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Actualités socialistes - Page 1310

  • Non Fiction - Les socialistes et l'économie

    Résumé : Les socialistes à la recherche d'un programme économique.

    Le livre aurait pu s’appeler « De Léon Blum à François Mitterrand, quel programme économique ? ». Car c’est bien de cela qu’il traite, analysant les évolutions parfois tortueuses à travers lesquelles, près de quatre décennies durant, le Parti socialiste (ou la SFIO , avant lui) a cherché son chemin sur un terrain qui lui était en partie étranger. Car, faute de peser d’un poids suffisant pour accéder seul au pouvoir, il lui fallait trouver des alliés. Mais quels alliés ? Sur sa gauche, en  composant avec un Parti communiste puissant pour lequel le maître mot est « nationalisations » ? Ou sur sa droite, pour laquelle le maître mot est « marché » ? Tout le problème est donc de trouver, ou d’inventer, une voie médiane sur le terrain économique. Mais, déchirés entre ces deux pôles, en quelque sorte coincés entre Charybde et Scylla, les socialistes ont du mal à trouver des réponses économiques convaincantes, qui puissent les unir, et non les déchirer. Ce tâtonnement, ces hésitations, ces louvoiements nous sont racontés dans ce livre, issu d’une thèse d’histoire et nourri d’un dépouillement attentif des publications et des archives du PS, mais aussi de certains de ses dirigeants et de nombreux entretiens de témoins. Travail considérable, remarquable, et surtout éclairant sur la façon dont les prises de position économique d’un parti sont en quelque sorte surdéterminées par les alliances politiques conclues ou espérées, et sur les difficultés de trouver une voie médiane entre dirigisme et libéralisme d’une part, entre social et économique d’autre part.

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  • « Pas d’alternative : droit d’asile, ou barbarie »

    Nous citoyens des pays membres de l’Union Européenne, de la zone Schengen, des Balkans et de la Méditerranée, du Moyen-Orient ainsi que d’autres régions du monde qui partagent nos préoccupations, lançons un appel d’urgence à nos concitoyens, à nos gouvernants et à nos représentants dans les assemblées parlementaires nationales et au Parlement européen, ainsi qu’a la Cour européenne des droits de l’homme et au Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés.

    Depuis des années, les migrants du Sud de la Méditerranée fuyant la misère, la guerre et la répression se noient en mer ou se fracassent contre les grillages. Quand ils réussissent à traverser, après avoir été rançonnés par des filières de trafiquants, ils sont refoulés, incarcérés ou rejetés dans la clandestinité par des États qui les désignent comme des « dangers » et commodes « ennemis ». Et pourtant, courageusement, ils s’obstinent et s’entraident pour sauver leurs vies et retrouver un avenir.

    Sont notamment signataires :

    Michel Agier, anthropologue, EHESS ; Etienne Balibar, philosophe et sociologue, Université de Paris-Ouest - Nanterre La Défense ; Judith Butler, philosophe, University of California - Berkeley ; Patrice Cohen-Séat, membre de la direction nationale du Parti Communiste ; Etienne Tassin (philosophe, Université Paris Diderot) ; Frieder Otto Wolf, philosophe, Freie Universität Berlin.

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  • Complément d'enquête. Podemos à la mairie de Madrid, ça change quoi ?


    Complément d'enquête. Podemos à la mairie de Madrid, ça change quoi ?

  • Le Monde - « Le recours au financement privé n’est pas une solution providentielle mais un levier supplémentaire pour innover »

    Par André Dupon (Président du Mouvement des entrepreneurs sociaux), Thibaut Guilluy (Directeur général du groupe Ares), Christophe Itier (Directeur général de La Sauvegarde du Nord), Frédéric Bardeau (Président de Simplon.co et de la Fondation Simplon.co)

    Le débat sur l’application en France des « Social Impact Bonds » (SIB) est clivant. C’est légitime, le financement des programmes sociaux étant historiquement et quasi exclusivement assuré par la puissance publique, plus que dans tout autre pays au monde.

