Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualités socialistes - Page 1311

  • Observatoire des inégalités - La misère persiste en France, l’un des pays les plus riches au monde

    16 octobre 2015 - La France compte deux millions de personnes vivant avec moins de 667 euros par mois, 3,5 millions de mal-logés et 3,9 millions de bénéficiaires de l’aide alimentaire. La grande pauvreté persiste en France.


    Qui vit dans la grande pauvreté en France ? L’Observatoire des inégalités fait le point à l’occasion de la journée de la misère. Du seuil de pauvreté monétaire aux mal-logés en passant par les titulaires de minima sociaux, plusieurs méthodes permettent d’estimer l’étendue du phénomène [1].

    En France, deux millions de personnes vivent avec au mieux 667 euros par mois pour une personne seule, soit le seuil à 40 % du niveau de vie médian, selon l’Insee (données 2013) [2]. Pour elles, il est quasiment impossible notamment de se loger dignement sans compter sur l’aide d’autrui, de parents ou d’amis.

    Quatre millions doivent se contenter de minima sociaux (plus de six millions si l’on comprend les conjoints et les enfants), selon le ministère des Affaires sociales (données 2013) [3]. Si l’allocation adulte handicapé ou le minimum vieillesse atteignent 800 euros mensuels, le montant du RSA socle est de 524 euros pour une personne, 1 100 euros pour un couple avec deux enfants au 1er septembre 2015 [4]. De trop faibles revenus pour vivre, qui contraignent là aussi à faire appel à la famille, aux amis, aux associations ou à quelques petits boulots non déclarés.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Christophe Borgel(Ps): « Ce référendum génère la remobilisation de la gauche »


    Christophe Borgel(Ps): « Ce référendum génère... par rfi

  • OFCE - COP 21 : la nécessité du compromis Par Aurélien Saussay

    La Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) a rendu publique, mardi 6 octobre 2015, une version préliminaire du projet d’accord qui formera la base des négociations lors de la Conférence de Paris en décembre prochain. Six ans après l’accord de Copenhague, présenté comme un échec, le secrétariat français met tout en œuvre pour assurer le succès de la COP 21 – au prix d’un certain nombre de compromis. Si elle réduit l’ambition du texte, la stratégie des « petits pas » permet seule d’arriver à un accord.

    Le projet renonce à l’approche contraignante, où les contributions de chaque pays étaient négociées simultanément, pour la remplacer par un appel aux contributions volontaires, où chaque pays s’engage séparément. Cet abandon était nécessaire : le protocole de Kyoto, pour ambitieux qu’il fût, n’a jamais été ratifié par les Etats-Unis, principal émetteur mondial de carbone à l’époque – et la tentative d’élaborer son successeur sur le même modèle s’est soldé par une absence d’accord à Copenhague.

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • Jean-Marie Le Guen : "Le référendum au PS est une réussite"


    Jean-Marie Le Guen : "Le référendum au PS est... par FranceInfo

  • Référendum : Conférence de presse de Jean-Christophe Cambadélis


    Référendum : Conférence de presse de Jean... par PartiSocialiste

  • Le capitalisme ludique ou l’éviction du « réel »

    Résumé : Cet ouvrage décortique le quiproquo entre « réel » et « réalisme » qui consolide la présence des dispositifs de gestion dans notre société.

    L’ouvrage de Marie-Anne Dujarier est le résultat d’un travail de terrain de plus de dix années, nous offrant la possibilité d’aller plus loin dans la compréhension de l’usage des dispositifs managériaux. Maîtresse de conférence à l'université Sorbonne Nouvelle et chercheure au Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologique économique (CNAM-CNRS), l’auteure avait déjà fortement contribué à une sociologie de l’encadrement de l’activité dans le capitalisme contemporain – publiant notamment L’idéal au travail (2006) et Le travail consommateur (2008). Dans son dernier ouvrage, Le management désincarné, Marie-Anne Dujarier poursuit, au même titre que des chercheures comme Valérie Boussard   ou Eve Chiapello  , le travail primordial qui doit être mené au sujet des dispositifs de gestion.

