pas être dans le commentaire de la vie politique, des péripéties des uns et des autres. La descente aux enfers de François Hollande pourrait l'empêcher de se présenter, l'ancien ministre du redressement productif ne sait pas qui il affrontera les 22 et 29 janvier prochain dans la primaire socialiste.

Libé - Montebourg esquisse son libéralisme

Le candidat socialiste à la primaire à gauche à tenté, ce samedi à Paris pour les «Etats généraux» de son «Projet France», de se positionner dans un «autre couloir» que celui de l'Economie et de l'Europe : celui de «l'innovation». Manière de chercher la position politique adéquate en attendant Hollande.

Le Parisien - Présidentielle : et un obstacle de moins pour Montebourg !

Arnaud Montebourg n'a pas bougé hier du premier rang de la salle Olympe-de-Gouges (Paris XIe), où se tenaient les états généraux de son Projet France. Imperturbable. « Je veux écouter, c'est intéressant. » Et ce, malgré une divine surprise qui bouscule la donne. Contre toute attente, les cadres du Parti communiste ont en effet refusé tout net hier d'apporter leur soutien à Jean-Luc Mélenchon ! Certes, les militants du PCF auront encore leur mot à dire à la fin du mois. Mais en attendant, le « robinet à 500 signatures » reste fermé pour le leadeur de la France insoumise, qui peine à trouver les 500 sésames nécessaires pour se présenter. Et la porte ouverte pour Montebourg qui a eu, pas plus tard que vendredi, une discussion « très amicale » avec le numéro un communiste Pierre Laurent.

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