    Héritage des « trente glorieuses », qui ne sont plus qu’un lointain souvenir, l’institutionnalisation de la solidarité reste en effet solidement installée dans les esprits… mais sérieusement mise à mal sur le terrain.

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    Par Jean Claude Boual (Président du Collectif des associations citoyennes), Michel Chauvière (Directeur de recherche émérite au CNRS), Gabrielle Garrigue (Avenir Educs), Eric Denoyelle (Collectif pour une éthique en travail social), L’appel des Appels

    Le gouvernement s’apprête à introduire en France les « investissements à impact social », avec, pour fer de lance, la création de « Social Impact Bonds » (SIB) pour lesquels il ne reste plus qu’à trouver une appellation « à la française ». Depuis la remise au gouvernement en septembre 2014 du rapport d’Hugues Sibille (alors vice-président du Crédit coopératif, dont il préside désormais la Fondation), le lobbying en faveur des SIB n’a jamais cessé.

    Le 4 février 2016, Le Monde publiait un article faisant la promotion des SIB, sous le titre « Quand les investisseurs privés financent l’action sociale », signé par Benjamin Le Pendeven, Yoann Lucas et Baptiste Gachet, qui sont aussi les auteurs du document « Social Impact Bonds : un nouvel outil pour le financement de l’innovation sociale » financé et diffusé par l’Institut de l’entreprise, un think tank dépendant des grands groupes industriels et financiers français.

  • L'Humanité - Sommes-nous guettés par une crise financière majeure ?

    Avec Henri Sterdyniak, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), Yves Dimicoli, commission économique du PCF et Jean-Marie Harribey, maître de conférences en économie.

    La finance nous menace par Henri Sterdyniak, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE)

    Le capitalisme financier contemporain se caractérise par la domination de la finance spéculative. Des masses énormes de capitaux sont à la recherche d’une forte rentabilité. Les marchés financiers génèrent en permanence des bulles, des emballements inexplicables, de brutaux mouvements de capitaux, des évolutions extravagantes des cours de Bourse et des taux de change ; ceux-ci sont suivis de krachs financiers, de périodes d’affolement, puis de pessimisme rampant. Les marchés sont foncièrement cyclothymiques et autoréalisateurs. Sur les marchés libéralisés et ultraliquides, la finance surréagit aux chocs économiques, ce qui les amplifie. Elle vit des fortes instabilités qu’elle génère. D’une certaine façon, l’économie est toujours sous la menace d’une grave crise financière.

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  • Libé - «Radicalisations» et «islamophobie» : le roi est nu

    Par Gilles Kepel, Professeur des universités, Sciences-Po - Ecole normale supérieure (dernier ouvrage paru : «Terreur dans l’Hexagone, genèse du djihad français», éd. Gallimard, 2015, 352 pp., 21 €) Bernard Rougier, Professeur des universités Sorbonne-Nouvelle

    L’une des premières victimes collatérales des attentats de 2015 est l’université française. Alors que les sciences humaines et sociales sont concernées au premier chef pour fournir les clés d’interprétation du phénomène terroriste d’une ampleur inouïe qui a frappé l’Hexagone, les institutions universitaires sont tétanisées par l’incapacité à penser le jihadisme dans notre pays. Cela provient pour une part d’une politique désinvolte de destruction des études sur le monde arabe et musulman - la fermeture, par Sciences-Po en décembre 2010, le mois où Mohamed Bouazizi s’immole par le feu à Sidi Bouzid, du programme spécialisé sur ces questions est l’exemple le plus consternant : ont été éradiqués des pans entiers de la connaissance et notamment la capacité des jeunes chercheurs à lire dans l’original arabe la littérature de propagande salafiste et jihadiste. Mais cela provient aussi d’un interdit idéologique : entre le marteau de la «radicalisation» et l’enclume de «l’islamophobie», il est devenu très difficile de penser le défi culturel que représente le terrorisme jihadiste, comme une bataille à l’intérieur même de l’islam au moment où celui-ci est confronté à son intégration dans la société française.

