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  • Revue de pressse du 6 au 12 novembre

    Alternatives Economiques - A quoi servent les économistes ? Christian Chavagneux

    Les économistes sont sans nul doute utiles au débat démocratique. Pourtant leurs méthodes de travail font l’objet ces dernières années de nombreuses critiques.

    « J’ai observé plus de trois décennies de régression intellectuelle. » Lorsque l’économiste américain Paul Romer propose en 2016 un bilan de la science économique contemporaine, il n’y va pas de main morte ! La critique est d’autant plus forte qu’elle provient d’un membre à part entière des élites dominantes américaines, alors économiste en chef de la Banque mondiale et futur prix de la Banque de Suède en économie en 2018 1.

    Et Romer est loin d’être le seul à exprimer ce constat. Alors que les économistes exercent une influence majeure sur la vie sociale par leur forte présence dans les médias et auprès des gouvernants qu’ils conseillent, leurs méthodes de travail ont fait l’objet ces dernières années d’une pluie de…
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    Paul Alliès - Le spectre des Primaires

    Jean-Luc Mélenchon a annoncé ce dimanche 8 novembre en 7 minutes sur TF1, sa candidature à la prochaine élection présidentielle. Il y a mis une condition : réunir 150.000 parrainages, expression d’une « investiture populaire ».

    C’est ce codicille qui a constitué la seule surprise, aussitôt largement commenté. Il soulève deux questions, celle de la nature procédurale de l’opération et celle de sa portée politique.

    - La procédure de récolte des « parrainages » d’abord. Le chiffre de 150.000 « personnes » a de quoi interroger à plus d’un titre.

    Il est singulièrement bas : 2,12% des électeurs Mélenchon de 2017 ; 33% des adhérents (revendiqués) de la France Insoumise ; 7% des « followers » abonnés au compte Mélenchon sur Twiter ; 13% des signataires en faveur de la privatisation d’AdP en mars 2020 ; 0,32% du corps électoral.

    La qualité de simple « personne » requise pour être parrain aggrave les interrogations. Ce terme, privé de sens en droit électoral, signifie qu’il n’est pas besoin d’être « citoyen » et encore moins, « électeur » inscrit sur une liste. Il suffit de posséder une adresse électronique, sans vérification quelconque de l’identité des « parrains ».
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    Non Fiction - Entretien avec l'économiste David Cayla

    Pour réformer le néolibéralisme, il faut repenser l'économie et la débarrasser de la croyance en l'efficacité des marchés.

    David Cayla, maître de conférences en économie à l’université d’Angers et membre des Economistes atterrés, s’était fait remarquer avec son ouvrage précédent, L’économie du Réel (De Boeck Supérieur, 2018), où il examinait en détail la question de l’efficacité des marchés. Il y revient cette fois en partant des liens entre Populisme et néolibéralisme (De Boeck Supérieur, 2020) pour interroger la manière dont il conviendrait de reformer le second pour éloigner, ou sinon civiliser, le premier. Il a aimablement accepté de répondre à quelques questions pour présenter son livre pour nos lecteurs.
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    Observatoire des inégalités - Ouvriers et employés : un travail sous contrôle

    Données 10 novembre 2020

    Travail à la chaîne, tâches répétitives, contrôle hiérarchique permanent : ces contraintes sur le rythme de travail s’exercent de façon très inégale selon les catégories socioprofessionnelles. Ouvriers et employés ont peu d’autonomie dans le travail.

    Le travail à la chaîne, les contraintes automatiques et une surveillance hiérarchique régulière décrivent un contrôle strict du rythme du travail. Si la plupart des cadres supérieurs subissent peu ou pas ces contraintes, une part importante des ouvriers et des employés déclarent y être soumis.
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    À propos de : Alex Alber, Joël Cabalion, Valérie Cohen, Un impossible travail de déradicalisation, Erès

    Les centres de « déradicalisation », ouvert à grand bruit en 2016, ont rapidement capoté. Un livre revient sur les impasses de cette ambition qui prétendait remplacer le fanatisme religieux par la discipline militaire.

    En juillet 2016, le tout premier centre de « déradicalisation » français ouvre ses portes à Beaumont-en-Véron, en Indre-et-Loire. Baptisé « centre de prévention, d’insertion et de citoyenneté » (CPIC), l’établissement est brandi par l’exécutif comme le symbole de son action déterminée en matière de lutte contre le djihadisme. Objet d’une intense couverture médiatique, le centre, conçu comme une expérimentation pilote, a vocation à constituer le premier maillon d’une quinzaine de structures réparties sur l’ensemble du territoire national. Pourtant, un an à peine après son ouverture, le projet est définitivement abandonné. Il a, durant ce laps de temps, concentré de sévères critiques en provenance des champs politique et médiatique au point de devenir l’éclatante illustration de l’échec gouvernemental en matière de « déradicalisation ».
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    Lyon Capitale - Time For The Planet : le projet lyonnais ultra ambitieux pour répondre à l’urgence climatique

    Une équipe composée de plusieurs entrepreneurs, Lyonnais pour la plupart, s’est réunie autour du projet Time for the Planet afin de répondre à l’urgence climatique. Un appel à innovations sera lancé le 2 décembre prochain.

