Actualités socialistes - Page 1548
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Bruno Le Roux: L'invité de Ruth Elkrief - 13/11
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Jean-Pierre Mignard : " Il faut réhabiliter la vertu" par France Inter
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France Culture, Les matins - Affaire Fillon-Jouyet : quel espoir pour une politique responsable ? par France Culture
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Axelle Lemaire dévoile les métropoles labellisées « French Tech » par France Info
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Jean-Michel Naulot : "Une nouvelle crise financière nous pend au nez" par France Info
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Terra Nova - Quelles politiques pour la France périurbaine (I) ? Note Par Pierre Musseau.
Entre le périurbain caricaturé sous l'image de « villes-dortoirs », favorisant les pollutions associées à ce mode de vie et un vote de rejet des populations vivant dans ces territoires, et le périurbain décrit comme la preuve du mépris des élites à l'égard des classes populaires y résidant, la nuance a semblé manquer dans certaines tournures prises par le débat public. L'étude de Terra Nova, par Pierre Musseau, entend contribuer aux discussions en cours.
Les territoires périurbains restent des espaces largement impensés. Aucune définition ne peut complètement les cerner. Ce qui n’empêche pas les antagonismes de s’aiguiser à leur sujet.
Pour les uns, le périurbain représente un échec des politiques d’urbanisme qui n’ont pas réussi à contenir l’étalement des villes. Il constituerait, du même coup, un péril pour l’environnement car il est à l’origine d’une artificialisation accrue des sols et conduit, avec l’extension toujours plus grande des aires urbaines, à une augmentation des déplacements automobiles, des coûts et des pollutions associées. Il interroge enfin le vivre ensemble car les populations de ces territoires, souvent qualifiés de « villes-dortoirs », sont soupçonnées de privilégier des comportements électoraux de « rejet » et deviennent un horizon de conquête pour le Front National.Lire la suite
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Bernard Cazeneuve se défend d'avoir donné des consignes de fermeté contre les manifestants à Sivens
Bernard Cazeneuve se défend d'avoir donné des... par lemondefr -
Aurélie Filippetti sur Jean-Pierre Jouyet
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Le triste retour de la vraie courbe de Phillips, Gilles Raveaud, Alternatives Economiques n° 338 - septembre 2014
L'économiste et statisticien néo-zélandais Alban W. Phillips mit à jour en 1958 une relation décisive en étudiant le chômage et les salaires au Royaume-Uni sur près d'un siècle (1861-1957) : lorsque le chômage augmente, les salaires baissent. La "courbe de Phillips" était née.
Mais cette courbe a rapidement été corrompue par Paul Samuelson et Robert Solow. Dès 1960, ils remplacent les salaires par les prix et affirment qu'il serait possible de faire baisser le chômage en augmentant l'inflation. Cette étonnante proposition devait logiquement être réfutée durant les années 1970 et conduire à l'abandon de la courbe de Phillips-Solow-Samuelson.
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OFCE - A propos du marché du travail américain, Henri Sterdyniak
Une lecture de : The causes of structural unemployment, Thomas Janoski, David Luke et Christopher Oliver, Polity Press, Cambridge, RU et Malen, EU, 2014.
L’ouvrage, écrit par trois sociologues américains, analyse la montée du chômage structurel aux Etats-Unis, en cherche les causes et propose des mesures de politiques économiques pour le réduire. Pour le lecteur français, cet ouvrage présente deux intérêts majeurs : il montre que les problèmes du marché du travail américain sont très proches de ceux du marché du travail français ; et, bizarrement, il traite du cas américain sans s’intéresser, sauf de façon marginale, à la situation des pays européens et aux analyses qu’ont pu produire les chercheurs de notre continent.
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La Vie des Idées - Une France contre l’autre ?
Pour Ch. Guilluy, il y a deux France : la France des métropoles, où les opportunités sont grandes, et la France périphérique des villages, où les populations ont le sentiment d’être ignorées et délaissées par les politiques publiques. L’opposition a fait couler beaucoup d’encre. Elle est très largement discutable, sans doute plus idéologique que scientifique.
Recensé : Christophe Guilluy, La France périphérique. Comment on a sacrifié les classes populaires, Paris, Flammarion, 2014, 192 p., 18 €. On trouvera toutes les notes et références de ce compte rendu dans le PDF joint.L’ouvrage de Christophe Guilluy, La France Périphérique, a rencontré un important écho médiatique . Avant même la parution du livre, Marianne lui consacrait sa une en titrant « Les vraies fractures françaises » . Quelques jours plus tard, Libération lui consacrait quatre pages et le plus gros titre de sa une avec « Classes populaires. Le livre qui accuse la gauche ». L’éditorial de Laurent Joffrin s’ouvrait par ses mots « Voilà un livre que toute la gauche doit lire d’urgence » . Il faut dire que Christophe Guilluy n’en était pas à son coup d’essai. Déjà, en 2010, il avait marqué les esprits avec Fractures françaises, ouvrage qui avait fait beaucoup parlé de lui au moment de la campagne pour l’élection présidentielle de 2012. Entre autres choses, cet ouvrage aurait été consulté par des conseillers de François Hollande et avait valu à son auteur d’échanger par deux fois avec Nicolas Sarkozy .
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