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  • Christian Paul - Projet de loi travail : "Des dispositions toxiques, qui sont des dangers pour les salariés"

  • Paul Alliès- Les entreprises contre les Etats: un droit inacceptable

    Même amendé, le mécanisme qui permettrait aux entreprises étrangères de porter plainte contre un État quand elles estiment qu’il a failli aux engagements pris dans un traité d’investissement est illégitime, estime le collectif de juristes qui signe ce texte paru dans La Croix le 10 mars.

    "RDIE", pour règlement des différends entre investisseurs et États : derrière ce nom barbare, propre à décourager tout débat citoyen, se cache un mécanisme qui permet aux entreprises étrangères de porter plainte contre un État quand elles estiment qu’il a failli aux engagements pris dans un traité d’investissement. Le RDIE s’est fait connaître peu à peu du grand public en raison des excès récents commis par certains investisseurs.

    Une proposition qui ne lève pas les inquiétudes

    Le projet d’inclure un RDIE dans le Partenariat Transatlantique de Commerce et d’investissement, en négociation depuis 2013 entre l’Union européenne et les États-Unis (appelé TTIP, TAFTA en anglais), a suscité une mobilisation telle, que la Commission Européenne a été contrainte de mettre sur la table une proposition révisée en novembre 2015 : le système juridictionnel des investissements.

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  • Le #17h épisode 9 - Luc Broussy revient sur les enjeux de la loi vieillissement

    Promulguée en décembre 2015, la loi relative à l'adaptation de la société au vieillissement prévoit d'allouer 700 millions d’euros par an à l'accompagnement de l'autonomie des personnes âgées. Luc Broussy, Secrétaire national adjoint aux personnes âgées, revient sur les enjeux de ce texte qui crée de nouveaux droits sociaux en réformant - et en revalorisant - l'APA (Allocation personnalisée d'autonomie), et en instaurant un droit au répit pour les aidants.


    Le #17h épisode 9 - Luc Broussy revient sur les... par PartiSocialiste

  • Secteur public : l’assurance chômage qui n’existe pas

    3 mars 2016

    Bruno Coquet, Chercheur affilié à l’OFCE et IZA

    Une assurance chômage peu solidaire

    En France seuls les salariés du secteur privé ont une obligation d’affiliation et de cotisation à l’assurance chômage. Ceux du secteur public étant couverts par une garantie d’emploi ou l’auto-assurance de leur employeur, leur affiliation à l’Unedic n’est pas obligatoire. Néanmoins, l’affiliation à l’Unedic reste possible pour la plupart des employeurs publics qui le désirent, notamment si la précarité importante des contrats de leurs salariés non-titulaires rend le choix de l’auto-assurance trop coûteux pour eux.

    Cette réglementation a pour résultat de réduire la solidarité interprofessionnelle organisée par l’Unedic pour prendre en charge le chômage, puisque 30% des salariés n’y participent pas. La France est le seul pays où les employeurs publics ne contribuent pas à l’assurance chômage mutualisée et où, en même temps, la puissance publique ne finance pas l’assurance chômage par des subventions et/ou des dotations d’équilibre, faisant de l’Unedic une assurance chômage financée par le secteur privé pour lui-même.

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  • Revue de presse hebdomadaire du 4 au 11 mars

    A LA UNE

    Libé - Loi El Khomri : la gauche face à sa raison d’être Par Christian Paul, Député socialiste de la Nièvre et Laurent Baumel, député socialiste d’Indre-et-Loire

    Faciliter les licenciements économiques, accroître le temps de travail de ceux qui travaillent déjà, inverser la hiérarchie des normes prenant ainsi à rebours l’histoire et la construction du droit du travail… L’avant-projet de loi El Khomri symbolise, plus que tout ce qui l’a précédé -pacte de responsabilité, loi Macron,…- le basculement idéologique dans lequel François Hollande et Manuel Valls, inspirés par le Medef, voudraient désormais entraîner la gauche française. Ce n’est pas le compromis historique dont le pays a grand besoin, mais c’est un profond «changement» de modèle social.