    Réunir un milliard d’euros afin de créer cent entreprises, réparties dans le monde entier, dédiées à la lutte contre le dérèglement climatique, par le biais d’investissements participatifs sans le moindre retour financier. À première vue, un projet certes plein de bon sens mais complètement fou, en décalage total avec la réalité du monde économique actuel.

    Un projet qui existe pourtant bel et bien, lancé il y a un peu moins d’un an et qui suscite un bel engouement depuis sa création car en phase avec l’un des enjeux cruciaux, si ce n’est le principal, des prochaines décennies. Un projet hors du commun, qui a vu le jour à Lyon.
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    Le Figaro - Présidentielle : Olivier Faure déplore l'«ambition égoïste» de Jean-Luc Mélenchon

    Le premier secrétaire du Parti socialiste estime que la candidature du chef des Insoumis, annoncé dimanche soir, «menace le rassemblement possible» de la gauche en 2022.

    Le rassemblement de la gauche est, une nouvelle fois, mal engagé pour la prochaine présidentielle. L'annonce de la candidature de Jean-Luc Mélenchon pour 2022 dimanche 8 novembre a suscité des critiques chez les autres forces de gauche. Lundi matin sur LCI, Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti socialiste, qui prône depuis l'été dernier pour un «candidat commun» à gauche, s'est monté agacé.
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    Le Figaro - Présidentielle 2022: Vallaud (PS) plaide en faveur d’une large union de la gauche

    VIDÉO - Boris Vallaud, député PS des Landes, était l’invité du «Talk-Le Figaro» ce lundi.

    «Le Suspens n’était pas tout à fait insoutenable», a réagi Boris Vallaud lundi sur le plateau du «Talk-Le Figaro», au lendemain de l’annonce «attendue » de candidature de Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, qui était semble-t-il «suggérée par beaucoup d’indiscrétions». Conditionner sa candidature à une investiture populaire de 150.000 personnes plutôt qu’à 500 signatures de maires, permet surtout au leader Insoumis d’avoir une «assise populaire» pour «se lancer» estime le député PS des Landes qui, se gardant bien de toute appréciation définitive, a martelé que sa seule certitude dans la perspective de 2022, «c’est la nécessité d’une large union de la gauche en alternative crédible à Emmanuel Macron et Marine Le Pen». Le socialiste juge que «la discussion peut s’engager avec tout le monde», l’essentiel étant «de parler du fond des choses» sur des sujets très concrets «qui engagent la vie des gens».
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    OFCE - Europe / Etats-Unis : comment les politiques budgétaires ont –elles soutenu les revenus ?

    La forte chute de l’activité et ses conséquences sociales brutales ont conduit les gouvernements et les banques centrales à prendre des mesures ambitieuses de soutien afin d’amortir le choc qui s’est traduit par une récession mondiale inédite au premier semestre 2020, analysée dans le Policy Brief n° 78. Face à une crise sanitaire sans précédent dans l’histoire contemporaine, ayant nécessité des arrêts d’activité forcés pour freiner la propagation du virus, les gouvernements ont mis en place des mesures urgentes de soutien afin d’éviter l’enclenchement d’une crise incontrôlée susceptible d’altérer durablement la trajectoire économique[1]. Trois grands types de mesures ont été prises : certaines visent à maintenir le pouvoir d’achat des ménages malgré les arrêts d’activité ; d’autres à l’intention des entreprises tentent de préserver l’outil de production et enfin des mesures spécifiques au secteur de la santé. Les comptes nationaux trimestriels, disponibles à la fin du premier semestre, permettent de connaître à quel point le revenu disponible des agents privés a été préservé par la politique budgétaire à ce stade de la crise de la covid-19[2].
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    La Fondation Jean Jaurès - Repenser nos sociétés à l’aune des ODD : gouvernance et développement durable

    Alors que l’épidémie due au coronavirus questionne notre modèle économique et sociétal, cette crise et ces épreuves doivent être l’occasion de transformer notre société pour préserver notre humanité et rétablir l’équilibre de notre planète. Pour y parvenir, l’Agenda 2030 est un outil à exploiter, par la concertation et par une prise de conscience collective. C’est ce que proposent Jennifer De Temmerman et Alain Dubois en s’appuyant sur les expertises d’une vingtaine de personnalités ; celles-ci sont à retrouver dans quatre rapports dont le premier, présenté ici, porte sur les enjeux de gouvernance et développement durable.

