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Actualités socialistes - Page 1234

  • Réseau International - Pourquoi les États sont les otages de 28 banques qui gouvernent le monde

    François Morin n’est ni une Cassandre de la bourse ni un prophète de malheur des marchés : il nous dresse le constat lucide et alarmant à la fois sur les dettes publiques des états partout en forte hausse (et pas uniquement dans la zone euro), accompagné d’un risque déflationniste et d’une instabilité des prix des matières premières, sans oublier la question posée par la trentaine d’institutions bancaires systémiques.

    Il suffit qu’une seule de ces banques connaisse un problème de liquidité pour que l’effet domino qui s’ensuivrait jette toute l’économie mondiale par terre du jour au lendemain : un scénario qui hélas ne relève pas de la science fiction, d’autant que contrairement à 2008, le matelas protecteur constitué par les finances publiques s’est bien dégonflé ! Mais François Morin ne se contente de dresser un sombre diagnostic, il propose également des mesures à appliquer d’urgence pour éviter le prochain krach, mesures qui passent par un retour en force de la puissance publique, accompagné d’une ferme reprise en main de la création monétaire et d’une nationalisation partielle du secteur bancaire.

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  • Le #17h00 episode 23 - Marie-Pierre de La Gontrie revient sur les 100 jours de la Droite en Ile-de-France


    Le #17h00 episode 23 - Marie-Pierre de La... par PartiSocialiste

  • "Nous expliquons que le chômage peut disparaître en 5 ans" Jacques Attali (29/04/2016)


    "Nous expliquons que le chômage peut... par radioclassique

  • Télérama - Justice, Michael J. Sandel. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Patrick Savidan.

    Drôles et imagés, les dilemmes du philosophe américain ont conquis la planète. Ils ouvrent la voie à une réflexion utile sur la notion de vertu.

    Vous êtes aux commandes d'un tramway emballé. Vous ne parvenez plus à freiner. Sur les rails juste en face de vous, cinq cheminots travaillent. Sur une autre voie, légèrement sur la droite, un seul ouvrier s'affaire. Que faire ? Tuer cinq personnes ou dévier l'engin pour n'en tuer qu'une ? Sacrifier une vie pour en sauver quatre semble être une bonne option... Autre possibilité : vous assistez à la scène, cette fois-ci en tant que témoin, depuis un pont. A vos côtés se tient un homme très corpulent — au point que, si vous le poussiez par-dessus la rambarde, il pourrait atterrir sur les rails, stopper la course folle du tramway et épargner les cinq ouvriers... L'arithmétique est la même (sauver quatre existences) et, pourtant, le second scénario semble plus immoral que le premier. Pourquoi ? La justice est-elle une affaire de calcul ou de principe ?

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  • Libé - Michael Sandel ou la critique de la raison libérale

    Ses cours de philosophie morale à Harvard recueillent des millions de vues sur YouTube et font l’objet d’un livre qui sort en France. Rencontre avec un philosophe star....

    Un prédicateur de l’éthique. Une rock star de la philosophie politique. Ses prêches déconstruisent les évidences du libéralisme consumériste, ses tubes s’inspirent d’Aristote ou de John Rawls qu’il n’hésite pas à contester. Sandel s’est donné une mission : remettre la morale dans le débat public. Et s’il accouche les âmes, c’est à la manière du dialogue socratique. A Harvard comme dans ses livres hyperpédagogiques, la méthode Sandel fait mouche : questionner sur les grands principes d’équité, de citoyenneté, de justice à partir de cas concrets, de débats de société ou de dilemmes ordinaires. Tout en convoquant Bentham, Hume ou Kant. En 2013, l’université de San José va jusqu’à intégrer son cours en ligne «Justice» au programme d’études de l’université, ce qui provoque une fronde des professeurs du département de philosophie qui refusent d’utiliser le MOOC de Sandel (1).