    ANALYSES

    Télérama - Dominique Méda, sociologue : “Le vrai sujet n'est pas la lourdeur du code du travail, c'est la précarité !”

    Ce devait être un texte équilibrant les rapports entre salariés et employeurs, nourri par le récent rapport Lyon-Caen /Badinter sur « les principes essentiels du droit du travail ». Mais la « loi travail » s'est muée en un projet faisant la part belle aux revendications du Medef et des grandes entreprises. Résultat, à deux semaines de la présentation au Conseil des ministres du projet de loi de la ministre du Travail, Myriam El Khomri, la colère enfle : une pétition continue d'engranger des signatures (plus d'un million à ce jour), et mercredi aura lieu une manifestation à l'appel de plusieurs syndicats et d'organisations de jeunes (CGT, FO, FSU, Solidaires, l'Unef, les syndicats de lycées)… Dominique Méda, professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine et titulaire de la chaire Reconversion, travail, emploi au Collège d’études mondiales, spécialiste de la question du travail, auteur d’un Que sais-je ? sur le travail et co-auteure de Travailler au XXIe siècle, nous explique pourquoi la loi travail fait l'impasse sur les véritables défis du travail en France aujourd'hui.

    OFCE - Le Jobs Act de Matteo Renzi : un optimisme très mesuré

    par Céline Antonin

    A l’heure où le débat sur la réforme du marché du travail cristallise les passions en France, l’Italie tire quant à elle les premiers enseignements de la réforme mise en place il y a un an. Il faut dire que la réforme du marché du travail, baptisée Jobs Act, faisait partie des promesses de campagne de Matteo Renzi. Le marché du travail italien souffre en effet de faiblesses chroniques, notamment la segmentation, la dualité entre salariés protégés et non protégés, le fort taux de chômage des jeunes, ou encore l’inadéquation des coûts à la productivité du travail. D’inspiration sociale-libérale, la réforme de Matteo Renzi prône la flexisécurité, avec l’introduction d’un nouveau contrat de travail à durée indéterminé et à protection croissante, une baisse des charges sociales sur les entreprises, et une meilleure indemnisation et un accompagnement des chômeurs. Le premier bilan est certes positif en termes de chômage et de créations d’emploi. Cela étant, il faut se garder de tout triomphalisme hâtif, car cette réforme intervient dans des circonstances particulièrement favorables avec le retour de la croissance, le policy mix accommodant, ou encore la stagnation de la population active.

    OFCE - L’économie européenne 2016

    par Jérôme Creel

    Pour la première fois, l’OFCE vient de publier un ouvrage synthétique intitulé L’économie européenne 2016 dans la collection Repères des éditions La Découverte. Après soixante années, le chemin parcouru par l’Union européenne ne doit pas manquer de nous impressionner. Pourtant, de nombreuses interrogations demeurent quant à l’efficacité, voire à la pérennité, du projet européen d’intégration. Ce petit livre vise à éclairer le débat, en le resituant dans son contexte historique.

    PORTRAIT

    Libé - Benjamin Lucas : envoyer valser

    Le président des Jeunes Socialistes s’oppose à la loi travail et appelle à manifester contre le gouvernement PS.

    Dans ce bistrot de Belleville, ils sont alignés en brochette représentative, avec autocollant de leur «orga» sur le thorax. Les mandants des syndicats étudiants et lycéens comme les leaders des sections jeunes des partis de gauche viennent dire leur opposition à la loi El Khomri et annoncer la manifestation du 9 mars. Au-delà des revendications servies en plateforme, ce moment tient aussi du casting printanier pour nouvelles stars d’une activité très décriée. Les futurs Hollande, Besancenot, Duflot et compagnie ouvrent le bal des débutants et font leurs premières gammes. L’un des participants aimante évidemment l’attention, car sa position est délicate. Benjamin Lucas, président du Mouvement des jeunes socialistes (MJS), appelle à la mobilisation contre le gouvernement, soutenu par le parti père du MJS, le PS.