    ODD : Objectifs de Développement Durable
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    Non Fiction - Mythes et réalités de la transition démocratique en Espagne

    L'Espagne, le Portugal et le Chili ont connu trois expériences particulières de transition vers la démocratie dans les années 1970 dont il convient d'analyser les succès et échecs.

    Sophie Baby* revient ici sur les transitions démocratiques en Espagne et au Portugal. Dans le cas espagnol, la transition démocratique a longtemps été présentée comme un modèle à suivre. Pour autant, sans en faire une période apocalyptique, il convient de nuancer cette image puisque la période voit se superposer une culture du consensus à une culture du conflit. Si en 1982, la victoire du PSOE témoigne d’institutions démocratiques désormais bien ancrées, les sept années écoulées ne doivent plus être vues comme un processus linéaire conduisant inéluctablement à cette ultime étape. Ce thème est étudié en Première dans le cadre de l’Axe 2 du Thème 1 : « Avancées et reculs des démocraties »
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  • Jean Jaurès en « Rhône-Alpes ». Présence et mémoires

    Cet entretien nous fait découvrir l’ouvrage "Jean Jaurès en 'Rhône-Alpes'. Présence et mémoires" (Arbre bleu éditions), qui étudie l’ensemble des déplacements de Jaurès dans la région Rhône-Alpes de 1893 à 1914 : soutien aux grèves ou à l’école laïque, affaire Dreyfus, campagnes électorales, congrès socialistes jusqu’à l’ultime voyage de juillet 1914 marqué par son fameux discours de Vaise contre le risque de guerre imminente. Le livre étudie la réunion publique comme un fait historique global : prise de décision, voyage, accueil, banquet, déroulement et conséquences… C’est toute une sociabilité militante, politique et sociale, qui apparaît ainsi du Forez aux Alpes, de la Bresse à la Drôme. Nous voyons vivre concrètement socialistes et syndicalistes, ouvriers, enseignants et militants de la région dans leur rencontre avec Jaurès. Le livre étudie aussi les différentes formes de la réalité mémorielle après sa mort, l’utilisation de son image et de son nom pour des politiques symboliques : dénominations de rues, d’écoles, monuments, commémorations… Loin de se conclure en 1914, l’histoire jaurésienne en Rhône-Alpes se poursuit jusqu’à notre XXIe siècle. En conclusion, en lien avec l’actualité dramatique de ce mois d’octobre 2020, Catherine Moulin, qui enseigne l’histoire et la géographie au lycée Édouard Branly de Lyon, revient sur l’assassinat de Samuel Paty, et sur le choix des mots de Jaurès pour lui rendre hommage. L’entretien est conduit par l’historien Benoît Kermoal.

  • Fondation Jean Jaurès - Dénutrition : la maladie invisible de la Covid, Jérôme Guedj

    À l’occasion de la première semaine nationale de la dénutrition du 12 au 19 novembre 2020, le Collectif de lutte contre la dénutrition a souhaité mesurer, à travers une enquête conduite en partenariat avec la Fondation Jean-Jaurès et l’Ifop, la perception par les Français des enjeux de la dénutrition, maladie trop méconnue. Jérôme Guedj, directeur de l’Observatoire des politiques sociales de la Fondation, en livre les résultats dans le contexte de la Covid-19 et analyse les enjeux que pose cette maladie au système de santé et plus largement à l’ensemble de la société.

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  • Reporterre - Rénovation énergétique : une décennie de perdue

    ENQUÊTE 1/4 ­— Le secteur du bâtiment est un très gros émetteur de gaz à effet de serre, essentiellement du fait des besoins de chauffage des logements. Le Grenelle de l’environnement, en 2008, avait pris la mesure de l’indispensable isolation thermique des habitations, sans se donner les moyens de ses ambitions. Les politiques qui ont suivi n’ont pas mieux fait.

    En 2008, le Grenelle de l’environnement fixait un objectif inédit et ambitieux : réduire de 38 % les émissions de gaz à effet de serre liées au bâtiment d’ici 2020. Douze ans plus tard, force est de constater son échec : non seulement le secteur compte pour plus d’un quart de nos émissions — et 44 % de notre consommation énergétique — mais les émissions du secteur ne montrent aucun signe d’affaiblissement. Elles étaient supérieures de 22 % en 2017 au budget fixé dans la première Stratégie nationale bas carbone (SNBC).