    La sociologue désigne sous le nom de dispositif l’ensemble « des ‘outils’, ‘techniques’ et autres ‘démarches’ managériales »  qui, quel que soit le domaine, dénote d’une conception planificatrice de l’encadrement des activités. Avec une démarche qu’elle nomme « clinique », l’auteure nous propose ainsi une description des résultats concrets de l’implémentation de ces modes d’encadrement au sein de structures publiques et privées.

    Dans cette analyse, ce ne sont ni les dispositifs désincarnés qui ont pris le contrôle du travailleur, ni les cadres d’entreprise empreints d’idéologie qui profitent d’une position « dominante » à distance. En déplaçant la question du management contemporain vers la compréhension de ceux qui produisent ces dispositifs – les « planneurs » –, l’auteure donne à voir une situation plus complexe où les dominants sont davantage des dominants-dominés, et où leur contribution à la détérioration du travail des salariés est la conséquence de l’abstraction nécessaire pour parvenir à réaliser le « sale boulot » du planneur. En effet, dirigeants comme employés se révèlent très critiques vis-à-vis des dispositifs mis en place. Quel que soit leur rang, les individus interrogés affirment que le management par dispositif a pour effet de « joindre l’inutile au désagréable ». Ainsi tout au long de l’ouvrage, l’auteure nous tient en haleine en promettant de répondre à une question : si les outils sont critiqués et inefficaces, pourquoi leur propagation se maintient-elle ? Autrement dit, comment tout cela se tient-il ?

    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

  • Non Fiction - Ce que les biotechnologies font à l’éthique

    Résumé : Une réponse complexe de Jürgen Habermas aux enjeux soulevés par les biotechnologies.

    Qu’il s’agisse de l’avortement, de la fécondation in vitro, de la recherche sur les cellules souches ou de l’intervention sur le génome humain, interviennent pléthore de politiciens, de religieux, de scientifiques, voire d’intervenants qui agrémentent la polémique de leurs seules opinions plus ou moins étayées. Et dans ce capharnaüm médiatique, d’aucuns ne soulignent assez la révolution que nous vivons : « Après les blessures narcissiques que nous ont infligé Copernic et Darwin en détruisant, l’un, notre image géocentrique du monde, l’autre, notre image anthropologique, peut-être accompagnerons-nous avec une plus grande quiétude cette troisième décentration de notre image du monde – la soumission du corps vivant et de la vie à la biotechnologie » . C’est simplement avec un « peut-être » à la fois enthousiaste et circonspect, que Jürgen Habermas s’attèle à penser les questions éthiques que soulèvent les biotechnologies.

    L’interrogation éthique des biotechnologies

    Mais plutôt qu’opter pour une morale qui place la philosophie en concurrence avec la religion ou un autre système de pensées, Habermas recourt au concept de « pouvoir-être-soi-même » de Kierkegaard. Ce précurseur de l’existentialisme estimait que l’éthique repose dans cet effort individuel pour une autoréflexion par laquelle l’être humain « s’approprie par l’autocritique de son passé, sa biographique, telle qu’il peut se la remémorer concrètement et telle qu’elle a été dans les faits, et ce à la lumière des possibilités futures » . Reprenant cette pensée postmétaphysique, Habermas cherche ainsi à respecter la pluralité des visions du monde. Mais davantage que des croyances, il constate que la biotechnologie attente aux relations sociales les plus communes. En effet, « à travers la décision irréversible que constitue l’intervention d’une personne dans l’équipement « naturel » d’une autre personne, naît une forme de relation interpersonnelle jusqu’ici inconnue » . Toute la problématique étant que les choix opérés sur l’être futur ne lui sont pas mémoriels, ce qui ne lui permet ni de se les approprier ni de les réviser comme il en ferait – par exemple – pour son éducation. La chosification atteint l’être humain avant même qu’il naisse. Dans ce contexte, il n’y a aucune place pour une autoréflexion éthique.
     
    Lire la suite
    _________________
    _________________
     
     
  • PS: "Il n'y a plus de problème" depuis l'annonce de la plainte, assure Cambadélis.


    PS: "Il n'y a plus de problème" depuis l... par BFMTV

  • Cambadélis : "Une nouvelle initiative sur l'unité dimanche, après le référendum"


    Cambadélis : "Une nouvelle initiative sur l... par FranceInfo