    LYON

    Pierre-Alain Muet - Invité de l’émission Droit de cité sur Lyon Première
     
    Un entretien d'1/2h avec Romain Meltz, journaliste, ainsi que Babacar, Julia et Marine, étudiants à l'université de Lyon 2, dans le cadre de l'émission Droit de Cité.
    http://www.lyonpremiere.com/Pierre-Alain-Muet-depute-PS-du-Rhone_a12047.html

    Parmi les sujets abordés :
    - Le CICE, pourquoi ça n'a pas marché ? Fallait-il des contreparties ? Pouvait-on le centrer sur les entreprises exportatrices ?
    - Les paradis fiscaux en Europe : le scandale des accords fiscaux au Luxembourg...
    - La déchéance de nationalité
    - La réforme fiscale, la CSG progressive... Quelle suite à l'amendement Ayrault-Muet après la censure du conseil constitutionnel ?
    - La réforme du code du travail
    - Lyon : Le musée des tissus, la privatisation de l'aéroport, les candidats à ma succession aux législatives de 2017...

    LA MANIF

    Libé - «Faites l’amour, pas des heures sup»

    Ce n’est pas un raz-de-marée, mais un premier rendez-vous plutôt réussi pour les syndicats et les organisations de jeunesse qui appelaient à la mobilisation, mercredi, contre le projet de loi travail. Près de 30 000 manifestants ont ainsi défilé dans la capitale (selon la police), et 224 000 dans toute la France. Une mobilisation rarissime sous un gouvernement de gauche, qui va sans aucun doute peser sur le niveau de concessions que l’exécutif s’apprête à faire. Dès la fin d’après-midi, le gouvernement faisait savoir qu’une surtaxe des CDD était envisagée. Pas de quoi refroidir l’Unef, qui appelait à une «nouvelle journée d’action dans les universités», jeudi 17 mars.....

    14 heures. Paris, avec les frondeurs PS

    A quelques encablures de la place de la République à Paris, le député Christian Paul avertit, sous le regard approbateur de la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann : «Le projet de loi n’est pas amendable en l’état, le gouvernement doit retirer le texte et récrire une nouvelle loi.» Une élue de la capitale se met un peu à l’écart. «C’est fou, on manifeste contre un gouvernement socialiste ! Mais bon, nous ne sommes pas en tort, c’est eux les fautifs.» Les frondeurs se mettent en marche vers la place de la République, se faufilent dans la foule, se perdent. Une militante socialiste regarde Jérôme Guedj et peste : «On aurait pu prévoir une bâche pour être visible, quand même !» L’élu de l’Essonne tire sur sa clope : «Oui, et qu’est ce qu’on aurait écrit sur cette bâche ?»

    Le Monde - Entre 224 000 et 500 000 manifestants en France contre le projet de loi travail

    Lycées bloqués, manifestations, grève dans les transports en commun… Le gouvernement était confronté, mercredi 9 mars, à une journée de contestation de sa réforme du code du travail portée par la ministre du travail, Myriam El Khomri. Alors que le premier ministre, Manuel Valls, doit rencontrer l’ensemble des dirigeants syndicaux lundi, deux autres appels à la mobilisation ont été lancés d’ici à la fin du mois contre ce texte.
    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/03/09/le-gouvernement-confronte-a-une-premiere-journee-de-mobilisation-contre-la-loi-travail_4879485_823448.html#crRXXqh7VL3my4bF.99
    Invité de l’émission Droit de cité sur Lyon Première - See more at: http://www.pierrealainmuet.fr/a-lyon/item/741-invit%C3%A9-de-l%E2%80%99%C3%A9mission-droit-de-cit%C3%A9-sur-lyon-premi%C3%A8re?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook#sthash.tQFs1bbY.dpuf