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  • Université de Montréal : Capital et idéologie, Thomas Piketty en direct le 19 novembre à 16h

    L'économiste exposera les idées qui sont au cœur de son dernier ouvrage, Capital et idéologie, au cours d'une conférence animée par Valérie Amiraux, vice-rectrice aux partenariats communautaires et internationaux, et modérée par Frédéric Mérand,

  • Le Monde - Les contre-vérités de « Hold-up », documentaire à succès qui prétend dévoiler la face cachée de l’épidémie

    Ce film diffusé en ligne promet de raconter l’histoire secrète de l’épidémie. En réalité, il s’affranchit des faits à de multiples reprises.

    Le Covid-19 ne serait guère plus qu’une « grippette », les mesures sanitaires prises depuis le printemps n’auraient aucun sens et les citoyens du monde entier se seraient fait berner par une élite corrompue. Voilà, à gros traits, ce que prétend dévoiler le documentaire Hold-up, retour sur un chaos (disponible en version payante en ligne depuis mercredi 11 novembre), réalisé par Pierre Barnérias. Très attendu, il a recueilli plusieurs centaines de milliers d’euros de financement participatif, sa bande-annonce a déjà été vue plus de 400 000 fois sur YouTube et il est très largement partagé sur les réseaux sociaux. Vendredi matin, le film a été retiré de la plateforme Vimeo.

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  • Journées de l'Econolie 2020 : Pandémies, climat, biodiversité, urbanisation, inégalités : la somme de toutes les crises Jéco 2020

  • Le Vent se lève - David Djaiz : « La guerre civile n’aura pas lieu »

    David Djaiz est essayiste et haut fonctionnaire. En 2017, il publiait La guerre civile n’aura pas lieu, ouvrage qui portait sur la montée des discours de guerre civile liés à l’islamisme. À la suite des dernières attaques et de la décapitation de Samuel Paty, et en cet anniversaire des attentats du Bataclan, nous avons voulu l’interroger sur l’actualité de ce phénomène et sur les douloureux débats qui traversent la société française.

    LVSL – La France sort de plusieurs semaines d’intenses débats sur l’islam, les caricatures et la laïcité. La séquence semble comparable à celle de Charlie Hebdo en 2015. À l’époque, contre les thuriféraires de l’affrontement, vous aviez publié La guerre civile n’aura pas lieu. La situation a-t-elle changé ?

    ..... Il y a eu très peu d’actes antimusulmans en rétorsion. En 2019, par exemple, on a recensé 154 faits à caractère antimusulman. Un chiffre préoccupant, mais qu’il faut rapprocher des 1 052 faits à caractère antichrétien et des 687 faits à caractère antisémite. Des associations militantes et des entrepreneurs politiques surfent sur une prétendue islamophobie montante de la société française et contribuent à alimenter un climat anxiogène. La réalité c’est que ces actes se maintiennent à un niveau relativement bas et que nos compatriotes de confession musulmane continuent à vivre paisiblement en France.

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  • Telos - Le sens de la laïcité en France en 2020, Dominique Schnapper

    Les Français ont le génie de transformer en débat idéologique une question de politique publique. La présence d’une forte population musulmane et l’expansion d’un islam politique dans le monde posent de nouveaux défis à des sociétés démocratiques fragiles. Dans le cas de la France (où se trouvent les plus nombreuses populations musulmanes d’Europe, voisinant avec la plus forte communauté juive), on peut – et on doit même – s’interroger sur les modalités de leur participation à la vie collective, comme on l’a fait dans le passé s’agissant d’autres vagues migratoires. Comment les faire participer aux pratiques qui organisent la vie commune des démocraties et, en particulier, comment leur faire respecter deux des principes fondamentaux de la tradition de la démocratie européenne, la séparation du politique et du religieux et l’égalité des droits entre les femmes et les hommes ?

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  • Charlie Hebdo - Samuel Paty : les intellectuels le tuent une deuxième fois

    C'est le retour de l’huile sur le feu, mais en version huile sainte. Sans surprise, au lendemain de l’attentat de Nice, un certain nombre de dignitaires catholiques se sont engouffrés dans la brèche que leur ouvre le terrorisme islamiste pour signifier que les caricatures blasphématrices, ça avait assez duré, et que cette gueuse de République laïcarde n’a que ce qu’elle mérite. Il aurait été dommage de passer à côté d’une telle aubaine. Mgr Le Gall, archevêque de Toulouse : « On ne se moque pas impunément des religions […] on voit les résultats que cela donne. » Mgr Legrez, archevêque d’Albi : « Jamais la liberté d’expression ne devrait faire fi du respect dû aux convictions d’autrui. » Mgr Cattenoz, archevêque d’Avignon : « Le blasphème est-il vraiment un droit en démocratie ? […] je réponds non à cette question. » Mgr Marceau, évêque de Nice : « Il y a des identités qu’on ne peut pas trop bafouer à la légère. » Mais bien-entendu-vous-pensez-bien-loin-de-moi-de-justifier-ces-actes-barbares…

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