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  • Matthias Fekl, secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur (1)

    L'invité de Mardi politique est Matthias Fekl, secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur, de la promotion du Tourisme et des Français de l’étranger. Il est interrogé par Florent Guignard pour RFI, Marc Perelman pour France 24, et Lilian Alemagna pour Libération


    Matthias Fekl, secrétaire d’Etat chargé du... par rfi

  • Matthias Fekl, secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur (2)


    Matthias Fekl, secrétaire d’Etat chargé du... par rfi

  • OFCE - La question des minima sociaux par Henri Sterdyniak

    28 avril 2016

    Fin 2014, 4,1 millions de personnes recevaient en France un minimum social, ce qui représentait au total 7,1 millions de bénéficiaires en tenant compte des personnes à charge (enfants ou conjoints), soit près de 11 % de la population. En même temps, le taux de pauvreté reste élevé (13,3 % en 2014 selon Eurostat) et ne montre pas de tendance à la baisse. Pourtant, certains dénoncent le « cancer de l’assistanat », d’autres proposent de diminuer de façon importante le montant des prestations pour creuser l’écart avec les revenus d’activité. Le débat sur les minimas sociaux est donc important et on ne peut que se réjouir de la parution du rapport  de Christophe Sirugue : « Repenser les minima sociaux, vers une couverture socle commune ». Celui-ci préconise la fusion à terme des minimas sociaux en une couverture socle commune, ouverte aux 18-25 ans. Nous voudrions ici discuter de cette proposition[1]. Par ailleurs, le rapport ne traite pas de la situation des enfants (qui connaissent pourtant des taux de pauvreté élevés) ; il ne discute ni le montant, ni les modalités d’indexation des prestations.

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  • Libération, Emmanuel Maurel - Après le Tafta, Tisa : «Une directive Bolkestein puissance 10 !»

    Emmanuel Maurel, député européen PS, alerte sur cet autre traité commercial en cours de négociation dont l’objectif est de libéraliser les services.

    Après le projet de Tafta (Trans-Atlantic Free Trade Agreement), traité de libre-échange transatlantique, vous vous opposez au «Tisa», de quoi s’agit-il ?

    D’un nouveau projet de traité commercial international («Trade In Services Agreement») qui concerne 50 pays, dont les 28 de l’Union européenne, les Etats-Unis, l’Australie… Le but de cet accord est de libéraliser l’ensemble des services pour cadrer avec le contexte actuel de la révolution numérique. C’est une directive Bolkestein puissance 10 !

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  • Marianne, Jacques Julliard - La tentation centriste

    La mise sur orbite de la fusée Macron s'accompagne, comme toute tentative centriste, d'une idée fausse : le clivage gauche/droite serait une bizarrerie française. Seulement, une candidature qui ne se voudrait ni de droite ni de gauche serait une candidature hors sol, propre à séduire les Gracques, Alain Minc ou Jacques Attali. Insuffisant pour gouverner la France.

    Gauche contre droite, un clivage dépassé ? La mise sur orbite de la fusée Macron s'accompagne, comme toute tentative centriste, du retour d'une idée-force qui est aussi une idée fausse : à savoir que le fameux clivage, la summa divisio (René Rémond) entre la gauche et la droite est une bizarrerie française, une vieillerie historique devenue artificielle et sans rapport avec les problèmes de notre temps.

    Quand un préjugé bénéficie à la fois de l'ancienneté et du consensus général, il ne se rend jamais, pas même à l'évidence. Or l'évidence, c'est que le fameux clivage n'est pas une spécialité française, mais bel et bien le principe organisateur de la démocratie. Pas de démocratie sans alternance, c'est-à-dire sans possibilité, pour l'électorat mécontent de l'équipe gouvernementale sortante, de lui substituer une équipe d'opposition.

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  • L'Observatoire des inégalités - L’inégale répartition des tâches domestiques entre les femmes et les hommes

    29 avril 2016 - En moyenne, les femmes consacrent trois heures trente par jour aux tâches domestiques, contre deux heures pour les hommes. Un écart qui peine à se réduire.


    En moyenne, les femmes consacrent 3h26 par jour aux tâches domestiques (ménage, courses, soins aux enfants, etc.) contre 2h pour les hommes, selon l’Insee [1] (données 2010). A la maison, les hommes s’adonnent volontiers au bricolage (20 minutes quotidiennes contre 5 pour les femmes). Mais les femmes passent deux fois plus de temps que les hommes à faire le ménage et à s’occuper des enfants à la maison.

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