    LOI TRAVAIL

    Europe 1 - L'Unef téléguidée ? "Un fantasme de quelques politiques", selon Pouria Amirshahi

    Le député frondeur Pouria Amirshahi a affirmé mercredi dans la Matinale d'Europe 1 qu'il n'avait pas poussé l'Unef à se mobiliser contre la loi Travail, contre laquelle des manifestations sont prévues dans tout l'Hexagone mercredi. Il a qualifié cette affirmation de "risible" : c'est "un fantasme de quelques politiques qui ont besoin de trouver une explication". Bon nombre de dirigeants et de cadres actuels du PS, dont son premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, sont issus de l'Unef et l'influence du premier sur le second est pointée du doigt en ce moment.

    Public Sénat - La gauche que représente Manuel Valls, « au BN hier soir, c’était moins de 5% » note Karine Berger

    Karine Berger était l’invitée de Territoires d’Infos sur Public Sénat et Sud Radio. La députée socialiste des Hautes-Alpes est revenue sur la venue de Myriam El Khomri au bureau national de son parti hier soir. Elle note « une erreur politique » sur la manière dont le gouvernement à abordé la réforme de la Loi travail ».

    BFMTV - Cambadélis "satisfait que le gouvernement ait choisi de discuter"

    Le Monde - Au bureau national du Parti socialiste, Myriam El Khomri en position délicate

    C’est à croire que les socialistes ont un sens aigu de la scénographie. Myriam El Khomri a défendu, lundi 7 mars, son avant-projet de loi sur le droit du travail devant le bureau national du Parti socialiste. Derrière elle, sur la fresque murale, une photo grand format de Martine Aubry, sa prédécesseure au ministère du travail du temps de Lionel Jospin. Devant elle dans la salle, la même Martine Aubry, en vrai cette fois-ci, venue redire devant ses camarades tout le mal qu’elle pensait de cette réforme. La scène, immortalisée sur Twitter par le député du Cher Yann Galut, symbolise à la fois le choc de générations entre les deux femmes et l’affrontement sourd qui menace la cohésion de la majorité.
     

    Le chef de file des frondeurs attend Myriam El Khomri de pied ferme, ce lundi soir, au bureau national du PS. Il est vent debout contre sa loi.

    Boursorama - Loi Travail: le retrait "sans doute la meilleure mesure" déclare Hamon (PS)

    Benoît Hamon, député PS frondeur, a déclaré lundi sur RTL que le retrait du projet de la loi Travail serait "sans doute la meilleure mesure".

    Boursorama - Le PS demande des améliorations de la loi Travail

    PARIS (Reuters) - Le Parti socialiste a demandé lundi soir des améliorations du projet de réforme du Code du travail lors d'une réunion exceptionnellement longue de son bureau national qui a donné lieu à des débats très vifs, selon plusieurs participants.

    La ministre du Travail, Myriam El Khomri, était venue défendre son texte devant cette instance du principal parti de la majorité, profondément divisé sur cette réforme.

    Selon le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, la moitié de ses 70 membres ont pris la parole pour demander, qui son retrait pur et simple - une minorité -, qui une réécriture plus ou moins détaillée, voire complète.

    DECHANCE DE NATIONALITE

    Public Sénat - Ces sénateurs PS opposés à la déchéance de nationalité

    Le groupe PS du Sénat compte aussi ses opposants à la déchéance de nationalité. La résistance s’élargit au-delà des frondeurs. Les opposants représenteraient environ un tiers du groupe. Ils comptent bien se faire entendre lors du débat par un amendement de suppression

    FRONDEURS

    Libé - Le frondeur Amirshahi quitte le PS pour revenir au militantisme citoyen

    Député de l'aile gauche depuis 2012, Pouria Amirshahi coupe les ponts avec le PS, dénonçant les «renoncements» de l'exécutif et sa politique néo-conservatrice.